Mon Éducation
Mon éducation
Cedric franchit un pas de plus et je le suivit. Il était question de me faire connaître la soumission, la double pénétration et même plus
Cette idée dêtre prise par plusieurs hommes me hantait depuis mon aventure dun soir avec Sade300. Ma jouissance était tellement invraisemblable lors de cette sodomie sauvage, que je mimaginais longtemps après ce que cela aurait pu donner avec une verge bien dure dans mon sexe. Toujours via Internet Cédric me trouva un maître chez qui jallais passer deux semaines très spéciales. Cédric lui donna une ordonnance, cest à dire ce que le maître pouvait me faire subir, ce quil attendait de mon séjour chez lui. Jétais dans un état dexcitation infernale et en même temps jappréhendais un peu linconnu. Le jour J. Cédric maccompagna, membrassa longuement, et mabandonna devant la porte dune grande demeure de province. Je fis la connaissance de mon maître, une cinquantaine bien affiché, barbu grisonnant, pas déplaisant, et très bien habillé. La demeure était immense, fort de quarante chambres. Maître A. me mit immédiatement au pas, et me signifia brièvement les règles de la maison : ne parler que lorsque lon me donne la parole et accepter absolument tout ce quon me dira ou me fera, au moindre faut pas et cest la correction ! Tout accepter du moindre valet aux invités, car tout ce qui se passe dans ce château, et la volonté du maître.
- Reposez-vous petite, ce soir cest votre jubilé !
Je voulais demander ce que cest quun jubilé, mais à peine avais-je ouvert la bouche que Maître A. me donna une gifle si forte que je tomba à terre et plus jamais je neus lidée daller contre les règles de la maison. Une soubrette me ramassa et maccompagna à létage dans ma chambre. Laprès-midi se passa, je narrivais pas à dormir, cétait fin juillet, je crevais de chaud. Vers 19h on me demanda de prendre un bain et de descendre en bas de lescalier à 20h, vêtue avec les mêmes habilles, coiffée pareille.
Je tressaillit un peu, 85 personnes arrivaient par les couloirs vêtus et masqués dune longue toge rouge. Javais confiance en Cédric, mais je ne pouvais mempêcher de trembler un peu. Les 85 se mirent à bonne distance de moi en cercle. Et la voix roque de mon maître résonna dans lhémicycle.
- Je vous présente Angélique, la plus jeune de mes esclaves jusquici, tout juste 20 ans, elle vous plaira sûrement, elle est terriblement bien faite
Angélique enlevez donc doucement votre robe et votre soutient gorge, que lon puisse voir vos gros seins !
Jobéis sans mot dire, jenlevais ma robe quun valet sempressa de saisir, et je libérais ma lourde poitrine. Lorsque je relevais alors les yeux jeus un terrible choc, et cela du se voir, les 85 étaient tous des hommes, ils avaient sorti leur sexe et se masturbaient. Jeus de terribles bouffées de chaleur et une excitation gênante montée en moi.
- Très joli angélique, caresserez-vous les seins, pincez-les, léchez-les
. oui cest bien, mordez-les aussi un peu
Jobéis bien sur à tout et je suçais, mordais, pinçais, et caressais mes larges tétons, je voyais les 85 accélérer leur rythme au fur et à mesure de mes attouchements.
- Que ressentez-vous angélique ?
Cette question mintimida, mais il fallait bien que jy réponde
- De lhumiliation maître et
. de lexcitation
- Cest très bien petite traînée
tu es une petite traînée nest-ce pas ?
- Oui maître
je suis une petite traînée !
- Et bien enlève donc ta petite culotte
oui cest bien
regardez-moi ce sexe merveilleux, cette toison noire sublime
Bien, il est lheure de la toucher
vous avez dix minutes
pour la palper ou vous voulez, et introduire vos doigts partout
Angélique mettez-vous à quatre patte !
Jobéis
et je vu les 85 ombres sapprocher
doucement
et puis des mains de tout âges de toutes les races, des mains partout, me caressaient, 170 mains sur ma chevelure, mes joues, mon dos, mes fesses, mon ventre, mes jambes, des petites claques, des pincements, des insultes, des compliments, et puis des doigts
1700 doigts, on me fit sucer des pousses, des index, je sentais bientôt des doigts me fouiller et me pénétrer le sexe, les fesses, tout en même temps, jamais les mêmes doigts ou pas très longtemps, mais je gémissais et finalement jouissais à plusieurs reprises sous les commentaires : « mais quelle petite chienne, regarde elle est toute mouillée
elle bave du sexe, regardez-moi ses nibards incroyables
les gros tétons
un cul mes amis
regardez comme elle se cambre
elle à une bouche faite pour ça
vous avez vu son regard quand elle jouit ?
» Je pu identifier plusieurs accents de différentes classes sociales, de la cité à la ferme en passant par le cabinet de notaire.
Cela na pas duré dix minutes mais bien trente, quand le Maître leur ordonna de reprendre leur place et de reprendre surtout leur masturbation. Je tremblais sur mes jambes toujours à quatre pattes, la chevelure défaite, les joues rosies, le dos griffé, les fesses rougies par les claques.
- Bien quon fasse entrain le chef des esclave
dit le maître.
Un grand noir arriva par une porte dérobée, il était nu et masqué, immense et incroyablement battit, un géant. Et son sexe en parfaitement en érection était ce que javais vu de plus grand et gros, je pâlis, mais je me sentais incroyablement belle et ce sexe ne me laissait pas indifférente !
Le maître consulta lassistance :
- Alors par ou ? Devant ? Derrière ? Une fellation ?
La grande majorité voulait me voir sucer, jétais à demi soulagée : « une pipe oui
on veut la voir à luvre
non par devant on veut lentendre crier
.non une pipe regarde son visage, ce sera magnifique ! » le sort en était jeté. Le grand noir savança, jeus le droit de me mettre dans une positon plus supportable, je pris ce gros membre dans ma main, je le lécha de toute part et bavais très vite tant laffaire était grande. Il était fort bon et sentait le mâle sauvage, je ne sais comment dire
ce noir avait un goût très agréable, jen vains à le lécher comme une glace avant de tenter de le sucer tout en le branlant de mes deux mains
le maître sadressa soudain au 85 qui se branlaient toujours.
- Noubliez pas messieurs que vous devez éjaculer sur elle, ou vous voulez mais pas dans la bouche !
Ainsi, jallais prendre 85 giclées de foutre sur le corps ? Impensable, mais tellement excitant ! Et peu à peu les premiers arrivaient
éjaculant où ils pouvaient, sur mes fesses, sur mon sexe, sur ma joue
ce qui excita davantage le noir que je suçais. Et à nouveau les commentaires tombaient en même temps que les gémissements : « regarde comme ses lèvres absorbent la queue
ô sa langue regarde comme elle sen sert
elle en veut regarde comme elle est gourmande
» et bientôt le nud se resserra, tout saccéléra, jétais absolument entourée dhomme à la limite de lorgasme, nattendant quune chose pour jouir, me voir absorber le sperme de la queue noir
Et tout se produit en un éclat foudroyant : le noir me tenait fermement le visage afin quaucune goûte ne méchappa, et javala goulûment son abondante semence pendant que 50 verges jouissaient sur ma peau, beaucoup sur mon arrière train.
- Cest très bien ! Nous avons pris des photos que nous enverrons dès demain à ton compagnon, pour lui prouver que tout se passe à merveille. Va dans ta chambre et bonne nuit.
Je me lavais et passais ce soir une nuit très profonde, jétais épuisé. Le lendemain un valet mapporta une tenue de soubrette, il me demanda de me lever, de me vêtir et daller prendre mon petit déjeuner avec les autres à la cuisine. Je découvris alors que je nétais pas la seule jeune fille éduquée au château. Dautre femme prenaient leur déjeuners avec moi. Nous avons un peu discuté. Le reste de la matinée était bien chargée, des taches ménagères essentiellement. Et plusieurs jours suivirent sans que je ne fus autre choses quune bonne de maison. Je commençais même un peu à désespérer. Cest seulement quatre jours après mon jubilé que jeus une nouvelle expérience, planifiée par le maître certainement. Cétait une après-midi caniculaire, le maître prit la décision demmener tout le monde au grand bassin de la propriété, tout le monde cest à dire les huit autres filles, les deux soubrettes personnelles du maître ainsi que deux valets. Il ne restait bien que moi et deux autres valets qui nétions pas autorisés à y aller. Alors dans le salon, comme jépoussetais la cheminée les deux valets sapprochèrent de moi. Ils mont alors tourné autour.
- Pas mal la nouvelle hein ?
- Ouais !à la fois belle et bonne !
Puis le plus avenant se mit en tête de membrasser
je le repoussa et le gifla spontanément. En colère, il fit tomber un vase de la cheminé
- Oulala ! la nouvelle à fait tomber le vase chinois de maître, y va pas être content le maître. Charles, Va trouver le maître, et demande lui quelle punition elle mérite.
Le second valet obéit. Je me suis mise bêtement à sangloter et comme je ramassais les débris, le valet sapprocha de moi, ouvra sa braguette et sorti son sexe, assez petit.
- Les mains derrière le dos et Suce ! Peut-être que ta punition sera plus légère, noublies pas que tout ce qui se passe ici est la volonté du maître, et en refusant mon baiser tu es allée contre sa volonté.
Je ne comptais pas aggravé mon cas, à genoux les mains derrière le dos, jinclinais ma tête est attrapais son sexe avec ma langue, puis lavala. Il se saisit alors de ma tête et accéléra lui même le rythme, il pénétra ma bouche comme sil sagissait dun sexe . Il jouit avant le retour du second, mais je gardais son foutre dans ma bouche dans lespoir de le recracher. Le second revint
- Le maître à dit : « jetez-moi là aux 3 esclaves
»
Les deux valets memmenèrent au sous-sol, une excitation latente commençait à monter en moi, jaimais être traitée ainsi. Et de plus trois hommes
cétait peut-être le moment de mon initiation à la double pénétration, je sentais une chaleur émotive envahir mon bas ventre. Nous arrivâmes au cachot, trois hommes noirs absolument nu y séjournaient. Les valets marrachèrent mes vêtements et me jetèrent au beau milieu de cette cage. Les valets restèrent à cotés et dirent
- Voilà les gars.. de la chair fraîche !
Les trois hommes sourirent et leur long sexe commençaient à se dresser, ils dirent
- Pas mal ! Joli blanchette, joli cul la frangine !
- Elle est un peu grassouillette, mais ça lui va bien !
- Elle est trop bonne tu veux dire, et même assez mignonne.
Comme jétais alors debout, ils se levèrent aussi. Ils se frottèrent contre moi, je sentais clairement leur sexe grossir, ils me palpaient partout et membrassèrent à tour de rôle. Et puis le plus beau des trois me demanda à loreille.
- Ecoute on va pas te faire mal
dis-moi juste si tu as déjà été sodomisé.
Je fis un légers signe de tête positif
Mais les valets sinterloquèrent :
- Cest quoi ces messes basses ? Vous connaissez les règles
- Oui patron, pas de problème !
Puis deux dentre eux se mirent à genoux, pendant que lautre toujours debout membrassait goulûment. Je sentais deux langues me lécher alternativement, ce duo de langue me fit presque jouir, lun saffairait à ma petite chatte, pendant que lautre soccupait de mon anus.
Je profitais du baiser pour glisser à loreille de mon complice
- Faites-moi tout, je suis prête !
Les deux hommes se relevèrent et me fit mettre à genoux, je jetais sur eux un regard de désir que je ne me connaissais pas, jétais vraiment offerte, je savais ce quils voulaient, je passais alors ma langue sur mes lèvres et jouvrais ma bouche. Les gros sexes mexcitaient beaucoup maintenant, et la vue de ces trois là avec leur gland brillant, dautant plus. Je me déchaînais sur eux, léchant, suçant et branlant comme jamais auparavant, je leur jetais des regards de salope, et je me suis dit : « sil y a un jour ou tu dois être une chienne cest ici et maintenant ! » Je voyais un des valets filmer la scène, je savais bien que cette cassette serait destinée à Cédric, et je la regardais souvent. Cédric mavait transmit son fantasme, et je sentais tout en suçant ces trois gaillards, mes deux trous se dilater denvie. Le plus beau des trois qui semblait diriger la situation, interrompu mes fellations, en prétextant que sinon ils allaient jouir tellement jy mettait du cur. Il me leva, et me colla debout face au mur froid du cachot. Il me fit me cambrer. Il dirigea son gros gland contre mon anus et le fit entrer, rien que son gland et donna des petits coups. Je lui demandais alors discrètement
- Pourquoi mon cul et pas par devant dabord ? Souvent les hommes commence par mon cul !
- Ton cul est si beau et rebondit, dès quon te vois on ne peut penser à autre chose
Sur ces paroles il enfonça, la bonne moitié de sa verge, et puis le trois quart. Je gémissais, ce sexe était très large mais son propriétaire savait sen servir. Puis il me retourna debout, son sexe toujours dans mon cul, il reprit ses vas et viens. Il fit signe à un des deux autres de me prendre par devant, le troisième aidant, ils étaient fort et je ne touchais bientôt plus terre. Pris dune terrible fièvre jencourageais mes preneurs tout en gémissant
- Vas y mets-là
humm mets-là, je veux connaître ça, vas y ! Après javalerai si tu veux
Et lhomme ne se fit pas prier, il entra en moi, non sans difficulté, celui qui était dans mon cul dut lui concéder un peu de place. Mais bientôt tout les deux memplissaient, et dans un rythme impressionnant me pénétraient, lun sortant, lautre venant, lenjeux étant denfoncer leur sexe à chaque fois plus profondément, et ils y parvenaient tant et si bien que jhurlais de plaisir. Maintenant ils me traitaient de tout les noms possibles, le valet qui tenait la caméra était entré dans le cachot pour ne pas en perdre une miette. Celui devant me jouit sur le ventre, et cest le valet qui prit sa place, je le narguais
- Cest dans les règles ça ?
En réponse il me claqua les seins, et me pénétra de son petit sexe, mais quoi quil en soit de sa taille il me fit du bien aussi. Je jouissais à plusieurs reprise, mais refusa que cela sarrête. Le plus impressionnant fût le beau qui menculait, alors que le valet jouissait et laissait spontanément sa place au troisième esclave, lui continuait sans perdre de sa vigueur. Sa pénétration anal était somptueuse et précise il nallait pas ment rapidement et évitait ainsi lirritation. Je le sentais aller de plus en plus loin, et il gémissait beaucoup. Le troisième me disait des choses agréable en me pénétrant par devant, mon sexe très poilu et noir lui plaisait énormément. Je touchais a présent au paroxysme, les deux gros sexes uniquement séparés par quelques centimètre de ma chair, accéléraient leur rythmes, sentrelaçaient, se cognaient par moment, leurs couilles buttées contre mes parois, jeus un orgasme démesuré, jhurlais de plaisir jusquaux larmes, et je perdis connaissance.
Je me réveilla le matin dans mon lit. Il ne se passa à nouveau rien pendant trois jours. Et puis jeus droit à la surprise la plus humiliante de mon séjour. Tout se passa dabord plus ou moins normalement. On me fit descendre les yeux bandait dans le salon. Jentendais la voix de mon maître qui me demandait davancer jusqu'à un certain point. Il me demanda de me déshabiller, jentendais alors des applaudissements et des sifflets autour de moi. Une fois nue le maître me demanda de me mettre à genoux en écartant un peu les cuisses, suffisamment pour que je puisse me toucher, ce quil mordonna. Je massais donc mon clitoris. Puis le maître de demanda de raconter ce quil cétait passé au cachot.
- Trois hommes mont fait lamour, maître !
- Trois hommes ? Et il paraît que les valets aussi, et que cela tas plus ?
- Oui maître, un des valets ma pénétré et cela ma plus !
- Tu tes fait prendre en double nest-ce pas petite cochonne ?
- Oui maître, par devant et derrière !
- Et les sexes, ils étaient bon ?
- Oui, très gros et longs !
- Tu tes bien fait mettre, dis-le !
- Oui maître
Humm.. maître.. je vais me faire jouir, maître
- Dis-le !
- Ouiiii, je me suis bien fait baiser Ouiiii !
Ma jouissance fût stoppée ! On menleva le bandeau. Et ma stupeur fut grande, il y avait là sept garçons que je connaissais. Des collègues de bureau à Cédric avec qui nous sortions quelques fois.
Jétais honteuse, je baissais les yeux, jétais très rouge. Le maître parla
- Tu les reconnais nest-ce pas ?
- Oui !
- Ecoute ce quils veulent te dire
Et les sept garçons se mirent à jaser, en souriant et en me jetant des regards de braise : « depuis le temps quon timagine à poil ! tes vraiment trop bonne ! en plus tes une chaude ! jétais sur quavec une poitrine pareille
»
Le maître mordonna davancer vers lui à quatre patte, il ouvra sa braguette et sortit son sexe de taille moyenne et que je voyais pour la première fois. Il dit
- Messieurs, la demoiselle va me sucer, jai lexclusivité de sa bouche, quand à vous, voyez son arrière train est offert, choisissez le trou!
Je commençais à lécher le maître, et très vite un des gars se plaça derrière moi, et me prit pratiquement de force. Avec violence il me pénétra la chatte tout en me pétrissant les seins. Cétait Yannick, le petit malin qui lorsque Cédric à le dos tourné en profite toujours pour me toucher les fesses.
- Taimes ça Angi hein ? Sucer et te faire prendre en même temps !
Cest vrai ! Mon excitation commençait réellement à monter, le maître avait bon goût et je mappliquais à avaler entièrement son sexe, entre mes lèvres si généreuses. Yannick continuait son affaire, je sentais son gland me ramoner lintérieur de plus en plus. Il savait y faire le cochon, il mavait toujours dit être un meilleur coup que Cédric, il navait pas tord. Je gémissais de mieux et je sentais lorgasme monter. Yannick ne cédait pas son tour facilement, et avait décidé de me montrer quil savait aussi faire une bonne sodomie. Il crachat sur mon anus et le pénétra. Je me mis à hurler de plaisir ce qui lui plaisait beaucoup.
- Alors, tu vois comme cest bon avec moi
hein han .. cest mieux quavec ton petit Cédirc hein ?
- Oui
cest vrai
cest bon
si bon
Je ne pouvais presque plus sucer le maître tant Yannick me faisait crier et tant il me bousculait de ses coups de hanches. Mais cela suffisait pour faire jouir le maître, qui me jouis entre les seins.
Puis soudain un chaos monumentale sinstalla. Le maître se leva et dit.
- Je me retire, faites ce que vous voulez de cette chienne !
La scène qui suit est pour le moins indescriptible. Je fus rendu à demi-consciente à sept fauves en rut lâchés sur moi. Je fus prise en double par quatre dentre eux, ils étaient enragés ont aurait dit quils attendaient de me prendre depuis des années. Ils me le disaient dailleurs. Ils se sont beaucoup occupé de mes gros seins, tous les ont sucés et mordillés, cela ma même provoqué un orgasme. On saccaparait ma bouche, mon cul, mon sexe, je navais plus rien à dire, jétais leur machine à jouir. Je les connaissais tous, et une étrange complicité sétablissait entre nous, je les embrassais de moi même, après tout sils avaient tant envie de moi, ils navaient qua me le prouver une bonne fois pour toute ! Cette orgie dura plus dune heure, Yannick fut le plus fervent, il jouit à trois reprises en ayant su reprendre ses forces. Puis le maître revint, mis de lordre, me donna une fessée devant tout le monde. Une fois de plus je mévanouissais.
Bis à tous. Angélique
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!