La Galanterie A Toujours Sa Place

Montréal, Québec, Canada



J’aime aller dans les clubs pour rencontrer. Les femmes que l’on y trouve sont toujours une nouvelle aventure remplie de surprise et plusieurs de mes meilleurs souvenirs proviennent de ces histoires spontanées.


Le soir que je l’ai rencontrée, l’ambiance était parfaite. Sur la piste de danse, je l’ai remarquée, elle était chaude et sensuelle. Elle dansait avec une amie. Un léger maquillage accentuait sa bouche et ses yeux. Ses lèvres étaient d’un rouge clair. Plutôt petite, elle m’arrivait à peu près au menton. Sa blouse blanche était serrée sur sa poitrine et laissait bien deviner la forme de ses seins. Ses fesses bougeaient au rythme de la musique, elle les faisait rouler et les agitait de bas en haut à une vitesse folle. Elle portait une jupe soleil courte, très courte. Des gouttelettes de sueur luisaient sur ses jambes. Quel spectacle au centre de la piste !

À regarder au tour de moi, je n’étais pas le seul à l’avoir remarquée. Plus le temps passait plus elle dansait sensuellement avec sa compagne presque érotiquement. Les hommes se sont rapprochés, et ils ont commencé à se frotter contre elle. Ce n’est pas ma tactique, lorsque je courtise une femme. Je préfère établir mon désir par un regard et la laisser venir à moi. ( ceux qui m’ont déjà lu savent que je pratique les art martiaux, cet entraînement rigoureux m’a forgé un corps athlétique et musclé, ça joue en ma faveur ) Ils viennent se presser contre elle avec plus d’insistance, plus d’un tente de se placer derrière elle et de coller son jolie cul. Mais elle les ignore tous, et chaque fois, elle change de place.

Ce petit manège continue, d’autres hommes risquent leurs chances, sans plus de succès que les premiers. À chaque fois elle refuse de danser avec eux. Mais lorsque sa partenaire de jeu s’éclipse vers les toilettes, subitement le vent a tourné en ma faveur…

Elle continuait à danser seule, lorsque deux grand noirs sont venus la coincer entre eux, l’un devant l’autre derrière.

Ils devaient bien faire une tête de plus que moi, donc deux de plus qu’elle. Et ces deux cons l’encerclaient de leurs bras et baladaient leurs mains sur elle. Elle tentait de les ignorer comme tous les autres depuis le début de la soirée. Ces deux là n’étaient pas prêt à abandonner une si jolie fille, qui de plus semblait pleine de promesses. Mais elle semblait de plus en plus vouloir leurs fausser compagnie, mais ils l’empêchaient de sortir de leurs bras et jambes.

Croisant son regard, je lui tant la main pour la libérer. Sans perdre une seconde, elle att cette bouée de sauvetage que je lui offre et elle vient se coller contre moi. Elle appuie son dos contre mon torse saisie ma seconde main et on se retourne laissant les deux noirs derrière moi. Sans un regard de plus vers eux, nous continuons à danser. Je lâche sa main droite et pose la mienne sur son ventre te la tire vers moi. C’est ainsi enlacés que son amie nous voie lorsque elle revient. Sans qu’elle ne me quitte, elles recommencent à danser ensemble. Aucune parole ne fut échangée.

Notre trio change souvent de positions, mais jamais son corps ne quitte le mien : parfois face à face, parfois ses jambes autours des miennes, par fois son cul qui bouge au niveau de mon sexe, parfois serrées entre les deux filles le bonheur quoi !

La soirée tire à sa fin, elle me tire vers la sortie. Avant d’embarquer dans un taxi, elle embrasse sa compagne, lui glisse un murmure à l’oreille. Je n’ai pas entendu ce qu’elle lui a dit, mais l’autre a bouffé de rire et m’a lancer un regard langoureux et rempli de sous-entendus. Nous sommes entrés dans notre taxi sa compagne dans le sien. Elle dit une adresse au chauffeur. Toujours en gardant le silence entre nous elle se retourne vers moi, et nous nous embrassons avec passion. Mes mains parcourent ses hanches, ses fesses et ses seins. Sa langue fouille ma bouche. Lorsqu’elle pose sa main sur ma cuisse je la tire à moi et passe mes bras dans son dos. Elle remonte sa main vers mon sexe qui commence à grandir dans mon jeans.

Le taxi s’arrête, je règle la facture. Tout en continuant à nous embrasser, nous montons au deuxième dans son appartement. Dès la porte refermée, debout au centre de la pièce, je glisse mes mains sous sa blouse derrière son dos à la recherche de l’agrafe qui retient son soutient gorge. Mais avant que j’aie le temps de libérer ses seins ronds, elle retire mes mains de son dos et de sous sa blouse. Et elle me dirige vers la chambre à coucher. D’une solide poussé, elle me fait tomber sur le lit. Mais elle ne vient pas m’y rejoindre, elle se tourne vers la commode et met de la musique. Elle choisit une musique un peu jazzée et très sensuelle. Elle danse pour moi en se déshabillant. J’ai le droit à un strip-tease d’enfer. Tout en retirant ses vêtements, elle se carasse. Puis une fois nue, elle monte dans le lit. À cheval sur mon sexe, elle retire ma chemise et caresse mon corps de ses mains. Elle se penche pour m’embrasser créant un espace entre mon corps et son sexe. J’en profite pour glisser une main derrière ses fesses pour venir la caresser. Mais elle recule hors de ma portée laissant sa langue descendre le long de mon torse. La tête arrivée à la hauteur de mon nombril, elle défait ma braguette. Elle se sort au pied du lit et tire sur mes pantalons. Mon jeans enlevé, mon sexe pointe droit comme une barre, je ne porte jamais de sous vêtements. Elle remonte dans le lit à quatre pattes. Balançant ses hanches de gauche à droite et cabrant les reins, elle marche comme une chatte partout sur le lit et sur moi. Elle est vraiment belle, ses cheveux encadre son visage et voilent légèrement ses seins. Sa position accentue les rondeurs de ses fesses et j’ai vraiment envie d’elle. À toutes les fois qu’elle passe à ma portée, je la caresse, la lèche ou l’embrasse.

Elle arrête sa démarche féline placée à 90 degrés de moi, la tête à la hauteur de mon sexe qui la réclame. Elle se couche la tête sur mon ventre. Je ne vois plus son visage, mais j’admire son dos j’aimerais la prendre par derrière. Sa taille se rétrécie formant cette croupe si sexy, je ne vois que le début de la fente de son cul. Je sens son souffle sur mon sexe, ses mains caresse très doucement le haut de mes cuisses et le bas de mon ventre. Elle effleure mon pénis des couilles jusqu’au gland. Un frisson parcourt mon sexe qui se redresse encore plus. Elle pose sa main sur mes couilles et commence à les masser avec délicatesse. Sa langue donne un premier coup de langue sur mon gland. Puis elle souffle un petit jet d’air sur la zone humide. Mon pénis saute par lui-même en voulant plus. Furtivement elle me donne plusieurs petits coups de langue, parcourant ma queue.

Couché sur le dos, je ne peux que toucher son dos et le haut de ses fesses. Je glisse mes doigts le long de sa colonne vertébrale aussi sensuellement qu’elle me suce. Elle appuie sa bouche contre mon gland et tranquillement ouvre les lèvres pour commencer à engloutir mon sexe. Un centimètre, pas plus, puis elle remonte jusqu’à l’extrémité de mon sexe, le laissant à l’aire libre. Elle couvre en suite ma queue et mes couilles de ses petits coups de langue rapides et précis. Prenant une pose encore une fois, elle souffle légèrement sur mon sexe le faisant frissonner de plaisir. Me branlant lentement, elle reprend sa fellation, un peu plus loin cette fois. Ses lèvres serrent la base de mon gland. Je demeure ainsi prisonnier de sa bouche. Elle continue à me caresser de ses deux mains, tandis qu’à l’intérieur de sa bouche sa langue me donne mille plaisirs. Elle alterne les moments ou elle me suce sensuellement et ou elle remplie mon sexe de baisers.

À chaque passage, elle glisse mon pénis de plus en plus dans sa bouche. À force d’un tel traitement, tout mon corps est en ébullition, tout contact de ses cheveux sur mon ventre ou de ses mains sur mes jambes est une extase. Sans parler de la jouissance à la quelle mon sexe est soumis. Sa bouche est maintenant à la moitié de mon membre. Elle remonte tranquillement, arrivée à la hauteur du gland, elle serre un plus les lèvres et replonge vers mes couilles. De sa bouche elle entame en rapide vas et vient le long de mon sexe. L’une de ses mains suit le même parcours et l’autre me malaxe les couilles.

La chaleur de sa bouche envahie mon sexe. Je ne rêve que d’une chose : exploser dans sa bouche. Pour plus de confort, elle remonte sur ses genoux et vient se placer à quatre entre mes cuisses. Elle prend mon sexe en bouche jusqu'à la base des couilles. D’une mains elle me branle et elle glisse l’autre entre ses cuisse pour se caresser. Ma queue est gonflée, je sens que la sève monte. Elle sent rend compte, et elle ralentie la cadence. Elle me maintient au bord de l’orgasme, mais sans me faire jouir. Elle accélère m’amenant à la limite du plaisir avant le point de non-retour, puis ralentie pour quelques coups profond et puissant de sa bouche avant de reprendre de la vitesse, c’est la plus agréable que j’aie connue. Je monte et descends mes hanches pour accélérer les va et vient de ma queue dans sa bouche. Je veux jouir, je dois jouir ou sinon je deviens fou …

Comprenant ma détresse, l’anneau de ses doigts se resserre sur mon sexe, pour une dernière fois, elle entreprend une série de d’aller retour de sa bouche et de sa main à une vitesse folle. Je soulève mon bassin et, les mains derrière sa nuque, je tire sa tête sur mon sexe. Comme un coup de canon l’orgasme traverse mon sexe et mon corps. Elle ne s’arrête pas de me sucer pour autant, long temps après ma jouissance elle ralentie. Finalement elle libère mon sexe de sa bouche. Toujours à quatre pattes entre mes jambes, elle remonte vers moi avec cette même démarche féline et sensuelle. Elle vient se coucher contre mon torse. elle approche sa bouche de mon oreille :

merci.

Ce fut le seul mot que nous avons échangé. Ensuite lorsque mon sexe a repris des forces, nous avons fais l’amour. ce n’est qu’au lendemain matin que nous nous sommes présenter

Voici la preuve que la galanterie a toujours sa place de nos jours.


À la prochaine,

Amicalement
Polichinel