« Gwen » : Cette Jeune Ingénue Devient La Salope De Nicolas Malgré Elle ? Partie 2/3.
Dans mon premier récit, Nicolas était parvenu malgré moi à mattirer dans ma chambre dhôtel et mavait plaqué au mur. Je paniquais, je pensais quil allait me violer. Jétais prête à crier et sen était aperçu, il approcha sa bouche de la mienne et déposa une bise sur mes lèvres en me caressant tendrement ma joue et messuya une larme qui coulait en me disant très gentiment :
Calme-toi Gwen, je ne te veux aucun mal. Change de robe, il est tard nous devons retourner au séminaire.
Javais bien ressenti, lorsquil était contre mon ventre quil me désirait, son petit baiser, sa douce caresse et ses paroles venaient de me rassurer complètement. Bizarrement, Jen étais toute gênée, mon corps avait réagi à linverse de mes pensées, mon vagin était devenu humide sous cette étreinte. Toute tremblante, je suis allée au pied du lit, sortis une nouvelle tenue de ma valise en me dirigeant vers la salle de balle de bain mais Nicolas men empêchait laccès :
Pardon Nicolas, il faut que je me change. Lui dis-je.
Non ! Je veux te voir, je vais taider. Mordonna-t-il dun ton plus ferme en sapprochant de moi.
Là encore, je me retrouvais dans mon fantasme, devant mon dominant, cet homme grand et costaud que je métais imaginé en secret. Je ne pouvais pas lui refuser, jen étais incapable comme hypnotisée, je restais immobile nosant pas le regarder. Adroitement, il descendit la fermeture, enleva les deux petites bretelles et glissa ma robe tâchée le long de mon corps. Je métais retrouvée en sous-vêtements ne sachant que faire, il sapprocha de moi, madmira en posant ses mains sur mes épaules les caressant :
Tu es faites pour moi, tu es à ma merci.
Il se colla derrière moi et me caressait désormais ma poitrine pendant quil posa ses lèvres dans mon cou. Javais honte de moi, mes bras le long du corps restaient ballants et ne répondait plus à mon cerveau qui leur commandait de lempêcher de me peloter.
il est inutile ton soutif, regarde-moi cette paire de nichons, ma cochonne. Dit-il en les remuant et les soupesant.
Il fit de même avec ma petite culotte mais avant de la jeter au milieu de la chambre, il lavait touchée et sentie en disant :
Comme tu mouilles ma salope !
À ces mots, javais eu ce sentiment de dégout dêtre ainsi rabaissée. Il me faisait peur, mais en même temps, je savais quil navait pas besoin de me forcer, je mouillais fortement, jétais dans lembarras, il saperçut que je devenais sous sa dépendance, je ne pouvais nier lévidence. Il me dit :
Mets-toi à genoux maintenant ! On na pas beaucoup de temps !
Je savais ce quil voulait, jappréhendais, je voulais refuser, javais toujours limpression davoir des nausées en mettant un pénis dans ma bouche. Pourtant, je lui obéis sans résistance, je ne comprenais pas pourquoi à cet instant je détestais ce type. Il avait baissé son pantalon et sortit son pénis dune largeur et épaisseur largement supérieure à la moyenne. Il bandait fortement et présenta sa grosse verge devant ma bouche en mordonnant :
Suce-moi salope ! Je te baiserai cette nuit.
Voyant ma répugnance en nosant pas prendre son sexe dans les mains, Il maida en mettant son gland devant mes lèvres et sans aucun geste de recul, jouvris ma bouche en fermant les yeux. Il poussa légèrement son bassin en avant dun mouvement de rein et javalai le tiers de son engin. Il avait pris larrière ma tête de ses deux mains pendant que je le suçais. Au fur et à mesure, il senfonçait, se retirait et recommençait.
Masse moi les couilles ! Mordonna-t-il.
Jobéis immédiatement mes deux mains étaient occupées à lui malaxer les testicules lourdes et pleines, ma tête suivait les mouvements de ses va et vient. Je lentendais gémir de plus en plus fort, lorsquil me dit :
Regarde-moi en me suçant, sale petite cochonne !
Lorsque jouvris les yeux en les levant vers lui, il immortalisa cet instant en déclenchant lappareil photo de son téléphone portable quil reposa ensuite sur la petite table :
Allonge toi sur le lit, maintenant.
Il me releva en mettant ses mains sous mes aisselles et posa une nouvelle fois ses lèvres sur les miennes. Je nétais plus moi-même, je lui avais obéi sans discuter. Une fois allongée, il passa ses doigts sur ma vulve et sourit en les retirant, ils étaient luisant de cyprine. Je devenais impatiente, je pensais quil allait me prendre en missionnaire et jacceptais sans rien faire pour len empêcher, mais ce ne fut pas le cas.
Avec ses deux genoux de chaque côté de ma poitrine, il me chevauchait, il me dominait. Il mordonna de le reprendre en bouche en minsultant de : « sale petite pute ». Cette fois, je neus pas besoin de lui, je saisis son pénis et lavalai jusquà la moitié de sa longueur avant de poursuivre ma fellation avec toujours ce même dégout mais voulant lui apporter son plaisir. Je navais pas deviné quil ne tiendrait plus longtemps et quand il commençait à râler fortement il se retira et me dit :
Je vais me branler entre tes nibards sale chienne.
Il glissa sa verge épaisse entre ma poitrine en maintenant fermement mes seins pendant quil allait et venait avec de grands coups de rein. Très vite il râla fortement en senfonça entièrement une dernière fois et je reçus de grands jets de sa semence chaude et visqueuse sur ma gorge et mon cou. Il resta ainsi un long moment. Je pleurais, javais honte de moi, je détestais le sperme et je lavais laissé éjaculer sur moi sans mopposer. Lorsque javais voulu me lever pour me précipiter vers la salle de bain :
Ah non ! Pas ça !
Il mobligea à passer mes mains sur toute ma poitrine qui devint gluante et brillante. Encore une fois, la situation mavait tellement excitée que jétais trempée, il enfila ses doigts dans mon intimité sans que jesquisse le moindre geste au contraire, jécartai mes cuisses, désormais je ne pensais quà mon plaisir, pourtant mon cerveau me disait de me lever pour menfuir. Il nen fut rien, sous cette masturbation rapide et efficace, je pris un orgasme fulgurant qui me mis dans lembarras, je me sentais humiliée, je nosais plus le regarder, je baissais la tête :
Allez enfile ta nouvelle robe, il est lheure.
Il mempêcha daller me nettoyer et mordonna de ne pas remettre mon soutien-gorge, ni ma petite culotte.
Mais Nic
Il ny a pas à discuter, pas de sous-vêtements avec moi.
Il était 15h05 lorsque nous sommes arrivés. En pénétrant dans la salle en retard, je ressentais tous les regards posés sur moi, je me sentais sale, nue sous ma robe, avec le sperme séché sur ma poitrine et ma jouissance qui sétait écoulée entre lintérieur de mes cuisses. Nicolas avec un grand sourire demanda à son voisin sil était parvenu à baiser sa collègue. Celui-ci fit non avec sa tête et fièrement lui répondit en montrant la photo de son portable :
Regarde cette salope comme elle aime ça. Dit-il en me regardant.
Jétais morte de honte, de dégout de moi-même, je men voulais et Nicolas me ridiculisait. Lorsque ce fut à mon tour de lire notre exposé, je fus dans lincapacité de le faire sans bégayer. Il mavait arraché le dossier et le fis à ma place :
Excusez-là, elle est timide ! Elle doit lêtre probablement moins dans un lit.
Toute la salle sétait mise à rire, même le formateur sétait retenu à le faire en essayant vainement de reprendre le contrôle. Pendant les deux heures quils nous restaient, je navais quune pensée en tête, aller me laver. Nicolas mavait totalement ignoré, si cela mavait rassurée pour la suite de la soirée que je pensais passer seule, son indifférence envers moi mavait touchée. Jétais vexée, il avait su me déstabiliser alors que je connaissais mes compétences professionnelles.
Pourtant à la fin de la séance, lorsque je sortis de la salle dans les premiers, il sétait placé à mes côtés et afin de montrer fièrement à tous les autres que jétais sous son contrôle, il passa son bras derrière mon dos et posa sa main sur ma hanche. En me passant la main aux fesses :
Allons finir ce que nous avons commencé.
Il mavait tellement déçu que je le repoussai en lui disant quil me laisse tranquille.
Ne tinquiète pas Simon, nous allons passer une nuit denfer.
Je me retrouvais une nouvelle fois sous son joug, je ressentais un mélange de désir et de désespoir. Me posant de nombreuses questions, principalement : « Comment allais-je faire pour échapper à son envie de me posséder cette nuit. » Les deux hommes parlaient avec Sylvie cette femme dune petite cinquantaine qui allait sans doute tromper son mari cette nuit mais celle-ci en avait lhabitude semblait-il.
Leur conversation tournait autour du sexe, ils parlaient à bâton rompu sur ce sujet sans aucun tabou, je ne savais plus où me mettre. Heureusement que Sébastien mappela à cet instant. Je métais levée et jétais sortie de létablissement afin dêtre tranquille pour discuter avec lui. Lorsque javais raccroché les larmes aux yeux, tellement javais des remords de lui avoir menti que je décidai de me reprendre en main. Je nétais pas retournée masseoir avec eux et jétais allée seule en ville, mangé un morceau avant de rentrer à mon hôtel.
Jétais enfin totalement rassurée, je pensais mêtre définitivement débarrassée de Nicolas qui ne quittait pas mes pensées. Lorsque je pénétrai dans le hall, quelle fut ma surprise de lapercevoir dans le petit salon à mattendre. Il se leva et vint me rejoindre dans lascenseur en disant :
Tu croyais vraiment passer la nuit sans moi ? Salope !
Non ! Il en est hors de question. Lui répondis-je en essayant de le repousser.
Les portes sétaient déjà refermées quand il prit mon téléphone portable de mon sac et releva le numéro de mon chéri en lenregistrant sur le sien :
Soit tu me laisse entrer avec toi dans ta chambre, soit Sébastien reçoit cette photo. Je peux te dire que lorsquil te verra sucer comme une gourmande la queue dun autre type, cela va lui faire drôle.
Devant ma porte, il me montra le cliché prêt à être expédié à mon homme par SMS, il avait le doigt sur le bouton « Envoyé ». Encore une fois, jétais prise au piège, il était hors de question que Sébastien reçoive ce texto. Jouvris la porte et nous sommes rentrés ensemble dans cette chambre que je trouvais subitement lugubre à mourir.
Sans attendre, il marracha littéralement ma robe, sa douceur de laprès-midi avait disparu. De ses mains puissantes, il mappuya sur les épaules en me forçant à magenouiller. Il descendit entièrement son pantalon et baissa son slip. Il était déjà en pleine érection. Je ne me posais plus de questions, je savais ce quil voulait de moi et plus vite ce serait fini, plus vite il quitterait ma chambre.
Je mappliquai à faire la meilleure fellation possible, de ma langue et de mes lèvres, javais fait en sorte quil ne résiste pas longtemps. Sa respiration saccélérait, ses gémissements me faisaient croire que son plaisir approchait, je mapprêtais à retirer ma bouche lorsquil mavait maintenue fortement de ses mains, javais des difficultés à respirer avec son pénis au fond de ma gorge. Je fus contrainte davaler son sperme lorsquil éjacula en râlant fortement. Je neus pas loccasion de goûter sa semence écurante qui sécoulait directement dans mon sophage :
Sale pute ! Je naurais pas pensé que tu avale tout sans rien dire. Maintenant allonge toi, je vais te bouffer la chatte.
Je pensais à Sébastien jétais prête à me lever à lui résister mais mon corps ne le voulait pas, ma petite chatte coulait de désir sous sa langue et ses doigts qui me fouillaient les deux trous. Jétais en plein extase depuis plus de vingt minutes, lorsquune giclée de jouissance sortit de mon vagin arrosant son visage et sa main :
Quelle salope ! Sexclama-t-il en me retournant afin que je me retrouve en levrette.
Sa verge ayant repris de la grosseur, il me pénétra sans résistance, son sexe simbriquait dans mon vagin en le remplissant parfaitement. Pendant de très longues minutes, il me labourait sauvagement en minsultant. Plus il prononçait ses injures, plus je le trouvais ignoble. Néanmoins, mon corps réagissait autrement, je mouillais tant que sa verge coulissait facilement. Je venais de jouir en le détestant.
Il narrêtait toujours pas, il me pilonna encore plusieurs minutes avant de se retirer. Il enleva son préservatif et menvoya toutes ses longues rasades de sperme en plein visage. Mes cils, mes yeux mes joues et mes lèvres en étaient recouvert, jétais souillée et pourtant lorsquil avait éjaculé, jen avais joui une nouvelle fois. Jétais heureuse lorsque je le vis se revêtir, il mavait donné du plaisir et me quittait enfin. Mais en même temps très déçue car je désirais au plus profond de mon être quil recommence. Je fus soulagée lorsquil me dit : « Allons au bar, il faut que je reprenne des forces, nous nen avons pas encore fini. »
Cet homme était incroyablement persuasif, après une heure passée ensemble à boire deux cafés, il était parvenu à me dévoiler à lui, je lui avais raconté tout ce que javais vécu et ce que je ressentais avec lui. Au terme de cette entracte, il nhésita pas à me sodomiser. Il me prépara en me dilatant lanus avec sa salive et ma cyprine, les deux doigts quil menfonça pendant plusieurs minutes avaient fait le reste. Pourtant lorsquil présenta sa grosse verge dans lentrée de mon rectum, javais souffert pendant toute la pénétration. Il était parvenu à me dépuceler de ce côté-là, sans que je prenne un réel plaisir.
Jamais je naurais pensé céder à un autre homme que mon Sébastien et pourtant lorsquil mavait dit : « Je vais tenculer sale pute. » Je ne lui ai pas résisté. Dailleurs, toute cette nuit je fus sa chose, je métais même surprise de mentendre lui dire :
Oui domine-moi, ravage-moi, défonce-moi le cul.
Je métais quelques fois sentie honteuse mais à chaque fois mon corps jouissait lorsquil me souillait. Nicolas fut très résistant et javais pris je ne sais combien dorgasmes sous ses coups de reins brutaux et ses paroles perverses. Il abusa de moi en se soulageant plusieurs fois jusquà deux heures du matin. Je métais endormie blottie dans ses bras. Mais le matin au réveil, il avait déjà disparu.
Pour la dernière ? journée quil nous restait à faire, je navais pas très envie dy aller, je ne savais pas comment jallais réagir, jétais désemparée et très honteuse de ce que javais pu faire la veille. Là encore, je fus déçue car il avait fait comme la veille, il ne mavait à peine regardé. Dun côté jétais contente parce que je navais pas à subir sa perversité mais à lintérieur de mon être, jaurais aimé quil me complimente de mêtre offerte à lui sans retenu. Javais envie quil moblige à le revoir, il nen fut rien, il ne ma même pas fait la bise à la fin du séminaire, jen ai pleuré pendant mon retour en train. Aurais-je la possibilité de le rencontrer ?
Je vous raconterai la suite dans un autre récit.
Chères lectrices et chers lecteurs, jaimerais votre sentiment. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous.
Si comme Gwen, vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, avec votre aide, jécrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
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