Une Bonne Leçon
J'étais, à l'époque, élève infirmier dans un pays francophone que je ne citerai pas. Le cours s'intitulait: "Sexualité, soulagement des patients". Notre monitrice s'appelait Dominique, mais tous la surnommait " MamDom". C'était une forte femme, grande, à la poitrine généreuse, au regard vif et moqueur,et aux propos truculents. Je vous raconte une séance de travaux pratiques, facultative, qui se passait au domicile de cette dame. Nous étions douze étudiants, huit jeunes filles et deux garçons.
- "Alors, mes loulous, ce soir, je vais vous apprendre comment soulager un patient qui a envie de se masturber, mais qui ne peut faire usage de ses mains, parce qu'elles sont immobilisées dans le plâtre ou dans une attelle quelconque. Foin de toute morale! Il est de notre devoir de l'aider! Rien de tel pour lui remonter le moral et favoriser sa guérison! Et tant mieux si vous avez du plaisir à lui caresser la bite et les cloches!
Et comme il nous faut un vrai-faux patient, eh bien, Bernard, tu vas nous servir de cobaye! Allez, à poil sur la table! Et pas de discussion! Ce n'est pas si désagréable!"
Un peu gêné, surtout par les sourires moqueurs de mes collègues,
j'obéis à l'injonction, me met à poil, puis m'étend sur la table de consultation. Bien sûr, je ne suis guère vaillant, ma
petite amie s'étant occupée de moi le matin, et puis, tous ces regards fixés sur mon organe...
- " Et maintenant, il nous faut une infirmière! Voyons... Ah, toi, Lily, approche-toi! Avec ton visage d'ange et ton air d'innocence, tu feras parfaitement l'affaire! A te voir, j'ai l'impression que tu n'as jamais touché la verge d'un homme, sauf peut-être dans tes rêves lubriques! Viens, je vais t'apprendre l'art de rendre un homme fou de toi! En plus, tu as des mains de dentelière et des doigts à fourrer partout!"
Lily était, en effet, ravissante. Petite, menue, mais bien sculptée, timide et effacée, elle était tout le contraire de "Mamdom".
- Et vous, regardez bien, vous aurez besoin de plusieurs exemples pour assimiler le cours et vous serez à votre tour,
sur la table ou "exécuteur des basses oeuvres!" Car vous aurez aussi des femmes à soulager, et , souvent, elles en redemandent!
Allez, à toi, ma petite Lily, montre-nous comment tu vas faire bander ton petit infirme!"
Lily semble abasourdie, son visage, d'un blanc pâle, a rosi, ses cheveux blonds n'en ressortent que mieux . Une icône...
Mais, docile, elle s'approche et tend la main vers mon membre
paresseux. Il est vrai, aussi, que je "n'en mène pas large"!
Elle le touche, le remue, tente de le faire coulisser entre deux doigts, mais en vain! Le bougre ne veut rien savoir!
Meurtrie, elle se tourne d'un air désespéré vers la "Chef"
- " Mais alors, ma Lily, déjà découragée? Une belle fille comme toi ferait bander tout un régiment! Ton copain n'a pas dû être bien sage aujourd'hui, mais on va le réveiller! Tu vas, par souci professionnel, lui laver l'oiseau avec cet onguent, le rincer, puis le prendre dans ta bouche et le sucer comme une glace! Et tu vas voir le miracle se réaliser! Ne fais pas la sainte nitouche!"
Lily prend la fiole qui lui est tendue, l'ouvre, tire sur le prépuce pour découvrir le gland, puis en verse quelques gouttes.
Je ressens une impression de froid, puis de chaud et de piquant,
et aussitôt, mon membre se met à gonfler. Quel est le secret de
cet onguent? Une drogue de sorcier, peut-être, je ne le saurai jamais, mais je me tiens bien droit maintenant et Lily n'a guère de peine à me "laver" puis à me rincer avec une lingette.
- " Tu vois le miracle, ma Lily? Mais j'espère bien que, la prochaine fois, tu n'auras pas besoin de la Griffe du Diable et
que tu te montreras moins empruntée! Mais continue, donne-moi ta main et serre-la autour du monstre! "
D'une main experte, "Mamdom" guide le va-et-vient, modifiant la pression des doigts comme si elle sentait la montée du désir,
accélérant ou ralentissant quand la poussée du sperme devient trop impérieuse.
-" Et maintenant, prends-le en bouche et régale-toi! Et caresse-lui les couilles! Une main dessus, et l'autre plus bas! Les hommes adorent quand on leur titille la rosette! Et ils perdent la raison quand ils sentent un doigt s'aventurer plus profond!
Attends, je vais mettre un peu de lubrifiant!"
En effet, je la vois prendre un tube et ce n'est pas un dentifrice! Elle s'approche de moi, me sourit, et me dit de soulever et d'écarter les jambes. J'obéis. Je sens qu'elle
appuie l'extrémité du tube sur mon anus et qu'elle le graisse abondamment. Son doigt tourne autour de l'ouverture...
-"Eh bien, ma Lily, je te montre! Regarde bien! Et puis, tu feras la même chose jusqu'au bouquet final!"
Je sens le doigt me parcourir le périnée, tourner, s'approcher de mon petit cul, frôler et énerver les plus secrets de mes neurones! Je bande à mort! Puis, d'une pression douce meis persistante, le doigt me pénètre doucement, en tournant...Je le sens m'envahir peu à peu... Le voilà bien profond qui me touche la prostate, qui bouge doucement, se retire, repart en avant...
C'est ensorcelant! Je me contracte, je vais jouir! Mais non,
pas moyen! Le doigt s'est retiré et une main forte me serre le bas de le verge! Je suis frustré!...
- "Allez, à toi, ma petite Lily, répète la leçon! prends ton temps , mais je veux que ton essai soit une réussite, comme au rugby!."
Et Lily se remet à l'ouvrage! Ce n'est plus la petite fille effarouchée du début. Je la sens toute émoustillée , nul doute
qu'elle aussi est bien près de l'orgasme et qu'il en faudrait peu...Mais la "Chef" l'a peut-être remarqué, elle aussi, et, avec un peu de chance, elle sera sur la table, à son tour! Mais c'est une autre histoire!
Elle me reprend en bouche, plus vigoureusement cette fois, elle aspire, me tète, m'avale jusqu'au fond de sa gorge au risque de s'. Une main me malaxe doucement les testicules, semble en jouer la symphonie, et un doigt fureteur explore mes plis secrets.
Il pousse, tourne , puis s'enfonce lentement dans mon intimité...Je m'ouvre à l'indiscret...Et le voilà qui tourne,
se retire et revient... Je n'en peux plus! Je me raidis, mes couilles se resserrent, mes fesses se tendent. Lily sent l'ardeur de mon désir et me suce plus avidement, pousse plus fort contre ma prostate... Et j'explose! Elle se retire, mais trop tard! Elle a reçu dans sa bouche ma première giclée de sperme. Les autres se répandent sur son visage et sur mon ventre. Elle n'a pas cessé de me masturber et j'éjacule abondamment, offrant le spectacle de mon plaisir à tous ceux qui me regardent avidement.
-" Bravo, Lily, bravo Bernard! Et maintenant, à qui le tour?"
La suite au prochain numéro!
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