Ma Femme En A Trouve Un Autre...
Nous avions avec ma femme, quittée le restaurant assez tard ce soir là. Une sortie pour fêter son anniversaire. Jai profitais de ce tête à tête pour prendre des nouvelles de sa relation avec le jeune voisin. Elle sétait fait un plaisir de me conter quelques chaudes passades. Il lui en fallait pas plus pour lexciter. Au point quà peine le contact mit dans la voiture, que déjà elle sest penchée vers moi pour me caresser la queue à travers la toile de mon pantalon. Sous une si bonne attention de sa part, ma verge sest aussitôt trouvée très vite à létroit dans son nid de coton. La coquine, pas mécontente du résultat, a voulu libérer mon oiseau de sa prison. Mais je le lui ai interdit. Lui demandant de patienter jusquà la maison. Mais elle a préféré que lon aille rejoindre notre zone de débauche. Situé à quelques kilomètres de chez nous, sur une plaine, entrecoupée de chemins étroits, où personne ne venait, de peur de croiser de mauvaise rencontre.
Sitôt arrivé sur notre lieu de dévergondage, et alors que je coupais le contact, elle a augmenté le volume de la radio. Jai porté sur elle un regard interrogateur, attendant une réponse sur sa conduite. Sans prendre la peine de méclairer, elle sest penchée et a ouvert la portière.
Elle a mis pied à terre, tout de suite avalée par la nuit profonde. Elle a marché dun pas lent en direction de la lueur des phares que je navais pas pris la peine de couper. Puis dune démarche provocante, elle sest éloignée dune dizaine de mètres. Et elle a tout bonnement commencé à danser, langoureusement. Déboutonnant les boutons de son manteau en daim, au rythme de la musique. Quelle a envoyé choir sur le sol herbeux. Puis elle a remonté lourlet de sa robe sur ses cuisses. Dont le porte-jarretelles noir quelle portait, faisait ressortir la teinte laiteuse de sa peau. Toujours en se balançant, elle a pivoté sur elle-même, tout en relevant lentement le tissu de sa robe plus haut, sur ses hanches.
Transportée par la musique, ma femme sest penchée en avant, genoux serrés, en tendant bien son cul dans ma direction, alors quelle faisait rouler sa petite lingerie sur ses cuisses gainées de nylon blanc.
Elle a profité dêtre courbée en avant pour se peloter. Palpant la chair rebondie. Entrouvrant également son cul, tout en continuant à onduler en cadence avec la mélodie. Glissant sans sentiment de gêne et de honte, une main entre ses cuisses. Et la coquine sest lentement caressée, comme si je nexistais pas. Puis perversement, à laide de ses deux mains, elle a écarté les fesses, présentant la raie sombre à la lueur des phares, ainsi que son orifice ridé. Malgré moi, jai serré les doigts sur mon gland gorgé de sang, à travers létoffe de mon pantalon.
Fièrement elle a passé de nouveau une main entre ses fesses. Se caressant le pourtour anal du bout de son index. Effleurant les fronces de son trou du cul dun ongle manucuré. Quelle a porté linstant daprès, jusquà ses narines et après lavoir bien humé elle a tourné le visage vers moi et a fait une grimace.
Le message passé, elle sest redressée lentement, remontant son slip toujours coincé au niveau de ses genoux, si haut sur les hanches que la dentelle blanche sest infiltrée dans la raie, laissant les lourdes fesses crayeuses à nues. Elle sest ensuite retournée, toujours en dansant et elle a écarté les jambes en se déhanchant sur les accords de musique.
Elle sest immobilisée dun bloc et ma regardé avec un sourire enjôleur, griffant du bout des ongles son pubis renflé toujours prisonnier dans la dentelle. Puis elle sest penchée en arrière, faisant glisser sa culotte sur ses mollets. Elle sest accroupie lentement, en appui sur ses talons hauts. Son sourire sest élargi alors quun jet durine a jailli de sa chatte. Dessinant une parabole devant elle qui achevait sa course à quelques centimètres de ses pieds. Souillant ses escarpins de gouttelettes. Jai regardé fasciné le jet qui se réduisait malheureusement pour moi, peu à peu, et cela jusquà ne plus être quun filet intermittent, qui ruisselait sur sa fente. Douchant ses babines, étirant les poils vers le bas. Je nen pouvais plus de jouer le spectateur, au point de quitter mon siège pour aller la rejoindre. Dans le faisceau aveuglant des phares. Elle na pas bougé, toujours accroupie, me regardant par en dessous, ses yeux caché sous ses longs cils.
- Oui, oh ouiiiii, donnes-moi sa bite, vite ! A-t-elle, tout en se redressant.
Je lai traîné jusquau nez de la voiture. Elle a guidé ma queue dans le sillon formé par ses petites lèvres, alors que je soulevai une de ses jambes. Et jai poussé pour enfoncer la moitié de ma bite dans sa chatte. Son corps a frémit et a tremblé sous lintrusion. Et je lai baisé. Et cela, à grands coups de reins. Anéantie par son orgasme, elle sest laissé tomber sur le capot. Et ma verge a glissé doucement de sa chatte. Jai été obligé de suivre son mouvement pour ne pas la perdre. Allonger sur le dos sur le capot je lai cloué de nouveau sur ma queue. Et sauvagement, je lai ramoné en la maintenant par les hanches. Sous mes coups de boutoirs, elle na pas mis longtemps pour avoir un violent orgasme.
Quelques jours après cette épisode, et alors que je dormais confortablement installé dans le lit conjugal, une envie pressante perturba mon sommeil au point de ne plus le retrouver. Me forçant à quitter ma couche. Et cest là que je fus surpris dapercevoir de la lumière venant du garage. Ma première pensée fut que ma femme avait sans doute oublié de léteindre après avoir rentré sa voiture. Ce qui était fréquent chez delle.
Jai bien tenté après, de retrouver le sommeil une fois recoucher, mais à la seule pensée, que la lumière du garage soit allumé mempêcha de mendormir. Alors je me suis levé et jai ouvert la porte fenêtre, qui en passant nétait pas verrouiller, et là, dans le silence que seule la nuit peut produire, jai perçu des sons. Et cela venaient aussi, du côté du même garage. Et cerise sur le gâteau, jai reconnu des soupirs comme étant ceux de ma femme. Pour échafauder mon soupçon je suis revenu sur mes pas et jai éclairé la pièce pour mapercevoir que le lit était vide. Pas de doute, cétait bien ma femme qui se trouvait dans le garage.
Encouragé par la curiosité, et après mettre passé le peignoir, jai rallié la courte distance qui me séparer du garage. Me servant de la lueur de la lune pour mieux me diriger. Je me suis collé tout dabords à sa porte en bois et jai tendu loreille. Et très vite des murmures sont parvenu jusquà elle. Il était alors facile dimaginer ce qui se passait à lintérieur.
Et alors que jétais en train de les écouter, une question me vint à lesprit : avec quel partenaire ? Sans doute pas, avec le jeune voisin. Ça jen étais certain. Sinon elle me laurait dit. À cette pensée, mon sang na fait quun tour. À en avoir le souffle et les jambes coupés. La curiosité de savoir avec qui, étant la plus forte, je me suis faufilé jusquà la deuxième entrée. Là où jétais sûr que je ne pourrai pas me faire surprendre.
Comme je lai deviné, ce nétait pas le voisin mais un autre gosse pas plus vieux, qui habitait plus loin dans le quartier. Elle était en train de lui offrir une petite gâterie. Sur le coup jai été très déçu quelle mest cachée cette liaison. Mais là ! Deux choix vinrent à moi, soit dégager le jeunot illico, ou alors, ou alors oui, profiter du spectacle. Et bien sûr, mon choix sest porté sur la seconde solution. Surtout que je ne risquais pas de me faire surprendre. Tant ils se sentaient à labri dans leur excitation. Loin de tous les dangers. Ne simaginant pas un seul instant quils pourraient se faire surprendre. Surtout à cette heure très tardive.
Je me suis déplacé, pour avoir encore, un meilleur angle. De là, jai pu apercevoir nettement la tête de ma femme montée et descendre le long de la tige en chair du jeunot. Qui pousser à chaque engloutissement de son outil de plaisir, un gémissement de bonheur. Tout cela ma donné une violente érection. À me r le bas-ventre. Au bout dun certain temps, jai vu la bouche de ma femme recrachée le belle âtre, et je lai entendu murmurer à son jeune amant :
- Viens ! Nous serions mieux à lextérieur. Et elle la attiré par la main hors du véhicule.
Il sest laissé entraîner, sans bien comprendre ce quil lui arrivait. Elle la traîné jusquau nez de sa voiture. Là sous mes yeux ébahis, elle a grimpé dessus pour prendre place sur le capot. Cétait bien le truc à ma femme, de ce faire baiser sur le capot dune voiture. Dailleurs, je nai pas assez de mes deux mains pour compter le nombre de fois que nous avions réalisé cette posture lors de nos ébats.
Le gamin ne sen est pas laissé dire, se plaçant entre les jambes de ma femme, dont elle a troussé sa chemise de nuit en dentelle jusquaux aisselles. Laissant par ce délit, voir son ventre ainsi que ses gros nichons. Le regard fixant le beau appendis du jeune garçon, elle a relevé ses cuisses contre sa poitrine. Comme pour ouvrir davantage son puits damour. Et à ne pas douter pour le plus grand plaisir de son partenaire. Qui na pas tardé à positionner sa hampe sur lentrée de la cible. Et dun coup de reins, il sest enfoncé de toute la longueur de son sexe raide. À voir la tête de ma femme, elle était aux anges. Elle se dodelinait sous les coups de boutoirs. La bouche ouverte, gémissant de plus en plus fort, le visage crispé par le plaisir.
La scène était imprimée à jamais comme un fer rouge dans mon esprit. Il métait impossible de faire quoi que ce sois. La vision ma semblé si monstrueuse que je doutais de la réalité de ce qui se jouer devant mes yeux. Et bien que la queue qui labourait ma femme, fût bien réelle. Et vous pouvez me croire sur lhonneur, le jeunot métait du cur à louvrage. Accélérant sans cesse le rythme de ses va-et-vient. Entrant et sortant sa verge luisante avec un bruit mouillé. Ma femme dont les plaintes devenaient stridentes, laccompagner avec des mouvements de hanches désordonnés.
Très intéresser, jai bien sûr suivis la montée du plaisir sur sa figure. Guettant le moment où elle allait atteindre lorgasme. Je ne vous cache pas, que jétais moi-même étonné de ma passivité face à la situation. Pire encore, jétais dans un tel point excitation que mon sexe me faisait mal. Tant il était comprimé au fond de mon slip.
Comme aimanter, mon regard sest rivé sur le membre qui allait et venait dans la fissure. Comme laurait fait un piston dans une pompe. Jai résisté à la tentation de me saisir de ma queue pour la branler. Sachant très bien que le résultat allait être irréductible. Au grognement du garçon, jai su que le coquin avait jouit. Sitôt le gamin écarté, elle sest laissée tomber à genoux devant lui. Couvrant le gland luisant de mouille, de baisers, avec une expression extasiée.
Sous leffet il a gémi de nouveau. Elle a posé ses lèvres en cul-de-poule sur celui-ci, et la sucé ensuite comme si elle avait dans la bouche un gros bonbon. En faisant un bruit mouillé avec sa bouche.
Jen avais assez vue. Et dailleurs ils nallaient pas tarder de sortir de leur cachette. Jai regagné ma chambre dans le plus grand silence. Jai attendu ma femme, en feignant le sommeil. Une demi-heure, jai assisté à son entrée, par la même porte-fenêtre. Elle a reprit sa place dans le lit en toute discrétion.
Je nai pas pu fermer lil de la nuit tant je voulais évoquer avec elle la situation. Des tonnes de questions se sont bousculées dans ma tête, à mempêcher de trouver le sommeil. Dailleurs elle mavait fait la remarque alors quen déjeuner. Jai prétendu que javais aussi bien dormi quun bébé. Il a fallu que je prenne sur moi pour ne pas linterroger sur sa conduite inqualifiable de la nuit. Qui dit en passant ma excité autant que ma femme mintriguait.
Dans les jours qui ont suivis, jai eu beaucoup de mal à trouver le sommeil. Attentif aux moindres bruits. Vous nallez pas me croire mais jétais comme désespéré que rien narrive.
Il a fallu que je patiente une semaine pour que cela se décante. Comme dhabitude jai eu du mal à trouver le sommeil. Ma femme à mes côtés, na cessé pas de gigoter dans le lit. Sans doute dimpatience. Jai su alors quil allait se passer quelques. Et bingo, elle sest approchée de mon côté pour sassurer que je dormais. Naturellement, je nai pas bougé, imitant à la perfection une personne plongée dans un profond sommeil. Une fois rassurée, elle a abandonné le lit. À pas feutrés, elle a quitté le lieu, par la fameuse porte fenêtre.
Je me suis alors levé à mon tour. Une fois derrière la vitre, jai pu mapercevoir que la lumière du garage était à nouveau allumée. Et comme la précédente fois je me suis infiltré dans le garage.
Mes yeux ont eu droit à des frôlements de mains, à des baisers dans le cou, et bientôt sur les lèvres. Et enfin, de vraies embrassades damants où on mange la bouche en sétreignant. Comme toujours, et malgré ma jalousie, mon sexe sest raidi dans mon slip.
Elle sest libérée, pour se pencher contre le capot se cramponnant dessus à deux mains. À genoux derrière elle, son amant se masturbait tout en lui léchant la fente. Elle a remué ses fesses, cambrées à lextrême. Cette fois je nai pas pu minterdire de sortir mon sexe de mon slip pour me branler.
Excité, jai cessé dobserver quelques instants le couple, pour me concentrer sur ma masturbation. Mais quand jai relevé les yeux, je me suis heurté au regard horrifié de ma femme.
Dès lors, il métait impossible de cacher à ses yeux que je jouais les voyeurs. Alors bêtement je me suis surpris de lui sourire. Elle a prit cela pour un invite à continuer. Dailleurs, elle a crié, en remuant son cul sous les coups de langue de son amant qui, le nez dans son entrecuisse, ne sétait aperçu de rien.
Un instant ramolli sous leffet du flagrant délit, ma verge sest sérigée à nouveau. Augmenté par la façon dont ma femme braquait ses yeux sur moi.
Son amant sest redressé et la soulevé en la saisissant à la taille. Un coup de reins accompagné dun cri de bûcheron et il lui a enfilé sa queue dans le vagin. Je me suis mis à me branler. Elle était si excitée quelle a joui tout de suite, hurlant en secouant son corps en tous sens. Jai alors accéléré le va-et-vient de ma main sur ma queue. Et bien sûr, jai éjaculé. Mon orgasme était si fort que jai fermé les yeux, me projetant limage de ma femme râlant de plaisir sous les coups de boutoir de son amant.
Ai-je fait trop bruit ? Toujours est-il que quand jai rouvert les yeux, le jeunot pointait son regard de mon côté. Surpris, dy trouvait âme qui vive, il sest immobilisé, sans prendre la peine de retirer son pieu de chair toujours niché au plus profond du sexe de ma femme. Son étonnement a vite fait place à de la peur, en me reconnaissant.
- Ce nest pas de ma faute ! A-t-il hurlé.
Il sest écarté delle, cherchant à cacher son sexe qui avait perdu de son aisance. Mais elle sest collée à lui, lempêchant de bouger. Alors je me suis entendu leur dire :
- Poursuivez, ne vous arrêtez pas pour moi. Vous faisiez un si beau tableau.
- Chéri, je ten prie, je vais tout texpliquer. A-t-elle répondu, dun ton suppliant.
Sur le point de pleurer.
- Continuez, je vous le demande.
Elle semblait paralysée, mais le jeunot, lui ne sest pas démonté. Sans aucune hésitation, il a écarté les cuisses de ma femme et sest enfoncé de nouveau en elle. Excité sans doute davoir le mari en spectateur, il a donné le meilleur de lui-même. Je me suis agenouillé devant le spectacle, et cela, pour être au plus près du coït.
- Chérie, il te baise bien, jespère que tu aimes ? Lui ai-je lancé.
Elle a baisé les yeux vers moi. Elle sefforça de soutenir mon regard. Mais mon, jétais fasciné par la verge luisante de mouille qui entrait et sortait entre les lèvres intime de ma femme, à une vitesse vertigineuse.
- Oooh oooooouuuiii ! Le salaud me bourre bien ! Oooooouuuuiii mon salaud continu à me bourrer la chatte
.
Excité par ses mots crus, je me suis jeté, bouche avide, au centre des ébats. Je me suis mis à lécher, à baiser, à sucer, autant le sexe de ma femme que celui du jeune homme. Jai aspiré leurs liquides. Jai épié les bruits mouillés qui sen dégager. Jai titillé, en haut, le clitoris. Jai léché, en bas, les couilles fermes. Que je faisais rouler sous mes doigts pour reprendre mon souffle avant de réattaquer.
Ils ont joui tous deux avec une synchronisation parfaite. Jai tiré alors la verge du gamin en la prenant par la racine. La sortant du vagin inondé de sperme et de mouille. Et sans réfléchir, jai refermé mes lèvres sur le membre encore à demi-érigé. Jai recueilli les dernières gouttes de liqueur blanchâtre.
Quelques minutes plus tard, avec en bouche le goût âcre du sperme, je me suis redressé. Jai écarté sans aménagement le jeunot afin de retourner ma femme, et dun coup de reins jai enfoncé ma queue dans son anus. Furieusement je me suis branlé dedans. En plein délire jai lancé au jeunot :
- Tu vois comment elle aime être prise cette salope !
Je nai pas mis longtemps à jouir.
Dès que le jeunot a déguerpi, bouleversé par ce que javais vu. Je souffrais le martyre. Mon cur était comme serré dans un étau, brisé. Mais chose étrange je me sentais toujours autant excité, et cela comme jamais. Cétait simple je ne débandais plus. Je venais pourtant déjaculer, mais cela nempêcher pas à ma queue de se dresser vers le plafond. Comme jadis, quand jétais encore adolescent. Je me suis de nouveau de ma femme et lai couché sur le capot. Et je lai enculé de nouveau, les yeux dans les yeux. Cela a mis plus de temps, avant que je jouisse.
Une fois dans le lit, ne trouvant pas le sommeil, et pour cause, nous avons discuté, je lui ai dit :
- Ne tinquiète pas, ça ne change rien entre nous, je tai négligée ces derniers temps avec mes horaires de fou, je comprends, ne pleure pas, cest oublié.
Jai attendu quelle se calme pour lui suggérer :
- Mais dis-moi ton neveu.
- Quoi mon neveux.
- Il ne serait pas puceau ?
- Cnest pas que tu as lintention de ?
- Pourquoi pas. Une histoire comme une autre de donner à lire aux lecteurs de HDS.
- Pas question ! Fit-elle catégoriquement.
- Tu nais pas en position de discuter. Cest les lecteurs qui décideront.
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