Maîtresse
Je fus surpris de ne trouver dans cette école en ce lundi de très bonne heure, Sylvie et non pas Marguerite.
- Tu es seule ? Lai-je interrogé.
- Oui, Marguerite ma prévenu ce matin, comme quoi elle ne pouvait venir travailler. Étant souffrante.
- Tu vas pouvoir à toi seule faire tout le ménage ?
- Oui, je peux y arriver. Heureusement que samedi nous avions bien bossé, avec Marguerite.
- Je peux te faire venir une aide si tu veux ?
- Je ne dis pas non. Mais fais la venir pour mercredi.
- Tu ne veux pas plus tôt lavoir pour demain ?
- Non ! Je préfère lavoir pour mercredi.
- Comme tu veux. Mais dit moi, tu noublis rien là ?
- Non ! Je ne vois pas.
- Cherche ! Tu vas trouver.
Après réflexion elle a lâché.
- Non ! Je ne vois vraiment pas.
- Tu ne me proposes pas ce matin de me faire une pipe.
Elle sest tout de suite mise à rire.
- Cest que
est-elle arrivée à lâcher avant que je la coupe.
- Cest labsence de Marguerite qui te rend plus réserver ?
- Pas du tout. Cest que jusquà maintenant tu as toujours recalé toute mes invites.
- Peut-être ! Mais cétait par ce Marguerite était là.
- Et là, quelle nest pas là, tu as envie que je te le dise. Cest
ça ? Alors je vais te le dire si cela est ton souhait : voilà ! Bon Alain tu veux que je te fasse une pipe ? Me fit-elle, sourire aux lèvres.
- Tu ne peux pas la faire plus sexy, ta demande ?
- Si tu insistes. Alain, taimerais pas que je te fasse une petite gâterie ? Que je te branle avec ma bouche. Aller Alain ! J y tiens énormément.
- Cest bien parce que tu insistes ! Ai-je dis en me défaisant.
- Salaud ! Ma-t-elle envoyé.
Sylvie a saisit mon sexe bandé. Sest mise à en flatter les bourses. Puis elle a commencé à me masser, de bas en haut, et de haut en bas, dun geste lent. Elle a penché sa tête pour me renifler.
Elle a englobé ma verge, avec la bouche, et a commencé la fellation. Ses lèvres allaient et venaient, alors que sa main plus bas, accompagnait le mouvement, en parfaite synchronisation. Debout, jai contemplé la scène, muet, fasciné. Le silence nétait rompu que par le bruit de succion que faisait parfois la bouche de ma fellatrice. Les joues creusées par le traitement quelle madministrait. Elle paraissait se délecter, et roucoulait de temps à autre, très doucement.
Je nai pas pus résister très longtemps sous un tel traitement. Jai éjaculé brusquement, en épaisses giclées, tapissant son palais. Sous la force des jets elle a poussé un cri de surprise, avant de fermer la bouche pour me boire.
Avant de partir, émerveillée, elle ma fait part de son choix de rester la semaine seule.
- En ne sait jamais. A-t-elle lâché. Si lenvie te venait, de me refaire une petite visite.
Et cest comme ça que durant toute la semaine jai profité des faveurs sexuelles de Sylvie
Quelques jours plus tard, je fus invité de passer voir la directrice. Jai bien sûr, sur le moment, pas fait le parallèle avec ce qui sétait passé avec Sylvie. Et pourtant jaurai dû ! Cela maurait évité bien des déconvenues.
La directrice était une femme proche de la quarantaine, du style imposante. Je ne pouvais pas dire quelle soit jolie, mais il se dégageait de toute sa personne, une sensualité animale.
Sitôt la porte de létablissement franchi, elle sest chargée personnellement de moi. Dailleurs nous étions seuls. Me demandant aimablement de la suivre jusquà son bureau, où nous serions, sois disant plus tranquille pour discuter.
Après avoir fermer la porte, elle sest retournée et sans un mot, elle ma examiné de la tête aux pieds, insistant sans vergogne sur le centre de ma personne.
- Vous savez pourquoi vous êtes là. Me dit-elle dans un grand sourire.
- Non ! Pas du tout. Mais je pense que je ne vais pas tarder à le savoir.
Tout en me regardant dans les yeux, elle sest déplacée jusquà arrivé à la hauteur de son bureau, où elle a sest empressé douvrir le plus grand tiroir. Elle en a sorti un cahier. Après lavoir feuilleté elle sest arrêtée à une page bien définie, et elle sest mise à lire. « Lundi : Alain a assisté pour que je lui taille une pipe. Comme cela faisait un bout de temps que jen avais envie de le lui faire je me suis exécuté ». « Mardi : Alain est revenu une autre pipe au programme ». « Mercredi après la pipe et comme il nétait pas pressé il a prit le temps de me sucer, longuement, et divinement. À un tel point que jai joui successivement trois fois, oui trois fois. Tant sa caresse buccale était fabuleuse. Et comme il en avait une énorme envie il ma prise sur la table de la cuisine. À grand coups de riens. Cela a duré, avant quelle lâche son venin. Ça était, un bon moment pour moi ». « Jeudi : de nouveau pipe ». « Vendredi : je lui ai demandé quil me suce. Ce quil a fait sans résigner. Jai joui de nouveau trois fois. Jai voulu lui tailler une pipe mais il na pas voulu. Il navait pas le temps ».
- Elle nest pas futée ta copine davoir laissé ce cahier traînée à la vue de tout le monde.
Le tutoiement soudain, mais surtout le regard appuyé quelle a porté de nouveau sur le centre de ma personne, ma donné assez daplomb pour la suite de lentretien. De son côté, elle a contourné le bureau, se laissant tomber dans son fauteuil.
- Là ! Fit-elle, posant de nouveau, les yeux sur le cahier. En bas, quatre ou cinq lignes ont été soigneusement raturées. Je nai pas réussis à les déchiffrer malgré mes efforts. Sans doute une confidence trop audacieuse.
Elle ma regardé un moment en silence, avant dajouter :
- Je vais dans un premier temps demander une sanction exemplaire sur la personne de Sylvie.
- Pourquoi faite-vous cela ? Si il y a une personne à sanctionné cest bien moi.
- Mais ne tinquiète pas, ton tour viendra.
- Je men fou, faite-moi ce que vous voulez mais de faites rien à Sylvie.
- Pourquoi ? Tu es tombé amoureux delle ?
- Pas du tout ! Où allez-vous chercher cela.
- Alors pourquoi ?
- Juste parce quelle a une famille à nourrir, voilà tout. Et elle a besoin de ce travail, elle est toute seule à travailler.
- À ma place quest-ce que tu ferais ?
- Je punirais le responsable de tout ça. Cest-à-dire moi.
- Te punir ! En voilà une drôle didée ! Et te punir comment ?
- Il me vient de temps à autre le souvenir de comment ma maîtresse du CE2, me punissait.
- Et il est indiscret de le savoir ?
- Pas du tout. Je serais heureux de le partager avec vous. Cest tout simple. Pour ne pas dissiper la classe, elle me faisait me mettre sous son bureau.
- Ah oui ! Je ne connaissais pas cette méthode. Comme quoi on nen apprend tous les jours.
- Vous voulez que je vous montre ?
- Pourquoi pas ! Je serais curieuse de voir un grand gaillard comme toi entrait dans cet espace si réduit.
Je me suis avancé jusquà elle et grâce aux roulettes, jai pu la déplacer, pour pouvoir me faufiler sous le bureau sous son regard médusé. À cet instant, une seule question me tarauder lesprit, portait-elle un collant ou des bas ?
- Voilà-là une bien étrange façon de punir un gamin. Je nen vois pas le sens.
Quoi quil en soit, tout cela mexcita. Je le sentais à la façon dont mon cur battait dans ma poitrine. Mais aussi à un certain alanguissement de tout mon corps, à la fermeté de ma verge au fond de mon slip. Comme je sentais quelle aussi de son côté était troublée. Je dirai même plus que ça, elle était sexuellement remuée.
Tout en mexposant sa thèse sur cette drôle façon de punir, et dans un geste naturel elle a croisé ses jambes.
Cette situation fit que jétais de plus en plus à mon aise. Je savais à cet instant, ou du moins, je le devinais, pour quelle raison elle mavait convoqué à cette heure si tardive. Par simple courtoisie et pour ne pas passer pour un obsédé, jai décollé mon regard de ses jambes pour la regarder droit dans les yeux.
- Mais revenant veux-tu, à notre problème du jour. Je pense quand même que je vais être obliger de déplacer Sylvie décole.
- Mais pour quoi donc ?
- Parce que je suis la directrice et quen doit du respect une fois quen se trouve entre les murs de mon établissement. Et avec toujours autant de naturel, elle a décroisé les jambes.
Cela ma permis de constater quelle portait bien des bas. Cette vue a déclenché une nouvelle montée dadrénaline. Qui, instantanément, a provoqué une distension à mon sexe. Très visible pour quelquun sy attarde dessus.
Alors a commencé une discussion absurde où chacun se moquait éperdument de ce que lautre racontait. Javais un mal fou pourtant, à pouvoir détacher mon regard de ce gouffre sombre. Dautant plus que la malhonnête, narrêtait pas de gesticuler, décarter, de fermer tour à tour ses jambes, et de les ouvrir linstant daprès, me mettant au supplice. Très virtuose, elle me laissait apercevoir chaque fois, un peu plus delle. Sans pour autant que jen ai le temps dêtre sûr de ce javais vu.
La coquine de son côté ne se gêner pas de porter ses yeux, à intervalles de plus en plus rapprochés, sur la bosse que faisait mon érection sous la toile de mon pantalon. Provocatrice à souhait, elle attendait que je maperçoive de son manège pour détourner chastement les yeux dans un petit sourire entendu. Intuitivement, je sentais au plus profond de moi, quil fallait que je la laisse mener le jeu. Pour savoir jusquà où elle pouvait aller.
- Elle te punissait toujours de la sorte ? Me demanda-t-elle dun air ironique.
Comprenant où elle voulait en venir. Jai décidé tout de même de la provoquer.
- Pour moi oui.
- Ah bon ! Les autres navaient pas droit au même traitement que toi ? Tiens je suis sûr que ta maîtresse de lépoque était toujours en robe ?
- Toujours ! Par une seule fois je lai vu porter en pantalon. Et cela pour mon plus grand plaisir.
- Comment ça ? Tu avais quel âge à lépoque ?
- Il na pas dâge pour prendre plaisir à regarder de belles gambettes. Et déjà à cette époque jétais plus délurer quà la moyenne.
- Non ! Tu vas me dire que tu prenais déjà, plaisir à regarder sous sa jupe des femmes ?
- Et comment que jaimais ça ! Il marrivait même quand elle se déplaçait dans la classe toujours pieds nus, de profiter de son absence pour renifler ses escarpins.
- Tu es vraiment du genre spécial, toi ! Senflamma-t-elle, écartant, encore un peu plus les jambes.
Jen avais le souffle coupé. Non seulement, elle était adepte des bas mais de plus, elle semblait ignorer ce que cétait de porter une culotte. Là, je nai pas pris la peine de détourner mon regard, tout au contraire jai fais tout pour quelle sen aperçoive. Dailleurs elle na pas cherché mon regard, sintéressant quant à elle au spasme qui faisait vivre mon érection sous létoffe de mon pantalon. Et là, elle na pas résisté de me faire part de sa découverte :
- Je te fais de leffet à ce que je vois ! Et moi ? A-t-elle ajouté en ouvrant largement ses cuisses.
Aussi largement que lui permettait sa jupe. Qui du même coup est remontée très, très haut sur ses cuisses. Je suis tombé comme en admiration devant la belle toison brune, très fournie, un vrai beau buisson de poils. Doù émergeaient deux grandes lèvres lippues. Qui a en jugé lhumidité facilement identifiables, trahissait dans létat dexcitation où elle se trouvait. Sûr de moi, jai avancé la main pour toucher. Mais elle a refermé brutalement les jambes.
- Pas touche ! Ma-t-elle lâché.
- Mais alors tu es une allumeuse ?
- Je ne suis rien du tout. Cest toi qui à voulu te placer sous le bureau.
- Mais tu as accepté.
- Je ladmets, oui, mais cétait juste par curiosité. Mets dis moi de toi à moi, tu las touché ta maîtresse ?
- Quelle question ! Bien sûr que non !
- Ne me dis pas que cela ne ta pas effleuré lesprit à lépoque.
- Oui
mais je nai pas osez !
- Elle aurait peut-être aimé, elle, que tu las touche. Et cest pour cela quelle insistait à te plaçait là.
- Va savoir !
- Cest tout vue ! On ne place un gamin sous le bureau, en portant une jupe sans avoir darrière pensée.
- Tu penses réellement à ce que tu dis ?
- Et comment jy pense, jen suis même certaine.
- Tu sais de quoi tu parles, toi !
- Comment ça ? Je ne te comprend pas.
- Oh que si tu me comprends. Tiens explique moi pourquoi tu narrêtes pas de mexhiber ta chatte devant mes yeux. Aller dis-moi ?
Elle a rosit et a changé de conversation.
- Mon mari me laisse souvent seule. Je mennuie beaucoup. Me fit-elle en soupirant.
- Dans ma vie, se désola-t-elle, il ny a pas beaucoup de distraction
pour une femme qui sennuie, comme moi.
- Il y en a qui prennent des amants ! Ai-je lâché, bien malgré moi, par pur réflexe
Elle en a tressauté puis sest fendu dun petit rire minaudant, avant de laissé tomber :
- Des amants ! Comme tu y va là, Alain ! Tu permets que je tappelle Alain ?
- Je ten prie, Émilie.
- Mon mari est très vieux jeu. Si tu vois ce que je veux dire.
- Pas du tout !
- Si il apprenait que jai un amant ce serait le divorce sur le champ. Et finit pour moi le confort
Sans trop prêter loreille à ce quelle me disait, jai retiré son escarpin droit. Son odeur m'a atteint avant même que mes lèvres ne touche le pied gainé. Une senteur suave sen dégagea. Je me mis à lembrasser, le lécher, bavant presque dessus, savourant chaque seconde passer avec lui. Ma caresse a é chez elle, le silence. Et pas un moment elle a essayé de me fuir. Encouragé par son inaction, jai poursuis sur mon élan, embrassant tour à tour sa cheville et son mollet. Avant de remonter le long de sa jambe, jusquà pouvoir titiller le derrière du genou. Suite à cela, jai lentement poursuivi mon chemin jusquà arrivé le long de sa cuisse gainée et même au-delà du bas.
- Alain, je
je ne sais pourquoi ! Je nai pas la force de te repousser !
- Alors laisse-toi faire. Je te promets que tu vas aimer !
- Je demande que ça. Me fit-elle en me prenant par les oreilles pour mieux me plaquer ma bouche contre son sexe, collant dans le même mouvement, mon nez dans la broussaille rêche et enivrante de son pubis.
Jai pris les lèvres pendantes et molles dans ma bouche. Je les ai sucés, comme je laurai fait avec un bonbon. Elle sentait fort, la coquine. Une odeur de mouille, de pipi, de sueur. Jai fait uvrer ma langue, en lintroduisant dans son vagin. Jai taquiné le tunnel jusquà en avoir la mâchoire douloureuse. Puis jai butiné le petit bouton qui pointait son nez hors de sa cachette. Pour ensuite lapé avec avidité, le flot de mouille qui coulait de la moule dÉmilie.
Elle était en proie à une tension presque délirante, sous l'emprise de lorgasme, elle ma plaqué à m, de nouveau contre elle à laide de ses mains. Resserrant fermement ses cuisses de part et d'autre de mon visage. L'emprisonnant, comme pour mieux le chevaucher comme une folle. Jai pris en bouche ce quelle avait de plus sensible, et je me mis à le titiller. Elle a atteint ce pour quoi elle mavait fait venir. Extériorisant bien fort son bien être.
Une fois lemprise relâchée, jai pu reprendre mon souffle. Avec le goût de sa chatte dans la bouche. Les lèvres, le menton, voir le nez souillé de sa bonne mouille.
Elle ma fixé avec un petit sourire énigmatique. Avec un délicieux regard dinvite, elle a quitté sa confortable place pour pivoter sur elle-même pour me tendre son dos. Lentement, elle a plaqué son buste sur le plateau de son bureau. Fesses offertes, bien écartées. Je nai pu résister à loffrande quil métait offert. Je me suis agenouillé devant son cul. Dans la raie humide, lil coquin de lanus ma semblé frétiller des cils. Dont son centre était entrouvert tant lexcitation de la belle cochonne était forte. Le fumet qui sen exhalait a décuplé mon désir de mâle en rut.
Et que dire, quand elle ma offerte une dance avec son cul. Un roulis lascif sous mes yeux. Je nai pas pu contrarier mon envie dy coller ma bouche dans la vallée culière. Jai dardé ma langue, pour la poser sur le bord du conduit anal, au goût amer. Émilie, affalée sur le bureau, a grogné comme une truie. Sa muqueuse sensible sest ouverte pour laisser passage à ma langue frétillante. Elle sest abandonnée, me chuchotant vicieusement un :
- Toi mon cochon tu sais mettre ta langue où ça fait du bien
je pense que jai trouvé en toi lamant idéal
Par la suite Émilie a été une de mes plus merveilleuses amantes. Mais ce sera, (peut-être) une suite.
Mais sachez-bien que davoir écrit cette partie, ma fait bander. Et il va falloir que je vous abandonne pour remédier à cela ! à bientôt..
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