Première Expérience Extraconjugale
Je mappelle Christine, jai 52a, mariée depuis 28a, jai deux s qui sont maintenant grands, et ne sont plus à la maison. Jai un mari charmant que jaime beaucoup, et jusquà laventure que je vais vous raconter, javais eu une vie exemplaire de femme plutôt BCBG. Nous habitons une ville moyenne et nous avons notre cercle damis, nous nous recevons de temps à autre les uns chez les autres.
Je ne pense pas être un canon de beauté, mais jai ce quil faut ou il faut comme on dit, je suis brune aux cheveux courts, des yeux marrons, je fais 1,68m, pour 62 kg, et 90 C de tour de poitrine, et oui jai une poitrine que je ne peux pas cacher.
Nous avons un couple damis Pierre et Marie avec qui nous avons un peu plus sympathisé ces derniers temps. Nous nous voyons souvent avec Marie, et il y a une certaine complicité entre nous.
Ainsi un jour de Juillet 2003, année de la canicule, je lui rendais visite un après midi de forte chaleur. Ils habitent une villa en périphérie de la ville avec piscine. Après avoir pris le café, Marie me proposa de me baigner, sur le coup jai refusé, rétorquant que je navais pas de maillot. Elle mexpliqua, alors, quils navaient pas de vis-à-vis, et quelle se baignait toujours nue. Sur le coup jai fait la moue, je ne métait jamais mis nue en dehors de chez moi, et encore moins devant une personne étrangère à ma vie conjugale. Elle commença à se déshabiller devant moi, je me trouvais un peu bête, alors je nai pas voulu paraître ridicule devant elle, et je me suis également déshabillée.
Cela me faisait tout drôle de me retrouver nue en dehors de chez moi, et encore plus de nager nue. Je reconnais que la sensation est très agréable.
Ainsi nous avons passé laprès midi entre le bain et la chaise longue à se faire bronzer, et à bavarder de tout et de rien, et ainsi je nai pas vu le temps passer. Marie a eu quelques coups de téléphone, mais je ny ai pas prêté attention, jètais bien là, à me faire dorer, et me rafraîchir dans leau.
Nous étions alors toutes le deux dans leau quand jai vu apparaître Pierre et deux autres hommes, sur le bords de la piscine, ils étaient nus, et ils ont immédiatement plongés dans leau et ont commencés à samuser à nous couler, je ne savais plus comment réagir, jétais comme paralysée devant une telle situation, je sentais leurs mains sur mon corps, les seins, les fesses, et puis Pierre étais derrière moi, je navais plus pied, et jai senti sa verge contre mes fesses, elle était raide, jai essayé de me débattre mais leurs mains étaient de plus en plus pressentes, puis caressante, ils étaient deux autours de moi. Jai alors senti une main qui remontait entre mes cuisses, puis caresser les lèvres de mon sexe, ils mexcitaient, et je mabandonnais à eux.
Maintenant des doigts pénétraient mon vagin, Pierre commença à me faire un touché rectal, je me souviens avoir dis pas ça, mais jai eu un première orgasme simplement avec leurs doigts qui me pénétraient. Puis ils me ramenèrent ou nous avions pieds, alors Grégorie écarta mes cuisses et passa entre, il me tenait par les fesses, et jai senti avec bonheur son sexe entrer dans mon vagin. Alors Pierre derrière mois recommença à introduire un doigt, puis deux dans mon anus, puis il remplaça ses doigts par son sexe, je le sentais envahir mon intestin, alors ils se sont mis tout les deux à me faire monter et descendre sur leur sexe. Cest la première fois que lon me sodomisait. Jai eu alors deux orgasmes successifs, et jai senti leur semence couler en moi.
Nous sommes remontés sur le bord de la piscine, jétais épuisée, Marie avait fait lamour avec Bernard. Je me suis allongée un peu honteuse sur un transat. Marie cest approché de moi, et ma dit et bien dit donc, tu ne vas pas me dire que tu as passé un mauvais moment !!!! Je nai pas répondu, simplement un sourire, jamais je navais eu une telle jouissance. Nous avons bu un coca, tout le monde était resté nu, le sexe des garçons avait repris de la vigueur, jétais à plat ventre sur le transat, Marie sapprocha de moi, et commença à me caresser le dos, puis les fesses, ses doigts passaient entre en meffleurant, je ne bougeais plus, je me laissais faire, cela mexcitait, puis ils glissèrent jusquaux lèvres de mon sexe quelle titillait, jécartais les cuisses instinctivement, mes jambes pendaient de part et dautre du transat, je lui offrais mon sexe grand ouvert comme une véritable salope.
Depuis Marie organise des après midi cochons et je ne peux plus men passer. Je nai rien pu dire à mon mari, mais je laime malgré tout toujours autant. Surtout ne me jugez pas, Merci.
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