La Maison D'Hôtes 03 Bien À Fond

La maison d'hôtes 03
Bien à fond


A ce moment j'ai un peu paniqué, j'étais à poil le visage couvert de sperme, je bandais. J'ai tout de suite pensé à ma mère ou à mon père, s'il nous surprenaient dans cette position j'étais mort !

Je vous jure que là, avant de m'engueuler grave ils m'auraient tué. Et pour Baptiste c'était pareil, il est devenu tout pâle … Au bruit on pouvait deviner que la voiture ne s'arrêtait pas, elle démarrait, elle s'en allait.

Mon cœur s'était arrêté, je ne respirait plus. Je me glissait ver le coin du mur et je voyais en effet la voiture de ma mère qui s'éloignait et elle quittait la propriété.

Je revenais. Baptiste était tétanisé, il ne pouvait plus bouger.

– C'est rien, c'est ma mère, elle avait sans doute oublié quelque chose et elle repart.
– Elle t'a vu ?
– Non, pas de risque !
– Heureusement !
– Ah c'est vrai je suis à poil.
– Il n'y a pas que ça ! Il me montrait le miroir juste à côté de moi.

Je ne vous dis pas, j'étais pas beau à voir. Heureusement qu'elle ne m'avait pas vu. J'avais le visage et les cheveux couverts de sperme, on l'avait échappé belle cette fois.

On ne traînait pas on attrapait nos vêtements et on se précipitait sous la douche. On s'est frotté le dos mutuellement, on s'est shampooiné aussi mutuellement, on s'est lavé mutuellement quoi. Mais je vous jure que là, je ne bandais plus mais plus du tout malgré la douche et ses caresses. Baptiste non plus. On s'est bien rendu présentable l'un l'autre puis on s'est rhabillé. Au cas ou.

J'avais remis mon pantalon, j'avais oublié mon sous vêtement sur le coup mais c'était pas grave, je me sentais bien et je ne l'ai pas remarqué tout de suite. Baptiste lui aussi à juste remis son short. Puis on est revenu sur la terrasse couverte.

J'ai rebranché la console.

On est resté là pendant un long moment, on ne disait plus rien.

On n'a décidé de se lever pour passer à table. Mes parents nous avaient laissés mais avaient pensé à nous, on avait un repas froid de prêt. Et puis il faut bien se dire qu'on était de grands garçons, vu les jeux que nous avions entre nous, vous vous en doutiez.

Mais je ne vous dis pas ça nous avait calmé et là je ne bandais pas, non là je ne bandais plus. J'ai pas bandé du reste de l'après midi. Et puis je me sentais bien, c'était un peu comme si j'avais joui avec intensité. Je me sentais vraiment bien.

Baptiste devait être dans le même état que moi, on retrouvait notre calme. Surtout que lui s'était vidé les couilles et pas moi. Pas moi depuis deux jours, deux jours pendant lesquels il s'était vidé les couilles à mes dépends. Bref tout ça pour dire que lui devait ment se sentir plus détendu que moi.

Pourtant moi, je me sentais bien, terriblement bien.

Le reste de la journée, l'après midi, on a sorti les vélos et on a fait quelques kilomètres. Quand on est revenu on était sur les rotules. Nos parents étaient en train de discuter sur la terrasse ouverte. C'est de l'autre côté de la maison que se trouve la terrasse couverte c'est là que j'ai installé mon jeux vidéo. Quand il ne pleut pas, ou le soir, la terrasse ouverte est plus agréable. Moi je préfère la terrasse couverte, c'est plus intime …

On les a rejoint, on a discuté longuement. Ma mère semblait indisposée. Je lui ai demandé si tout allait bien, elle a éludé la question. Mais je sentais bien que quelque chose n'allait pas.

Puis on a terminé la soirée tranquillement, j'étais en demie-vacances. Il fallait que j'aide à la maison, mais ce n'était pas trop contraignant et je m'exécutais sans me plaindre. Le matin je cueillait les fruits et légumes, je préparais les colis pour nos clients, il y avait aussi le ramassage des œufs qui avait tant épaté Baptiste …

J'y pensais le lendemain matin en nettoyant le poulailler. Baptiste était avec ses parents, ils avaient absolument voulu qu'il les suivent au village, c'était jour de marché.


J'étais tout seul à la maison et pourtant je bandais comme un fou. J'avais une violente envie de ma branler en pensant à Baptiste. C'est vrais que ce garçon était vraiment canon. Il était pas futé mais il était canon ! Et puis si vous avez suivi, depuis deux jours je ne m'étais pas vidé les couilles pourtant on s'était bien excité l'un l'autre. Il m'avait éjaculé sur la figure, je l'avais longuement sucé, lui beaucoup moins d'ailleurs, il m'avait généreusement juté dans la bouche pendant que je le suçais … Et moi, que dalle, je ne m'étais pas vidé les couilles.

Pourtant je me sentais bien, j'avais à la fois envie de me branler et envie de rester comme ça et d'attendre que mon nouveau copain me donne l'occasion de juter, ce sera plus agréable à deux.

Pendant le reste de la matinée je gardais une grosse molle qui gonflait et dégonflait dans mon pantalon ample et qui se faisait remarquer à chacun de mes mouvements. Oh, ça ne se voyait pas mais moi je le sentais, je le sentais bien même. Et au moment ou j'ai vu arriver Baptiste.

Il était encore plus craquant que quand il était parti, ses parents lui avaient acheté un pantalon en jeans, je ne vous dis pas le cul que ça lui faisait, et vue de face, j'ai senti ma queue qui hurlait de désir, ça le moulait bien, ça restait convenable mais il était sexy. Il avait aussi une nouvelle chemise et un chapeau de cow-boy … Je vous jure … J'avais soudainement une violente envie de faire du rodéo …

J'étais libre l'après midi. On décidait de se faire une balade dans la nature. Chacun son vélo et on était parti. Je le suivais, je préférais le suivre, il était trop beau et j'en profitais pour le regarder, je regardais ses cuisses travailler quand il pédalait et en même temps je bandais comme un fou.

Je connaissait un coin tranquille ou on pourrait se baigner et s'amuser un peu entre nous. Je me voyais déjà lui sucer la queue, surtout que la bosse que révélait son nouveau pantalon me mettait en appétit.
Il a tout de même fallu que je réajuste ma queue dans mon pantalon, je bandais et c'était pas toujours agréable pour pédaler.

On arrivait, c'était un endroit isolé, un endroit presque frais ou coulait une branche de la rivière. Je m'imaginais déjà batifolant dans l'eau, à poil avec mon Baptiste dans les bras … Mais pas de bol, il y avait foule !

J'avais découvert ce coins en dehors de la saison touristique, et c'est vrai qu'il y a quelques semaines c'était calme. Là c'est moi qui était calmé. Au moins on pouvait se baigner à poil, c'était déjà ça. Il y avait un coin ou tout le monde était à poil.

On est donc revenu beaucoup plus tôt que prévu, on s'est retrouvé avachi devant le jeu vidéo sur la terrasse couverte. Nos parents étaient absents, tous les quatre. Nous n'avions remis que nos pantalons, et je voyais cette forme allongée qui se dessinait si bien sous le nouveau pantalon de Baptiste. Moi je portais toujours un pantalon très ample, mais le tissus était également très fin et selon la position que je prenais, soit on voyait bien ce qui se passait, soit on ne pouvait rien deviner.

Baptiste me lançait un regard que je devinais coquin. La seconde suivante il était à poil et son pantalon, avait atterri à l'autre bout de la terrasse. Je lui lançais à mon tour un regard un peu vicieux et je faisait de même.

Il ne me laissait pas le temps de m'asseoir et se retrouvait à genoux devant moi, il me prenait la queue dans la bouche. Il ne m'avais rien demandé, mais je vous jure que je n'ai pas protesté.

Sans même m'en rendre compte je gémissais de plaisir. Il faisait ça tellement bien ce petit gars. Il avait plus d'expérience que moi et je voyais ma queue entrer et glisser dans sa bouche avec douceur, je la sentait s'écraser au fond de sa gorge. Je ne sais pas ce qu'elle rencontrait, la glotte, le fond de la gorge, je ne sais pas ce que je touchais mais c'était doux, chaud et humide.

Il avançait son visage vers moi et l'écrasait contre mon ventre, je lui caressait les cheveux, je n'osais même pas appuyer sur sa tête.
Je le laissais faire, sans résister, sans l'attirer, j'étais totalement passif. J'étais totalement offert à mon plaisir, le plaisir qu'il me donnait. Qu'il me donnait enfin.

Je lui avais pardonné de s'être amusé avec moi depuis deux jours sans se préoccuper de mon propre plaisir. J'étais aux anges.

Puis il s'est relevé et m'a pris dans ses bras, on s'est embrassé pendant un long moment, on se serrait l'un contre l'autre, on se caressait. On se couvrait de baisers, sur les lèvres bien sûr mais pas seulement. Il m'embrassait sur tout le corps en commençant par les épaules.

Je lui rendais chacun de ses baisers, chacune de ses caresses. Je fermais les yeux et je m'abandonnait totalement à mon plaisir. Sa peau était douce, c'était tout nouveau pour moi ce genre de contact mais je ne vous dis pas comment on s'habitue vite. J'en redemandais et j'étais disposé à donner aussi.

Il s'allongeait sur le sol, il y a une sorte de gros coussin qui peut se déplier. Il m'entraînait vers lui et nous roulions l'un sur l'autre. Il passait sur moi, me caressait, m'embrassait, me suçait la queue puis c'est moi qui roulait sur lui et je lui rendait alors les câlins qu'il m'avait donné.

Les baisers devenaient plus intense, il me mordait, sans me faire mal, mais il me mordait et je sentais ses dents qui me pinçait la peau. C'est très agréable si on y va tout doucement, on ne doit même pas, surtout pas laisser la moindre trace.

Je le mordillais à mon tour. Nous gémissions de plaisir et nos deux corps se caressaient l'un l'autre. La peau est douce contre la peau.

Par moment nous faisions comme une pause et là, allongés l'un à coté de l'autre je me perdais dans ses yeux, je lui souriais et je me perdais dans son sourire.

Nos mains parcouraient le corps de l'autre, puis on reprenait, la fièvre du plaisir nous reprenait. Il se retournait sur le ventre …

– Vas y prend moi !

Je n'ai pas compris tout de suite ce qu'il me demandait. Il répétait.

– Vas y prend moi ! Encule moi !

J'hésitais, c'était une nouvelle première pour moi. Trois jours plus tôt j'étais puceau, j'avais bien un peu flirté mais uniquement avec des filles, ça ne comptait pas vraiment. Il avait du gel, j'en avais entendu parler et je vous jure, c'est rudement efficace ce truc.

Il m'en passait sur la queue, il s'en passait sur le cul …

– Vas y maintenant. Vas y doucement au début mais vas y.

Mon cœur battait très fort à ce moment, je prenais position et je poussais.

Ma queue glissait dans son cul, il n'y avait aucune résistance mais c'était étroit, ma queue se retrouvait très agréablement écrasée. Il a hurlé, je me suis enfoncé à fond. Il râlait, il gueulait et je ne suis pas sûr que c'était de plaisir.

– Arrête, arrête. Tu me fais mal …

Je ne bougeais plus, il faisait une grimace terrible. En fait à ce moment je pensais surtout à mon plaisir et je n'avais pas du tout envie de me retirer avant d'avoir joui.

Sa respiration redevenait plus normale. Je me retirait légèrement, il faut dire que j'étais à fond. Mon ventre était écrasé sur ses fesses.

– Il faut y aller doucement.

Sa voix était crispée. Je ne bougeais plus de nouveau. Il se détendait. Lentement, je me retirait lentement, dès que je bougeais il se crispait de nouveau. Il serrait les dents et parvenait à articuler '' Doucement, vas y doucement ''. Je ne me retirais pas totalement, ça je ne voulais pas.

Quand je l'ai senti se détendre totalement je suis revenu en force. De nouveau j'ai enfoncé ma queue bien à fond, mon ventre s'écrasait de nouveau contre ses fesses. Et de nouveau il a hurlé, il faut dire que j'y étais allé un peu fort. J'avais poussé, un coup de bassin qui m'avait échappé …

– Excuse moi, j'ai glissé …
– Tu es un enfoiré ! Là il râlait.
– Sinon, ça va ? Demandais-je bêtement.
– Non ça va pas, tu me fait mal.
– Toujours autant ?
– Moins mais … T'es vraiment un enfoiré !

Oui je sais au niveau discussion … Mais bon, j'avais ma queue enfoncé douillettement au fond de son cul et j'avais pas envie de sortir … Il fallait bien dire quelque chose.

– Arrête, retire toi, tu me fais vraiment trop mal !

Là j'avoue, il a fallu qu'il me le répète. C'est vrai quoi, j'étais bien moi. En plus j'étais allongé sur lui et son corps était doux, je m'en servais comme d'un coussin.

Je me suis retiré.

– Ça va ?
– Enfoiré !
– Oui mais ça va quand même ?
– Laisse moi respirer, laisse moi récupérer.

Je ne savais pas ce qu'il allait dire, je pensais que ça serait fini pour aujourd'hui, mais, quelques minutes plus tard.

– Vas y on y retourne. Tu t'enfonces en douceur et ensuite tu montes en puissance. C'est comme ça qu'il faut faire !

Alors là il n'a pas eu besoin de le répéter … Je bandais toujours autant et de nouveau je me suis glissé en lui. Ça résistait moins, bien moins. Il gémissait toujours mais ce n'était pas pareil, il me semblait que là il appréciait. Il faisait encore des grimaces mais j'avais vraiment l'impression qu'il y prenait du plaisir.

J'ai donné un coup violent au moment ou j'arrivais au fond. Il a gueulé mais n'a pas essayé de se dégagé. Je me suis retiré puis je suis revenu, en force, toujours en force.

Quelques minutes plus tard je lui limais le cul avec force. Là je ne pensais plus à rien je me laissait aller, je me lâchais. Il encaissait, il râlait, et c'était du plaisir, ça j'en suis sûr.

Il se redressais sur les genoux, à quatre pattes. Je me retrouvais derrière lui à le limer de toutes mes forces. Je me penchais sur lui, le caressait et lui tripotais la queue il bandait toujours et il jutait. Au moment ou je caressais son gland il a éjaculé, il s'est mis à trembler, il à gémi. J'avais presque l'impression qu'il sanglotait.

J'ai alors limé encore plus fort et quelques instants plus tard, je jouissais dans son cul. C'était le pied, je n'avais jamais senti un tel plaisir. Je me laissais tomber sur lui, il se laissait tomber sur le coussin.

Pendant un long moment on ne bougeait plus. C'est un peu plus tard encore que ma queue sortait toute seule de son cul, je débandais.

A suivre

N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast

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