C'Est L'Été
Lété est une période privilégié pour faire des rencontres, tout le monde le sait.
Mais cest aussi pour moi celle où je dois mingénier à me camoufler, pantalons de toile larges, tee short tombant sur les cuisses, voire poncho quand le temps le permet.. Pas de plage, ni de piscine pour éviter les problèmes et la gêne qui se lit dans le regard des gens que je croise.
Lhiver, par contre, est pour moi la saison où je me décontracte le mieux lorsque je suis dehors. Pantalon toujours large mais jagrémente cela dun chandail ou dun pardessus, genre Colombo.. Inspecteur Gadget.. euh
rien à voir avec les exhibitionnistes ou autres, mais pas le choix, faut faire avec. Cest, il faut le dire , lhabit le plus en adéquation avec mon problème. Dhabitude jattache mon pénis à ma cuisse avec des liens en cuir, mais en pardessus et pour quelques courses en extérieur, je laisse toutes ces contingences de côté et je pars à laventure tranquille et détendu. Essayez avec une bouteille deau (1,5 l) le long de la cuisse de votre pantalon.. alors que vous même êtes déjà dedans.. ça rassemble les foules.. lol
Il mest très souvent arrivé dêtre remarqué et dévisagé dans la rue, des hommes ou des femmes. Certains détournent le regard et feignent lindifférence, dautres insistent et cherchent à vérifier leurs premières impressions.. traversant même la rue et sarrangeant pour repasser devant moi.
Le regard devient insistant et je me suis déjà vu poursuivi par quelque unes de mes rencontres.(des hommes principalement
à mon grand dam..) Dans des lieux publics plus intimes, soirées, restaurants, bars, concerts, bureaux , je me suis même vu interrogé sur la trop importante excroissance qui maffuble et qui suscite toutes les curiosités. Lapproche est très souvent assez directe et seulement destinée à étancher le curiosité.
Jai rencontré aussi des femmes qui ne pouvaient rater loccasion de messayer.
Lune delle, la dernière en date en réalité, a joué de tous ses atouts pour me coincer et arriver à ses fins.
En vacances sur la côte dAzur, jallais régulièrement dans une supérette pour faire les achats courants.. La dernière semaine il pleuvait à verse et jétais avec mon poncho.. détaché de mes liens malgré un pantalon de toile légère qui me trahissait facilement.
Cherchant dans les rayons un article absent, jai demandé de laide à une employée qui se trouvait à proximité et que javais souvent croisé dans le magasin. De petite taille, assez mince et très brune, son visage exprimait toute la lassitude que ce type de job procure. Lennui. Ses mains étaient fines et son regard noisette avait qq chose de mystérieux. Ses cheveux étaient attachés et cela lui donnait un aspect pour le moins sévère.
Elle proposa daller dans larrière boutique pour vérifier dans les stocks si le produit était disponible. Arrivé devant la porte plastique de larrière boutique, jai marqué un arrêt. Elle est entrée et quelques instants plus tard ma appelé, visiblement pour récupérer le produit situé trop haut dans leur rayonnage.
Jai gravi une palette et ai commencé à arracher un emballage plastique pour récupérer ma boite de conserve.. Ses yeux ne quittaient pas mon entre jambe depuis que javais passé la porte et maintenant que jétais situé juste au niveau de son visage, elle faisait rouler ses yeux sur ma jambe. Cest elle qui aborda le sujet, avec beaucoup de tact et une timidité toute féminine.
Vous êtes ici en vacances ? me dit elle, levant doucement le regard vers mon visage.. pour entamer un semblant de discussion. La question, pourtant saugrenue à ce moment là, me paru toute naturelle malgré son regard plein dinterrogation et avide de continuer à me détailler.
De nouveau, le regard fixé sur mes parties, elle me demanda si je cachais qq chose.
Jai alors compris où elle voulait en venir
elle pensait sans doute que javais dérobé un article en magasin et le planquais dans mon futal. Jai souri et lui ai dit dune traite, sans lui laisser le temps de répondre.
Visiblement très impressionnée, elle balbutia en retirant sa main : cest incroyable, je nose pas imaginer que cest vrai.. jy crois pas.. vous me faites marcher. Elle promenait son regard dans les allées des rayonnages tandis que je descendait de mon perchoir. Mon excitation commençait à redresser mon pénis et lensemble tirait sur le tissus de mon pantalon et me faisait paraître ridicule. Ma verge venait maintenant se positionner sur ma cuisse et mon gland caressait ma rotule accentuant la bosse habituelle au genou du pantalon.
Je lui ai alors affirmé que cétait malheureusement la triste vérité et que jétais très souvent confronté à cette situation. Je lui ai ensuite donné mes mensurations.
Elle restait là, le yeux baissés sur la monstruosité qui se développait encore devant moi, incrédule. On aurait dit que javais levé la cuisse gauche maintenant. Je ne pouvais plus paraître en public malgré mon poncho.. Je lui ai fait part de problème. Elle a souri pour la première fois et
ma proposé daller dans les vestiaires proches où se trouvait une cabine dhabillage.
Je suis entré dans la cabine à regret. Fermant la porte, je lai entendu me dire.. je reviens !
Jai attendu seul.. les minutes étaient interminables et ses derniers mots avaient fini de redresser ma verge. Accroupi dans cette cabine, jai cherché à trouver une position idéale qui me permette de me détendre.. dattendre.. de longues minutes qui mont semblé une éternité.
Un bruit de pas signala sa présence et elle frappa à la porte. Jai ouvert. Son regard avait changé.. il était .. plus doux
détendu.. plus
mystérieusement féminin. (difficile à dire..)
Elle est entré, a fermé la porte à clef et a immédiatement chuchoté quelle voulait me voir. Jai alors baissé mon pantalon .. Nous étions assez serrés dans la cabine.. Jentendais son souffle qui saccélérait .. Lélastique de mon pantalon retenait encore mon pénis. Baissé jusquà mi cuisse on ne pouvait pas voir grand chose dans cette demi pénombre si ce nest son importante grosseur qui le confondait à mes cuisses. Elle sest abaissé et a pu jouir du spectacle. Jai arrêté de me déshabiller, pantalon à mi cuisse, jai mis ma tête en arrière et mes mains le long de mon corps comme pour linciter à continuer. Quelques instants se sont écoulés dans un silence excitant , sans quelle ne porte les mains sur moi. Elle observait mon entre jambe et nosait encore croire à cette extravagance. Elle fit pression sur mon pantalon qui tomba à mes pieds, dégageant enfin entièrement mon sexe qui se releva brusquement à hauteur de son visage. Elle eut un mouvement de recul et se planta là.. , à observer et à murmurer .. , cest fantastique, çest de la folie.. elle est gigantesque et très belle. Cest impossible davoir ça.. tu as eu une maladie ? tu tes fait opérer ?..
Jai très envie delle mais je ne pense pas pouvoir.. cest trop important.
Je nosais pas répondre, la laissant parler et sextasier seule. Jattendais quelle ose me toucher .. quelle me prenne dans ses bras et me fasse lamour. Je moffrais à elle et ma position devenait difficile à tenir. Elle nosait pas aller plus loin.
Pour la rassurer, jai pris une de ses mains et lai porté sur ma jambe. Son autre main vint aussitôt se mettre à la base de mon sexe. Elle la promena lentement dessus et sentait la tension qui manimait .. Son autre main se mit en dessous et en fit de même , une caresse décalée qui me fit frissonner. Elle embrassa tendrement mon pénis sur toute sa longueur et sest attardé sur mon gland en le léchant. Ses mouvements de va et vient se firent plus rapides et saccadés. Elle sarrêta pourtant avant que je ne jouisse pour déboutonner sa blouse et baisser dun seul coup pantalon et culotte pour les mettre impatiemment en boule.
Elle dirigea mon sexe contre le sien, écartant les jambes pour le faire passer et le reprendre dune autre main derrière. Jai senti lhumidité de son sexe mouiller le mien alors que je my frottait de tout mon long. Elle a promené son bassin sur mon pénis quelle tenait aux deux bouts. Je sentais ses lèvres souvrir sur moi . Dune main elle enserrait mon gland et ses doigts courraient dessus, lécrasant entre ses fesses jusquau niveau de ses reins. De lautre, elle essayait de me saisir avec ses petits doigts. Elle descendait de temps en temps sur mes testicules et les soupesait. Nous néchangions plus verbalement mais physiquement. Linstant ne prêtait pas à la parole. Je me suis pourtant ef à lui dire : si tu as envie de moi, prend moi maintenant !.. Lambiance ne sen ressenti pas. Elle continua à me caresser en membrassant et me dit quelle nétait pas prête. Quelle aimerait bien essayer mais pas dans ces conditions.. quelle nétait pas sûre dy arriver mais quelle était très tentée par lexpérience, plus tard.
Elle a continué à me masturber en posant ses deux mains autour de la base de mon gland. Avec un mouvement tournant, elle frotté son rebord et ma demandé déjaculer. Elle sest affairé ainsi, mencourageant doucement avec sa voix, ses mots choisis.. elle parlait à directement à mon sexe.. le flattait et lui donnait des coups de langue.. elle le passait sur sa joue, son cou.. Ses mouvements se firent plus rapides, ses mots plus crus, jusquà ce que jexplose sous laction de ses mains. Je me suis raidi et un long jet est venu sécraser sur le mur de la cabine. Elle sécarta et, surprise par lintensité des décharges suivantes, mencouragea à continuer. Elle me masturbait de plus en plus fort et mes contractions envoyaient mon sperme un peu partout. Elle sétonnait de la quantité qui sortait encore et encore à gros bouillons. Ses mains en étaient pleines et lubrifiaient mon pénis sur toute sa longueur. Nous ne nous préoccupions plus que de moi et de mon plaisir. Nous ne nous imaginions plus être dans une cabine, dans les vestiaires de larrière boutique dune supérette..
Elle se releva et vint écraser sa bouche contre la mienne. Elle navait pas lâché mon sexe et se frottait la poitrine avec. Elle samusait à presser mon urètre pour faire sortir mes dernières gouttes de sperme quelle étalait sur ses seins. Nous sommes restés ainsi de longues minutes à nous embrasser fougueusement.
A peine habillés, nous sommes sortis sans chercher à savoir si qq un était présent. Personne naturellement ne nous a surpris. Partant prendre une douche et finissant son service, elle ma laissé son n° de téléphone en me demandant de la rappeler le surlendemain soir après 20 H
Je suis ressorti du magasin après avoir récupéré mon caddy abandonné dans les allées. Jai oublié de prendre ma boite de conserve à lorigine de mon aventure.
Elle attendait mon coup de fil avec impatience. A peine décroché, elle savait que cétait moi et ma donné immédiatement son adresse en me priant de ne pas tarder à venir. Elle semblait pressée de me revoir et me demanda seulement si javais déjà dîné.
Jai noté ladresse et jai sauté dans ma voiture pour my rendre. Enfin, pour chercher à my rendre. Jai tourné pendant 1h dans la ville avant de trouver le petit immeuble où elle occupe un studio au 2e étage.
Sa attitude et son regard étaient très doux et avenants lorsquelle me vit sur le palier de son appartement. Elle me fit signe dentrer et me glissa un petit baiser sur la bouche. Jétais bien accueilli et me sentis à laise. Son studio était peu meublé et il y régnait un parfum dencens.
Nous nous sommes assis sur le canapé lit et elle nous a servi un verre. Sa bouche chercha la mienne à plusieurs reprises et nos baisers saccompagnèrent dattouchements de plus en plus prononcés. Nos mains fouillaient nos corps et les siennes étaient dans mon pantalon. Elle cherchait à mextirper de là et ny parvenait pas du fait de mon érection. Je lui ai demandé si elle sétait décidé et avait réfléchi à ma proposition. Ne quittant pas du regard mon sexe, elle ma dit dune petite voix quelle y pensait depuis notre dernière rencontre et quelle avait essayé de se préparer à notre rencontre. Elle me dit que jallais être surpris et se mit à se déshabiller. Jen fis de même sous son regard gourmant. Elle alla chercher un flacon de lubrifiant dans la salle de bain et revint avec pour menduire doucement le sexe avec de la gelée. Elle sattarda longuement à mastiquer. Sa main droite sest porté sur son entre jambe avec du produit et elle sest enduit également en se caressant. Ses doigts pénétraient dans son sexe en élargissant peu à peu ses parois. Elle glissait aussi son majeur dans son anus et jouait avec ses autre doigts qui étaient dans son vagin.
Je me suis mis sur le dos et elle est venu saccroupir sur moi, sasseoir sur mon sexe raide. Elle fit glisser doucement mon gland sur sa vulve en lécartant. Elle chercha à me positionner pour faciliter cette importante pénétration. Elle grimaçait et me dis quelle navait jamais imaginé aussi gros dans son vagin. Nous avons ri et cela ma un peu déconcentré. Ny arrivant pas, elle sest alors retournée et sest mise à quatre patte sur la moquette. Elle passait sa main sur son anus et y glissait maintenant trois doigts. Elle ma demandé de laider. Je nen croyais pas mes yeux. Comment simaginait elle pouvoir mintroduire ainsi ? Une pénétration vaginale, jen rêve à peine.. alors une sodomie..
Sans un mot, jai enduit mes mains de gel et jai caressé ses fesses, introduisant et écartant petit à petit ses parois anales jusquà pouvoir y introduire ma main jusquà la paume. Elle poussait de petits grognements de plaisir et tirait ses fesses en arrière comme pour mieux être introduite.
Oui, maintenant, va y .. prend moi me dit elle dans son excitation. Je suis relevé derrière elle et jai présenté mon sexe devant son anus béant et dégoulinant de gel. Jai poussé lentement et mon gland écartant plus encore son sphincter a vite disparu dans ses entrailles. Je me suis arrêté pour lui demander si tout allait bien. Elle ronronnait de plaisir et me sourit, heureuse davoir été assez large pour maccueillir. Elle me fit un signe dencouragement et se mit à se tortiller pour sempaler plus encore. Elle râlait maintenant et me cherchait avec ses mains Mes hanches étaient encore trop loin pour quelle pu me saisir. Je me suis approché lentement, menfonçant de plus en plus en elle jusquà ce que ses mains puissent me toucher. Elle marrêta et me demanda de ne plus bouger.
Je sentais mon pénis enserré entre ses fesses jusquà sa moitié, une forte étreinte sexerçait sur lui.
Elle resta ainsi quelque temps pour shabi à la pression et au pal qui lembrochait. Elle me chercha du regard mais nosait pas trop bouger en se retournant. Jai patienté en lui caressant le clitoris qui pointait en dehors de son capuchon, soumis à la forte tension de ses chairs. Elle se mit alors à gémir plus fort, à grogner des mots incompréhensibles et reprit son tortillement.
Je lui ai mis un doigt dans la bouche quelle sest empressé de sucer et de faire pénétrer au fond de sa gorge. Elle a tenté dimprimer le même mouvement à ses fesses pour sempaler plus. Je me suis retiré un peu et jai commencé à la limer doucement. Sa langue courait maintenant sur mes doigts et elle en pris trois dans sa bouche quelle enfonça jusquà la garde en grognant. Jai pris son bassin et me suis avancé doucement vers lui. Elle a rugi de plaisir et a tendu ses fesse vers moi pour me le faire savoir. Je suis ressorti de nouveau jusquau gland puis jai un peu plus appuyé mon étreinte pour venir presque buter sur ses fesses. Elle enfournait maintenant une trentaine de centimètres qui déformaient la courbure de ses fesses et les faisaient paraître plates. Elles étaient très écartées, son anus était rouge vif autour de mon engin. Elle exerçait bien quelques pressions sur moi mais je les sentais venir de son ventre plutôt que de son sphincter. Cette sensation de plénitude mexcitait encore plus et se traduisait par un durcissement extrême de ma verge.
Jai senti ses entrailles chaudes au bout de mon sexe. Jai machinalement passé la main sur son ventre et en appuyant légèrement dessus, jai senti quelque chose de dur à lintérieur.. juste au dessus du nombril
jai senti mon sexe venir cogner sur sa ceinture abdominale. Essoufflée, elle ma demandé de continuer doucement. Mes mouvements se sont arrêtés et nous avons changé de position pour reprendre linitiale. Empalée jusquà la garde, je lai soulevée facilement et me suis glissé sous elle. Elle sest retourné très lentement sur moi pour me faire face et jai senti quelle sétait totalement abandonnée à moi, ne luttait plus contre le mal et que désormais seul le plaisir la consumait. Elle aimait rester ainsi, à bouger très lentement .. les yeux fermés.. à gémir doucement.
Elle serrait de temps en temps les jambes et comprimait un peu plus mon pénis. Elle poussait des petits cris de satisfaction à chaque fois. Ses doigts sont venus pincer son bouton et aussitôt un frémissement la parcourue. Elle sest raidie sur moi et a commencé un va et vient sur toute la longueur de mes 35 cm. Lentement dabord. A peine ressorti, elle mengouffrait de nouveau pour aller se figer jusquà la garde et grognant sourdement.. Son vagin était très comprimé et minuscule a côté de son anus. Son clitoris par contre semblait disproportionné et pointait vers le haut. Elle lattrapait avec deux doigts et lui imprimait des mouvements comme pour le dégager un peu plus
puis elle le frottait délicatement du bout de ses doigts en écartant ses lèvres intimes. Elle soufflait de plus en plus fort... moi aussi. Jai alors accentué le mouvement pour aller au plus profond de ses entrailles. Elle me rendis le geste et venant sasseoir lourdement sur moi et, soulevant les jambes, elle sest littéralement posée sur mon sexe. Elle a relevé la tête en gémissant de plus belle et a gardé cette position extrême jusquà ce que jéjacule. Encore avec des paroles, elle ma amené à lextase. Les yeux fermés, elle a exprimé les sensations quelle éprouvait. Le sentiment de merveilleux de pénétration quelle ressentait et le rêve que mon corps représentait pour une femme. Le fantasme et lenvie quelle avait de moi depuis notre première rencontre. Le
sentiment dêtre vraiment prise par un homme exceptionnel. De se sentir pleine. De la sentir cogner dans son ventre et comprimer son utérus. Elle adorait aussi me sentir la pénétrer, lentement mimmiscer en elle et dilater ses chairs.
Mon sperme a jailli dans ses entrailles déjà pleines et est ressorti aussitôt le long de mon pénis, malgré les contraintes. Elle accompagnait mes contractions avec ses jambes et frottait ses fesses contre mes testicules et mencourageait à continuer de la voix. Tu me remplies, cest chaud.. ooh cest bon
je te sens grossir en moi.. encore un peu .. encore plus fort..
Jai joui comme cela marrive fréquemment.. euh
trop .. trop en intensité et en quantité. Mon sperme coulait sur mes bourses et mes fesses étaient bien trempées. Nous sommes restés encore qq instants dans cette position avant quelle ne décide de se relever.. Elle avait lair exténué et dû sallonger un temps sur le canapé avant de mamener dans sa salle de bain.
Plus tard, après avoir dîné, nous convînmes quil était difficile pour elle de recommencer.
Elle se déplaçait à petit pas et on en souriait. Les barrières sont tombées et elle décida de mavouer un petit secret.
Depuis notre première rencontre, elle avait décidé de se préparer à me revoir et navait pensé quà ça. Elle avait ainsi fait des achats au rayon fruit et légumes
un concombre de belle taille et une courgette encore plus grosse. Les objets étaient dans sa salle de bain et elle alla les chercher pour me les montrer. Nous avons ri ensembles devant ces légumes qui devaient en avoir vu de belles. Nous les avons comparé avec mon sexe. Seule la courgette faisait le poids et elle décida de la garder le plus longtemps possible.
Depuis ce jour, je nai de cesse que daller minstaller dans le sud.. daller faire mes courses dans sa supérette en espérant quun produit manquera dans les rayonnages..
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