Deuxième Expérience.

Bonjour à tous, je vous avais fait part il y a peu de notre histoire, à ma femme Patricia et moi, que nous avions connu avec Marc, un ancien ami d’école. Comme je vous l’avais expliqué, nous nous étions un peu lancés dans l’exhibitionnisme mais plus dans le triolisme. Et, pourtant, souvent, quand nous faisions l’amour, nous évoquions la possibilité d’y regoûter.
Et cela est arrivé, un jour où nous ne nous y attendions vraiment pas, et, surtout, avec une personne que nous n’aurions jamais pensé.
Je vous invite néanmoins à relire notre première expérience avant de vous lancer dans celle- ci.

Comme chaque samedi matin, nous nous rendons à notre salle de sport. Une petite salle où tout le monde se connaît. Il n’y a que quelques instruments mais la salle est souvent assez vide. Ce matin, d’ailleurs, nous ne sommes que cinq. Patricia est la seule fille. Elle a, comme à son habitude, son petit short collant et un top rouge. Une fois de plus, elle attire les regards, c’est vrai qu’elle est sexy ainsi, voire excitante. Mais elle ne s’en occupe pas et rejoint le tapis roulant et commence sa course. Moi, je me positionne sur un des deux vélos, aux côtés de Thierry. Thierry est un homme d’une quarantaine d’années, au physique banal, médecin généraliste de profession. Il me parle mais je le vois mâter le derrière de ma femme qui nous fait dos. Je ne le relève pas et continue à lui parler comme si de rien n’était.

Au bout de dix minutes, Patricia arrête sa course et commence les abdos.
- Ouh, ta femme fait bien mal ses abdos ! me dit Thierry.

Sur ce, il se lève et va s’agenouiller à côté d’elle. Il lui explique et la regarde faire.
- Tu sens que ça fait de l’effet là ? lui demande- - t- il posant sa main sur son ventre nu.

Du vélo, je regarde la scène et ne peut m’empêcher d’avoir des idées plein la tête.
Elle en fait une cinquantaine, avant de s’écrouler, se tenant le ventre.


- Tu vois ? Ca fait de l’effet au moins !

Il a toujours sa main sur le ventre et le caresse.
- Cava passer !

Entre- temps, la salle s’est vidée et nous ne sommes plus que trois.
- Je vous offre à dîner ? proposa le médecin.

Nous acceptons. Chacun regagne sa cabine et se change.
Patricia a un pantalon blanc assez transparent et on devine assez facilement le string rouge en- dessous. Nous n’allons pas bien loin. Il y a un petit restaurant italien dans le parc où se trouve la salle.
Thierry propose à ma femme de s’asseoir près de lui. Elle n’ose décliner l’invitation.
Le repas est délicieux et nous discutons d’énormément de choses. Le médecin vit seul depuis deux mois. Il vient de se séparer de sa femme. Il nous propose d’ailleurs de passer l’après- midi chez lui. Patricia aimerait rentrer pour prendre un bain. Mais Thierry arrive à nous convaincre qu’il dispose d’une énorme baignoire et qu’elle se lavera chez lui. N’ayant rien de prévu, nous acceptons.
Thierry paie l’addition et chacun regagne sa voiture. Nous le suivons.
- Quand il a parlé de l’énorme baignoire, tu penses qu’il voulait dire que nous irions à trois ? demandais- je à ma femme.
- Je n’en ai aucune idée.
- Et si c’était le cas, tu accepterais ?
- Ben, moi je m’en fou. Me montrer nue, ça ne me gêne pas. Mais il n’y aura rien d’autre.

A peine sommes nous arrivés chez lui qu’il nous propose de gagner la grande baignoire dans laquelle l’eau coule déjà. Il va chercher une bouteille de champagne.
Quand il revient, nous sommes déjà assis, sous la mousse dans cet énorme bain.
Sans pudeur, il se déshabille. Son sexe n’est plus à sa taille minimum, sans pour autant bander à fond. Il nous sert des coupes de champagne et s’assied, plus ou moins entre nous deux, sur le bord de la baignoire. Moi, je ne peux m’empêcher d’observer son sexe. Non pas que j’en ai envie, mais il m’intrigue. Patricia détourne son regard.
Nous buvons nos verres et recommençons à discuter.
Il devait savoir ce qu’il faisait car une fois son verre fini, il vint s’asseoir près de mon épouse et l’embrassa dans le cou sans qu’elle ne réagisse. Elle qui ne voulait rien faire dans l’auto avait été tentée par sa simple présence.
Il lui glissa quelque chose dans l’oreille, elle sourit, me regarda et sourit.
Le médecin s’assit de nouveau sur le bord, elle s’agenouilla devant lui et avala son sexe. Cette fois, il bandait. Moi aussi d’ailleurs.
Elle commença à le pomper doucement, lâchant de la salive et de gros coups de langue.
Je m’approchai alors, plaqua ses cheveux derrière sa tête et lui tint la tête afin de l’aider dans ses va et viens. Cette fois- ci, c’était du pur pompage. On voyait le pénis se tremper de la salive que ma femme aspirait à chaque fois. Je bandais comme un porc, abusé.

Je saisis alors Patricia, l’assit sur le rebord et invita Thierry à la pénétrer. Qu’elle faisait chienne ainsi les jambes écartées pour un autre homme. Le pénis rentra facilement et il la saisit par les cuisses pour commencer son travail. Il y allait sans retenue et les assauts étaient violents. Elle jouissait terriblement, la bouche entrouverte, expirant profondément. Elle me fixait dans les yeux, moi, en train de me branler.
Je m’approchai d’elle, lui fit descendre le cou et me fit pomper. C’était assez régulier. Elle avait dur avec les assauts qu’elle subissait en dessous.
Mais Thierry vint tout interrompre. Il la fit s’agenouiller dans l’eau et se refit pomper jusqu’à éjaculation. Elle fit l’effort de tout prendre en bouche mais recracha. Elle ne connaissait pas assez le médecin que pour avaler son jus. Mais ce fut tout de même les lèvres pleines de sperme qu’elle me suça pour qu’à mon tour, je jouisse. Cette fois elle avala une bonne partie, avant de nous sourire bêtement à tous les deux. Elle était belle souriante, sur son corps bronzé, du jus sur la bouche. Je ne pus résister à l’embrasser à pleine langue.
On se rassit tous les deux dans l’eau et elle tripota nos pénis pour les nettoyer.

Nous ne nous sommes pas attardé chez le médecin. Nous avons regagné notre chez nous, des idées plein la tête mais des désirs assouvis.

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