Nouvelle Expérience
Il y a quelques mois je vous avais raconté notre première expérience de triolisme avec notre ami Bernard. Depuis cette expérience, il nous arrivait Marie-Laure et moi de regarder le film de cette soirée mémorable. A chaque fois, nous finissions par faire lamour dans un état dexcitation terrible. Aussi, lorsque Bernard occasionnellement sur Paris, nous téléphona pour nous proposer une sortie au restaurant jacceptais cette invitation pour le lendemain sans hésitation. Le soir venu je lannonçais triomphalement à ma femme qui tempéra immédiatement mon enthousiasme me déclarant ne pas souhaiter renouveler cette expérience. Je téléphonais donc à Bernard pour annuler notre rencontre. Bernard, nous indiqua alors être très déçus car il ne devait par revenir avant plusieurs mois sur Paris et aurait aimé nous revoir en tout bien tout honneur. Devant son insistance, Marie-Laure fini pas céder non sans mavertir quelle ne comptait pas accepter les dérapages de notre dernière rencontre.
Le lendemain, nous nous préparions donc à aller chercher Bernard à son domicile pour ensuite aller ensemble dîner dans un bon restaurant de la capitale.
Comme à son habitude Marie-Laure apporta un soin tout particulier à sa tenue, élégante et sexy. Un chemisier de soie bleu de la couleur de ses yeux sous un tailleur léger blanc bas, chaussures à hauts talons et sac assortis. Ses cheveux blonds en cascade faisait de mon épouse une femme de 45 ans sexy et inaccessible à la fois. Marie-Laure ne portant que très rarement un soutien-gorge, je devinais ses seins nus lourds et fermes à la fois danser sous la soie. Pour ma part javais opté pour un costume bleu ciel en alpaga léger.
Nous voici donc en route pour cette soirée, Marie-Laure semblait un peu crispée et tout en roulant, je la rassurais sur cette soirée qui navait pour but que de partager un bon repas.
Arrivés chez Bernard nous sonnons à sa porte, il nous ouvre alors tout sourire fait la bise à Marie-Laure, me sert la main puis nous invite à entrer dans son salon.
Là à notre surprise nous constatons quune table est dressée avec cinq couverts. Bernard nous explique alors que son frère et un ami doivent nous rejoindre et que si cela ne nous dérange pas ne sachant pas à quelle heure ils doivent arriver, il a fait livrer un repas froid par un traiteur. Nous sommes bien évidemment très déçus mais ne pouvons alors quaccepter. Bernard nous propose alors douvrir une bouteille de champagne à nos retrouvailles. Nous trinquons donc et parlons de choses et dautres. Mon épouse voyant que Bernard ne fait aucune allusion à notre précédente soirée commence à se détendre et à partager notre discussion. Deux heures et trois bouteilles de champagne plus tard nous entendons enfin la sonnette sonner. Deux hommes entrent alors Alain le Frère de Bernard et Félix son camarade. Alain est un homme de 40 ans petit et relativement gros environ 100 kg pour 1,70 mètres, Félix est un camerounais de 35 ans assez grand environ 1,80 et sportif. Alain nous demande dexcuser leur retard et nous explique que lui et Félix qui sont collègue dans une grande entreprise en province sont actuellement en stage informatique de lautre côté de la banlieue parisienne. Bernard propose alors douvrir une dernière bouteille de champagne puis de passer à table. Il était temps car lalcool commençait à nous tourner la tête. Pendant, tout le repas chacun essaya danimer les discussions et les plaisanteries. Lalcool le repas se termina dans la bonne humeur. Bernard nous proposa de passer au salon, mis de la musique et nous proposa un digestif. Alain et Félix prirent place dans les fauteuils Bernard, Marie-Laure et moi dans le canapé. Il faut avouer que nous étions tous bien chauds et tout naturellement la discussion sorienta vers le sexe. Dabord des plaisanteries puis Bernard tout naturellement déclara que ma femme suçait à merveille tout en posant sa main gauche sur sa cuisse dans une attitude possessive. Il y eut un blanc dans la conversation. Marie-Laure me regarda, affolée et rougissante, Alain et Félix regardaient tour à tour Bernard, mon épouse et moi-même quant à moi je regardais tout le monde.
Seul Bernard semblait trouver tout cela naturel. Afin, de détendre latmosphère jéclatais de rire et confirmais les qualités buccales de ma femme. Marie-Laure rougit encore plus et protesta tout en essayant de retirer la main de Bernard de sa cuisse. Je me penchais lui murmurais de se laisser faire puis lui glissais ma langue dans loreille. Je sais quelle adore cette caresse. Je pris alors sa main qui essayait de se défaire de lemprise de Bernard et délicatement, mais fermement la déposais sur mon sex. Alain et Félix ne disaient plus rien et nous regardaient fixement. Bernard avait profité de la libération de sa main pour remonter la jupe de Marie-Laure dévoilant une grande partie de ses cuisses, la lisière de ses bas et une partie du porte-jarretelles. Je prie alors le visage de Marie-Laure dans mes mains et lembrassais tendrement. Des larmes coulaient sur ses joues. Je les léchais et doucement je lui demandais si elle voulait que lon parte. Elle me regarda et me dit seulement « tu veux que je reste ». A mon regard elle compris mon choix. Elle me dit alors « Que vas-tu penser de moi
après ». Mes seuls mots furent alors « que lon saime ». Marie-Laure membrassa à son tour avec tendresse, puis posa sa tête dans le creux de mon épaule et ferma les yeux. Bernard avait suivi notre conversation et suspendu sa progression se contentant de caresser la bande de chair au-dessus de la lisère des bas de ma femme. De ma main gauche, je déboutonnais alors la veste de Marie-Laure et aidé de Bernard en débarrassais Marie-Laure. A travers son chemiser blanc, les auréoles de ses seins se dessinaient au milieu desquels pointaient ses mamelons. Alain et Félix ne parlaient plus, ne bougeaient plus mais nen perdaient pas une miette vu létat de leur pantalon. Je défis alors un à un les boutons du chemisier, puis écartant chaque pan je libérais les seins de mon épouse. Bernard les soupesa délicatement, puis les caressa pour finir par les sucer. Je libérais alors mon sexe et posais délicatement la main gauche de Marie-Laure dessus.
Les yeux toujours fermés elle commença à me caresser. Je fis alors signe à Alain et Félix de nous rejoindre. Il se levèrent et déplacèrent la table basse. Je redressais alors Marie-Laure sur le canapé. Bernard se libéra à son tour et déposa à son tour la main droite de Marie-Laure sur son sexe. Ma femme était merveilleusement belle ainsi la tête posée sur le dossier du canapé les yeux fermés, le chemisier ouvert, les seins caressés par Bernard et moi-même, la jupe relevée à la lisière de son string les jambes légèrement écartées. Je regrettais alors de navoir emporté mon appareil photos tans jaurais aimé immortaliser ce moment. Alain et Félix navaient pas perdu leur temps et ils arrivèrent nus comme des vers. Je fus impressionné par le sexe de Félix, qui faisait honneur à la réputation de sa race. Javoue que jétais heureux que Marie-Laure reste les yeux fermés. Alain sattaqua alors aux boutons de la jupe et tira dessus. Marie-Laure se souleva pour laider à la faire glisser le long de ses jambes. Bernard et moi de notre côté la débarrassions de son chemisier. Marie-Laure était alors juste vêtue de ses escarpins, ses bas son porte-jarretelles et son string blancs. Alain lui ôta immédiatement ce dernier rempart. Là nous sommes restés tous les quatre à la regarder nue. Sa petite chatte blonde semblait nous sourire. Alain écarta alors les cuisses de Marie-Laure quil déposa sur chacune de ses épaules offrant à nous tous une vue imprenable sur son trésor. Puis, il plongea sa langue au plus profond de son intimité. On ne voyait plus que le corps dAlain dont les amas de graisse étaient entourés des deux jambes fluettes de Marie-Laure. Toutefois, sa langue devait être plus agile que le reste de son anatomie car jentendais le souffle de mon épouse déjà saccélérer. Des yeux, Félix me demanda lautorisation dapprocher. Je lui fis signe quil pouvait. Alors, il « escalada » le canapé et le sexe à la main lapprocha de la bouche de Marie-Laure. Jétais fasciné et regardais cette bite sapprocher délicatement des lèvres de mon épouse.
Lorsquelle toucha la bouche Marie-Laure ouvrit les yeux et eu un geste de recule. Félix posa gentiment sa main derrière la tête de Marie-Laure et rapprocha ses lèvres de son sexe. Les yeux de Marie-Laure allaient de ce sexe de belle taille noir à mes yeux. Je souriais et regardais cette lente progression. Puis le gland vint au contact des lèvres. Félix continua à faire pression sur la nuque de ma femme. Je vis ses lèvres alors sentrouvrir et inexorablement cette bite noire ébène senfoncer dans la bouche de Marie-Laure. Cétait dun érotisme fou. Félix abandonna la nuque de Marie-Laure pour lui caresser les seins que Bernard et moi avions abandonnés tout à notre contemplation. Marie-Laure délassa aussi nos bites pour attr celle de Félix et commença un lent mouvement de va et vient. Cétait merveilleux de voir cette bite noire glisser entre les lèvres de Marie-Laure qui maintenant lengloutissait presque aux trois quarts pour ressortir mouillée de salive puis replonger. De temps à autre je voyais alors la langue de ma femme danser sur le gland de Félix, pour descendre le long de sa colonne de chaire et venir aspirer ses couilles pour reprendre le chemin inverse et engloutir à nouveau cette énorme bite. Jentendis alors Félix déclarer tout haut « cest vrai cette salope quelle suce bien ». Cette déclaration me choqua pour le qualificatif employé devant mes « amis », mais mexcita alors au plus haut point. Ma femme aussi semblait avoir entendu et au lieu de soffusquer, ferma à nouveau les yeux et redoubla dardeur. Alain de son côté continuait à brouter le minou de Marie-Laure. Peu de temps après Marie-Laure se crispa, délaissa la bite de Félix et eu un formidable orgasme. Elle ouvrit les yeux et se pencha pour membrasser. Je demandais alors à Marie-Laure de sagenouiller devant moi et de ma sucer. Elle glissa le long de mes cuisses et se positionna entre elles. Elle maida à me libérer complètement et me commença à me sucer. Sa langue allait de mon gland, à mes couilles essayant parfois de me pénétrer. Sa main vint me caresser les fesses. Bientôt elle glissa un doigt puis deux au fond de mon anus. Les trois autres nous regardaient, puis Alain sapprocha le sexe couvert à la main. Il semblait si petit sous cet énorme ventre quil disparue de ma vue lorsquil se mit à genoux derrière Marie-Laure et lapprocha de sa chatte. Je de doutais quil venait de la pénétrer car ma femme eue un moment dhésitation avant de reprendre sa pipe. Alain allait et venait dans ma femme, son ventre posé sur ses petites fesses. Très rapidement, il haleta puis se retira, ôta sa capote et jouit sur les fesses de Marie-Laure. Bernard sapprocha à son tout et embrocha Marie-Laure dune seule poussée. Marie-Laure arrêta à nouveau de me sucer, me regarda et crispa ses mains sur mes cuisses. Bernard sortait sa bite presque entièrement de Marie-Laure pour la faire pénétrer encore plus profond. A chaque pénétration mon épouse ouvrait la bouche mais ne laissait échapper aucun son. Bernard, approcha sa main droite de sa bouche, me regarda, lécha un de ses doigts et le présenta devant lanus de Marie-Laure. Je vis son doigt toucher lanus de ma chérie puis tout naturellement le pénétrer. Marie-Laure essaya de se soustraire, mais Bernard len empêcha. De mon côté jappuyais doucement sur sa tête pour lui faire comprendre de reprendre sa fellation. Marie-Laure, repris donc ma bite dans sa bouche et avalais mon sexe en entier à chaque pénétration de Bernard. Marie-Laure nessayant plus de se soustraire cest un second, puis un troisième doigt qui senfoncèrent dans son anus. Marie-Laure eue alors un second orgasme. Je jouis à mon tour dans sa bouche et ma femme avala lensemble de ma semence qui pourtant était abondante. Bernard ne tarda pas non plus a extraire sa bite de la chatte de Marie-Laure et de sa capote pour à son tour éjaculer de longs jets sur le dos de mon épouse allant jusquà se répandre sur ses longs cheveux blonds. Bientôt Félix se présenta à son tour et avec toujours la même délicatesse présenta son sexe à lentrée plus si secrète que ça de ma femme. Je demandais à Félix dattendre et me dégageais de mon épouse afin de pouvoir contempler cette pénétration. Alain se proposa de prendre ma place. Alain était donc assis sur le canapé son ventre posé sur ses cuisses. Il demanda à Marie-Laure de sapprocher. Je vis alors mon épouse extraire le sexe dAlain de sous son ventre et commencer à le caresser pour lui redonner vie avant de commencer à le sucer. Ma femme était à genoux en train de sucer Alain et Bernard, lui caressaient les seins qui pendaient sous elle. Félix releva les fesses de Marie-Laure, puis lui écarta bien les cuisses libérant sa vulve qui luisait de mouille. Je vis son gland sapprocher des lèvres intimes de ma femme, celles-ci sécartèrent pour lavaler puis la colonne de chair noire tout entière pénétra Marie-Laure. Je manquais de jouir à cette vue. Les fesses blanches de Marie-Laure venaient maintenant au contact de ce ventre noir. Lorsque Félix se retirait, je voyais les poils blonds de la chatte de Marie-Laure se détacher des poils noirs de Félix, puis le gland apparaître pour replonger au plus profond de la caverne humide de mon épouse. Marie-Laure gémissait sans discontinuer tout en continuant de sucer Alain. Après quelques minutes et alors quune nouvelle fois son gland ressortait de la vulve de Marie-Laure, Félix le redressa légèrement et le présenta devant lanus de Marie-Laure et avant que mon épouse nait eu le temps de réaliser son gland avait déjà complètement pénétré. Marie-Laure poussa un petit cri, mais déjà Félix continuait sa pénétration. Ma femme ne bougeait plus, la bouche ouverte elle semblait comme moi suivre la lente pénétration de la bite de Félix au fond de ses entrailles. Puis la bite noire tout entière fut engloutie entre les fesses blanches de Marie-Laure. Félix ne bougeait plus il se contenta de lui démander « ma salope tu aime que je téclate ton cul serré » Marie-Laure ne répondant pas il crut bon de renouveler sa demande « tu aimes te faire enculer, salope », jallais intervenir quand jentendis dans un souffle ma femme lui répondre « oui, cest bon, mais va doucement » . Bernard en profita pour se glisser sous mon épouse et pesant sur ses reins parvint à la pénétrer et à son tour il lui lança « et une bite dans ta chatte de cochonne tu aimes ? » et ma femme lui répondit aussi « oui, baisez-moi à fond ». Jétais sidéré, jamais je naurais pensé entendre mon épouse employer ces termes en dehors de notre intimité
. Mais nen faisaient-ils pas parti maintenant ?. Cest Bernard qui donna le top de départ et bientôt je vis le corps de Marie-Laure recommencer à bouger de plus en plus vite rythmé par les mouvements de Bernard. La bite dAlain dans la bouche, celle de Bernard dans la chatte et celle de Félix dans le cul Marie-Laure eu un dernier et énorme orgasme qui dura plusieurs minutes. Félix se retira et demanda à Marie-Laure de sallonger sur le dos. Ce quelle fit. Félix se mis sur elle les jambes de chaque côté de ses hanches, puis il présenta son sexe entre les seins de Marie-Laure. Mon épouse pris la bite de Félix entre ses seins et ce dernier continua à la baiser ainsi. A chaque aller, la bite de Félix pénétrait la bouche de Marie-Laure et je lentendais lui dire « vas-y salope branles-moi bien que je tasperge ». Bernard, Alain et moi étions à nouveau très exités et nous avons alors entouré le visage de ma femme et commencé à nous branler en la traitant à notre tour de salope. Marie-Laure après mavoir jeté un dernier regard, sourit et ferma à nouveau les yeux. Cest Alain que le premier jouit. Son sperme vint se poser sur la joue droite et les cheveux de ma femme. Félix vint en second, de longs jets blancs sécrasèrent sur le front, le nez, les yeux, la bouche et les seins de mon épouse. A mon tour, je me déversais sur le front et le visage de ma chère et tendre. Bernard ferma la marche en inondant le côté gauche joue, et cou. Je regardais ainsi le visage de mon amour dégoulinant de sperme, elle était belle. Mes mains vinrent à sa rencontre et jétalais sur tout son visage et ses seins notre semence. Félix se dégagea, je relevais Marie-Laure, la pris dans mes bras et lemmenais dans la salle de bain. Là, je fis couler une douche et nous nous sommes nettoyés mutuellement sans un mot entre deux baisers. Bernard nous apporta nos affaires. Après nous être rhabillés, nous avons pris congés de nos amis. Dans la voiture jai encore embrassé Marie-Laure, je lui ai dis que je laimais et je lai remercié pour cette soirée. Elle ma alors embrassé et ma simplement dit « merci, jai jouis comme jamais, je taime ».
admin
Jan. 31, 2023
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