&Quot;Tu Te Souviens?' 4
- Mon cur... Je venais de te pénétrer pour la toute première fois. J'étais... enfin en toi, comme j'en avais souvent rêvé depuis qu'on s'était rencontrés. C'était tout doux... tout chaud à l'intérieur de toi, dans ton vagin. Tu étais à califourchon sur moi. Nous faisions de petits mouvements de va-et-vient pour commencer, toi comme moi. Tu sais que j'aime que tu prennes place au-dessus de moi, Bérénice. J'aime sentir le poids de ton corps quand on se fait des câlins. J'aime voir tes seins s'agiter parce qu'ils sont gros. Bérénice... ça me faisait un... je-ne-sais-quoi que l'on fasse l'amour.
- Mon amour... Toi aussi, tu sais que j'aime te chevaucher. Et d'ailleurs... toi... ça te laisse pas insensible non plus. Ne le nies pas, Théo... Je sais que tu aimes me regarder quand je suis comme ça. Et t'aimes plus particulièrement quand j'aime faire frotter mon minou quand t'es en érection. Et là... j'avais effectivement décidé de me mettre comme ça, sur toi. Si tu savais le nombre de fois où j'en ai rêvé... où j'en ai fantasmé... Tu le sais... il m'est même arrivée de me masturber en y pensant. Je me demandais... je m'imaginais comment ce serait... ce que je ressentirais quand ton sexe serait en moi et que tu me prendrais...
- Bérénice... je te laissais me chevaucher avec plaisir. Ché... rie... J'avais posé mes mains sur le bas de tes reins et je t'accompagnais dans tes mouvements. Ta peau était toute douce. Ce n'était que pur plaisir de poser mes mains sur toi. Bérénice... je faisais tout pour que le moindre contact... pour que la moindre sensation te soient agréables. Que tu sois à l'aise, pupuce... Tu étais belle. Et moi... j'étais honoré d'être l'homme à qui tu offrais ta virginité. Ce n'était que pur délice de t'avoir toute contre moi et de te faire l'amour, Béré'. J'avais tellement envie de toi.
- Théo... Je le sentais que tu avais très envie de moi. D'ailleurs... c'était une idée ou ton sexe continuait de grossir encore et encore dans mon vagin alors qu'il allait et venait lentement, doucement ? Moi c'était ce que je me disais.
- On était au lit et qu'est-ce qu'on y était bien... Rhoo... Les draps étaient doux, ils étaient frais. Qu'est-ce qu'ils étaient confortables... Pour ma part, j'étais allongé sur le dos et je ne pouvais que te laisser coulisser en avant, en arrière, sur moi. Bérénice... qu'est-ce que tu étais jolie... Tu avais bien fait de libérer tes cheveux. Ils sentaient si bon. Je sais tout le soin que tu leur portes, ma puce. Et là... ils volaient au vent parce que tu allais et venais sur moi. Tu étais très mouillée. Nos mouvements ont commencé à être vraiment fluides. C'était si... bon. C'était parfait.
- Il n'y avait pas la moindre gêne, pour toi comme pour moi, joli oiseau. En ce qui me concerne, je me posais pas la moindre question et tu sais pourquoi ? Je faisais enfin l'amour avec mon petit ami et j'étais si bien avec lui. Au regard de ce qu'il s'était passé jusque-là, je savais qu'il était sincère et qu'il m'aimait. Je savais aussi que je le laissais pas indifférent et qu'il avait particulièrement envie de moi. Moi, du haut de mes 20 ans... Moi, la jeune bretonne plutôt solitaire... J'étais dans la chambre de cet hôtel en plein cur de ma ville et j'étais enfin en train d'y vivre ma première fois avec LUI. Théo... Cet homme que j'avais rencontré sur Internet. On avait passé des mois à se connaître et là... nous y étions. Nous faisions l'amour.
- J'ai déplacé mes mains et je les ai posées sur tes fesses, chérie. Tu sais pourquoi ? Je voulais t'accompagner dans tes mouvements alors que tu me chevauchais.
- Ché... ri... Oui... j'avais envie... d'un baiser. De plusieurs baisers. De tout pleins de baisers. Tu avais beau me faire l'amour... Je passais surtout un beau moment, un moment doux avec mon petit copain. Tu faisais de moi une amoureuse transie, Théo. J'étais attendrie. J'étais émue. Pour rien au monde j'aurais voulu que ce moment s'arrête. Au contraire ! Si on avait été maîtres du temps, ce moment... j'aurais voulu faire un arrêt sur image et que ça dure autant que ça nous plaisait. C'était juste toi et moi sur l'oreiller. On avait prévu tout plein de choses. Le musée des Beaux-Arts... Le grand parc... Les bords de la rivière... Que tu rencontres mes parents... Mais là, tout ce qui m'importait, c'était toi. Toi... et ton sexe en moi. Je voulais que tu continues de me faire l'amour comme ça.
Moi aussi, je voulais continuer de te faire lamour, Bérénice. Javais pas envie quon sarrête en si bon chemin, toi et moi. Tout simplement parce que tu me donnais grave envie, pupuce. Javais tellement envie de toi. Tu allais et tu venais sur moi. Jallais et je venais en toi. On se regardait. On se mangeait des yeux. Tu étais si mignonne, Béré. Oui
Cétait juste pas possible de ne pas avoir envie de toi. Cétait pas possible de te résister. Et la preuve ! Je voulais satisfaire le moindre de tes désirs, ma belle. Cétait tout pour toi.
Ta belle queue
je la sentais bien en moi et elle me donnait beaucoup de plaisir. Jétais si bien. Cétait trop
bon. Tu faisais tout pour me mettre à laise.
Oh
oui, Bérénice. Et tu pouvais compter sur moi pour ne pas baisser le rythme de cette étreinte que lon partageait. Même pas en rêve
Cétait tout pour toi et javais pas lintention de marrêter là. Pas avant que tu aies pris beaucoup de plaisir. Je vais même aller plus loin tant que jy suis, Béré. Je voulais que tu te lâches, que tu prennes ton pied. Je voulais que tu tabandonnes. Je me répète, peut-être à lexcès, mon amour mais
Cétait tout pour toi, rien que pour toi.
Théo
Cétait si romantique, tout ça
Lhôtel
La chambre
Tes yeux sur moi
Les mots que tu avais dit, que tu avais chuchoté
Je pensais à rien, je faisais le vide dans ma tête. Cétait tout un contexte qui sétait créé progressivement et ça faisait que je mépanouissais à tes côtés, a
mour. Cétait aussi simple que ça. Et là
je ne pouvais être que bien. Oh
oui. On avais pris notre temps auparavant, quand on jouissait et quon se réjouissait des préliminaires. Ça avait eu pour conséquence que jétais prête pour toi, joli oiseau. Aussi bien dans mon corps que dans ma tête. Et là
jétais sur toi. Jétais à califourchon. Ton sexe allait et venait en moi et je le sentais, en effet. Vu que je mouillais mais comme cétait pas permis, cétait
bon de le sentir.
Tu métonnes que cétait bon pour toi, Bérénice
En même temps
Je faisais tout pour que ce soit agréable pour toi.
Je les voyais, tes yeux sur moi. Ils étaient comme des projecteurs qui sont braqués sur une star. Mais là
cétait tout pour moi, rien que pour moi. Mmmh
Oui, Théo
Yavait plus que moi dans ton esprit. Tu me mangeais dans la main, mon chéri. Tu me mangeais des yeux. Et ça
ça me faisait encore plus mouiller, tu sais ? Tavais même pas idée
Plus je mouillais, mieux ton sexe coulissait dans le mien. Plus je mouillais, plus cétait agréable. Jai alors compris que je devais faire abstraction de tout. Et cest ce qui sest passé. Je me suis détendue au maximum et je me suis mise à davantage remuer et magiter sur toi, mon chat.
Il a dû se passer quelque chose à lintérieur de toi, ma chérie car jai pas compris sur le coup. Tu tes mise soudainement à onduler. Tes mains sont devenues plus fermes sur ma poitrine et elles sy sont agrippées. Qui plus est, je tentendais bien, Béré. Oui
Ta respiration était plus
prononcée. Tu gémissais
Tu soupirais
Je sais pas mais
tu devais particulièrement ressentir mon sexe et ses mouvements de va-et-vient à lintérieur de ton vagin
Pour moi, il pouvait pas en être autrement. De plus, je sais pas pourquoi mais
Quand tu bougeais
Cétait comme si ton vagin me prenait de plus en plus et quil me retenait prisonnier. En tout cas
cétait ce que je ressentais et jy prenais bien plus de plaisir.
Jen avais tellement rêvé
Et là
cétait tout doux. Cétait si
bon. Et
tu as raison, mon chat. Javais appris entre temps à jouer de son vagin et de ses muscles. Jen jouais
avec toi
Ton érection prononcée
Ta belle grosse queue
Mon a
mour ! Je te sentais particulièrement en moi. Je me souviendrai de cette sensation pour le restant de mes jours. Jen ai rajouté et jai joué de mes fesses. Toi
tu as relâché ton étreinte sur moi et tu as reposé tes bras le long de ton corps. Je lai vu et je men suis donnée à cur joie. Cétait à mon tour de te prendre, joli oiseau...
Mon
dieu ! Béré
nice ! Quand tu en parles, je me remémore ce que nous avons pu vivre et ça me laisse pas indifférent. Ça reste clair comme de l'eau dans mon souvenir. Ça reste gravé dans ma mémoire. Tu étais émoustillante, jolie coccinelle. Tu étais si belle. Là, c'était sûr ! Je pouvais plus du tout le nier. Je te mangeais dans la main. Et là, ni une ni deux, tu t'étais mise à prendre le contrôle. C'était toi qui me faisais l'amour à présent. En effet, je te laissais avec plaisir me prendre
et me chevaucher à ta guise, Béré'. C'était si bon quand tu faisais ça. Je voulais que tu continues. J'aimais ça.
Mon a
mour ! J'étais sur toi et j'aimais ça. Ça pouvait être mieux ? Je sais pas. En y réfléchissant
Hmm
Je ne pense pas. Tout ce qui se passait entre nous deux, c''était ce dont j'avais rêvé. Ni plus, ni moins. Tu y mettais de la douceur, tu y mettais de la tendresse. Tu y mettais ton amour, tu y mettais ton désir pour moi. Oui, Théo
C'était tout pour moi, rien que pour moi. Mais là
c'était moi qui prenais les rênes. Je prenais le dessus sur toi, mon chat. Ça aussi, j'en avais rêvé. J'en avais fantasmé. Et là, ni une ni deux, j'avais mis à exécution ce fantasme. C'était moi qui te faisais l'amour car c'était moi qui bougeais et qui te faisais aller et venir en moi, a
mour.
Oh
oui, pupuce. C'était toi qui prenais le dessus. Soudain, c'était toi qui me faisais l'amour. C'était toi qui me baisais, j'aimerais même dire. Et c'était trop
bon. Ta chatte était toute douce. Elle était chaude à l'intérieur. C'était agréable. C'était parfait. J'aimais tout de ce moment que l'on vivait, que l'on partageait. C'était unique. C'était parfait. La femme que j'aimais était sur moi et je voyais son corps s'agiter là, juste sous mes yeux. Elle était belle. J'avais particulièrement envie d'elle. Il ne pouvait pas en être autrement. Bérénice
c'était tout pour toi, rien que pour toi. Tu étais si belle, mon cur. Moi non plus, je n'en revenais pas, tu sais ? J'étais là, dans cette chambre d'hôtel et je faisais l'amour avec cette jeune femme que j'avais rencontré quelques mois plus tôt.
Mon amour
Je me pâmais de tes yeux sur moi. Ça, c'est un truc qui restera dans ma mémoire. Tu me quittais pas un seul instant des yeux. C'était tout pour toi, rien que pour toi. Tu avais beau ne pas parler
tes yeux parlaient pour toi, Théo. Et ils me parlaient. Ils me disaient que tu n'en revenais effectivement pas. Ils me disaient que j'étais belle. Ils me demandaient de continuer et de remuer comme ça sur toi. Je ne ménageais pas mes efforts. Il n'était pas question que je m'arrête. Le plaisir, je le sentais en moi. Tu sais que je sentais mon sexe vibrer parce que tu me pénétrais ?
C'était si bon de te sentir tout autour de moi, ma puce. Et je dois dire que
ça m'excitait beaucoup de te regarder bouger, onduler comme tu le faisais. Et plus tu maintenais ce rythme, plus je me sentais pris. Non seulement tu maintenais ce rythme, mais j'avais comme l'impression que tu augmentais la cadence de tes mouvements. Ai-je raison ? Ai-je tort ? Bérénice
Tu allais et tu venais plus fréquemment. Plus vite, plus fort sur mon sexe. Et
aussi
c'était moi ou ton sexe était de plus en plus serré et qu'il retenait prisonnier mon membre ? C'était toi qui me faisais l'amour, Béré'. Tu étais si belle. Et plus tu bougeais comme ça
plus je sentais mon plaisir monter en intensité.
Thé
o
Toi aussi, tu me faisais l'amour ! Ne l'oublies pas, voy
ons ! C'était ton sexe qui était en moi. Il était beau. Il était gros et il allait et venait à merveille dans mon vagin tout mouillé. J'avais beau être à califourchon sur toi, mon cur
c'était bel et bien ton sexe que je sentais. Et dieu sait que je la sentais à merveille, ta belle queue. Oh
oui. Je m'en lassais pas le moins du monde, de ta queue. Tes yeux sur moi
Je me laissais aller. Tu me faisais me sentir belle. Je vais même aller plus loin, joli oiseau. Je me sentais carrément sexy. J'étais la femme à qui tu faisais l'amour et tu n'avais d'yeux que pour moi.
Princesse
Tes cheveux étaient longs et ils étaient lâchés. Ils volaient au vent et ils semblaient n'en faire qu'à leur tête. Ça et le fait que tu étais en Andromaque sur moi
Ça te donnait un côté sauvage, ma belle
et ça me plaisait. Et quant à tes seins
Rhoo
Ils me faisaient de l'oeil. Ces deux beaux monts d'amour
ils étaient gros et ils s'adonnaient à une danse qui leur était propre et ce, au moindre de tes mouvements, Bérénice. Je les aimais
Je les aime toujours tellement et tu le sais. De les voir s'agiter comme ça, juste sous mon nez
Je sais pas ce qui m'a pris alors, pupuce.
Ah ? Tu sais pas, mon chat ? Eh bien, moi
je vais te dire ce qu'il t'est passé par la tête. C'était clair comme de l'eau. C'était aussi simple que ça, Théo. Tu étais émoustillé parce que j'étais nue et c'était moi qui bougeais, qui te baisais. Si tu savais à quel point je me suis sentie désirée, bébé
T'as pas idée
Mon petit ami me laissait bouger juste au-dessus de lui et c'est moi qui laissais son sexe aller et venir à l'intérieur de moi. De voir tout ça
car tu le voyais
ça t'a fait un
je-ne-sais-quoi. Et je le comprends, ça. Tes mains ont atterri de nouveau sur mes fesses et tu les prenais fermement. Tu me les malaxais, tu me les pétrissais, mes fesses
et t'aimais ça, hein ? C'était clair comme de l'eau. C'était toi qui me baisais. Et je te sentais plus spontané, plus hardi, plus vigoureux. Tu me baisais à présent, Théo...
Mon amour
Mon bel amour
Mon unique amour...Tu étais très mignonne. Ah
Ce mot
«Mignonne»
C'était comme ça que je t'avais considérée, Bérénice. Tu m'avais envoyé un jour une photo de toi. Tu m'avais demandé comment je te trouvais. Jusqu'alors, on s'était contentés des e-mails, des appels et des SMS. Mais
déjà
j'avais craqué pour toi. Ça en était fait de moi car je savais que j'avais un faible pour toi, Béré'. J'avais aucun doute là-dessus. Oh
non. Et là, quand j'ai reçu cette photo où tu portais la robe bleue et où tu avais ce sourire timide à tes lèvres, j'ai été ensorcelé. Tout simplement.
Mon amour
Mon bel amour
Mon unique amour
J'avais espéré que tu dises que j'étais belle. Ni plus, ni moins. Et quand j'ai ouvert ton SMS et que je l'ai lu, ce mot
«Mignonne»
sur le coup, je te cache pas que j'ai été déçue. Parce que
effectivement
je voulais que tu me dises que j'étais belle. Tout simplement. Carrément. Et là, tu m'écrivais que j'étais
mignonne. Pour moi, ça avait beau être positif comme qualificatif de beauté, bien sûr
c'était quand même
comment te dire, mon chat
un peu moins fort, un peu moins émoustillant que «belle». Mais là, et c'est quelque chose que j'aime chez toi, mon amour
tu m'as rassurée et tu m'as dit que «mignonne», à tes yeux
c'était beaucoup beaucoup. Tu as même ajouté que tu n'avais d'yeux que pour moi.
Mon cur
Effectivement
j'avais senti dans ta réponse que tu avais espéré davantage. Mais
et là, je te rejoins, princesse
je pouvais plus détacher mes yeux de cette photo, cette toute première photo que tu m'envoyais. Je te voyais pour la première fois. Cette robe bleue t'allait bien. Elle te le mettait en valeur, ton joli «petit» corps. M'en veux pas, a
mour mais je les ai toute de suite remarqués, tes seins lourds. Oh
oui. Comment il aurait été possible de ne pas les voir, Béré' ? Impossible. Tes cheveux étaient lâchés et ils t'arrivaient aux épaules à ce moment-là. Je m'en souviens, Béré'. Je me souviens de tout. Et pendant que je te parle, c'est comme un film qui passe dans ma tête
Un film érotique, mon cur
Un film X dont nous étions à la fois les réalisateurs et les acteurs. J'espère qu'il te plaît toujours, mon chat
Que vois-tu au moment où l'on se parle ? Moi je pense que
hmmm
tu en es au moment où tu as repris les choses en main. Si c'est le cas
hmmm
moi aussi, c'est ce qu'il est en train de passer dans mon esprit. Tu me saisissais fermement les fesses et c'était comme ça que tu t'arrimais à moi. Moi ? J'aimais ça. Dans mon corps, dans ma tête, j'étais à toi. Je me laissais faire parce que j'avais confiance en toi. Pour rien au monde j'aurais voulu que le rythme diminue, Théo.
On regarde la même scène alors, jolie coccinelle. Ce moment-là, mais c'était
Je sais pas s'il y a des qualificatifs, pupuce. Ce dont je suis sûr par contre, c'est que tu m'excitais. De te voir encore et toujours sur moi, ça me
Bérénice
On en avait parlé de nombreuses fois, quand on faisait l'amour via le téléphone rose. Mais là, encore une fois, c'était pour de vrai. Tu étais à califourchon et tu me chevauchais. Tes seins ballottaient et ils s'agitaient comme bon leur semblait parce que je te prenais. Je te prenais. Oh
oui. Et j'allais plus fort, plus vite en toi, mon cur. Et tu sais pourquoi ?
Hmm
Laisse-moi devenir, joli oiseau
Toi aussi, tu prenais autant ton pied que moi, je le prenais. Et je peux te dire que je le prenais, mon pied. Et pas seulement à l'intérieur de mon corps ou carrément dans mon vagin
Non
De te voir comme ça alors que tu me mangeais des yeux et que ton regard était posé sur moi
De te sentir particulièrement bien en moi pendant que tu allais et que tu venais plus vite, plus fort
Moi aussi, ça me
, tu sais, Théo ? Si tu avais continué comme ça, sur ce rythme, j'aurais répondu de rien au moment où je jouirais comme une folle. Et
si tu te souviens bien, a
mour
C'est ce qu'il s'est passé. Ni plus, ni moins. J'ai joui une nouvelle fois.
Tu m'étonnes que tu as joui, ma belle
ment, vu que je te prenais à présent plus vite, plus fort
Je te pilonnais même, désormais. C'était plus fort que moi. J'avais le diable au corps à mon tour et je me laissais aller. C'était aussi simple que ça. Je m'abandonnais au plaisir. À ce plaisir que l'on se donnait et que l'on se partageait, toi et moi, Bérénice. J'avais toujours autant envie de toi. C'était si fort. Et pour tout te dire, pour être honnête avec toi
quand je pensais à toi, des fois, je me mettais à bander alors même que j'étais au boulot, là-bas
ça en devenait presque
comment te dire
inconfortable.
Tu
bandais au travail ??? Mon a
mour
Mon a
mour ! Oh mon cur
Si j'avais su
Petit
cachottier ! Petit coquin, Théo ! Si j'avais été présente
on se serait consacrés un petit moment à nous et je me serais occupée de toi. Dis
Qu'est-ce que tu en penses, mon chat ? Je t'aurais plaqué contre un mur et j'aurais posé un doigt sur tes lèvres
Je t'aurais demandé de te laisser faire
J'aurais sorti ta chemise de ton pantalon
Ton pantalon, je l'aurais déboutonné et j'en aurais abaissé la braguette
Ni une, ni deux, ton caleçon aurait subi le même sort
Je me serais agenouillée et je t'aurais sucé et pompé jusqu'à ce que tu gicles dans ma bouche ou sur mon visage
Thé
o
Et si c'était à ça que tu pensais pendant que tu me baisais ? Dis-moi...
Arrêtes, Bérénice ! Rien que de t'entendre dire ces choses-là, je continue de bander et ça me fait mal à force . Et si je bande encore et encore, y'a deux solutions, Béré'. C'est aussi simple que ça. Soit je reviens en toi et je te reprends ton petit cul. Soit je te demande de te mettre à genoux et tu me suces jusqu'à ce que tu me sentes jouir dans ta bouche. C'est toi qui vois, jolie coccinelle. Pour reprendre le fil du film de notre première fois
Voilà. Tu as joui une nouvelle fois et c'était un bel orgasme que tu as eu, n'est-ce pas ? Oh
oui, ce devait l'être
Tu es belle quand tu jouis, Béré', tu sais ?
Mon amour
Mais J'AIME quand tu bandes dur pour moi ! Ta belle grosse queue
elle est toute à moi, rien qu'à moi. Elle est la seule que je branle. La seule que je prends dans ma bouche, que je suce, que je pompe. La seule que je masturbe entre mes jolis seins lourds. La seule qui me pénètre
mon vagin
mon anus
Oh
oui, Théo. Tu es le seul homme avec qui je fais l'amour, avec qui je baise
et j'aime ça. Oh
oui. Et quand tu me fais jouir, mon chat
Eh bien
dans ces moments-là
ça me rappelle qu'il n'y a qu'un seul homme dans ma vie et cet homme
c'est toi, mon chat. J'aime que tu me donnes un orgasme, Théo. Tu sais pas à quel point
Je
crois savoir, jolie coccinelle. Ça fait deux ans maintenant qu'on est ensemble. Je te connais de mieux en mieux et je sais quelles sont tes réactions pendant l'amour. Tu fermes les yeux quand c'est trop bon et que tu laisses le plaisir prendre possession de toi. Tu me regardes, les yeux dans les yeux, et tu me supplies quand tu as envie de quelque chose en particulier ou comme si tu penses que je vais te priver d'un orgasme. Tu portes l'une de tes mains à ton sexe et tu caresses parce que tu veux nous donner plus de plaisir à tous les deux, quand je suis en toi et que je te fais l'amour, ma belle. Tu vois, Bérénice ? Je te connais plus que tu ne l'imagines. Tu es
tout simplement
la femme que j'aime et que je désire. Tu es la femme de ma vie, Bérénice et je veux que tu deviennes mon épouse. Je t'aime, ma jolie coccinelle.
Je suis si bien quand je suis avec toi, mon chat. Ça pourrait être jamais mieux. J'oublie tout quand tu me prends dans tes bras. Tu me fais fondre quand tu me regardes dans les yeux et que tu me dis que je suis belle, que je suis la femme de ta vie. Et quand tu m'embrasses
quand tu me caresses
quand ton sexe est en moi et que tu me fais l'amour
je perds le contrôle, je perds la raison. Il n'y a plus aucune logique. Je me contente de me laisser aller et de savourer l'instant présent, avec toi. C'est aussi simple que ça. Je t'aime, joli oiseau.
Si tu savais à quel point toi aussi, tu me fais fondre, Béré'. Rhoo
Tes yeux
Tes longs cheveux châtains
Ta bouche, ton sourire
Ton corps mince
Tes beaux gros seins
Ton pubis et tes poils
Ton minou
Ton «petit» cul
Tu me rends fou, Bérénice. Si tu savais
Tu es si belle. Je te veux à mes côtés pour le restant de mes jours. J'ai envie d'imaginer comment chaque jour peut être avec toi. Et quand je te dirai «oui» à la mairie et à l'église
quand je te passerai la bague au doigt
je serai tout à toi, rien qu'à toi.
Mon amour
Mon a
mour ! Mon coeur bat très fort quand je t'entends me dire ces mots-là. J'ai des papillons dans le ventre, si tu veux tout savoir, Théo. Et pour être tout à fait franche avec toi, mon joli oiseau, j'en ai les larmes aux yeux. Tu es le premier homme que j'ai dans ma vie et tu me dis tout ça. J'ai pu t'en parler
Y'a eu des gars au collège, au lycée, à qui je savais que je plaisais. Mais moi
les garçons, tu sais, à ce moment-là
ça m'intéressait pas. Ils avaient beau être mignons et me draguer
J'y prêtais pas attention. Et puis
toi, Théo
tu as débarqué dans ma vie et j'ai tout de suite su que tu étais différent. Pour la première fois, j'ai laissé sa chance à un homme et c'est la meilleure décision que j'ai jamais prise.
Dès nos premiers échanges, dès les premiers messages
j'ai craqué pour toi, Bérénice. Je lisais tes textes et je m'imaginais dans la peau de l'homme qui était le héros de tes histoires érotiques. Tu parlais de tes seins blancs, tu parlais de tes fantasmes. Tu t'y mettais à nu, Bérénice et ça, je l'ai rapidement compris. C'est comme ça que tu m'as fait craquer et que je t'ai proposé que l'on se rencontre. Pour moi aussi, ça a été la meilleure décision que j'ai jamais prise. Deux mois plus tard, on se retrouvait dans ta ville bretonne et on y a passé un week-end qui restera gravé dans nos mémoires, à toi comme à moi.
Tu m'as faite jouir, mon chat. Plusieurs fois, même. J'avais le souffle coupé parce que ça avait été tellement fort, ce que j'ai ressenti. Moi aussi, j'avais envie de te faire jouir. Alors, j'ai baissé ma tête et je t'ai englouti dans ma bouche. Je t'ai masturbé d'une main. Je t'ai sucé, je t'ai pompé. Toi, tu as rapidement glissé une main dans mes cheveux, tu m'as guidé. De haut en bas
De bas en haut
Je te regardais. Tes yeux étaient tout pleins d'amour. J'ai lâché prise et j'ai placé ton sexe entre mes seins et je t'ai branlé avec, tendrement, lentement. On se regardait. On se mangeait des yeux. J'étais si heureuse, j'étais fière. Et soudain ta respiration a été plus rapide, plus irrégulière. Tu as gémi plus souvent. Tu as fermé les yeux. Et puis tu as crié
et tu as joui. Ton sperme
J'ai senti plusieurs longs jets de ta semence et j'en avais beau-coup entre mes seins. Tu avais joui, joli oiseau ! Je t'avais fait jouir. L'homme que j'aime venait de jouir entre mes seins et c'était toi qui lui avais donné cet orgasme en cadeau. Je t'aime, Théo. A
mour
A
mour !
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