Imprévus
Je serais ta chienne.
Jai 34 ans, indépendant
Sil existe une saison des amours chiennes, il doit sagir de lété. Le soleil, la chaleur suffit pour accroître le tempérament de chienne qui est en moi. Je nai pas lair dun pédé, mais pourtant jen suis un : jaime les hommes.
Etre à poil à quatre pattes, cuisses écartées, cul nu et totalement offert aux désirs et pulsions dun homme, cest quelque dhumiliant sur le fond, mais totalement excitant !
Je suis magasinier, je bosse dans une petite boite en région parisienne. Un jour, un livreur arrive. A ce moment là, jétais en jean. Jean moulant, rien dessous, et en t-shirt. Je nai rien dun pédé, suis pas barak, plutôt mince même. Mais jarrive à plaire. Lui la quarantaine, pas très grand, un peu bedonnant, crâne dégarnis. Mais assez séduisant. Il ma écrasé la main en me la serrant. Je lui ai donné un coup de main à descendre ses cartons. Au moment de se dire au revoir, il me dit :
- Je suis pressé, je nai pas de temps à te consacrer. Cest dommage.
- Moi je nai rien à faire aujourdhui.
- Tu es en forme alors ?
- Oui, assez.
- Attends moi ici vers 18h00 si tu veux.
A 18h00, jétais tout seul dans la boite. Il nétait pas là , jétais déçu, car même si je ne savais pas ce quil voulait, il mavait plu, comme électrisé. Il est finalement arrivé vers 19h00.
- Je suis en retard, désolé. Tu mas attendu, cest sympa.
- Jai rien de prévu
Il a mis la main à sa braguette pour se palper.
- Toujours en forme ? me demande t-il
- Oui ça va.
Alors au milieu de mon entrepôt il a sortis sa bite, une belle et pas très longue, mais large avec un beau gland. Sans perdre un seconde, je suis tombé à genoux, à ses pieds et ai commencé à mengouffrer le morceau. Elle était tendue, chaude. Et puis lodeur
pas crade, non, douchée le matin, mais après une journée de travail, bien au chaud dans le caleçon, son odeur mexcitait.
Il a retiré sa queue de ma bouche et ma ordonné de me foutre à poil. Je me suis exécuté sans me faire prié, puis lai suivis jusque dans la salle de réunion. Il sest installé dans un fauteuil et je me suis approché de lui , sa que était toujours aussi raide. Il avait gardé ses pompes, et sa chemise. Son fute était resté en bas, moi jétais à poil. Je me suis assis sur ses cuisses, face à lui, et ai commencé à lui déboutonner sa chemise : torse velu, gras. Jai commencé à lui caresser les tétons, les lui lécher.
- Ouais, ma grosse salope. Tu sais y faire ! Doucement, là
.tu vas lavoir mon jus, tinquiète ! je vais éclater ton petit cul de chienne avant ! je vais tengrosser, te foutre enceinte
...caresse mes seins
. Oui, je vais te niquer morue
!
Il y en a à qui ce genre de discours ne plairait du tout. Pas moi. Au contraire, ça me rendait fou. Ça mexcitait davantage. Et il est passé à laction. Il ma jeté sur la table de réunion, penché en avant , il ma claqué les fesses, deux, trois claques violentes. Il ma fait écarté les cuisses, ma doigté sommairement, puis voyant sûrement que je devais mêtre fait sodo peu de temps auparavant, enfin il ma enculé direct. Il a enfoncé sa queue, en deux coups de reins très secs. Ca ma fait pousser des gémissements, de ceux qui sont un mélange de douleur contenue et de plaisirs
cela ne la pas freiné, bien au contraire. Il ma limé sans retenues telle une poupée gonflable quil plaçait à sa guise. Jai eu le droit à tout : en levrette penché sur la table, à la missionnaire, allongé sur la table, debout contre le mur
.. Il déculait, me foutait en position, me renfonçait son morcif entre les fesses, et la cavalcade repartait de plus belle en ayant droit a des « sale pute, morue, tapette, et autres salope ».
Je suis rentré chez moi peu après. Dans le train, javais encore lodeur de sa queue et de son foutre dans la bouche. Je sentais aussi son foutre dans mon cul. Javais pris un pied monstrueux avec Eric (cétait son prénom) et je lui avait appartenu complètement le temps de nos ébats. Sa queue, son odeur, son corps, ses insultes, mon fait mabandonné complètement à lui à me faire sauter sans retenues ! Mais je ne regretterais rien.
Dans le RER, je me suis retrouvé assis devant un homme la quarantaine, en costume cravate, grisonnant. Marié me dis-je sur le coup. Bref, le genre dhomme qui me plaît bien ! Je repensais à mes ébats avec Eric, ce qui avait le don de me faire bander sous mon jean. Jétais dans les nuages, quand je maperçus que mon voisin me matais. Je lui souris, genre « si tu veux me sauter, te prive pas »
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