Laurent Et Sophie
Assis face à son ordinateur, Laurent se masturbe avec délectation. Sur lécran, des femmes exhibent leur nudité en des photos suggestives, à la limite de la pornographie. Laurent apprécie particulièrement ces moments où, seul à la maison, il peut fantasmer sur ces femmes qui le fascinent. Bien quil sait que nombreuses sont celles qui se rasent le bas ventre, il aime surtout voir une toison régulière orner le corps féminin. Il avait surpris, il y a quelque temps, sa sur se déshabiller sans quelle le sache et il était resté troublé par ce triangle sombre et soyeux.
A 17 ans, il est encore vierge et na jamais fait queffleurer lune ou lautre copine. En matière de sexualité, son expérience se limite à quelques baisers profonds qui lui ont cependant procuré une excitation violente. Mais sa timidité lempêchait daller plus loin.
Il a baissé son pantalon et son boxer sur ses cheville et se caresse le sexe, faisant coulisser le prépuce sur son gland congestionné. Tout à son plaisir, il nentend pas sonner le carillon de la porte dentrée.
*
Laure, éteint le moteur de sa petite voiture urbaine. Elle ouvre la portière et se met à sextraire de son siège. Elle est vêtue dune jupe assez courte qui dévoile ses longues jambes bien galbées. Un observateur improbable décèlerait quelle porte des bas genre « dim up », mais il ny a personne. Après avoir fermé la portière, elle rajuste sa jupe et son chemisier, mettant en évidence sa poitrine mure. A presque quarante ans, elle est fière de son apparence. Célibataire, elle désire rester libre et choisir ses partenaires comme elle le souhaite. Sa sur lui reproche souvent son indépendance, mais elle nen a cure. Elle vient lui rendre une petite visite à limproviste.
Elle sonne en vain à la porte dentrée. Laurent, son neveu, doit pourtant être rentré des cours. A tout hasard, elle met sa main sur la poignée. La porte souvre. Laure entre dans la maison et referme à clé derrière elle.
- « Laurent ? ».
Pas de réponse. Elle sapprête à repartir mais se ravise et prend la direction de lescalier qui monte à létage. Laurent doit faire ses devoirs. Elle entrouvre la porte de sa chambre. Ce quelle voit la fit sourire
*
- « Laurent ? »
Le jeune homme se retourne violemment. Surpris.
- « Ma
tante
».
Il ne sait quelle contenance prendre. Elle sourit toujours. Doit-il remonter ses vêtements, éteindre lordinateur ? Il se met à rougir comme jamais.
- « Alors, petit coquin, on samuse tout seul ? »
- « Mais,je
»
- « Je vois que tu es un homme maintenant »
Laurent cache avec ses mains son sexe qui a repris une taille décente et entreprend de rajuster ses habits.
- « Que vont dire tes parents quand je leur raconterai cela ? »
- « Tu ne feras pas ça ? Dis ? »
- « Et pourquoi pas ?»
Laurent se sent fondre de honte devant sa tante. Elle fait un pas en avant et referme la porte.
- « Je ne dirai rien à une condition
»
- « Je ten supplie
»
- « Tu devras mobéir alors
»
- « Tout ce que tu voudras
»
- « Viens me déshabiller
»
Laurent est interloqué. Sa tante, devant lui, lui demandant de la déshabiller
Certes, il apprécie ses formes généreuses quelle affectionne tant de mettre en valeur, mais de là à
- « Alors, tu nas jamais déshabillé une femme ? »
- « Non »
- « Je tapprendrai »
Elle sapproche un peu plus de son neveu et le fait se lever.
- « Déboutonne mon chemisier »
Laurent hésite mais elle lui prend la main et la pose sur sa poitrine. Il commence, les doigts tremblants, à ouvrir le fin vêtement. Lorsquil a presque terminé, sous un soutien gorge noir en dentelle, il découvre la profonde vallée entre les seins. Il sent, malgré lui, son sexe durcir à nouveau.
- « La jupe
»
Elle se retourne et il peut faire glisser la fermeture de la jupe qui tombe à ses pieds.
- « Les bas
»
Laurent fit rouler le bas délicatement. Il apprécie la douceur de cette jambe soignée. Il procède de même avec lautre. Il peut entrevoir lentrejambe de sa tante. Il remarque une petite tache dhumidité sur la culotte tendue sur le sexe quon devine sous le tissu soyeux.
- « Mon petit Laurent, jai limpression que tu bandes de nouveau »
Il rougit de nouveau mais elle repend linitiative.
- « Le soutien-gorge »
Il navait jamais dégrafé ce genre dattache et sa maladresse fait sourire Laure. Enfin, le sous-vêtement libère la poitrine. Elle se masse les seins avant de les offrir au regard de son neveu. Il reste muet devant cette poitrine de femme mure. Les seins de Laure tombent à peine. En forme de poire, ils sont encore bien fermes et les mamelons se dressent fièrement au centre dune aréole de petite taille. Laurent ne peut détacher ses yeux.
- « Mets toi à genoux et baisse ma culotte »
Laurent se dit quil ne pourrait y arriver. Face au ventre de sa tante, il fait descendre lentement la culotte, dévoilant petit à petit une toison régulière et bien fournie. Comme il les aime ! Les poils bruns frisés dégagent une douce odeur quil ne connaît pas. Le sexe proprement dit nest pas visible sous le tapis naturel qui le couvre.
Laure fait se relever Laurent.
- « Comment me trouves tu ? »
- « Tu es belle
»
- « Je te plais à ce que je vois
»
La verge érigée de Laurent tend le tissu de son pantalon à en craquer. Laure est superbement nue. Son corps resplendit de sensualité. Elle savance vers lui. Ses seins frémissent, oscillent légèrement. Elle défait la ceinture de son pantalon, louvre et le fait glisser à ses pieds. Son boxer est prêt à exploser.
Laurent a limpression de flotter dans un autre monde. Il aide sa tante à lui retirer son T-shirt.
- « Laisse toi faire
»
Elle prend délicatement la verge de Laurent entre ses doigts et la décalotte lentement. Il soupire de plaisir. Quelle différence avec sa propre masturbation ! Elle fait quelques mouvements de va et vient sur la hampe qui durcit encore. Elle sent quelques palpitations internes qui annonce une éjaculation imminente. Il éclate en longs jets puissants. Son sperme se déverse sur le ventre et la main de sa tante. Elle nest pas déçue parce quelle se doutait que ça se passerait aussi vite. Il est jeune et probablement vierge. Et en ce moment terriblement gêné de ce qui sest passé.
- « Tu men as mis partout là ! Je suis toute collante maintenant ! »
- « Jai pas pu me retenir, désolé
»
- « Pas grave, cest de ton âge ! On va à la douche ! Ta mère rentre quand ? »
- « Dans deux heures environs »
- « Ca nous laisse du temps »
Elle prend Laurent par la main et lentraîne vers la salle de bain.
*
- « Fais couler le bain pendant que jéponge le plus gros ».
Laure déroule un bout de papier toilette et le passe sur elle. Lodeur âcre du sperme la fait frémir. Elle regarde son neveu dont le sexe a repris une taille normale. Penché en avant sur la baignoire où leau se met à couler, elle voit ses fesses tendues entre lesquelles pendent ses bourses.
Ils entrent tous deux dans la baignoire. Laure humidifie léponge, y verse du gel de douche et la tend à son neveu en souriant.
- « Vas-y ! répare tes dégâts. »
Le jeune homme sexécute. Il enlève consciencieusement les traces de son sperme sur le ventre de sa tante, autour du nombril.
- « Les poils aussi ! »
Elle écarte les jambes pour lui faciliter le passage. Il passe léponge sur la toison et le sexe qui se couvrent de mousse parfumée. Laure frisonne à ce contact et constate que la virilité de son neveu a repris de la vigueur.
- « A moi maintenant »
Elle reprend léponge et lave les organes génitaux de Laurent. Elle fait glisser le prépuce.
- « Pas trop mal ? »
- « Un peu, mais cest bon quand même »
Elle décroche la douche et entreprend de le rincer. Puis elle fait couler leau tiède sur son corps.
- « Essuie-moi »
Sous la grande serviette, Laurent sent les courbes se sa tante. Ses hanches, sa taille, finalement, en hésitant un peu, ses seins. Ils sont beaucoup plus gros que ceux de ses copines de classe et cest la première fois quil sent ainsi sous ses mains cette texture si particulière. Elle pose un pied sur le bord de la baignoire pour quil puisse soccuper de ses jambes. Il les essuie, puis les cuisses, glisse vers le pubis, lentrejambe.
Laure sort de la baignoire. Bien séchée, sa toison a pris du volume et les poils bouclés ont des reflets de lumière. Laurent remarque que le ventre est légèrement bombé mais cela donne une plus grande sensualité encore à ce corps qui léblouit par sa perfection.
Après lavoir essuyé à son tour, elle propose :
- « Retournons à la chambre »
*
Laure sassied sur le lit. Son neveu est devant elle. Il est en semi érection. Sa verge à moitié gonflée pend légèrement sur son scrotum. Elle le fait agenouiller à ses pieds. Il aperçoit le haut de sa toison entre les jambes jointes. Elle les écarte lentement, découvrant petit à petit sa vulve.
- « Tu as déjà vu un sexe de femme, non ? »
- « En vrai, jamais
Cest beau»
Au centre des lèvres gonflées et recouvertes de poils soyeux, la fente sépanouit, finement ciselée, laissant à peine apparaître les nymphes délicatement plissées. Au dessus, le clitoris est recouvert de son capuchon et est caché aux yeux fascinés de Laurent.
- « Tu peux toucher, mais attention, cest fragile
»
Le jeune homme approche sa main de la vulve de sa tante. Il apprécie dabord la texture de la toison, joue avec les poils qui senroulent sous ses doigts. Il descend vers la fente qui souvre légèrement. Il est surpris par lhumidité qui commence à suinter. Son index la parcourt de haut en bas et est comme aspiré par lentrée du vagin. Laure découvre légèrement son clitoris, petit mais apparent tel un bouton qui nattend que la caresse. Elle le guide vers lui. Lorsquil le touche, un profond soupir sort de sa bouche. Elle ferme les yeux.
- « Surtout vas-y très doucement
cest bon »
Il trouve les gestes quil faut. Il sent le petit organe durcir et gonfler sous sa caresse. Dans le même temps, sa verge a fait de même et pointe sous son ventre plat.
- « Embrasse-le »
Elle attire la tête de son neveu vers son ventre. Il sent lodeur de sa féminité et en est troublé. Il pose ses lèvres sur le clitoris et lui donne un baiser délicat.
- « Tu apprends vite ! »
Il goûte à la liqueur parfumée qui coule de la fente puis se remet à admirer ce sexe qui palpite.
Laure oblige son neveu à se remettre debout. Elle lattire à elle et en enserre sa verge tendue dune main douce mais ferme. Elle finit de décalotter le gland que lérection découvrait à demi.
- « Surtout retiens toi, ne jouis pas maintenant
»
- « Ca ira
Tu es si douce
»
Elle pose ses lèvres sur le bout puis engloutit le gland tout entier. Laurent navait jamais ressenti une chose pareille. La bouche et la langue de sa tante lui procurent un plaisir indéfinissable, inconnu, irréel
Elle le fait coucher sur le dos, à côté delle. Elle lenjambe et sassieds sur lui. Elle le guide en elle.
Laurent sent son pénis entrer lentement dans le vagin chaud et humide. Nouvelle sensation inédite. Le paradis existe, pense-t-il. Il prend en mains les seins qui oscillent légèrement devant lui et les malaxe avec tendresse. Laure se couche sur lui tout en continuant à onduler, son clitoris contre la verge du jeune homme. Gardant linitiative, elle bascule sur le côté et se met sur le dos, jambes largement écartées, toute offerte à son neveu qui la pénètre. Elle impose son rythme jusquà laccélération finale des va-et-vient. Elle gémit de plus en plus jusquà ce quun orgasme intense la cloue de plaisir. Laurent jouis au même moment, lâchant de longs jets de sperme. Cest presque un cri qui sort de sa bouche tant son bonheur est immense.
- « Reste bien en moi ! »
Laurent savoure ce moment. Allongé sur le corps nu de sa tante, sur cette peau douce et sensuelle, il sent petit à petit sa verge se dégonfler et sortir du vagin inondé. Finalement, il se redresse et contemple cette femme qui vient de lui procurer le plus beau moment de sa vie.
* * *
Le soir, dans son lit, Laurent ne peut sempêcher repenser à cette journée. Il revoit sa tante superbement nue devant lui et lui procurant les plaisirs les plus intenses quil ait jamais connus. Après lamour, ils sétaient retrouvés dans la salle de bain pour une ultime toilette mutuelle, avant le retour de sa mère.
Il dort nu et se caresse doucement en revoyant ces moments quil espère revivre bientôt. Il songe à sa copine Sophie. Il la connaît depuis lenfance et voudrait bien un jour que leurs relations deviennent beaucoup plus intimes. Elle semble prendre plaisir à sa compagnie et il la déjà embrassée sur la bouche. En la serrant contre lui, il avait senti la fermeté dune poitrine assez généreuse. Cela navait pas été plus loin.
Il se souvient lavoir vu nue il y a longtemps, au cours de leurs jeux ds. Un jour pluvieux de vacances, ils sétaient retrouvés dans sa chambre, ne sachant pas tellement quoi faire pour passer le temps. Cest Sophie qui a proposé de jouer « à la visite médicale ». Ils avaient neuf ou dix ans et étaient poussés par une sorte de curiosité sur lautre sexe, sans vraiment se lavouer. Il prit linitiative.
- « Cest moi le docteur »
- « Jaimerais bien aussi ! »
- « Après ce sera toi »
Sophie accepta le compromis.
- « Je fais quoi ?»
- « Tu te déshabilles, tiens ! »
- « Complètement ? »
- « Tu peux garder ta culotte »
Rassurée par cette réponse, elle enlève son short et le T-shirt quelle portait uniquement ce jour là. Laurent ressentait certain trouble à la voir faire. Ce nétait quun jeu et il « fit semblant » de lausculter comme un médecin.
- « Couche toi »
Elle sétendit sur le lit. Il lui palpa le ventre. Il aurait tant voulu lui dénuder le ventre. Il avait déjà vu des filles nues. Il prenait depuis toujours son bain avec sa sur aînée dun an. Mais ici, il ressentait autre chose. Après tout, il était le « docteur »
- « Soulève toi un peu
»
Sophie souleva son bassin. Il passa ses doigts sous lélastique de la culotte et la fit glisser sur ses cuisses. Elle lenleva complètement avec les pieds. Laurent ne put détacher ses yeux de la vulve de son amie. Il était dailleurs incapable de mettre un nom sur cet organe. Il lappelait très banalement « kiki ». Il navait jamais vu de si près cette fente bien lisse. Cela navait pas lair de la déranger outre mesure. Elle jouait le jeu. Il lui écarta un peu les jambes. Les lèvres intimes souvrirent un peu. Il y porta les mains dans lintention den découvrir les secrets. A ce moment Sophie se leva du lit.
- « A toi maintenant »
Interloqué, Laurent ne eut que sexécuter. Le problème était que tout cela lui avait procuré une érection quil avait honte de découvrir. Il était en slip devant elle.
- « Tu ne te rhabilles pas ? »
- « Ca te dérange ? »
- « Non, pas du tout »
Laurent se coucha sur le lit. Elle procéda alors à la « visite médicale ». Lorsquelle baissa le slip de Laurent, la verge surgit, tendue vers le haut.
- « Pourquoi ton zizi est tout dur ?»
- « Sais pas, cest quand je tai vue toute nue »
Incrédule, Sophie toucha le membre dressé de son petit ami. Elle s étonna de sa raideur sans plus. Comme elle était toujours nue, Laurent se sentait bien plus troublé que devant sa sur et ne sexpliquait pas ce sentiment.
- « Et moi, je peux toucher ton kiki ? »
- « Si tu veux, mais ça ne sappelle pas un kiki ! Cest une vulve »
Le mot étant inconnu au jeune garçon, il en trouvait la consonance bizarre.
Elle sétendit près de lui et il put lui toucher les lèvres intimes. Ce contact la fit frissonner, agréablement. Ne sachant quoi faire dautres, ils se rhabillèrent et continuèrent leurs jeux ds.
*
A ce souvenir, Laurent gémit de plaisir. Cette situation ne sest reproduite quune fois, quelques semaines plus tard. Il tenait à recommencer le jeu. Elle accepta par amitié. Elle se mit même à quatre pattes pour le contenter. Il lui écarta même les fesses pour mieux voir son sexe. Elle était beaucoup plus gênée que la première fois. Cétait cette position sans doute. Il fit de même et elle put voir ses testicules pendre entre les jambes.
- « Tu sais à quoi ça sert, ces boules-là ? »
- « Non. Et toi ? »
- « Il faudra regarder dans un livre.. »
Il se rhabillèrent et prirent une encyclopédie dans la bibliothèque des parents. Où chercher ? Sophie connaissait plus de termes « savants » que son copain. Il finirent par trouver des planches anatomiques. Certains mots les faisaient rire mais les explications leurs semblaient terriblement compliquées. Ils nétaient guère plus avancés mais heureux de pouvoir mettre des mots sur certaines choses.
*
Laurent pense que les examens scolaires approchent. Souvent, Sophie et lui révisaient leurs cours ensemble. Peut-être pourrait-il profiter de loccasion pour
Mais non, il rêve
Comment pourrait-il procéder ? Certes, Sophie lui a montré plusieurs fois quelle tenait à lui et peut-être même était-elle amoureuse de lui. De là à envisager de faire lamour avec elle, il y a un pas à franchir ? Quand ? Comment ? Lavenir le lui dira.
Limage de sa tante ondulant sur lui, sa poitrine offerte à ses mains et sa bouche lui revient. Sophie a bien changé depuis leurs 10 ans. Son corps sest épanoui. Un jour à la piscine, il sest rendu compte quelle devenait une femme. En se penchant devant lui, il avait pu apercevoir un sein par lentrebâillement du maillot. La forme en était conique et pas très proéminente. En lobservant plus, il avait remarqué que quelques poils séchappaient de lentrejambe de son maillot. Il dut cacher son érection et se mettre à nager pour la faire disparaître. Il ignorait que Sophie avait vu son manège, mais elle se garda den jamais parler.
*
Vers ses douze ans, sa sur avait refusé quils prennent encore leurs bains ensemble. Leur mère lui avait simplement fait remarquer que sa sur devenait « grande » maintenant, sans autre explication. Mais il avait constaté quelle était beaucoup plus pudique. Sa poitrine sarrondissait et un fin duvet lui couvrait le bas du ventre. Il savait ce quétait la puberté, en parcourant quelques livres et en discutant avec ces camarades de classes, qui souvent nen connaissaient pas grand-chose
*
Laurent accélère sa masturbation. Pour la troisième fois de cette journée, son plaisir éclate en longs jets, mais avec une intensité très différente de cet après-midi. Ce quil considérait avant comme une jouissance suprême lui laisse à présent un goût de trop peu. Mais il sait quil devra encore se contenter souvent de ce pis-aller. Epuisé, il sendort, la tête pleine de délicieuses pensées.
* * *
Mercredi après-midi. Laurent attend Sophie pour étudier ensemble. Cest devenu une habitude pour les amis denfance. Surtout à lapproche des examens. Et cette année terminale est très importante. Il ne sagit pas de gaspiller les chances de réussite. Leurs parents voient dailleurs dun très bon il cette collaboration qui a toujours bien porté ses fruits.
Un peu en retard, comme toujours, Sophie sonne à la porte dentrée. Il lui ouvre et dépose un léger baiser sur les lèvres de son amie. Elle porte une petite jupe flottante et un T-shirt moulant, lui un short et un débardeur. Ce mois de juin est décidément très chaud !
- « Tu prends quelque chose ou on se met au travail tout de suite ? »
- « On y va
prévois de quoi boire, par cette chaleur. »
Pendant quil se dirige vers la cuisine, elle monte dans la chambre de Laurent. Se sachant regardée, elle ondule un peu plus les hanches, mettant en valeur un joli petit popotin et des jambes superbement galbées. Il a même temps dentrcevoir sa petite culotte blanche.
- Décidément, elle devient superbe ma Sophie
Il la rejoint dans sa chambre qui lui sert aussi de bureau. Pendant une heure, ils passent le cours de physique en revue. Cest surtout lui qui laide mais pour dautre matière, cest linverse. Ils forment une bonne équipe.
Sophie prend quelque chose dans son sac et sort de la pièce pour aller à la salle de bain. A son retour, Laurent remarque quelle sest légèrement parfumée. Il émane delle une fraîcheur nouvelle.
- « Tu as changé de parfum ? »
- « Jai emprunté le vaporisateur de poche de ma mère
»
- « Cest quoi ? »
- « 5 de Channel, ça te plaît ? »
- « Beaucoup oui
»
Sous le T-shirt moulant, il devine la poitrine ferme dont les tétons soulèvent le fin tissu. Ils reprennent le travail de révision. Sophie ouvre son cours de biologie. Les fonctions du corps humains sont passées en revue. Arrivés au système reproducteur, ils se regardent un peu gênés en souriant.
- « On le fait aussi ? »
- « Oui, bien sûr
»
- « Tu te souviens, cest toi qui mas appris le mot vulve ? »
- « Oui, je men souviens, évidemment. Et toi tu
bandais
»
- « Je ne pouvais pas men empêcher
»
- « Tu ne trouves pas quon devrait mettre des photos dans les livres. Ca éviterait quand on est plus jeune de chercher ailleurs et de se faire des idées fausses. »
- « Ca pourrait être presque porno, ça ! »
- « Ca dépend comme cest présenté. Lanatomie, cest pas porno, cest naturel. »
- « Jen ai un peu marre de ces cours ! Surtout quon connaît bien
»
Sophie acquiesce et se lève pour faire quelques mouvements de détente. Tout son corps sétend et se décontracte comme pourrait le faire un chat. Elle se jette à plat ventre sur le lit. Sa jupe remontée découvre la presque totalité de ses cuisses sur lesquelles Laurent distingue les marques laissées par la chaise. Il va sasseoir à côté delle.
- « Je peux te masser un peu ? »
- « Tu sais faire ça toi ? »
- « Ca ne doit pas être difficile »
Tout en parlant il a relevé son T-shirt à mi dos et masse délicatement le creux des reins de sa copine. Sa peau est particulièrement douce. Sophie a fermé les yeux et apprécie ce moment. Laurent fait mine de sarrêter.
- « Continue, cest agréable »
Il reprend son massage, remonte le long de la colonne vertébrale. Il atteint lagrafe du soutien gorge blanc. Il passe dessus et continue vers la nuque. Il passe les mains sur tout le dos en mouvements circulaires. Il est gêné par le sous-vêtement mais nentreprend rien. Cest elle qui dégrafe son soutien tout en restant couchée sur le ventre, les bretelles sur les épaules, les attaches de chaque côté de son torse. Il sapplique à détendre ses muscles, mais nétant pas expert, il ne sais pas très bien comment procéder.
- « Dis moi ce que je dois faire pour que ça te plaise
»
- « Cest bien comme ça
tu peux descendre plus bas »
Laurent passe ses mains sur les fesses de sa copine, au-dessus de la jupe puis descend sur les jambes, jusquaux pieds. Il remonte a nouveau vers les hanches, toujours sur le tissu du vêtement.
- « Tu vas tout chiffonner
»
Sophie fait glisser la fermeture de sa jupe et la fait glisser à ses pieds. Il laide de son mieux. Les fesses rondes et fermes apparaissent sous la culotte de coton blanc. Comme chez sa tante, il aperçoit une petite tache humide sur lentrejambe qui laisse passer quelques poils follets. Laurent se dit quelle doit être un peu excitée et se met à rêver de la vision de son sexe « naturel ». Son pénis se sent à létroit dans son short. Mais il ne veut pas brusquer les choses. Il sapplique à masser le corps de son amie.
Sophie est amoureuse de Laurent depuis longtemps déjà. Elle aimerait aller plus loin que cette amitié denfance qui les lie depuis toujours. Le moment est peut-être venu. Il lui semble que son copain a peur de la choquer. Mais si elle prend linitiative il pensera quelle est une fille « facile ». Ou bien il nattend que cela
Elle le sait timide. Mais ce quil lui fait en ce moment montre quand même une certaine audace. Elle apprécie dailleurs même si ses gestes sont un peu gauche. Elle se souvient de ces jeux ds qui leur avaient découvert leurs corps. Une moiteur envahit petit à petit son intimité. Elle se retourne, ses mains sur les bonnets de son soutien-gorge. Surpris, Laurent ne sait que faire. Il rougit. Elle le remarque et le regarde dans les yeux.
- « Caresse-moi »
Il nen croit pas ses oreilles. Il ne veut pas la brusquer. Il effleure lentement ses mollets et ses cuisses puis le ventre autour du nombril.
- « Tu me chatouilles
»
Elle se met à rire. Son soutien glisse un peu, laissant apercevoir la rondeur dun jeune sein. Sophie se redresse et enlève son T-shirt. Sa poitrine ferme ravit Laurent qui remarque ses aisselles naturelles mais peu fournies. Elle sallonge à nouveau. Il reprend ses caresses, se rapprochant petit à petit des seins de son amie. Les tétons pointent fièrement vers le plafond. Il en fait le tour avec un doigt, très légèrement. Il la sent frissonner. Elle a fermé les yeux pour goûter pleinement linstant présent. Laurent regarde son ventre. Sous le fin tissu de la culotte, on devine le mont de Venus saillant et la fente de son sexe.
Sa main redescend sur le ventre puis lintérieur des cuisses, là où la peau est si douce. Ses doigts remontent vers laine où fleurissent quelques poils. Lorsquil effleure la fente, elle gémit doucement. La tâche humide sest légèrement agrandie. Quant à lui, son sexe sest raidi dans son boxer.
- « Enlève-là
»
Délicatement, il fait glisser lentement le sous-vêtement pendant quelle se soulève un peu pour laider. Petit à petit apparaît la limite des poils puis la toison toute entière, bouclée mais pas trop fournie qui dévoile les lèvres bien jointes. Il est fasciné par ce corps parfait qui soffre à lui. Elle ouvre les yeux.
- « Alors, comment trouves-tu ma
vulve ? »
- « Une merveille
Je ne lavais pas oubliée mais elle est mille fois plus belle quavant. »
Il y porte la main et flatte les boucles brunes avec la paume, très doucement, puis dépose un baiser à la lisière. Un doux parfum séchappe
- « Déshabille toi aussi. »
Laurent ne résiste pas à cette invitation. Il a bien vite enlevé les quelques vêtements quil porte en cette chaude journée dété. Lorsquil baisse son boxer, sa verge surgit littéralement face à lui. Sophie est troublée par ce membre dont lérection flatte son amour-propre. Elle sassied sur le lit pour pouvoir sen emparer. Sa raideur la surprend mais elle trouve naturellement les gestes qui donnent du plaisir. Ses doigts parcourent délicatement la hampe turgescente qui lui semble encore durcir davantage. Cest la première fois quelle ose ces gestes que ses copines de classe lui ont décrits avec des sourires sous-entendus. Elle fait glisser le prépuce et découvre le gland enflé et humide. Elle ignorait que les hommes « mouillaient » aussi. Elle y passe son index, ce qui fait gémir Laurent.
Il la fait allonger et sinstalle à ses côtés. Immédiatement, leurs corps sétreignent et leurs lèvres se joignent en un baiser fougueux. Leurs langues sentrelacent en des volutes incandescentes. Leurs mains parcourent le corps de lautre, semparent du sexe de lautre.
Laurent est surpris lorsque ses doigts ouvrent la vulve de Sophie. Entre ses lèvres gonflées, la cyprine ruisselle abondamment. Il nimaginait pas quelle pouvait être excitée à ce point. Son index pénètre dans létroit fourreau puis glisse le long des nymphes vers le clitoris, petit mais gonflé. Sophie gémit langoureusement sous le contact. Elle a limpression de fondre littéralement de bien-être et sent le plaisir monter lentement du plus profond delle-même. Elle sapplique cependant à caresser son partenaire du mieux quelle peut. Leurs corps sont serrés lun contre lautre. Sophie sent la verge de Laurent contre sa cuisse, près de son sexe.
- « Pas aujourdhui sil te plaît. Pas encore
»
Il ne veut surtout pas la brusquer mais ses gestes se font plus précis, passant du vagin au clitoris quil effleure puis presse insensiblement. Elle gémit de plus en plus. Il accélère à peine son mouvement mais un orgasme intense lui fait presque perdre connaissance. Elle serre ses cuisses sur la main de Laurent. Des vagues de plaisir la submergent, sa liqueur intime se répand sur la main de son copain et sur sa propre toison. Elle a lâché sa verge. Lui la regarde jouir en continuant de titiller son clitoris. Elle larrête car le petit organe est devenu trop sensible. Sa respiration retrouve un rythme plus lent, elle revient à elle petit à petit.
Au bout dun moment, Sophie enjambe son ami et sassied sur ses cuisses. Elle reprend alors ses caresses sur la verge qui a gardé toute sa raideur. Elle est inexpérimentée mais ses gestes sont infiniment agréables à Laurent qui sent monter en lui le plaisir final. Soudain, le sperme jaillit, surprenant Sophie qui ne sattendait pas à un tel éclatement. Elle en reçoit un peu sur la poitrine et le nombril. Les jets suivants éclaboussent ses doigts et le ventre de son copain. Cest la première fois quelle voit un homme éjaculer et elle est toute impressionnée.
- « Il ne reste plus quà nettoyer tout ça. On va à la salle de bain »
Laurent installe son amie dans la baignoire et la douche méticuleusement, enlevant les empreintes de leurs jouissances, sattardant sur sa toison collante de sa propre liqueur intime. Il se lave également. Ils sessuient mutuellement puis retournent dans la chambre. Ils sétendent sur le lit. Sophie se blottit contre lui, la tête sur son épaule. Elle passe sa main sur le torse de son copain puis sattarde sur les poils du pubis avant de sarrêter sur les bourses.
- « Jaime bien ton sexe
il nest pas trop gros
»
- « Pourquoi tu me dis ça
»
- « Parce que cest vrai. Si tu voyais celui de mon père. »
- « Ah bon ? tu las déjà vu ? »
- « Oui. Plusieurs fois. Il est vraiment gros. Ca me faisait peur dailleurs. Quand jai vu le tien, ça ma rassurée
»
- « Il paraît quil y a des filles qui préfèrent les gros sexe. »
- « Possible mais moi je préfère le tien, surtout comme ça, tout mou. »
- « Si tu continues à jouer avec, il ne le restera pas longtemps
»
- « Un soir, par la porte entrouverte, jai vu mes parents faire lamour. Mon père était couché sur le dos et ma mère lui
suçait le sexe. Jai trouvé ça dégoûtant surtout quil me paraissait monstrueux en érection. Puis elle sest assise dessus. Je ne croyais pas que ça entrerait mais elle avait lair dapprécier. Elle respirait très fort. Je suis retournée dans ma chambre mais je les ai entendu jouir. Je ne connaissais pas encore beaucoup là-dessus. Jai lu, jai demandé à mes copines. »
- « Tu te caresses parfois »
- « Oui. Tu sais
cest Vanessa qui ma tout expliqué ça »
- « Ca ne métonne pas. Elle veut tous les garçons de la classe »
- « Je peux te dire les filles aussi. »
- « Elle ta draguée ? »
- « Si on veut oui. »
- « Raconte »
- « Elle est venue passer le week-end à la maison. On a dormi ensemble. Pris notre bain aussi. Le soir, dans mon lit, elle ma demandé si javais déjà fait lamour, si je me masturbais. Cétait non. Elle ma dit Laisse toi faire puis ma touchée, caressée. Elle savait y faire. Jai jouis pour la première fois de ma vie. Javoue que jétais encore très innocente à ce moment. Et toi, tu as commencé comment ?»
- « Tout seul ! En lisant une revue porno quun copain mavait passé. Jai bandé, ça me démangeait, je me suis caressé. Il na pas fallu longtemps pour que ça vienne. Le problème ça a été de nettoyer les dégâts. »
Sophie se met à rire et enlace son ami. Ils sembrassent fougueusement. Elle sent quil retrouve vigueur, que son pénis sérige à nouveau contre sa cuisse.
- « Ma mère va bientôt rentrer, on ne peut pas rester comme ça. »
A contre cur, ils se rhabillent, profitant des derniers moments pour contempler le corps de lautre. Lorsque la mère de Laurent arrive, elles les trouvent sagement occupé à réviser la matière dexamen.
[A suivre]
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