Sortie De Boite
Sortie de boite..
Je nai jamais trop aimé les boites de nuit, ni fréquenté ces lieux bruyants.
Tout ce qui sy trouve me fait généralement fuir, la musique que je qualifie personnellement de bruit, lambiance que je trouve surfaite et pleine de sous entendus foireux, les gens qui les fréquentent assez frustrés
Bref, pas mon genre
Et pourtant
Fêtant lanniversaire dun vieil ami, nous avions été conviés à un repas chez lui et à finir la soirée en boite de nuit. Létablissement était principalement fréquenté par des noctambules de nos âges et diffusait de la musique dépoque..
(70/80.. ) Les convives étaient presque tous quadras, voire quinquas.
Dès laccès, nous fûmes dirigés vers le vestiaire tenu par ce que jappellerai une forte femme. Du haut de son mètre quatre vingt et de son quintal passé, elle nous sourit et nous annonça les tarifs. Très professionnelle, elle nous débarrassa de nos vêtements et nous prodigua ses conseils pour passer une bonne soirée..
Sagissant dun anniversaire historique (50 ans..) mon ami avait mit les petits plats dans les grands et nous gratifia de plusieurs bouteilles de champagne qui se multiplièrent bientôt, chacun voulant y aller de sa tournée. Notre table devint une des plus animées de lendroit et nous fûmes bientôt intimes des barmans.. Le contre coup ne se fit pas attendre et un couple sexcusa pour sortir prendre lair.. Les autres sexcitaient sur la piste de danse et je restais seul assis à table, mélancolique comme souvent.
Plongé dans mes pensées, je nai remarqué la présence de la dame des vestiaires que lorsquelle me mit la main sur lépaule en me faisant sursauter.
« Je crois que vos amis sont partis sans prendre leurs affaires » me dit elle.
Tout en lui affirmant quils allaient revenir, je me suis levé machinalement pour aller massurer quils allaient bien et que leur voiture était toujours là. Elle me suivit et resta sur le pas de porte.
La préposée au vestiaire maccueillit avec un étrange regard et un sourire qui avait du mal à percer sur ses lèvres. Visiblement dérangée par quelque chose, elle sécarta toutefois et me laissa entrer. Manifestement gênée, elle me demanda si nous nous amusions bien. Nétant pas accompagné, je lui dis quà part les cavalières et la musique, tout allait bien.. Etonnée, elle protesta et toujours presque souriante, elle me demanda mon age. Nous avions le même à quelques mois près.
Dans la salle, lambiance allait crescendo . Mes amis monopolisaient la piste et étaient à lorigine des titres diffusés. Les bouteilles sentassaient sur la table. Il était alors deux heures du matin et la nuit ne faisait que commencer. Jai perdu le contrôle vers trois heures. A quatre heures, la fatigue sest fait sentir et nous décidâmes de rentrer, non sans avoir réglé une note plutôt salée au bar.
Devant les vestiaires, nous aperçûmes encore lemployée qui avait revêtu ses habits civils.. Un tailleur chic et un chemisier blanc à décolleté plongeant.
Je nai pas remarqué tout de suite quelle madressait exclusivement la parole et semblait ignorer mes amis. Rhabillés, au lieu de nous souhaiter un bon retour, elle me demanda discrètement à petite voix un service.
Finissant son service bientôt et également seule, elle me demanda de la raccompagner chez elle à proximité.. Sans réfléchir, je dis au revoir à mes amis qui esquissèrent un sourire entendu. Surtout un de mes amis denfance.. il savait.. Jattendis au bar la fin de son service.
Après une bonne demi heure, elle vint me rejoindre. Nous bûmes un dernier verre en faisant connaissance.
Elle était physiquement grande et forte mais son visage , sa voix, ses manières, sa sympathie.. et surtout mon état débriété .. la rendait attirante.
Dans la conversation, elle me laissa entendre quelle était assez attirée par les hommes de mon genre et se permettait quelque fois de joindre lutile à lagréable en se faisant raccompagner. Je sentais quelle portait sur moi un regard inquisiteur et, profitant de notre position assise au bar, elle fit glisser une ou deux fois sa main sur ma cuisse, réveillant mes ardeurs. Bien quexcité et pour le moins visible à travers mon pantalon, je feignis de ne rien remarquer.
Cest elle qui souleva le sujet.
« Tout à lheure, lorsque tu es sorti dehors, tu avais quelque chose de caché dans ton pantalon ? Jai furtivement vu quelque chose le long de ta jambe. »
Surpris dabord, jai franchement répondu..
« Je sais ce que tu as vu. Cest un secret ».
Elle rit de toutes ses dents et son visage sempourpra, du moins cest ce que jai remarqué dans la pénombre de lendroit.
Nous devisions depuis une bonne demi heure lorsquelle mit franchement sa main sur ma cuisse et saperçu que javais toujours quelque chose de caché dans mon pantalon que je dissimulait maintenant avec la plus grande peine.
Son expression changea brusquement, ne sachant quel comportement adopter. Elle continua à me regarder sans rien dire , laissant sa main immobile sur ma cuisse et cherchant à deviner ce quelle ressentait. Je me tus aussi et la regarda fixement, le visage impassible malgré lexcitation qui commençait sérieusement à limiter mes mouvements.
Jai vu une lueur au fond de ses yeux. Elle repris son souffle et me dit avec sa voix aux sonorités agréables :
« Quest ce que tu cache dans ton pantalon depuis que tu es arrivé ? »
Toujours naturel.. (euh naturellement saoul..) je me suis approché de son oreille et lui ai susurré :
« Je te lai dis, je cache un grand secret »
Elle rit encore et chercha mieux avec sa main qui parcouru la cuisse jusquà mon entre jambe. Jai vu progressivement son visage silluminer et son regard senflammer :
« Ne me dis pas que.
« Oui » dis je simplement.
Elle continua à me caresser , lentement et plus fermement. Elle ne détachait plus son regard de mon visage, cherchant encore à voir si jétais sérieux.
« Tu me charries ! Cest impossible ! montre moi ce que tu as là ! »
Je lui pris la main et nous parcourûmes ensembles mon anatomie. Je lui décris tout ce quelle ressentais à travers mon pantalon. Elle sentis mes testicules à la base de mon pénis et nous descendîmes de tout son long jusquau gland qui était maintenant aussi dur que lensemble et se trouvait au niveau de mon genou. Sceptique, elle insista pour glisser sa main discrètement à lintérieur. Elle nen pouvait plus et semblait très sérieuse. Je larrêtais, gêné par la présence de nombreuses personnes autour du bar. Mais personne ne prêtait attention à nous.
Ne pouvant pas faire mieux assis côte à côte, elle se mit debout contre moi et glissa son bras sous le mien, parcouru ma ceinture, glissa sur mon ventre et pénétra dans mon pantalon par laine. Ses doigts me caressèrent dabord le pubis puis descendirent doucement vers mon sexe. Arrivé à sa base, elle les promena sur le côté et alla directement vers mes testicules. Ce nest quarrivé là quelle exprima sa surprise, comme si elle ny avait pas cru jusquà linstant :
« Mon dieu, cest vrai !.. cest incroyable.. je narrive pas à faire le tour avec mes doigts.. on dirais un bras.. elle est comme ça tout du long ? quelle taille
a-t-elle ? comment arrive tu à vivre avec ça entre les jambes ? cest dingue ! »
Ces mots avaient été prononcés dune traite.. ne me laissant pas le temps de répondre.
Je me suis contenté de sourire et dacquiescer. Elle rencontra ma première attache en cuir mais ny prêta pas attention.(euh, voir épisodes précédents
faut suivre ! lol) Sa main descendait alors le long de ma verge et son bras, arrivé au coude, me serrait la ceinture. Elle était penchée, le bras dans mon pantalon et son regard fixé sur le bar affectait la surprise, la découverte, le mystère enfin percé.
Mon regard croisa le sien :
« Daprès toi, comment veux tu que je sois discret sans ça ? Imagine moi excité sans ces liens ! Une énorme boule devant moi, obligé de me pencher vers lavant, sortir les fesses.. de trouver à masseoir en attendant que ça passe
en posant tout ce que je pouvais trouver autour de moi pour cacher mon érection
jai depuis longtemps pris mes dispositions. »
Elle essayé dentourer mon gland de ses doigts et serra pour pouvoir les rejoindre. Son visage se tourna vers moi et subitement elle membrassa farouchement tout en me caressant plus fermement. Un long et fougueux baisé..
« Je narrive toujours pas à faire le tour! tu est vraiment énorme ! très très long et trop gros ! quelle taille fais tu ? 40/50 cm ? et quel diamètre ? »
Je lui ai donné les réponses dans un souffle. Elle sembla satisfaite. (35/11,5)
« Tu as dû en faire monter au ciel avec ça ! Elles ont toutes pu taccepter ? »
« Non, peu comparé au nombre doccasions qui se sont présentées » lui dis je, toujours haletant et terriblement excité par les mouvements de son bras le long de mon membre. Nous ne faisions plus attention à ce qui se passait dans la salle. Lambiance retombait et une dizaine de personnes seulement occupait la piste.
« Jai eu beaucoup de refus et déchecs à cause de ça.. mais le peu qui a accepté me suffit et de toute façon, vu le nombre qui me remarque, comme toi, je suis assez satisfait. »
Elle sourit et retira progressivement son bras de mon pantalon, non sans passer ses ongles le long de mon pénis et le caresser encore.
« Tu me raccompagne ? » me dit elle.
Son studio était à 10 mn de là, dans une banlieue rouge.
Dans la voiture, elle a voulu encore me toucher et passa son temps à caresser ma cuisse et mon sexe. Elle ne parlait que très peu, se contentant de mindiquer le chemin.
Son appartement était assez bien meublé et sentait le frais. Son lit, sous une alcôve, était grand et douillet. Nous ne fîmes rien dautre, à peine entrés et sans un mot, que nous déshabiller mutuellement. Nous nous me découvrîmes alors.
Elle était bien proportionnée et sa grande taille la faisait paraître moins grosse. Ses seins étaient ronds et une large couronne sombre entourait ses tétons.
Son ventre proéminent retombait un peu sur son pubis rasé. Ses lèvres charnues laissaient apparaître une vulve rose humide.
Elle commença par môter le haut. Son regard était de braise et je sentis dans ses gestes une certaine nervosité et de la précipitation.
Ma ceinture débouclée, elle fit glisser mon pantalon sur mes cuisses avec frénésie. Elle recula alors et mexamina longuement.
« Détache là ! je narrive toujours pas à la mesurer vraiment. »
Je mexécutais.
La deuxième attache retirée, ma verge se redressa brusquement à la verticale et palpita devant elle, parcourue des soubresauts habituels dus aux battements de mon cur.
Elle se précipita alors dessus et essaya de lenfourner dans sa bouche avec des bruits de sucions. Ses mains parcouraient mon pénis sur sa longueur et sarrêtait sur ses détails, le bord de mon gland tel une crête rougi par excitation, les marques que laissent mes liens de cuir sur ma peau, les longues et grosses veines qui le parcourent.. Ses doigts venaient aussi me caresser les bourses.
Sarrêtant brusquement, elle releva son visage et me regarda..
« Jai limpression de vivre un rêve ! Tu es un vrai fantasme ! Cest tellement incroyable que jai limpression de ne pas arrêter de te découvrir, comme si on faisait lamour à plusieurs.. cest tendre et dur à la fois, jen peux plus.. mais jai peur de ne pas pouvoir.. mais jai trop envie dessayer ! Caresse moi dabord, prépare moi ! »
Elle sallongea sur le dos dans son lit et minvita entre ses jambes.
Mes mains saffairaient sur ses seins et son ventre tandis que ma langue fouillait son sexe. Son clitoris bien dur et rouge vif était enfoui dans lépaisseur de ses lèvres. Ma langue le dégagea et je pu le saisir avec mes lèvres. Je lai fait passer entre mes dents tout en laspirant. Elle fut saisie dun violent tremblement et serra légèrement ses cuisses. Ses mains se promenaient sur son corps dans des mouvements désordonnés. Elle émis un long soupir et se figea. Puis, hoquetant, elle releva le visage et me demanda de la caresser encore. Elle mis ses doigts sur son sexe et minvita à lécher son anus. Elle fit pénétrer immédiatement deux doigts dans sa fente tandis que les autres écartaient ses lèvres intimes. Tous ses doigts se retrouvèrent rapidement humides et ses gestes se firent plus incisifs.
Elle glissait alternativement deux, trois ou quatre doigts en elle. Son visage, toujours relevé, mobservait et détaillait encore mon anatomie.
Allongé, mon pénis sur le côté, elle pouvait le voir écrasé sur les draps, toujours monstrueux et gonflé, dépassant ma hanche dune quinzaine de cm. Elle tendis son autre bras et me demanda dapprocher. Elle se saisit de moi, me tira vers elle et essaya encore, sans succès, de menfourner dans sa bouche. Ses lèvres étaient tendues et elle narrivait pas à lagrandir suffisamment. Elle poussait fortement pour faire pénétrer ne fus ce quun début.. Elle sacharnait et faisait beaucoup de bruit, gémissant sous laction de ses caresses de plus en plus profondes. Elle tentait maintenant dintroduire son pouce, dernier doigt de sa main encore dehors. Le visage crispé par leffort, elle poussa fortement sur son sexe et commença à introduire sa paume.. Elle avait presque abandonné ma verge, se contentant de promener sa main entre mes jambes, alors que mon gland venait frotter contre son épaule. Longtemps, elle força sur sa main et pu arriver à lenfoncer jusquau poignet. Son bras était alors trop court pour aller plus loin.. Elle jouait dessus pour tenter de sélargir plus et émettait des grognements sourds. Ses yeux étaient fermés et son attention toute entière portée sur sa tâche.
Lencourageant, jai promené mon pénis sur son corps, partout. Sa bouche venait lembrasser, sa langue le lécher à chaque fois quil était à sa portée.
Elle me demanda alors de laider, retirant lentement sa main dans un rictus de douleur. Elle alla chercher un tube de lubrifiant dans sa commode et sen enduit les mains. Prenant la mienne, elle la lubrifia également et la dirigea vers son sexe. Son regard coquin et entendu croisa le mien et nous nous sourîmes mutuellement. Elle fit glisser un à un mes doigts dans son sexe et imprima à ma main un geste de va et vient de plus en plus nerveux. Mon pouce entré, je me suis retrouvé rapidement coincé en elle jusquau poignet. Elle avait ouvert la bouche et de ses lèvres sortait un long feulement. Ses mains huilées forçaient sur mon bras pour une plus profonde pénétration. Ses doigts courraient sur son sexe et allaient simmiscer entre mon poignet et ses lèvres distendues. Elle arriva à passer le bout de ses doigts et commença à sécarter plus, relâchant la pression de son sexe sur ma main. Elle minvita à entrer plus. Depuis longtemps, je sentais mes doigts buter au fond delle. Parvenant maintenant à refermer ma main en elle, je pus continuer à pousser. Elle hurlait presque mais insistait autant pour que je pousse. Mon bras sengagea petit à petit. Jai commencé à plier mon poignet vers son ventre et pu encore introduire une partie de mon avant bras.
Nous sommes restés longtemps ainsi. Elle, haletant à chacun de mes moindres mouvements et moi terriblement excité par la situation et toujours raide depuis nos attouchements au bar de la boite de nuit.
Elle finit pas me faire sortir delle et enfourna mes doigts encore chauds dans sa bouche. Ses yeux roulaient dans leurs orbites et elle minvita à mallonger sur elle.
Accroupi entre ses jambes, jai enduit mon sexe de lubrifiant. Elle me regarda faire avec envie, se dandinant en mattendant. Jai écarté sa vulve brillante de sécrétions et placé mon gland au dessus de son périnée. Son vagin était béant et accueillant, ses grosses lèvres charnues distendues.
Les yeux clos, elle mattira vers elle et remua son bassin pour faciliter la première intromission. Mon gland pénétra brusquement en elle et elle se retrouva vite empalée dun vingtaine de cm. Ses yeux étaient grand ouverts et ses lèvres pincées. Ses ongles me griffaient le dos. Elle temporisa un peu.
Imprimant un mouvement à mon bassin, elle me retira un peu pour mieux me reprendre. Un cri sourd séchappa de sa bouche maintenant grande ouverte.
Ses jambes se sont repliées sur moi et, poussant sur mes fesses, elle senfila progressivement la presque totalité de mon sexe. Mes anches venaient buter sur lintérieur de ses cuisses et me procurait une douce et rare sensation.
Je ne ressent cela que lorsque jarrive à pénétrer mes partenaires. Cest doux et chaud, terriblement excitant.
Elle préféra éviter de trop bouger avec mon membre à lintérieur mais me demanda de rester. Ses jambes passèrent sous les miennes et elles pu les joindre.
Elle resserra son emprise sur moi et je me suis senti « planté » en elle.
« Tu me remplie entièrement
cest bizarre cette sensation.. je te sens tout entier en moi.. dans mon ventre .. mon dos.. mon bassin.. cest dur et doux à la fois.. , jai limpression que tu mas déformée.. complètement défoncée clouée sur mon lit.. cest trop bon .. extraordinaire.. immense.. puissant.. surtout ne bouge pas.. laisse moi faire..»
Son bassin remuait doucement et je sentais les muscles son vagin agir sur mon sexe, le comprimant et le tordant fermement. Son excitation remonta progressivement et ses gestes se firent de plus en plus rapides.
Soudain, elle me repoussa et se mit sur le ventre, à quatre pattes. Tendant ses fesses vers moi, elle me demanda de la prendre encore. Ses seins lourds pendaient à toucher les draps. Sa tête, tournée vers moi, mimplorait.
« Défonce moi encore ! vite, avant que je me resserre ! Vas y, je te veux tout entier maintenant. Enfonce toi encore ! encore.. »
Je glissait petit à petit dans son sexe, me retirant de quelque cm pour revenir plus profondément à chaque fois. Son anus, devant moi, semblait aussi subir la déformation que mon gros sexe imprimait à ses chairs. Il formait comme un triangle élargi sur sa base au dessus du périnée qui nétait plus quune mince pellicule de peau étirée à lextrême. Ses petites lèvres maintenant distendues sur mes 36 cm de diamètre, étaient rouge vif. Lorsque je ressortais, jai plusieurs fois eu limpression quelles allaient se retourner.. comme une chaussette..
(euh.. lol
désolé..) Mais jai trouvé ça excitant..
Jai alors joué avec elle. Me retirant brusquement, je lui ai demandé si elle en voulait encore.. elle ma regardé et ma supplié de continuer. Je suis alors entré en forçant un peu plus mon étreinte. Je sentais bien son utérus buter sur le haut de mon gland mais il se présentait comme une cavité plus bas et sur le côté qui me permettait de menfoncer dune dizaine de cm supplémentaires.
(bon, suis pas médecin, faut leur demander
moi, je parle de mes sensations.. je dis cavité
on va dire que cétait plus mou..)
Ressortant encore entièrement, jai posé mon vit sur son anus et attendu sa réaction. Sa main vint se poser sur son sexe, comme pour constater les dégâts et ses doigts constatèrent que les parois de son vagin laissaient apparaître un trou béant. Son index fit doucement le tour des ses lèvres et elle me dit..
« Je ne me reconnais plus.. tu ma complètement défoncée.. cest devenu
un vrai garage.. mes lèvres ne se touchent plus, je sens comme un courant dair maintenant.. cest drôle et agréable
jamais ressenti cette impression. Mais jespère que ça se remettra.. met moi encore de la crème.. »
Jai profité de loccasion pour venir immiscer un doigt dans son anus.
Son accueil fut encourageant. Elle se pressa sur moi et cambra ses reins.
Prends moi encore, comme tout à lheure.. je ne pourrait pas taccepter par derrière, ça me fait peur et je nai pas lhabitude. Mais tu peux y aller avec les doigts..
Cette dernière remarque ma fait sursauté et, toujours accroupis, je me suis relevé et lai placée à quatre pattes sur le bord du lit.
Après avoir promené mon sexe sous son ventre je lai de nouveau pénétré
plus fougueusement. La position debout nous permet, (nest ce pas les hommes ?) de gagner en érection.. Elle gémit et me dit quelle ne s habiait jamais à un engin comme ça, mais quelle aimait que je la prenne sauvagement en menfonçant au maximum en elle et en écartant ses chairs.
Jai joué à mintroduire brusquement. Mes coups de boutoir sécrasaient au fond de son sexe. Elle tendait ses fesses pour mieux me prendre en hurlant maintenant. « plus fort, oh cest immense ! Ca nen fini plus ! Force moi ! »
Ses cris mexcitèrent et jai redoublé dagitation. Jai fait aller mon pénis de gauche à droite dans son corps, son ventre. Jai senti que je pouvais pousser encore, forcer sur mes reins et me tendre vers elle. Je me suis contracté et jai appuyé de plus en plus sur le fond de son sexe. Dans un hoquet, elle se tendit également et releva une jambe. Cest son sexe qui ma avalé. Tout entier.
Elle se retourna vers moi et me dit :
« Je tai eu
je naurai jamais imaginé pouvoir faire ça
cest une formidable aventure sexuelle que je vis avec toi. Tu es incroyable.. cest gigantesque dans mon ventre. il me brûle.. et cest tellement raide et serré que je sens ses palpitation dans mon vagin.. ton sexe, cest un double fist pour moi. Et dire que jimaginais le plus grand des hommes deux fois plus court que toi ce matin encore ! Et cette grosseur.. , cest surtout ça qui est dingue.. touche mon ventre, je crois la sentir là.. , au dessus de mon nombril.. cest incroyable.. jai limpression dêtre enceinte.. cest vraiment dans mon ventre tout ça. ».
Je suis resté fiché en elle tout mon long quelques minutes et jai décidé de conclure. Je me suis retiré à moitié et jai eu peur de ne pouvoir re rentrer. Jai senti son vagin venir avec moi tellement cétait serré. Jai préféré ne plus ressortir avec cette excitation qui faisait apparaître mon pénis encore plus énorme quà laccoutumée, de peur de lui faire mal. Jai joué au fond delle, poussant, frottant de gauche à droite et la rendant hystérique une nouvelle fois.
Lextase arrivant, je me suis retiré sur une quinzaine de cm pour pouvoir libérer ma semence.. je restais immobile, à moitié fiché en elle, pendant que mon pénis, secoué de contractions, sécrétait en longs et puissants jets.
« Oh, cest trop comme sensation, tu est en train de me remplir! un vrai robinet ! je sens ton urètre se gonfler et ton sperme pousser dedans. Ca vient encore ! cest dingue ! tu es trop en tout toi ? oh continue ! oui encore! »
Presque au bout, jai encore poussé sur mes reins et par pression mon sperme a enfin pu passer la paroi tendu de son sexe et venir suinter autour de ses lèvres jusquà sécouler le long de ses cuisses.
Jai ensuite présenté mon pénis devant son visage et lui ai posé les quelques gouttes de sperme qui restaient encore dans mon urètre sur sa joue, au bord de ses lèvres. Elle ronronnait de plaisir et sentait maintenant son sexe se vider de mon jus.
« Jai comme un poids dans le ventre.. je me vide on dirait.. cest quand même important la quantité que tu as ! jamais vu ça encore.. je crois rêver.. mais comment ferais je maintenant pour fantasmer sur un autre homme ? Trop gros, beaucoup trop.. très long.. très très long.. et dur comme du bois.. en plus, tu inonde tes partenaires comme si on était des jerricanes
(lol) une vraie station service ! Cest normal ce quil marrive ? Comment jai pu faire ça ?
Oh, maintenant jai froid entre les jambes ! Et je ne me referme toujours pas.. regarde ! »
Elle passait ses mains sur son vagin et inspectait lénorme trou sombre qui écartait encore ses lèvres.. On y voyait encore assez de sperme à lintérieur pour remarquer sa couleur blanche.
« Elle fait combien de cm de circonférence ta verge ? »
Je nai voulu la laisser calculer et lui annonça le chiffre. Elle saffola
« Tu mavait dit 11,5 mais je nai pas fait la multiplication ! 36 cm de tour ? mais comment jai pu entrer ça ? je ne laurai jamais fait si ce nétait avec un homme. Jespère que je vais me remettre
ça me brûle maintenant
jai du mal à me lever.. »
Je lai rassurée en lui parlant de mes anciennes conquêtes et de celles qui mavaient utilisé plusieurs fois. Toutes se sont dites trop satisfaites par mon anatomie et sen sont remises parfaitement.. enfin je le crois.. Je lui ai toutefois caché quelle pouvait difficilement ensuite avoir dautres expériences plus jouissives physiquement et aussi extrêmes.
Elle pris mon pénis dans ses bras et lembrassa encore. Ramolli par le plaisir passé mais toujours de belle taille, elle samusa avec à le faire passer dune main à lautre.. (à se faire des passes quoi !)
Le jour pointait déjà et avec lui le moment où il fallait que je parte ..
Elle ne ma lâché le sexe quau dernier moment, lorsque jai commencé à enfiler mon pantalon. Elle me regarda en souriant plaquer mon engin contre ma cuisse quand jai dû remonter mon froc jusquà la taille. Elle me mit de profil et remarqua que cela ne se voyait pratiquement pas. De face, elle reconnu que je nétais pas trop symétrique.. avec ma grosse cuisse gauche.
Il fut convenu que je pouvais revenir quand il me plairait dans cette boite.
Elle me confia quelle noublierait jamais de sa vie une nuit comme celle quelle
avait vécu.. un rêve éveillé, allant de surprises en étonnement, dextrême envie de sexe à de multiples orgasmes, de tentations effrénée en plaisir comblé.
Elle mattendrait tous les soirs, guettant mon arrivée.. espérant me revoir et pouvoir de nouveau r de mon corps. Elle me dit aussi quelle penserait à moi à chaque fois quelle sera excitée, quand elle se masturbera.. seule dans son petit appartement. Mais quelle pensait pour linstant ne pas trop en faire parce quelle attendrait que son corps se soit remis de mes assauts. Elle membrassa sur la pas de porte et passant une dernière fois encore son bras sur mon pénis et le saisit fermement au niveau de mon gland..
« Je me souviendrai toujours de ton gros serpent
et en plus, tu sait super bien ten servir! Reviens vite ! Ne moublies pas.. jen ai besoin maintenant. .. je suis accro.. »
Ce nest quarrivant devant ma voiture que je me suis rendu compte que javais oublié mes lanières de cuir. Je nai pas osé remonter et je les lui ai laissées.. en souvenir de notre rencontre. Une preuve en quelque sorte attestant de la réalité de son aventure avec moi
et en plus, calibré au diamètre réel de mon anatomie..
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