Le Journal - 1Ère Partie
Voici la suite du récit "Le stagiaire de ma femme". Nous en étions restés sur la question "accepter ou partir ?". Je dis bien accepter et non pas rester car pour pouvoir rester il fallait avant tout accepter ce qui s'était passé entre Lindsay et son dernier stagiaire. Accepter que Lindsay se soit offerte, les cuisses écartées qui suppliaient son jeune amant de jouer avec elle comme avec une marionnette. Accepter qu'en retour Lindsay ait fait de sa bouche le récipent privilégié du sperme du jeune Johan. Bouche qui m'embrassait le soir en rentrant comme si de rien était.
Et puis il y a eu cette dernière semaine de stage où je savais que les deux amants ne perdaient pas une occasion de pratiquer leurs petits jeux. Je ne pouvais pas m'empêcher de me dire qu'elle était peut être agenouillée devant lui en train de le branler énergiquement pour qu'il arrose ses seins de son foutre ou qu'elle restait bouche béante pour recueillir chaque jet et se délecter de son sperme alors même qu'elle ne l'a jamais fait dans nos relations.
Les semaines sont passées, Lindsay n'en a plus jamais parlé et moi non plus. Non pas que j'avais réellement accepté la chose, mais je crois plutôt par lacheté et par peur que ce soit elle qui me quitte.
Nous avons repris un semblant de vie normale, même sexuellement, nous avons eu des relations "classiques". Ce que je veux dire par là c'est que nous faisions l'amour de manière plutôt caline et pas du tout de manière bestiale. J'avais essayé de pimenter un peu nos ébats et Lindsay m'avait rapidement fait comprendre qu'elle ne voulait pas cela de moi. Elle voulait de la tendresse.
Alors je crois que petit à petit, j'ai accepté ou peut être un peu oublié. Je me suis résigné en me disant que probablement beaucoup de couples traversent des situations de doute. Je me suis même convaincu que surmonter cela permettait de renforcer notre couple. Oui car en dépit de ce qu'avait fait Lindsay, elle avait eu l'honnêté de tout m'avouer, certes un peu e, mais elle m'avait aussi préserver une certaine exclusivité en refusant que Johan la prenne.
J'étais donc convaincu que cette histoire avec ce jeune stagiaire était un malheureux concours de circonstances et que Lindsay avait été elle aussi en quelques sortes victime de ces circonstances et de la petite routine qui s'installe inévitablement dans un couple après plus d'une décennie de vie commune.
Ce n'est qu'environ un an plus tard que j'ai compris que tout cela n'était pas si simple. J'avais pris une semaine de congé alors que Lindsay n'avait pas pu se le permettre. Nous étions mi octobre. Pour faire plaisir à Lindsay, je décidais de lui faire une surprise en me décidant enfin à refaire le dressing, qui n'était vraiment pas pratique et mal agencé d'après Lindsay. Le dressing n'avait pas réellement était agencé, nous y avions en fait mis des meubles les uns à côté des autres de manière plus ou moins harmonieuse. Mais bon nous avions fait avec nos moyens de l'époque. J'avais donc décider de faire réaliser un dressing sur mesure sans le dire à Lindsay.
Nous étions lundi, je me levais de bonne heure car le transporteur aller livrer le nouveau dressing dans l'après-midi. J'avais profité de ce jour car Lindsay ne rentrerait que le soir après la fin de sa tournée. Elle m'avait prévenu qu'elle mangerait avec sa collègue à midi pour faire le point sur leur travail et leur planning.
Je devais donc me dépêcher de débarrasser les différents meubles du dressing pour laisser la place aux nouveaux.
Cela faisait une heure environ que j'avais commencé le démontage quand j'arrivais sur le 3ème meuble. Au fond d'un tiroir sous les habits de Lindsay, je tombai sur un cahier. Tiens un cahier, au fond du tiroir... ?
Je l'ouvris et compris de suite à la lecture de la première ligne de quoi il s'agissait : "Cher journal...". Lindsay tenait un journal intime et je ne le savais pas. Je le refermais immédiatement. Car si Lindsay tenait un journal intime et ne me l'avait pas dit, ce n'était pas pour que je viole cette intimité. En même temps le traumatisme de ses aventures un an plus tôt ne mit pas longtemps à refaire surface.
Le journal.
Je vais vous retranscrire ici le contenu de ce que j'ai lu. Je dois vous dire que je n'ai pas tout lu, j'ai parcouru le cahier très fourni et me suis arrêté sur les passages où un mot avait attisé de mon envie de le remettre dans son contexte. J'y ai découvert des faits que j'aurais préféré ignorer tant ils allaient m'obliger à réagir.
"Cher journal,
je ne sais pas trop par où commencer, j'ai lu sur des forums que tenir un journal intime pouvait aider les personnes tourmentées et le moins que l'on puisse dire c'est que je suis tourmentée.
J'ai eu une aventure il y a quelques mois avec mon stagiaire. Je n'ai pas vraiment trompé mon mari car nous n'avons pas couché ensemble mais nous avons quand même eu des relations sexuelles. Nous avons recommencé de nombreuses fois tant j'étais incapable de résister à ces pulsions.
Je ne sais pas trop comment les expliquer mais je n'étais plus la même quand il était là. Je ne pensais qu'à son sexe, j'avais envie de le voir se raidir pour me confirmer qu'il avait envie que je m'occupe de lui. Je priais pour qu'il s'occupe de moi et qu'il fasse pénétrer ses doigts agiles dans mon intimité, je me cambrais, jambes écartées lui offrant ma vulve sans aucune pudeur. Chaque fois qu'il stimulait habilement mon petit clito avec sa langue d'une efficacité redoutable, qu'il fouillait habilement ma petite chatte avec son nez tout en y insérant toujours plus de doigts au fur et à mesure que mon excitation le permettait. Je n'avais jamais ressenti cela auparavant, j'étais sa chose. Avec mon mari, nous faisons l'amour et c'est plutôt plaisant, beaucoup de tendresse et même de sensualité mais cela reste toujours très sage. Et d'ailleurs, je n'oserais et ne voudrais jamais me comporter comme cela avec lui. Je veux être son épouse, sa femme. Avec Djo, j'avais envie d'être sa chienne.
Le stage s'est terminé et Djo est reparti chez lui. Cela a mis fin à tout cela et mon mari a réussi à me pardonner. Je pense que ça a été très difficile pour lui d'accepter cela. Je sais que je n'aurais jamais pu accepter qu'il fasse une chose pareille."
J'étais un peu remué de faire remonter tout cela à la surface mais je n'apprenais rien de vraiment nouveau. Je faisais défiler très rapidement les pages avec l'intention de fermer le cahier tout en me disant qu'elle devait être mal elle aussi et que toutes ces pages écrites reflètaient sa culpabilité. Mon oeil se porta sur un mot qui m'attira l'attention, ce mot c'était "Arnaud".
Ma curiosité fut plus forte et je décidai finalement de reprendre la lecture. La suite allait me faire prendre conscience de la réalité de ma situation.
Je reprenais au début du "chapitre" dans lequel j'avais lu ce fameux mot.
La soirée de l'Ordre.
"Cher journal,
Hier soir nous avons assisté à la soirée de l'Ordre (1) qui organisait un évènement avec un cocktail dinatoire au cours duquel un intervenant nous a présenté les modifications de notre système de retraite et les actions à mettre en place. Ce n'était pas très pationnant mais c'est l'occasion comme à chacune de ces soirées de se retrouver entre collègues. La soirée avait lieu à environ 45 minutes du cabinet. Mélanie mon associée au cabinet nous y a conduit avec sa voiture. Nous étions tous les quatres : Nadia, ma remplaçante, Arnaud, le remplaçant de Mèl et moi même donc.
La soirée a été très agréable, nous avons grignoté au buffet et bu quelques verres de vin. Vers minuit, j'ai demandé à Mèl de partir car j'étais fatiguée (j'avais travaillé toute la journée). Mèl m'a répondu "Oui tu as raison, en plus demain c'est moi qui me lève tôt".
C'est ainsi que nous avons pris place à nouveau dans la voiture direction le cabinet.
Arnaud est le remplaçant de Mèl depuis 2 ans. Il a 28 ans et c'est un gros nounours d'environ 1,85 m et avec un certain embonpoint. Nous nous moquons gentillement de lui avec Nadia et Mèl, il est plutôt timide et depuis qu'il est au cabinet nous ne l'avons jamais vu avec une fille. On plaisante entre nous en se disant qu'il est peut être toujours puceau.
Au bout d'une dizaine de minutes, je sens la fatigue m'envahir. Je m'allonge un peu sur le côté et pose ma tête sur les jambes d'Arnaud. Si Mèl n'avait pas mis la musique aussi forte je crois que je me serais endormie directement. Au bout de quelques minutes, je suis surprise, il me semble sentir quelque chose de dur à l'arrière de mon crâne. J'ai les yeux écarquillés et un sentiment de gêne m'envahit. Je crois qu'Arnaud est en train de bander et si j'enlève ma tête il sera terriblement géné à son tour car il comprendra que je m'en suis aperçue. Je ne bouge pas trop mais cela m'a coupé le sommeil. Et je sens petit à petit de vieux démons m'envahir. Je sens ma culotte s'humidifier de plus en plus et je commence à être obsédée par la réprésentation de son sexe en érection.
Discrètement, je recule ma tête pour m'appuyer plus franchement sur son sexe. Mes doutes sont confirmés et Arnaud essaie tant bien que mal de s'enfoncer dans la banquette arrière pour dissimuler son érection. Pendant ce temps là l'excitation a pris possession de moi, je suis trempée. Je passe ma main sous ma joue, sur la cuisse d'Arnaud. Je meurs d'envie d'attr son sexe à pleines mains. Malgré tous ses efforts, je sens qu'Arnaud bande toujours plus contre l'arrière de ma tête. A la faveur d'un ralentisseur un peu brutal, je glisse ma main contre son entrejambe. Ma main se retrouve bien appuyée contre sa queue bien dure. Je commence à le masser de manière appuyée pour qu'il comprenne immédiatement que ma main ne s'est pas retrouvée là de manière accidentelle mais que cela est bien intentionnel. Au bout de quelques secondes, il semble apprécier mon "massage", il se détend et rebascule un peu son bassin vers l'avant pour m'offrir le maximum de prise possible.
Notre petit jeu a duré encore une dizaine de minutes puis nous sommes arrivés au cabinet. Nadia et Mèl travaillaient toutes les deux le lendemain et n'ont pas demandé leur reste. J'ai alors demandé à Arnaud s'il pouvait attendre le temps que je récupère ma malette dans le cabinet car j'avais un peu peur de me retrouver seule dans cette nuit noire. Arnaud accepte tout naturellement et m'accompagnie récupérer ma malette. J'ouvre le cabinet et Arnaud entre. J'allume et prends ma sacoche. Je me m'apprête à sortir. Arnaud attend devant la porte et je remarque de suite que sa bosse est toujours bien présente.
Ces pulsions que je pensais appartenir au passé me reprennent. Je sens monter en moi une envie de sexe tellement forte que je sais que je ne vais pas pouvoir la retenir. Je m'approche d'Arnaud et plaque ma main sur son sexe. Il bande. Je m'agenouille immédiatement et entreprends de déboutonner son jean. J'y arrive assez facilement. Je baisse son caleçon et sa queue bien raide jaillit devant mon visage. Je l'att à pleine main et l'engloutit directement dans ma bouche qui ne pouvait plus retenir cette furieuse envie se sentir son membre tendu au maximum venir la garnir. Je prends ses testicules dans mon autre main pour commencer à les malaxer délicatement. Arnaud n'est pas aussi bien pourvu que ne l'était Johan mais sa queue est assez épaisse. Tout est à l'état "naturel", une grosse touffe de poils surplombe son pubis et enveloppe ses grosses testicules que je prend plaisir à soupeser d'une main puis de l'autre.
Cela fait à peine 2 ou 3 minutes que je m'applique sur son érection que je sens Arnaud mettre une main sur mon front et pousser un peu comme s'il voulait que je m'enlève. Je ne veux pas encore me séparer de mon jouet, je résiste.
Arnaud balbutie quelques mots "Lindsay, je vais... enfin tu vois... je..."
Arnaud va jouir. Il n'ose pas gicler dans ma bouche. Mais je ne compte pas laisser passer ma récompense. Je repousse fermement sa main et reprends à la branler en redoublant de vigueur. Je prends soin de me tenir bien en face de son gland pour ne pas risquer de perdre une goutte du précieux liquide. Il ne faut pas 30 secondes pour qu'un premier jet vienne arroser le coin de mes lèvres. Je le reprends en bouche pour finir de bien le sucer et le vider jusqu'à la dernière goutte. Arnaud est pris de petits spasmes et quelques petits râles accompagnent chacun des jets qui viennent s'écraser contre mon palais. J'ai sucé cette queue avec tant de gourmandise que je ne me suis arrêtée seulement en m'apercevant qu'elle commençait à être bien ramollie.
Arnaud a remonté son caleçon et reboutonner rapidement son jean puis nous sommes partis sans dire un mot.
Je suis rentrée en ayant honte car ce que je pensais être un accident il y a quelques mois venait de se reproduire. Je venais à nouveau de céder à une pulsion sexuelle qui m'avait fait perdre le contrôle. Cela était d'autant plus génant que cela venait se produire avec mon collègue que j'allais être amenée à croiser encore et encore.
Arrivée à la maison, j'ai filé à la douche et me suis glissée discrètement dans le lit.
Mon mari a grommelé "Ta soirée s'est bien passée ?"
"Oui ça a été, bonne nuit mon amour".
J'ai eu du mal à trouver le sommeil, envahie par la culpabilité d'avoir à nouveau céder à ces pulsions indignes.
Cher journal, je me suis jurée de ne plus JAMAIS laisser mes instincts les plus basiques avoir le dessus sur ma volonté. Je ne veux plus me retrouver à être en transe, incapable de me contrôler. J'ai honte et je vais devoir affronter cela à chaque fois que je croiserai Arnaud. Comme se pourrait-il qu'il continue à me voir sans avoir envie que je recommence à m'occuper de sa queue comme une vulgaire femme facile ? Il en voudra certainement même encore plus.
Je dois vite oublier cet incident et reprendre ma vie d'avant en faisant comprendre à Arnaud que c'était une regrettable erreur. "
Je suis abasourdi. Elle avait recommencé. Et le pire c'est que son récit me faisait comprendre que quoi qu'elle se soit jurée, il était fort probable que ses "démons" la surprennent à nouveau. Je n'allais pas tarder à en avoir la confirmation dans la suite de mes lectures. Et peut être même plus que ce je ne l'avais imaginé.
(1) L'ordre en question est l'ordre infirmier.
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