Annie Et Les Chasseurs
Ce matin, Annie avait décidé daller ramasser des champignons en forêt. Elle connaissait par cur toutes les variétés, et elle raffolait des cèpes et des girolles quelle savait parfaitement où trouver. Elle prit donc sa voiture et roula pendant une quinzaine de kilomètres jusquà la grande forêt quelle avait lhabitude de fréquenter. Elle se gara au bout dune clairière, prit son panier et enjamba le fossé pour pénétrer dans les bois. Annie nhésitait pas à affronter les ronces pour se frayer un chemin dans les endroits les moins fréquentés.
Elle marchait depuis plus dune heure quand elle entendit des craquements derrière elle. Annie se retourna et aperçut trois chasseurs qui se dirigeaient vers elle. « Bonjour !» lança-t-elle, un peu surprise car dhabitude elle ne rencontrait personne dans cet endroit difficile à parcourir.
« - Bonjour ma petite dame, on est perdu ? répondit le premier.
- Non, non, je ramasse des champignons. Mais ce nest pas un coin pour la chasse, ici !
- Vous ne devriez pas rester là, cest dangereux
un coup de fusil cest vite parti vous savez. »
Annie connaissait trop cette forêt pour le croire. Elle pensa quils avaient dépassé la limite de chasse sans sen rendre compte, mais préféra ne pas insister, les trois hommes ne lui inspirant pas confiance. Elle sapprêtait à les quitter rapidement, mais un autre relança la conversation.
« - La cueillette a été bonne, on dirait, cest des cèpes ça ?
- Oui, il y en a pas mal ici.
- Et vous navez pas peur daller dans les bois toute seule comme ça ?
- Jai lhabitude, je connais bien cette forêt
»
Annie commençait à se sentir mal à laise. Les individus semblaient louches et un peu ivres, souriant bêtement en la dévisageant de la tête aux pieds. Elle voulut partir au plus vite.
« - Bon bah, bonne chasse alors, au revoir.
- Dîtes donc les gars, commença le premier chasseur qui lavait abordée, elle est pressée de nous quitter la petite dame !
- On lui fait si peur que ça ? On va pas la manger
continua le deuxième homme.
- Pourtant elle est appétissante, on dirait ! Regardez ses gros nichons ! reprit le premier. »
Annie portait bien ses 40 ans, elle était plutôt jolie, bien faite, et possédait un tour de poitrine qui ne passait pas inaperçu. Sa jupe trop large lui faisait un popotin de fermière, mais son chemisier trop serré trahissait la grosseur de ses seins.
Elle commença à paniquer et lâcha son panier pour senfuir. Mais Patrick, le premier homme, la retint fermement par le bras :
« - Hop là, où tu vas comme ça ? Cest pas poli de sen aller en courant. Tu vas bien nous montrer tes gros nibards avant de partir, non ?
- Lâchez-moi, vous êtes saoul, laissez-moi partir sil vous plaît, supplia Annie.
- Quest-ce que ten penses Rémi, demanda Patrick à son copain qui navait pas encore parlé, tas pas envie de te rincer lil vite fait ? »
Rémi, le plus gros des chasseurs, lair essoufflé, fit un signe de la tête pour acquiescer. « Je crois que tas pas trop le choix, cocotte, allez, fais voir tout ça » conclut Patrick, en maintenant le bras dAnnie derrière son dos.
« - Aïe, vous me faites mal, ordures, lâchez-moi je vous dis !
- Tu peux crier, petite conne, personne ne tentend ici.
- Gilles, demanda Patrick, dégrafe-là quon mate un peu. »
Lhomme sapprocha dAnnie et arracha des deux mains son chemisier. Les seins dAnnie débordaient de son soutien-gorge qui fut tout de suite enlevé par le chasseur excité.
« - Ils sont pas gros, ils sont carrément énormes, ses nichons, sexclama Gilles.
- Elle ma excité cette petite garce, poursuivit Rémi qui mit à la main à sa braguette pour en extirper une grosse verge encore molle. »
Rémi commença à se masturber frénétiquement, et Annie ne put sempêcher de constater que cet homme plutôt laid et bedonnant possédait un sexe vraiment monstrueux, exceptionnellement épais.
A cet instant Annie aurait dû crier de toutes ses forces, pleurer et se débattre violemment pour se libérer.
Gilles soupesa ses gros seins puis plaqua sa bouche contre un de ses mamelons. Patrick maintenait toujours Annie en place en lui bloquant les bras dans le dos.
« - Je parie que tas une bonne chatte de salope, ma cochonne, murmura Patrick en resserrant son étreinte.
- Je vais vérifier ça, lança Gilles en retroussant la jupe dAnnie qui restait muette en gesticulant. »
Il glissa sans ménagement sa grosse main dans la culotte de la jeune femme qui protesta en criant sans conviction « ça suffit, laissez-moi partir ». La main de Gilles de referma sur lentrecuisse dAnnie, puis il chercha louverture pour y enfoncer un puis deux doigts. Annie laissa séchapper un petit cri, elle était trempée et son excitation cachée la trahissait.
« - Je le crois pas, elle est pleine de mouille cette cochonne, sexclama Gilles.
- Alors comme ça, tas envie de te faire baiser, petite pute ! renchérit Patrick. Fais moi voir ta grosse chatte. »
Patrick demanda à Gilles de prendre sa place pour maintenir leur « gibier » immobile. Puis il fit face à sa proie, releva sa jupe et saisit sa culotte pour la baisser jusquaux genoux. Il sortit ensuite un couteau de sa besace et sectionna le slip dun coup.
« Ecarte bien tes jambes ma jolie, et montre nous ça. ». Patrick ouvrit sans problème les cuisses dAnnie et massa énergiquement sa chatte humide. Annie était de plus en plus excitée, envahie dun désir brutal.
« On va lattacher, ce sera plus pratique. » proposa Gilles. Il défit sa ceinture puis ligota consciencieusement les mains de la jeune femme dans son dos.
« - Je sens quon va bien samuser, hein ma grande ? demanda Gilles.
- Elle texcite, la bite du gros, pas vrai ? continua Patrick.
- Oui, lâcha Annie à la surprise des trois hommes.
- Rémi, viens lui mettre ton engin dans la bouche. »
Le gros homme ne se fit pas prier et sapprocha, son sexe tendu comme un gourdin. Gilles agenouilla Annie et lui ouvrit fermement les mâchoires pour que Rémi puisse bien enfourner son gros membre.
« - Tiens, grosse salope, bouffe moi ça, cria Rémi qui nen pouvait plus. Il lui enfonça sa queue jusquà la gorge au point quAnnie faillit régurgiter.
- Avale bien, tu vas ten souvenir, reprit-il. »
Rémi tenait Annie par le chignon et la forçait à engloutir toute sa bite. Il se branlait littéralement dans sa bouche. Annie manquait de s à chaque va-et-vient et lodeur animale du membre lui déplaisait fortement, mais lidée de soffrir aussi brutalement à ces individus lui procurait une sensation bizarre, dégradante mais intensément excitante.
Il ne fallut quune minute ou deux pour que Rémi éjacule bruyamment dans sa bouche déformée.
« - Tu dois être bonne à ramoner, ma cochonne, tu veux que je te lime un peu ? sexclama Patrick.
- Oui, jai envie de me faire baiser, répondit Annie qui ressentait une chaleur extrême dans son bas-ventre.
- Cest quand même mieux que de cueillir des champignons, non ?
- Oui.
- Taimes te faire éclater la chatte, pas vrai.
- Jadore ça.
- Tes une grosse putain, hein ?
- Oui, je suis une grosse salope qui aime se faire défoncer par des bonnes bites. »
Patrick ne tenait plus en place, son petit délire partagé par Annie le rendait fou dexcitation. Il allongea la jeune femme sur les feuilles et lui écarta les cuisses sans ménagement. Sans prendre le temps denlever son pantalon complètement, il sortit son membre dur comme du bois et lenfonça directement dans le vagin dAnnie. Annie cria de plaisir au moment de la pénétration, excitée par ce dialogue pervers qui ne lui ressemblait pas.
Seul Gilles navait pas encore joui, il se branlait en matant le spectacle mais commençait à simpatienter.
« Attend un peu que je te bourre moi aussi, cria-t-il. Il prit la place de Patrick mais retourna Annie, toujours attachée, pour la prendre en levrette.
- Tiens, prends ça dans ta chatte de salope, continua-t-il en introduisant sa queue dans le vagin bien élargi dAnnie. » Gilles maintenait les fesses dAnnie dans ses grosses mains et senfonçait jusquà la garde. Trop excité pour maintenir la cadence il éjacula rapidement sur la raie des fesses.
« - Fais voir un peu ton trou de balle, grosse pute, ordonna-t-il en écartant les deux globes à lextrême. Cest pas beau ça, demanda-t-il à ses copains ? Regardez-moi ce trou du cul qui demande quà se faire défoncer !
- Non, pas là, demanda Annie qui craignait quon lui déchire lanus.
- Fais pas ta mijaurée, tas dû en prendre plus dune dans ton gros fion !
- Non !
- Menteuse, je suis sûr que tas envie de te faire enculer.
- Oui, jai envie, osa Annie. »
Elle se souvint quelle aimait souvent caresser seule ses deux orifices et pensa finalement quau point où elle en était, elle devait profiter de tout.
Gilles introduisit ses doigts mouillés de salive dans lanus dAnnie pour lécarter, puis essaya de rentrer sa verge à lintérieur, mais il navait pas rebandé suffisamment pour être assez dur.
Rémi qui avait vite récupéré saisit loccasion et proposa son aide.
« Attends, moi, je vais lui en remettre un coup à la petite dame. » Le gros homme retourna Annie pour lallonger sur le dos, et releva ses fesses au maximum.
« Maintenez bien ses cuisses, les gars. » Il approcha son énorme gland gonflé sur lillet dAnnie qui paniquait en pensant à la grosseur du sexe démesuré quelle avait avalé tout à lheure.
Il cracha plusieurs fois dans ses mains, se frotta les doigts et massa vigoureusement lanus de la pauvre Annie. Puis il poussa fort son gland sur lanus dAnnie, en forçant lentrée difficilement.
« - Alors cochonne, comme ça, tu veux te faire sodomiser ?
- Oui, avoua Annie encore effrayée.
- Tu vas être servie grosse salope, je vais bien te labourer le fion.
- Jaime les grosses queues.
- Dans ton cul ?
- Oui, jai envie de faire bien enculer.
- Allez, écarte bien le cul, je vais télargir. »
Le sexe monstrueux de Rémi senfonça de moitié dans le cul dAnnie, qui cria de douleur.
Surexcité, Rémi continua à lui bourrer les fesses sans ménagement, et finit par sintroduire jusquaux couilles. Il sortit plusieurs fois son membre pour le plaisir de le rentrer à nouveau avec force.
Au bout de quelques minutes, la souffrance dAnnie avait laissé place à une excitation extrême, davantage mentale que physique. Annie hurlait des grossièretés à nen plus finir.
« Oui, oui, encule-moi gros porc, défonce-moi le fion avec ton gros mandrin, je ne suis quune grosse truie. »
Rémi termina son travail en giclant une tonne de sperme sur lanus béant dAnnie, dilaté à ne plus se refermer.
Seule le soir dans son lit, Annie éprouva dabord un immense dégoût de ce qui lui était arrivé, à la fois honteuse et salie, puis ses sentiments se transformèrent en excitation et elle dut se caresser longuement avant de trouver le sommeil
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