Une Tempête De Neige Très Chaude

La neige commença à tomber alors que l’on venait de dépasser Lyon. Très vite, nous nous retrouvâmes bloqués dans une file de voitures qui attendaient qu’on vienne les secourir. La tempête se déchaînait dehors, la buée recouvrait peu à peu les vitres et puis tout s ‘emballa …
Bien sûr, Elise était jolie mais c’était la femme de Thierry, mon meilleur pote, quand même !! Pourtant, bloqués dans cette voiture en route pour le rejoindre pour un joli week-end dans leur chalet, je ne me doutais pas que ma proposition de prendre Elise avec moi allait entraîner la plus horrible (et délicieuse…) trahison.
Je ne sais pas ce qui a provoqué cela : peut-être le fait de se sentir oublié au beau milieu de cette tempête ou bien ce sentiment d’impunité lorsque la neige eut totalement recouvert notre véhicule, ou tout simplement cette attirance mutuelle que jusque là nous avions tous les deux réprimés au nom de la fidélité. En tout cas, il a suffi d’un geste pour que tout se déclenche : j’ai voulu prendre ma thermos de café dans la boite à gant et le simple contact de nos cuisses a provoqué un frisson délicieux.
Tout disparaît alors, la neige, les voitures toutes proches, Thierry, … . Nos visages se rapprochent, nos lèvres se touchent, nos langues se mêlent dans un baiser langoureux. Pas un mot n’est prononcé, plus rien ne compte : je pose mes mains sur ses jolis seins , à travers le pull, je les sens déjà durcir. Notre baiser continue, déjà les mains d’Elise s’attaquent à ma ceinture. L’habitacle est étroit, mais mon pantalon ne résiste pas longtemps à ses doigts tremblants. Elles me repoussent contre le siège et sortent mon sexe de son caleçon , elles ne mettent pas longtemps à le faire se dresser au maximum de ses capacités. Elise approche sa bouche de ma queue, elle l’embrasse, la lèche puis l’engloutie au plus profond de sa gorge. Mon dieu ! Que c’est bon ! mes râles envahissent l’espace étroit , les va-et-vient s’accélèrent, Elise avale ma queue comme si c’était la dernière gourmandise de sa vie et je sens déjà que je vais exploser.

Elle le sent et se redresse. A mon tour de l’aider à enlever son pantalon, je respire l’odeur de son sexe à travers ses sous-vêtements , une dernière acrobatie et me voilà respirant à plein nez les effluves d’une chatte déjà bien humide. Je plonge avec délice mon visage dans l’intimité d’Elise, je son clitoris à coups de langue, je mordille ses chairs pour lui arracher des cris de plaisir. Mes mains passent sous son pull-over et je pétris sa généreuse poitrine en poursuivant l’inspection systématique de son joli minou. Je me redresse à mon tour et nos bouches se rejoignent à nouveau : ce n’est plus le baiser du début, une folie sexuelle s’est emparée de nous, nous sommes à la merci l’un de l’autre, prêts tous les excès …
Soudain, une main frappe à la vitre , à travers la buée, nous distinguons un képi bleu marine :
« Gendarmerie nationale, messieurs, dame ! tout va bien là’dans ? nous procédons à l’évacuation de l’autoroute ! Voulez-sortir, s’il vous plaît ? »
Tout est fini , c’est comme si nous nous réveillions après un joli rêve. Sans un mot, Elise et moi nous rhabillons prestement et retournons à la dure vie de naufragés des autoroutes. Qui sait ? le gymnase qui nous accueillera réveillera-t-il la folie qui nous a pris en cette fin d’après-midi neigeuse ou finalement ce ne sera qu’un moment d’égarement et nos vies reprendront leur cours.
FIN

NDR : cher lecteur, si vous pensez que mon aventure avec Elise mérite une suite, dites-le-moi !!

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