Souvenirs De Vacances
Je ne crois pas être ce quon appelle généralement un voyeur. Jai vécu longtemps en appartement sans jamais éprouver le besoin dacheter une paire de jumelles ou de passer la soirée sur le balcon à épier le voisinage dans son intimité. Toutefois, il mest arrivé dêtre le témoin assez privilégié dexhibitions assez particulières !
Laissez-moi vous les raconter
Dans le désordre, un matin jallais à pied chercher le pain à la boulangerie, en empruntant la rue la plus directe pour cela. Sur le chemin, désert, mon attention fut attirée par une voix féminine venant de ma droite. Je me retournais. Là, je vis une jeune femme de 22-23 ans vêtue dun tee-shirt descendant à mi-cuisse et dune petite culotte qui ne cachait rien de sa féminité. Assise sur la plus haute marche des escaliers menant à son immeuble elle téléphonait avec un sans fil en gardant ses jambes bien écartées. Par politesse, je me suis arrêté lui dire bonjour. Son entre-jambe était à auteur de mes yeux. Je lui adressais le plus sympathique des sourires en lui disant bonjour. Elle sexcusa alors auprès de son correspondant et me rendis le sourire et le bonjour
Je me rendais compte que ses seins, un 90 C, sans le moindre doute, pointaient sous son tee-shirt ! Je lui montrais le sac à pain, pour lui faire comprendre que je devais partir
Avant je lui adressais un : "peut-être à tout à lheure", auquel, sans jamais croiser ses jambes, elle me répondit par un clin dil et un "peut-être ? ! "
Quelques mois plus tard, début Juillet, je traînais avec des voisines et une de leurs amies, dans la salle des jeunes
Cétait un mois de Juillet, comme souvent par ici, assez chaud. Mais la chaleur de la situation neut rien à voir avec le soleil ! Nous étions assis sur des chaises disposées en carré. Nos discussions nous amenaient à nous tourner de droite et de gauche. Jignore pourquoi, mais mon regard fut attiré par lentre-jambes de M. assise à ma droite.
Celle-ci ne portait quun caleçon en guise de short et un tee-shirt. Or dans sa position, une jambe croisée sur lautre, elle moffrait le spectacle de son minou et de la fine toison de ses 19 ans qui lencadrait. En discutant, je me permis de faire quelques allusions érotiques et je voyais aux seins qui pointaient sous le tee-shirt de M. et à lhumidité qui couvrait son bas ventre quelle commençait à sexciter. Puis, miracle, mes deux voisines eurent soif et décidèrent daller chez elles, chercher des rafraîchissements. On sera de retour dans 30 minutes nous dirent-elles pour ne pas que lon sinquiète. Jen profitais donc pour rapprocher ma chaise de celle de M. Je massis à califourchon sur celle-ci, rapidement imité par M. certainement amusée par la situation. Nos genoux se touchèrent. Jen profitais pour caresser une cuisse parfaitement épilée de M. Celle-ci ne neut aucun mouvement de recul ! Je lui dis alors que je navais jamais vu de femme totalement imberbe ou totalement pilée ? Très vite, elle régit : "mais je ne sis pas imberbe ! " Et moi : "prouves-le". Elle regarda tout autour et me dis : pas ici, quelquun pourrait rentrer
Je lui proposais daller aux sanitaires, dans une autre partie du bâtiment. Sur place elle me proposa de retirer mon tee-shirt afin de pouvoir sassurer que javais moi aussi des poils, sur le torse ou le ventre
Elle tira vers le haut le vêtement, avant de se mettre à rire, "Bon daccord, cest pas la forêt tropicale, mais tu as quelques poils ! ". Je mapprochais delle, saisissant à mon tour son tee-shirt pour le lui retirer. Dessous, elle ne portait aucun soutien-gorge ! Passant la main sur son ventre lisse , je remontais vers ses seins avant demprisonner le gauche dans ma main. Mes massages semblaient faire de leffet ! De lautre main je saisis lautre mamelon que je faisais rouler entre mes doigts
Sa respiration, ses battements de cur allaient en saccélérant
Prétextant que je voulais voir de plus près, japprochais ma bouche du sein droit pour laper le téton bien tendu à grands coups de langue.
Ce qui devait arriver arriva, après une bonne séance dexcitation, elle eut un premier orgasme. Afin déviter que ses cris nattirent lattention, je plaquais ma bouche sur la sienne et notre baiser me sembla durer des heures ! ! ! Nous étions collés lun contre lautre, appuyés sur les lavabos. Sans couper le contact entre nos bouches, je soulevais M. pour que ses fesses reposes sur le bord du lavabo. Celle-ci abandonnée au plaisir laissait ses épaules reposer sur le miroir mural. Je saisis alors le bord de lélastique de son caleçon avant de le faire lentement glisser sur ses cuisses jusquau sol. Plutôt que de serrer les cuisses ou de se relever, M. glissa un peu plus vers larrière et vint emprisonner ma tête entre ses cuisses. Serrant juste assez pour laisser ma tête progresser vers sa toison dorée dont les poils étaient collés aux lèvres par la mouille ! Je lui fis un cunnilingus quelle a apprécié autant que mes premières caresses
Revenue de son second orgasme, M. se redressa et mattira à elle par lélastique de mon short. Une fois celui-ci à terre, elle défit les boutons de mon caleçon et ce qui devait arriver arriva. Alors quelle écartait les pans du sous-vêtement, mon sexe en érection jaillit devant ses yeux. Elle poussa un Oh ! évocateur. Je lui demandais si elle voulait goûter et alors que je terminais ma phrase, mon gland tout entier disparaissait dans sa bouche
Jattendais quelle retire mon sexe de sa bouche dun air dégoûté, quand, au contraire elle accéléra son mouvement. Sa main droite et sa bouche parfaitement coordonnées et les caresses prodiguées sur mes couilles provoquèrent sur moi une érection formidable ! Jallais jouir quand elle se retira. Jétais encore tellement excité quil ma fallu quelques secondes pour réaliser ! Quand je repris mes esprits, elle était debout collée contre moi. Elle déposa un baiser sur mes lèvres avant de me dire : "quest-ce que tattends ? que ça refroidisse ? " A ce moment là, on entendit clairement les voix de mes deux voisines, probablement de retour dans la salle avec les rafraîchissements et qui nous cherchaient
Pour éviter que le moindre bruit ne trahisse notre présence, M.
plaça son index sur ma bouche et de lautre main dirigea vers son bas ventre, mon sexe qui avait quelque peu perdu de sa vigueur ! Juste le temps denfiler un préservatif et je lui soulevais les fesses afin de pouvoir pénétrer dun coup dun seul en elle. Elle poussa un petit cri dans lequel se mêlaient douleur et excitation. A première vue, mes voisines avaient abandonné leurs recherches, ce qui nous permis de donner du son à notre relation ! Pendant quelle montait et descendait le long de ma verge je laissais mes lèvres aller de sa bouche à ses seins, lui soutirant des plaintes chaque fois quelles allaient des unes aux autres
Je sentais la sève monter en moi ! Avant de jouir en elle, je lui dis juste "ça vient". Je la reposais sur le sol quand jeus la surprise de la voir sagenouiller et, écartant ses fesses, me dire "tu as vu, de là nous plus je ne suis pas épilée. Tu peux tapprocher et voir de plus, près, en profondeur même ! " Jacceptais linvitation et présentais mon gland devant son anus dilaté
Il neut aucune difficulté à rentrer. Alors que je saisissais ses tétons entre mes doigts, jallais et venais en elle vers notre bonheur commun ! Je me suis rendu compte tout dun coup que cette coquine était en train de se doigter le minou pendant que moccupait de son derrière et de ses seins ! Je me croyais dans un rêve. Elle était géniale cette fille, géniale et si douce sous mes doigts ! Au bout de quelques minutes qui semblaient être des heures, nous avons joui en même temps.
On se rhabille mutuellement, on rentre chacun chez soi. Devant chez elle, elle donne rendez-vous chez elle le lendemain. Je rentre ensuite chez moi. Le lendemain jarrive chez elle. On monte dans sa chambre et sur le lit, je découvre une poche de rasoirs une paire de ciseau et de la mousse à raser
On sépile mutuellement, puis on fait lamour
Nus dans les sanitaires, il fallait vite nous rhabiller, avant dêtre effectivement surpris ! Mais avant de prétendre, se rhabiller, une petite toilette simposait ! Pour cela, M.
entrepris de me nettoyer la verge, dhabiles coups de langue ! de sa main gauche elle essuyait les poils sur mes bourses alors que la droit décalottait mon gland pour tout nettoyer ! Vous pouvez croire quun tel nettoyage a eu pour effet de provoquer chez moi une autre érection ! M. éclata de rire en me disant ! Cest une bête de concours ta bite, elle nen a jamais assez ! Elle enfila mon caleçon quelle fit remonter le long de mes cuisses Pour samuse elle ne reboutonna celui-ci que de part et dautre de ma tige tendue ! Puis elle remontant le short jusquen haut ! Elle rigolait de voir le vêtement déformé par mon érection ! Puis, je la pris par les hanches pour la placer sur le rebord du lavabo. Une idée me vint à lesprit. Je la transportais de manière à ce que ses fesses soient devant la boule de savon. Elle se retournant puis, un sourire aux lèvres me dit ! Ca pourra pas rentrer
! La maintenant en équilibre el lui tenant les cuisses, je lui déposait une bise sur la bouche. Puis, je fis couler un peu deau sur mes mains, avant de les savonner. Jentrepris alors de lui nettoyer les fesses et lanus proprement. Jessuyais proprement le tout avec quelques feuilles dessuie-mains ! Elle sauta alors du lavabo en disant, voilà, je suis propre ! Et moi, la remontant sur le bord de fonte : pas tout à fait ! Je luis ais alors nettoyé le minou, comme elle venait de faire avec ma verge. Je léchais le jus qui avait coulé sur ses cuisses avant de lécher ses lèvres jusquau clitoris ! Elle laissa ses mollets reposer sur mon dos pendant que de la main droite, je maintenais sa position en enfermant son sein ! Son orgasme ne tarda pas à venir ! Une fois ses esprits retrouvés, je laidais à descendre du bord du lavabo. Puis, je remontais son caleçon si haut, quil pénétra dans sa fente encore un peu humide. Elle éclata de rire et membrassa tendrement. Puis, nous décidons de rentrer enfin. Quelle heure pouvait-il être ! Nous marchions cote à cote et tout, dun coup sa main, vint se placer sur mes fesses, son majeur cherchant mon entrée secrète ! Jen fis de même avec ses fesses avec lavantage, comme elle ne portait quun caleçon de trouver le chemin plus vite ! Cest la première fois que je doigtais une fille marchant à mes cotés. Elle semblait aimer ça ! Ses seins pointaient toujours dans son tee-shirt. Nous nous sommes vite retrouvés devant chez ses amies. Là, après sêtre assurée que personne ne nous verrait, elle membrassa sur la bouche. Elle mexpliqua ensuite, que le lendemain, elle serait seule laprès-midi. Elle me proposa alors de la retrouver devant le portail à 14 H 00. Un rendez-vous que je ne devais pas manquer ! Elle aurait alors une surprise pour moi !
Cette après-midi là fera peut-être lobjet dun prochain témoignage. Bon appétit à vous
Ce que je peux vous dire cest que personne M. comme moi nest près à loublier
admin
Jan. 31, 2023
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