Sylvianne
Il y a une dizaine dannées jai connu une femme qui a nourri mes fantasmes et orienté ma libido vers une certaine forme de fétichisme.
Nous nous complétions à merveille et avons savouré ensemble des moments vertigineusement torrides et dune sensualité exacerbée.
La vie étant ce quelle est les joies du sexe nont pas suffit à nous unir plus que cela et nous nous sommes aujourd hui perdu de vue.
Et pourtant ma chère Sylvianne il ne se passe pas un jour sans que je pense à ces instants délicieux et alors les conséquences sont immédiates comme avec la « Fernande » de Brassens je bande
je bande.
Mais laissez moi me présenter je suis un « encore »bel homme sportif , branché par tout ce qui est authentique et proche de la nature un ancien « baba cool « de 50 balais plutot serein qui vibre tjrs sur le sex drug et rocknroll sauf que jai viré la drogue sans perte ni fracas.
Jai rencontré Sylvianne à un stage de voile à lucpa..
Elle était grande, blonde, des yeux verts insolents magnifiques et il se dégageait de sa personne une telle aura de féminité que les fantasmes les plus osées surgissait rien quen la regardant
Je la trouvais irrésistible et son cul potelé, sa bouche aux lèvres charnues sa démarche me fascinait
Bref je ne pensais plus qua elle je bandais pour elle et je me branlais chaque soir en imaginant les scénarios les plus hards
Jétais venu avec des potes et je nétais pas le seul à lavoir remarquée
Les commentaires de mecs allait bon train et nous étions tous daccord là-dessus ce devait etre une sacrée salope si ça se trouve hein tu crois pas ?
La suite nous prouva que nous étions bien en dessous de ce que nous imaginions
En fait au départ elle nous allumait très habilement lair de rien et chacun de nous y a eu droit
Des allusions sexuelles aux regards soutenus a des endroits bien précis ou des caresses à peine ébauchés mais néanmoins volontaires
Nous sentions que tout était possible et quelle prenait son temps pour choisir sa proie
Nous nétions plus que trois en lice tous potes mais sur les dents et prêt a en découdre
Cette femelle nous avait retournés les sangs et les sens
Finalement cest à moi que la chance a souri par un heureux concours de circonstance et par le fait que jétais le seul a être venu en voiture plus précisément en camping car
Sylvianne devant se rendre à une convocation de la gendarmerie pour une affaire de papiers volés et finalement retrouvés assez loin du centre du stage
Ce matin là donc alors que nous étions en train de préparer nos dériveurs pour une sortie à la journée je lai vu arriver lair préoccupé habillé en tenue de ville je la détaillais lil en coin la trouvant décidément encore plus bandante avec sa mini en jean et son bustier blanc qui découvrait son adorable nombril et moulait ses seins menus mais fièrement dressé
Elle chercha des yeux un moment et quand son regard tomba sur moi son visage sillumina et elle savança jusqu'à moi dun air résolu jétais sous le charme et quand elle mapostropha jétais sur un nuage
« dis moi Fabrice je suis un peu gênée de te demander cela mais voila je dois me rendre rapidos à S
.
humm ces yeux hummm cette bouche
bon tu voudrais que je te conduise cest ça ?
tu ferais ça pour moi ? dis tu le ferai ?
pour sur que je taccompagne
ouais trop cool je te revaudrai ça
à ma façon
moue mutine et regard malicieux pénétrant pleins de promesses
a ce moment mon cur semballe trop démotions dun coup et
Révolution dans mon slip
Les autres me regardent avec envie mais nous leur avons déjà tourné le dos
plus rien nexiste que lopportunité dassouvir mes plus bas instincts lespoir fou de posséder cette femme sublime
mais pour linstant elle grimpe dans mon camping car et nous voila parti comme pour un week- end damoureux
je suis un peu intimidé et les pensées se bouscule dans ma tête
Sylvianne est au contraire enjouée je la sens lascive et cest elle qui mène le jeu en sabandonnant à la magie de linstant
tout en parlant de choses légères
« on est bien dans ton camion tu y entraîne souvent des filles comme moi sans défense ? » me demande telle en souriant
et en matant le lit juste derrière qui parait être la très a propos
« alors comme ça tu me prend pour le grand méchant loup ? celui qui va te manger ? »
mais jai envie dêtre mangée
ça tombe bien car jai sacrément faim de toi ma belle
A ce stade de nos échange verbaux je me mets en devoir de trouver un endroit tranquille mais ce nest guère facile la route ne sy prête pas
Soudainement la belle se rapproche de moi jusqu'à venir poser sa tête sur mon épaule
Sa main sest posé naturellement sur ma cuisse et son parfum de femme mennîvre
Je bande comme un cerf et suis bien à létroit dans ce jean à la con
Cest vrai je te plais ? me demande telle dune voix sourde tout en caressant ma cuisse
Elle maffole cette main qui se rapproche de plus en plus de lénorme bosse quelle fixe a présent en respirant plus rapidement
Cette main aux ongles taillées avec soin quelle a vernies rouge carmin « suprême raffinement » comme ses lèvres
Pour lheure elle caresse mon torse en me mordillant loreille
Je respire son parfum à plein poumon cest un bonheur et je ne cèderai ma place pour rien au monde
et puis cette caresse lancinante me fait soulever mon bassin naturellement ce qui amène ma « tortionnaire » à dégrafer les boutons de mon 501 dessous je suis en maillot lycra et ma queue déforme outrageusement le sous vêtement
sans me vanter jai été gâté par la nature 20cm épaisse sombre et bien veinée avec un gland plutot proéminent tout cela pour dire que rien ne mexcite plus que de bander devant une femme
et quand cette femme est une bombe et quelle se met à me griffer doucement dans un affolant effleurement sur le slip partant des couilles et remontant vers le gland partant en reconnaissance de ce quelle brûle de voir dans sa parfaite plénitude alors là
il y a urgence je ne suis plus du tout à la conduite et je bifurque dans le premier chemin de terre qui se présente
dés que nous sommes immobilisés Sylvianne me masse la pine à pleine main en me roulant un patin « toute langue sortie » cest délicieux et jimagine quel ravage cette bouche doit procurer à un endroit précis de ma personne que ma libido ma conseillé de citer ici
la tension est monté dun cran et je mapprête à linvestir à mon tour mais là ! surprise !! la belle se refuse minformant que les anglais ont débarqués
« mais tu sais sois pas déçu pendant cette période je me sens très cochonne puis ce matin et avec ce que je tiens dans la main ça va pas se calmer !!!
joignant le geste à la parole elle fourra sa main jusquau fond de mon slip et malaxa mes couilles bien pleines
dans le mouvement mon gland violacés et luisant de liquide séminal dépassait largement du sous vêtement
Sylvianne entrepris de le lécher et je crus défaillir de plaisir à sentir sa langue fureteuse à cet endroit elle ne soccupait que de mon gland passant dessus et tout en décallotant sattardant sous les bourrelets de peau et sur le frein cétait une sensation puissante et quand elle se mit a fourrer sa langue dans le trou de ma pine quelle ouvrait de deux doigts à insister et insister encore je me mis à gémir de plus en plus fort et à la traiter
ahhhh salope tu me rends dingue avec ta langue de pute ohhh oui continues à mexciter comme ça
et elle de répondre entre deux léchouilles
humm mon salaud il est bon ton gros gland il arrête pas de perler et moi je le lèche comme une cochonne
et voila !!cétait aussi simple que cela nous avions trouvé instinctivement ce qui nous faisait grimper aux rideau et manifestement le stimuli du langage y était pour beaucoup
je sentais Sylvianne de plus en plus excité et je découvrais avec ravissement le formidable potentiel sexuel qui se révèlait chez elle et cela me fit presque décharger quand jimaginais les cochonneries que jallais pouvoir lui faire faire
après tout elle mavait donné le feu vert et je comptais bien enfin réaliser mes fantasmes les plus pervers
le lit du camping car allait accueillir nos turpitudes
pour commencer javais envie quelle me branle devant le miroir en sortant ma bite par un coté du slip
ce quelle fit remarquablement en se collant derrière moi
le fait quelle soit encore tout habillé moi a poil juste avec ce slip ne faisait quattiser lobscénité de la scene elle me masturbait à merveille faisant monter le sperme alternant branle et décalottage jadorais voir et sentir ces mains si douces et ces ongles rouges était un piment supplémentaire
bref elle mavais mis dans un état pas possible
ma pine était énorme rouge et congestionné je ne lavais jamais vu aussi longue senti aussi raide et ces doigts qui maintenant meffleurait les couilles caressait mon cul et massait mon gland décalotté étalant sur son sommet les gouttes translucides
sa bouche collée à mon oreille
tu aimes ce que je te fais ? dis tu aimes ? oh ouiii tu aimes te faire branler par une bonne salope qui adore la bite
jétais pas loin du point de non retour et elle le compris car elle baissa mon slip et se mit à membrasser le cul tout en tenant mes couilles dans sa main
cest encore elle qui me fit mettre à quatre pattes dans une position humiliante et écartant mes fesses se mit à lécher ma raie puis plus bas mes couilles pour finir par remonter sur mon anus quelle ne quitta plus dardant sa langue sur mon illet
je nen revenait pas ça allait au delà de tout ce que javais imaginé
quune fille puisse faire « ça » à un homme cétait
cétait
« ohhh ma salope adorée tu me bouffes le cul grosse cochonne ohh que cest bon !!!vas y continue enfonce ta langue ouiii comme ça
quel délire de sentir son souffle chaud et son nez calé entre mes fesses !!!
je la sentais si bien disposée à mon égard que je mallongeais sur le dos écartant les cuisses en les rapprochant au maximum de mes épaules dégageant ainsi mon entre fesses pour linviter à poursuivre ses vicieuses investigations
cette fois cest avec son doigt quelle choisit de me pénétrer : elle mavait bien préparé et je sentis sa plus longue phalange menculer dun trait à fond
puis elle se retira doucement et me fourra de nouveau ceci de plus en plus vite
hors de moi fou dexcitation pris dune impulsion aussi soudaine quincontrolé je lai allongé et me suis assis sur son visage en écartant mes fesse lui laissant juste assez dair pour quelle puisse respirer et continuer à me tarauder la rondelle nous gémissions tous les deux de plaisir
doser faire cette cochonnerie
après tout cela inutile de préciser que mon besoin de décharger devenait la chose la plus importante et je sentais que cette éjac serait un feu dartifice
cette langue dans mon cul me faisait perdre la tête et pour couronner ce pur instant de stupre je reconnus à peine ma voix quand jannonçais à cette délicieuse tortionnaire ma sentence
« toi ma salope tu mas trop excité je vais baiser ta bouche et la remplir de sperme
cochonne comme tu es tu attend que ça jsuis sur !!!
ouii vas y salaud je vais bouffer toute ta jute
ahhh tiens !!!!
je me mis en position au dessus de son visage mappuyant sur un bras, je pris ma grosse queue de lautre et lui passai sur le visage y laissant des trainées de laitance
elle avait fermé les yeux et son visage était extatique
elle ne les a pas plus ouvert quand je me suis enfonçé dans sa bouche mais sa langue sest mis à tourner en même temps que jamorçais de longs va et vient
sa bouche était onctueuse chaude humide un piège de délice ou lon se vautre
la vue de ma pine luisante de salive affreusement gonflée déformant cette bouche de jeune fille de bonne famille les bruits de succion et nos gémissements ont eu raison de ma résistance durement éprouvée
venant du tréfond de mes reins une irrésistible vague de jouissance sest mise à enfler,grossir monter à une vitesse fulgurante le long de ma tige agitée de soubresaut
un dernier regard vers ma victime une dernière estocade au fond de sa gorge et dans un formidable râle animal je déchargeais une quantité impressionnante de foutre en plusieurs longs jets épais dans cette bouche que je sentais avide de ne rien perdre
je voyais Sylvianne déglutir tant bien que mal si bien que me sortant de lantre chaud je finis de me vider sur son visage
quand la source de mon excitation fut enfin tarie je restai raide encore un bon moment je mallongeais sur le dos et Sylvianne telle une chatte affamée lécha longuement ma pine poisseuse de sperme et de salive et fit une toilette scrupuleuse de mes parties intimes
je me sentais vidée et apaisée pour un moment seulement car javais hâte de lui rendre tout le plaisir quelle avait su si bien me donner Suite à cet épisode qui nous avait révélé lun à lautre je ne pensais plus quà elle
je ne voyais plus quelle et je délaissait un peu beaucoup les potes
Je la désirai follement mais ça allait bien au delà de la pulsion sexuelle
Tout simple !!! Je lavais dans la peau!!!Jétais raide amoureux et quelque part ça me stressait terriblement
Apres ce que nous avions vécu il métait insupportable dimaginer un seul instant quelle puisse se donner à un autre
Jétais devenu possessif, jaloux, je me méfiais de tout le monde et jattendais le moment divin ou nous pourrions de nouveau être seul ensemble
Mon fantasme du moment était on ne peut plus soft javais envie denfouir mon visage dans ses longs cheveux soyeux baiser tendrement sa nuque et la sentir frissonner
Javais envie de me dépasser pour elle et de lui donner le meilleur de moi-même
Lamour transcende et cest un formidable aiguillon qui ouvre notre conscience et nous procure de divines émotions
Oh oui ma Sylvianne comme jai pu taimer à ce moment je te cherchais à chaque moment et quand enfin je tapercevais ou que tu me regardais mon cur semballait et je me noyais dans lémeraude de tes yeux
En fait jétais barré dans un délire mystique où je ne me reconnaissais plus
Je lui fixai rencard le soir même dans le camion et elle me jeta un regard entendu plein de promesses
Les quelques heures séparant notre rencontre me parurent des siècles
Trois coups frappés légèrement a la porte et enfin elle était là plus féminine que jamais menveloppant des doux effluves de ce parfum qui lui allait si bien
Pour la circonstance elle sétait vêtue dun caraco blanc dune jupe noire très serré et ma foi plutôt courte ce qui la rendait encore plus désirable
Nous savions pourquoi nous étions là et pourtant cétait comme si le temps sétait arrêté
Je fis un pas vers elle et la pris doucement dans mes bras
Son corps était chaud et je le sentais vibrer contre moi cétait dune tendresse infinie et elle posa sa tête sur mon épaule je la sentis alors complètement abandonné
Loin de la passion de notre première étreinte le sentiment amoureux que nous ressentions avait pris une dimension quasi-mystique
Nous prenions notre temps en laissant infuser le désir de la fusion , instant magique ou nous sommes là ou nous devons être , ici et maintenant
Je me souviens davoir caressé son visage de mes lèvres en en explorant toutes les facettes et lorsque nos bouches se sont enfin trouvées il y a eu ce long et doux moment de baisers plus ou moins appuyés cet échange de nos souffles, cette intimité profonde, cette sensualité délicieuse de deux curs qui battent à lunisson.
Je lai allongé sur le lit sans quà aucun moment nos corps ne se séparent et lorsque nos yeux se sont croisés il ny avait plus de frontières
Nous rien que nous
Dans un souffle ou tout paraissait suspendu a un fil ou le temps lui-même était palpable je lentendis dune voix de petite fille me demander
ooohhh fais moi lamour !!! Je te veux en moi
viens !
Alors je lai dévêtue doucement religieusement en embrassant chaque parcelle de ce corps que je découvrais en respirant sa peau douce et sucrée comme une friandise
Je mattardais sur ses seins petits mais fiers et sensible faisant jouer ma langue sur ses tétons dressés enfouissant mon visage entre eux pour menivrer de leur douce chaleur
sylvianne me caressait les cheveux tendrement me pressant contre sa poitrine et je ressentais lémotion maternelle cétait du pur bonheur et je nai jamais oublié cet instant dune félicité parfaite
Cest elle qui ma guidé vers son centre mais jai pris mon temps pour approcher mes lèvres de son puit damour et lorsque jai atteint sa toison dor ses lèvres intimes ouvertes gorgées de miel, comme un calice, attendait mon offrande.
Jai tout de suite aimé ses effluves et je lai goûté explorant de ma langue chaque recoin chaque parcelle de cette fleur éclose
Sylvianne gémissait de bonheur et cétait comme un chant dallégresse pour nous deux
Elle mavait ouvert ses cuisses et son plaisir était tel quelle montait et descendait son bassin se frottant la chatte sur tout mon visage
Jétais trempé de ses secrétions mais jen redemandais
A un moment son mouvement devint comme une danse et dans un cri elle se mit à jouir enfonçant ses ongles dans mes cheveux
Je sentis nettement les contractions et lafflux dhumidité animant son buisson ardent
Jétais ému et jai continué encore et encore à la lécher comme si ma vie en dépendait
Jétais dans un état second, concentré sur lorigine du monde (tout du moins cétait mon impression à cet instant précis) .
La posséder pour la faire mienne
je me débarrassait de mes vêtements et nu le sexe dressé conquérant je me positionnait entre ses cuisses elle maccueillit en se tendant vers moi et je la pénétrai très lentement , à ce moment je nétais plus quun sexe prisonnier dun fourreau chaud humide et délicieusement suave. Je faisais durer ce plaisir unique de la conquête et de la possession , quand je fus totalement enfoncé dans son ventre, mes yeux chavirants dans les siens, je me retirai et replongeais aussitôt , cétait fort et puissant et je ressentis cette sensation merveilleuse de lunion totale. Je lui ai fait lamour longtemps, passionnément, en me fondant en elle jusquà la vague, qui nous a entraîné inexorablement vers un orgasme dévastateur.
Nous avons passé le reste de la nuit ensemble. le camion était devenu un radeau et nous étions collé lun à lautre comme si déjà nous avions peur de nous perdre ou nous éveillé de ce qui navait été quun rêve. Moment unique et précieux que lon garde dans sa mémoire comme une prière
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