Ma Petite Asiatique (Histoire Vraie)
Ma petite asiatique (histoire vraie)
Quelque part en france (javais fini par ramener ma petite asiatique avec moi, voir premier récit)....
J'étais au premier en train de faire des recherches sur Internet lorsque la porte d'entrée claqua puis j'entendis la voix de Ying crier:
-Chéri ? Chéri, tu es là ?
-Oui criai-je ici, en-haut. Tout en me demandant ce qui lui arrivait dun coup.
Je lentendais monter les marches quatre à quatre et lorsquelle surgit sur le pallier elle jeta son sac à main sur mon bureau, commenca à ouvrir son chemisier, fit tomber sa jupe tout en frottant ses chaussures sur le sol pour les enlever.
-Mais que t'arrive-t-il lui lançais-je en me levant de mon fauteuil. Elle sautillait sur place en enlevant son soutien-gorge.
-Vite vite prends mon cul j'ai envie de chier criait-elle en finissant de se mettre à poil et en se trémoussant dans tous les sens.
-Là ?, maintenant ?, tout de suite ? fis-je surpris, ça ne peut pas attendre ce soir ?
-Non maintenant, je veux que tu me repousses ça au fond avec ta grosse queue sinon je te fais caca dessus car je ne peux plus me retenir.
Elle était en train de m'enlever ma chemise et d'ouvrir mon pantalon maladroitement.
-Ok, ok, on y va. Calme toi, deux secondes que j'enlève tout ça.
Nous avions fait l'amour comme des bêtes la veille au soir. Je pensais que celà l'avait calmé au moins jusquà ce soir. Mais elle a raison il ny a pas dheure pour se faire du bien.
Le pire c'est qu'elle adorait (et moi aussi) que ça dé dans l'extrème. En général quand nous étions scotché l'un à l'autre que ce fut par la bouche, le sexe, l'anus ou tout à la fois, plus rien ne comptait si ce n'était le plaisir d'aller plus loin. De dépasser tous les tabous, de faire ce quon avouait difficilement même entre amis intimes sans passer pour des dépravés ou pire des malades, bref de faire tout ce qui nous passait par la tête que nous navions deja fait.
-Dépêche-toi. Mais tu ne bandes même pas sexclama-t-elle lorsque je fus comme elle complètement à poils. Ni de une ni de deux elle sempara de mon ustensile et se mit à le serrer, le triturer, lenfouissant goûlument dans sa bouche en entier (facile quand on ne bande pas encore). Il nen fallu pas plus de ce régime de cheval pour que je me retrouve avec un braquemar digne de ce nom prêt à subir tous les supplices imaginables.
Ying avait une petite taille, asiatique de père et mère elle avait des cheveux et yeux couleurs charbon. Un cul bien proportionné et des hanches fines malgré un accouchement. Par dessus tout ça une poitrine lourde et bien accrochée (rare pour une asiatique, ou alors ça ne dure pas). Son « pussycat » comme elle lappelait était soigneusement épilé ainsi que les dessous de ses bras. Elle avait horreur des poils à cet endroit là. Sa peau était blanche (dans son pays cétait une marque de richesse, celles qui ont la peau sombre travaillent dans les champs, celles à la peau blanche travaillent dans les bureaux , la nuit....voire les deux).
-Mets toi par-terre, vite me dit-elle en me tirant vers le sol par mon membre gorgé de sang. Je mallongeais sur le plastique recouvrant lépaisse moquette que nous avions eu la bonne idée de faire installer dès notre déménagement (pratique pour séclater au sol, mais quelle merde à nettoyer, doú le plastique).
Ma bridée menjamba prèstement en me tournant le dos et se mit à saccroupir dirigeant son magnifique derrière sur ma queue dressée et impatiente.
-Hiiii, ça sort grogna-t-elle. Elle sétait mis deux doigts sur son anus pour retenir son chargement autant quelle pouvait mais apparement ce nétait pas très efficace surtout avec la position quelle avait.
Je laidai comme je pouvais en mettant ma queue bien en face de son petit trou.
-Enlève tes doigts maintenant et descend ton popotin lui dis-je tout excité.
Son cul saffaissa doucement mais je nétais pas en face, et je glissais vers son vagin dun seul coup. Elle se releva et je réajustais mon gland dans la bonne direction.
-Vas-y descend maintenant, dépêche-toi. Lorsque le bout de mon gland toucha son orifice anal je mattendis à une résistance mais il ny en eu point. Son envie de faire caca était si forte quil lui suffisait simplement de relacher son sphincter pour que son anus sélargisse de lui-même. Sauf que là si je ne voulais pas me transformer en toilette il me fallait boucher le conduit rapidemment. Je la pris par les hanches et la tirais vers le bas. Ying se laissa aller de tout son poids. Dun seul coup je fus dans son cul. Pas besoin de lubrification, elle était pleine jusquau ras et ça glissait tout seul.
Elle poussa un cri de soulagement et se laissa empaler complètement sur ma queue.
Ses fesses sur mon bas ventre, elle bougea davant en arrière puis de coté pour bien sassurer quelle ne pouvait pas aller plus loin et que ma bite était au maximum au fond de son anus plein de chocolat.
Ma ptite niakoué comme jadore lappeler (ça lénerve mais ça mexcite) a la particularité davoir un anus qui serre très fort au début puis sévase dun coup. Ce qui fait quil est difficile de lenculer après une longue période dabstinence. Mais la sensation est divine. Il suffit de lui préparer le trou du cul avec de la pommade ou plus simplement sa salive et un doigt, puis le pouce tout en lembrassant et lui caressant les seins. Son cul souvre tout seul. Une fois que mon pouce rentre et sort sans peine et quelle bouge son bassin en synchronisme, elle est prête. Le plus facile cest de me mettre sur le dos et elle sassied sur ma queue. Cest elle qui pousse et quand ça rentre cest jouissif. Le gland dabord puis le reste suit dans son conduit étroit, puis dun coup toute ma bite est aspirée à lintérieur.
-Ahhh, ça fait du bien soupira-t-elle, de pouvoir se relacher, quel supplice ça a été depuis que jai quitté le bureau il y a une heure. Ca va toi minauda-t-elle en me regardant par dessus ses épaules me tournant toujours le dos ?.
Sa merde était chaude. Son cul était chaud. La sensation était divine. Je nosais bouger de peur de rompre le chârme. Jadorai son tatouage sur les reins (un souvenir du Brésil).
-Cest bon et super bandant à la fois de tenculer et de savoir que ma bite baigne dans ta merde ma chérie. Et maintenant ?
-Ne bouge pas me lanca-t-elle. Ca mexcite de sentir ta belle queue enfoncée dans mon cul sale et plein de caca. Jai envie den faire sortir un peu, tu veux ?
-Tourne toi dabord lui dis-je, jai envie de te voir et je veux tes seins. Mais vas-y doucement, reste bien assise, ne te soulève pas.
Ying bougea ses pieds par petits centimètres tout en collant son derrière sur mon ventre. Elle se tourna vers la droite par petits coups. Ma queue resta à sa place grâce à la merde dans laquelle elle baignait. Son anus tourna autour sans aucun frottement. Quel pied. Lorsquelle fut presque face à moi je lui pris sa jambe droite et doucement la fit passer par-dessus ma poitrine.
-Comme ça, continu.
Une fois son pied droit posé du coté gauche de mon corps elle se remit à bouger avec ses hanches afin de remettre ma bite bien à laise dans son fourreau chaud et matelassé de merde. Je lui aggripais les deux seins et les malaxais sauvagement. Elle se pencha pour membrasser et ce faisant se souleva légèrement. Je senti ma queue se retirer un peu de son cul.
-Doucement, vas-y doucement. Je la repoussais par les seins. Jadorais la pousser et laggriper par ses deux mamelons. Jouvrai ma bouche dans sa direction.
-Aller vas-y maintenant fait lascenseur pour voir lui demandai-je.
Ying commenca doucement à agiter son bassin dun mouvement vertical axé sur ma bite. Un centimètre pas plus. Je tentai dapercevoir létat de mon membre à sa racine mais rien ne lavait encore souillé jusquà cet endroit.
-Vas-y plus haut lui dis-je.
-Elle augmenta lamplitude du mouvement. Ooooh la la, fit-elle, mon caca ne demande quà sortir chéri. Cest bon quand ça sort et quand ça rentre de nouveau.
Des traces chocolatés commençaient à apparaitre tout le long de ma queue. Après quelques minutes de ce jeu la base de ma bite était maintenant tapissée de merde
-Arrête chérie, essai de chier maintenant lui dis-je. Sachant que ce nétait pas facile avec un bouchon dans le cul.
-OK fit-elle. Tiens prend ça dit-elle en me tendant la caméra numérique ça nous fera des souvenirs. Pendant que jétais hypnotisé par létat de ma queue elle avait attrapé mon appareil photo qui est toujours à porté de main sur mon bureau. On allait encore augmenter notre collection dimages obscènes. Je lui pris lappareil des mains en lallumant.
-Attends je te dirai lui susurrai-je pendant que je faisais la mise au point. OK, vas-y maintenant.
Elle poussa en restant bien collé sur mon bas ventre mais tout ce qui sorti fut un jet durine. Elle éclata de rire. Oh pardon, jai pas éclaboussé lappareil au moins ? Désolé jai trop envie de faire pipi.
-Salope lui dis-je, en plus tu me fais pipi dessus. Monte tes fesses et descend un petit peu lui proposais-je tout en la guidant par les hanches avec mes mains.
Elle se releva de deux centimètres et se mit à pousser comme une constipé la merde hors de son cul.
-Ca vient, ça vient me dit-elle les narines dilatés par lexcitation, ça sort.
Je sentais sa merde pousser sur mon gland à lintérieur de son cul et je la tenais fermement par les hanches afin quelle ne se soulève pas de trop. Je ne voulais pas que le bouchon saute.
-Ah, je sens que ça coule le long de ma queue ptite Coney (cétait son nom de pute entre nous). Descend maintenant. Elle se laissa aller une main posée sur mon thorax et se tenant de lautre au rebord du bureau. Son cul absorba de nouveau ma queue en raclant toute la merde qui était sortie vers le bas. Nous étions de nouveau collé lun à lautre, ses fesses contre les poils de mon pubis, une couche de merde entre les deux et ma queue au milieu de tout ça.
Elle se pencha pour chercher mes lèvres et membrassa goûlument en me donnant toute sa salive pendant que son bassin se trémoussait sur mon ventre.
A ce moment là le carillon de la porte dentrée se mit à chanter. Nous nous sommes figés brutalement en nous regardant.
-Tu as bien refermé la porte à clef lui murmurai-je ?
-Je nen suis pas sûr dit-elle. Qui cela peut-il bien être ?
-Ne bouge pas, ne fait pas de bruit on fait le mort, il ou elle finira bien par repartir. De toute façon on nest pas présentable dans cet état. Le carillon sonna une seconde fois. Jattirai Ying par les épaules et commença à la lêcher sur les seins, puis sa gorge jusquà son visage. Elle adorait ça et me le rendis aussitot avec sa langue explorant tout mon visage.
Au bout de trois minutes de ce régime je ne pensais même plus à notre visiteur. Mon visage était luisant de sa salive et ma queue planté plus que jamais dans les entrailles de ma dulcinée.Ca y est je crois que cest bon dit-elle.
-Quoi. Quest ce qui est bon ?
-Il est parti mantenant dit-t-elle tout haut.
-Tes folle et si.... ? Non effectivement plus de bruit depuis cinq bonnes minutes. Ca tapprendra à vouloir faire ça en fin daprès-midi au lieu du soir. Cest trop risqué.
-Je men fou jen avais envie et dailleurs jai envie de te faire caca sur la queue. Pourquoi tu ne prends pas de photos chéri demanda-t-elle ?
-Je vais en faire, vas-y remonte pour voir. Je lui empoignais le cul pour la repousser vers le haut.
Elle monta son bassin et essaya de regarder le spectacle de ses fesses et de ma queue souillées.
-Enlève ta tête je ny vois rien lui dis-je en positionnant lappareil pour avoir le meilleur cadrage. Je pris plusieurs clichés en rafale. Rassieds-toi et essaye de faire pipi maintenant lui dis-je.
Ying sempala de nouveau sur ma queue qui ne demandait quà rentrer de nouveau dans cette cavité étroite et odorante.
-Cambre toi en arrière fis-je en la repoussant par ses deux gros seins. Je veux voir ton urine sortir. Elle se laissa aller en arrière et prit appui de ses deux mains sur mes tibias ce qui eu pour effet de mettre en valeur ses deux seins magnifiques. Je pouvais voir les traces de caca sur mon ventre et à lorée de ses fesses.
-Ca vient cria-t-elle !
Je neu que le temps dappuyer sur le déclencheur quelle fit jaillir un long jet de pisse sur mon ventre.
-Doucement, ne te vide pas dun coup, sil te plait.
Elle sarrêta péniblement.
-Cest si bon chéri et si dur de fermer le robinet ria-t-elle.
-Aller, je suis prêt maintenant dis-je en rigolant, rouvre ton robinet.
Je préférais les images en haute résolutions que les films. Bien sûr nous en avions fait des films mais le trépied est fixe et même si lon peut commander le zoom avec une télécommande il faut se lever (se décoller) pour déplacer la caméra et se recoller lun sur lautre ou lun dans lautre. Pas pratique.
-Laisse toi aller. Vide ta vessie ma petite bridée.
Ying se vida totalement sur mon ventre. Le flot de pisse chaud qui coulait sur ma peau et son odeur mexcitait encore davantage. Son urine avait rempli mon nombril, coulait sur les cotés de mon ventre et de mon abdomen sur le plastique que nous utilisions même quand nos ébats ne dérapaient pas (lexpérience nous a appris la sagesse, ou alors cest la note du pressing je ne sais plus....). Je sentais également sa pisse couler derrière ma queue entre mes cuisses, passer dans la raie de mes fesses et sécouler sur le plastique de protection.
-Cest fini lui demandai-je lorsque je la vit pousser une ultime fois et que plus une goutte ne sorti ? Pour toute réponse elle se pencha en avant et me fourra ses deux seins dans la figure. Vas-y suce fit-elle, en agitant son cul de haut en bas et en mentourant la tête de ses deux bras. A chaque fois que ses fesses heurtaient mon bas ventre ça faisait « floc, floc ». Le bruit de la merde écrasée mélangée à son urine.
-Oui continue comme ça lui dis-je en lui prenant les hanches pour accompagner son mouvement de pompage. Aller, lache-toi, vide-toi maintenant.
A chaque monté un peu plus de merde séchappait de son cul. Son anus était tellement dilaté et ma queue si dure et excité que je sentais bien que mon gland nétait plus dans son trou et quà chaque mouvement de la merde sortait en quantité de plus en plus importante.
-Ah. Cest bon, je chie, je chie sur la queue de mon chéri. Hein tu laimes ta petite salope achiatique ? (elle narrivait pas à dire « asiatique », seulement « achiatique ». Je nai jamais compris pourquoi, mais ça devait etre un signe...)
-Oui je taime, ne change jamais, demande tout ce que tu veux, je te suivrai dans tous tes caprice lui murmurais-je en lembrassant sauvagement. Cest notre secret.
Ma petite pute avait tellement laché de merde quil en sortait de partout, autour de ma bite, sur ses fesses, par devant et par derrière. Cétait chaud et bon.
-Oh chéri, je taime tant, promets moi que jamais tu nauras envie dune autre achiatique ?
Je neu pas vraiment le temps de lui répondre quelle me dit :
-Pisse moi dedans, tu veux hein ?
-Je vais essayer, je ne suis pas sûr que je puisse.
En principe nous buvons un litre deau avant de nous laisser aller dans nos ébats. Dans le cas présent même si jai envie duriner ça va être difficile. Je ne pensais pas que lon pouvait pisser en bandant. Mais en rassemblant quatres conditions cest possible. Avoir envie de pisser, se concentrer, et ne pas bouger en appuyant sur son bas-ventre.
Jentourais les fesses de Ying et la tirai vers moi afin que son poids presse bien sur ma vessie.
-Ne bouge plus lui dis-je en lui prenant les deux seins et les triturant en pensant à uriner.
Elle simmobilisa en me regardant. Pisse chéri, pisse me sussura-t-elle. Javais envie je le sentais mais de là à lacher mon flot dans son cul ce nétait pas aussi simple. Jy pensais de toutes mes forces ma bridée écrasant ma vessie et moi tentant de libérer mon urine. Au bout dun moment je senti que ça allait venir. Surtout ne bouge plus, ça vient lui dis-je.
-Ca y eeeeeeest. Ca rentre. Tu la sens ?
Je scrutais le visage de Ying pour guetter le moment ou elle allait sentir le flot de liquide chaud se répandre dans son cul.
-Ooooouuuuuuuiiii. Je la sens, cest chaud. Mets moi tout mon amour, vide-toi. Elle se remis à bouger à se tortiller sur mon ventre (une fois commencé à pisser cétait parti).
Je pris Coney par la taille et la couchait sur le dos sur le plastique entre mes jambes. Je continuais à me vider dans son cul jusquà la dernière goutte. Elle râlait de plaisir. Je commençais à lui faire du rentre dedans maintenant. Javais une envie folle de mélanger mon foutre dans ce trou de femelle en chaleur où se trouvait déja ma pisse et sa merde.
Elle grogna à chaque fois que je lui rentrais ma queue dans lanus. Je lui pris les jambes et les mis autour de mon cou. Ce qui fit monter son cul à la bonne hauteur pour que je puisse la baiser profondémment et lui pincer son clito en même temps.
-Oui oui oui, fuck, fuck cria-t-elle ne tarrête pas chéri.
Je sentais venir le moment où jallais lui mettre le mélange final.
-Je vais jouir ma petite pute, je viens. Je lui empoignais les hanches de plus en plus brutalement. Elle savait que cétait le signe où jallais décharger ma semence. Cela décuplait son plaisir en accélérant lapproche de son explosion. A chaque coup dans son ventre elle couinait comme seules les asiatiques savent le faire. Sa main droite crispée sur le plastique, sa main gauche sur mon poignet qui lui tenait la hanche, la bouche ouverte et les yeux presque révulsés.
-Je suis ta merde, ta pute, ton trou a foutre, dis moi des mots sales viiiiiite.
Elle adorait ça, quon lui dise des gros mots au moment de jouir. Et je ne men privais pas.
-Sale petite pute, tu las dans ton cul ma grosse queue. Salope. Pétasse. Je vais te défoncer lanus lui criai-je.
Jallai jouir dans les secondes à venir. Coney criait « Im coming Im coming » et se raidissait signe quelle était en train de jouir (dans les moments dextases sa langue naturelle revenait au galop).
Ca y est je sentais les pulsions de ma queue arriver.
-Je joui. Je te joui dans le cul salope. Jexplosais en plusieurs jets dans son cul et je senti presque en même temps son anus se contracter à plusieurs reprises signe ultime quelle était arrivé au point culminant et quelle ne simulait jamais. Elle avait cette particularité là lorsquelle jouissait de contracter les muscles de son anus dune manière incontrolable. On ne bougeait plus. Cétait lextase. Je lui reposais les jambes au sol et la tournait légèrement de coté pour pouvoir me reposer contre elle sans sortir ma queue de son anus. Jenlaçais ma petite asiatique aux gros seins (rare) et goutait à la plénitude des sens reposés.
Nous somme resté de longues minutes couchés sur le plastique ainsi allongés ma queue planté dans son cul en nous embrassant tendrement.
-On nettoie fini-t-elle par dire ?
-Attend je sors mon ustensile. Je retirai doucement ma queue de son cul. Comme dhabitude ma pisse resta bien au fond.
-Jai envie de la garder me dit-elle en me regardant dans les yeux. Viens fit-elle en me prenant par la main on va se laver dans la baignoire et je te rendrai ton pipi à ma façon.
Nous voila donc reparti pour je ne sais quelle déviance sexuelle dont elle avait le secret.
Elle était inimaginable. Quest ce que je mennuierai sans elle.
A suivre.... mais il faut me le demander.
pasklop@yahoo.com
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