Visite Surprise (3 Et Fin)
Nous sortîmes de la douche. Il revêtit sa robe de chambre, et je menveloppai dans
une serviette éponge. Avant quil nous fasse sortir de la pièce, cependant, je le
retins dune main, lattirant à moi.
« Attends... donne moi juste... quelques minutes... » murmurai-je en posant ma tête
sur sa poitrine, fermant les yeux et létreignant tendrement mais avec fermeté.
Il resta figé pendant une fraction de seconde, ne sattendant visiblement pas à une
démonstration sentimentale à ce moment-là, mais il ne me repoussa pas,
mentourant même de ses bras, un peu maladroitement, bizarrement.
Profitant enfin de ce moment qui mavait été volé par son épouse, jécoutai son
coeur battre sous mon oreille, je respirai lodeur de sa peau, je mimpregnai de sa
texture, laissant mes émotions menvahir. Renoncer à mes sentiments... ah quelle
plaisanterie Il pouvait tout mimposer, tout me proposer, me partager avec sa
femme, avec des amis, quimportait au fond. Etre dans ses bras, voilà la seule chose
que je désirais. Je souris contre son torse quand il me caressa lentement les
cheveux, membrassant le haut du crâne.
« Sophie, Sophie... » murmura-t-il, un peu amusé mais aussi pensif. « Décidément,
même après tout ce temps et tout ce que nous avons vécu, je ne sais pas vraiment
quoi faire de toi... »
Je ricanai par auto-dérision sans relever ma tête ni ouvrir les yeux, maccrochant
encore à lui.
« Oh tu sais bien que tu peux tout faire de moi... »
Il rit doucement, me forçant à relever la tête, caressant mon visage.
« ça... jai eu lénorme plaisir de le constater, oui... Mais... je ne parlais pas de ça
pour une fois... » Son regard devint sérieux. « Avant que nous fassions basculer
notre relation dans cette nouvelle... dimension... dis-moi franchement maintenant
ce que tu veux de moi.
Je ne répondis pas immédiatement, la gorge serrée.
« Ce que jattends de toi ? » répétai-je doucement, les yeux un peu brouillés par
quelques larmes. « Quest-ce que je peux te demander dautre que ce que nous
vivons là, maintenant. A quoi bon te demander plus si ensuite tu préfères prendre
tes distances? »
Il fronça les sourcils et pinça la bouche.
« A nouveau, tu anticipes sur ce que tu crois être ma réaction alors que tu nen sais
rien. Je trouve ça... détestable. Je ne peux rien te répondre si tu ne me demandes
rien. »
Je déglutis et enfonçai à nouveau mon visage dans son cou.
« Ecoute je sais pertinemment quil faut que je me contente moi dêtre ta
maîtresse, toi mon amant, chacun rentrant chez soi auprès de son conjoint après
sêtre donné un peu de plaisir. Le jour où toi et maintenant Lucie souhaiterez
passer à autre chose, tu me chasseras de ton lit et puis aussi de ta vie, car
franchement, je ne nous vois pas être capables de transformer tout ça... en simple
relation amicale. Nous avons toujours été... complices... mais toujours dans la
séduction, jamais dans la simple et franche amitié, jamais sans innuendo. »
Je relevai la tête pour le regarder franchement dans les yeux.
« Bon, je te pose clairement la question : veux-tu passer à cette nouvelle étape? »
«Je ferai tout pour repousser léchéance de notre séparation. Et puis... javoue avoir
découvert aujourdhui quelques nouveaux plaisirs qui viennent agrémenter ma
sexualité. Je serais bête de ne pas en profiter ! Donc... oui, jaccepte dentrer dans
ce nouveau jeu... tout en rappelant ma seule et unique seule condition : quand nous
sommes les trois ensemble, je ne suis pas votre joujou. Je suis ta maîtresse, pas
votre jolie poupée blonde. »
Ouvrant la porte sans me regarder, il me répondit dun seul hochement de la tête.
ne le suivis pas immédiatement, préférant faire un petit arrêt devant le miroir pour
me remettre le visage en état. Entre la sueur, la douche et les larmes, je faisais
peine à voir. Attrappant un peigne au passage, jarrangeai un peu mes cheveux,
refusant de trop mattarder sur cette étrangère qui me faisait face.
Plus ou moins satisfaite du résultat, jétais sur le point de sortir de la pièce mais je
me figeai sur le pas de la porte car elle entra à ce moment précis. Elle avait revêtu
une courte robe de chambre en soie noire (limage de son corps aux formes
sensuelles, en sueur, se tortillant sous ma bouche me sauta soudain à lesprit de
façon involontaire) et son brushing semblait toujours aussi parfait. Elle dégageait
des volutes de parfum capiteux Calèche dHermès, me dis-je distraitement. Elle
madressa un sourire qui natteignit pas ses yeux. Visiblement, elle sentait bien quil
y avait bien plus que du sexe dans cette histoire et je la sentais anxieuse daffirmer
sa place... et la mienne.
« Alors, je peux me rafraîchir à mon tour ? Si tout cela devient une vraie habitude, il
va falloir que nous pensions à faire quelques aménagements... »
Je me forçai à sourire également et lui cédai le passage.
« Je ten prie, tu peux y aller... je ne pense pas que tout ceci va se transformer en
réel ménage à trois, inutile dappeler larchitecte... » Je ne pus mempêcher de me
montrer un peu sarcastique. Lironie, le sarcasme et le cynisme, mes dernières
armes à disposition.
Elle fronça un peu les sourcils et me dépassa sans autre commentaire. Nos bras nus
se frôlèrent et une décharge électrique me traversa malgré moi. Elle dut sentir
également quelque chose car elle sarrêta net et me fixa dun air un peu troublé.
Nos corps se touchaient presque, leurs chaleurs se mélangeant déjà.
presque automatique, sa main se leva et sapprocha de mon avant-bras, mais elle
limmobilisa avant tout contact. Nous nous dévisageâmes quelques secondes, des
émotions contradictoires jouant tour à tour dans nos regards.
Je ne la désirais pas, non, vraiment, elle ne me tentait pas... elle était une rivale... je
la détestais au fond de moi, et cétait clair quelle me détestait... ce nétait quune
réaction chimique, quun souvenir corporel, causé par nos hormones encore
surchauffées par tant de sexe... mais alors pourquoi mon ventre venait-il de se
serrer et mes seins se raidir ?
Tout ceci ne dura que lespace de quelques secondes. Détournant les yeux et
déglutissant un peu, je fis deux pas en arrière en direction de la chambre à coucher.
Brusquement, elle me rejoignit et sans dire un mot, sempara de mon menton dune
main avant de poser autoritairement ses lèvres sur les miennes. Sa langue força ma
bouche, je ne réagis pas, à nouveau totalement prise par surprise. Mais quest-ce
que je pouvais donc bien susciter en eux pour quils...
Mes pensées sétiolèrent, remplacées par le bruit assourdissant de mon coeur qui
battait la chamade dans mes tempes. Elle était plus petite que moi mais là elle me
dominait clairement. Ma serviette glissa à terre et je me retrouvai à nouveau nue, la
pointe de ses seins durcis traversant sa robe de chambre pour frotter ma peau. Elle
se contenta de membrasser avidement, sans me toucher où que ce soit, mais leffet
était identique : mes terminaisons nerveuses senflammaient les unes après les
autres. Enfin, elle rompit le contact et sécarta, toujours en silence.
Elle paraissait à peine essouflée, mais moi jétais haletante, les jambes tremblantes,
des frissons me parcourant léchine. Je ne trouvais pas mes mots et je portai ma
main à la bouche, encore sous le choc.
ne maîtrisais vraiment pas la situation, mais est-ce que lun de nous la maîtrisait-il
en réalité ? A voir son visage fermé mais quand même interloqué, on pouvait en
douter.
Toujours sans madresser la parole, elle me poussa hors du cadre de la porte et
ferma cette dernière brusquement. Je pris sur moi dessayer de retrouver mes
esprits avant de le confronter à nouveau. Heureusement, il nétait plus dans la
chambre à coucher. Je me rhabillai rapidement, décidée à en finir là pour ce jour et à
rentrer chez moi. Mais il était décidé que les choses ne se passeraient pas ainsi.
« Pourquoi thabilles-tu déjà ? » sa voix me surprit pendant que jenfilais mon petit
pull. Ses mains sèches et brûlantes semparèrent de mes seins par derrière, les
enveloppant, et tirant légèrement dessus. « Je nai pas envie que tu ten ailles
maintenant... » me murmura-t-il dans loreille avant de la mordiller.
Je fermai brièvement les yeux, tentée de me laisser aller.
« Franchement... ça serait mieux pour tout le monde quon en reste là pour
aujourdhui non ? » demandai-je dune voix un peu plaintive.
Il tira sur mes mamelons en signe de mécontement.
« Non, on doit justement faire plus ample connaissance tous les trois... enlève moi
tout ça... jai envie que tu présentes létendue de tes capacités à ma chérie... » Une
vague de jalousie sempara de moi à ce terme. Je tentai de protester en essayant de
me dégager de son étreinte.
« Ecoute... là cest un peu le bordel tu crois pas ? » Il avait déjà défait ma jupe et
tirait sur mon string.
« Non non, je veux quelle soit parfaitement convaincue de lintérêt à tavoir dans
notre lit... allez, à poil, je veux que tu remontes sur le lit et que tu te touches. »
Il me repoussa sur le lit, me dominant complètement de sa taille. Le désir et la
luxure que je lisais sur son visage étaient si énormes que je me mis à mouiller rien
quen les voyant et mes saines résolutions passèrent par la fenêtre, remplacées par
une envie démesurée dexécuter ses désirs et de faire à nouveau sortir la salope
quil savait si bien manipuler.
Lentement je reculai à quatre pattes, sans le quitter des yeux.
« Quest-ce que tu veux que je fasse ? » lui demandai-je dune voix rauque et
docile.
Il me sourit voracement.
« Joue avec tes seins, pétris-les, pince-les, lèche-les, comme si cétait les siens. »
Sans détourner le regard, je mexécutai. Jentendis la porte de la salle de bains
souvrir, puis quelquun sasseoir sur le lit, mais je ne le lâchai pas des yeux.
« Parfait, » gronda-t-il, « maintenant, couche toi sur le dos, branle-toi et mets-toi
trois doigts dans ta chatte. » Jobéis. « Alors, dis-moi, elle est déjà chaude ? »
Je gémis. « Hmmm oui, elle est bien dégoulinante... »
« Très bien, imagine-toi que cest ma bite qui va te prendre, te défoncer, te faire
gueuler, pince toi ton clitoris, fort, allez ! pince toi les nichons en même temps !»
Je mexclamai de douleur et de plaisir, la tête renversée, limaginant en train de me
ramoner.
« Ohhh ouiiiii Daaaamiennn hmmmmm. »
Javais complètement oublié quelle était là. Il était monté à côté de moi et se
branlait énergiquement au-dessus de mon visage.
« Tu la vois ma bite ? tu laimerais bien dans ta belle bouche de suceuse hein ? dis-
moi que tu veux la lécher, petite gourmande ! »
Jouvris les yeux, les fixant sur son braquenard déjà bien engorgé, luisant, à
quelques centimètres de mon visage. Jactivai mes doigts, sentant la jouissance
arriver.
« Hmmm ohh oui elle est belle ta bite, je la veux, sil te plaît, donne la moi, je veux
la sucer bien profond dans ma gorge, baise moi la bouche ! »
Il sassit à califourchon sur mon torse, son gland venant frapper mes lèvres.
« Lucie, vas chercher les accessoires, puis je veux que tu toccupes de sa petite
chatte poisseuse correctement pendant que je lui baise sa bouche de suceuse, »
ordonna-t-il à sa femme qui était restée silencieuse jusque là.
Je tressaillis, partagée entre lexcitation et un sentiment diffus de crainte. Elle
sexécuta sans rien dire et après quelques instants où je lentendis fouiller dans un
tiroir puis remonter sur le lit, je sentis sa langue et ses doigts massaillir, me faisant
me cabrer.
« Allez, petite salope, avale-moi ça puisque tu la veux tellement ! »
Il senfonça dun coup dans ma bouche affamée. Les mains maintenant libres, je
memparais de ses couilles pour les tirer et les triturer, pendant quil sactivait
rapidement dans ma gorge. A chaque mouvement, je manquai de m, mais
je men foutais car la vision de son visage contorsionné par le plaisir me
transportait.
Je jouis violemment sous le coup des caresses de sa femme mais aussi du fait de la
position de soumission que je subissais. Il se dégagea sans avertissement et,
toujours à califourchon sur mon torse, se tourna vers elle, dont le visage était
luisant de ma mouille.
« Donne-moi le cordon en velours, et plugge la des deux côtés. »
Je fis un mouvement de protestation, mais il me fit taire en fourgant à nouveau sa
bite dans la bouche, comme un baillon. Agilement, il mattacha les poignets
ensemble puis au cadre. Pendant ce temps, un grand sourire vorace sur les lèvres,
elle enfila dun coup deux énormes godes dans mes orifices sans trop de douceur,
les distandant, me faisant me cabrer et causant des treesautement dans mon bas
ventre. Mais là où ça devint terrible fut quand elle les enclencha : ils se mirent à
vibrer, marrachant immédiatement des gémissements. Satisfait, il se leva et se
tourna vers elle.
« Viens ici chérie, donne moi ton petit cul, jai envie de le prendre à sec. »
Elle lui sourit béatement, se positionnant à quatre pattes, cambrant son dos et
écartant ses globes. Je me tentai de me redresser, incapable de résister au
spectacle, partagée entre lexcitation et la jalousie quil réserve sa bite à un autre
cul que le mien.
« Hmm ohh oui mon amour, viens, encule moi bien profond comme tu sais si bien le
faire, vas-y, déchire moi le cul ! »
« Aah ça je ne vais pas te louper, ma belle lionne ! » sexclama-t-il, se positionnant
derrière elle avant de lenfiler dun geste. Visiblement elle avait lhabitude de se
faire mettre comme ça sans préparation, car il la pénétra sans aucune difficulté et le
feulement quelle poussa était de pur plaisir.
« Aaaah ouiiiiiii oooohhh cest booooooon !! jadooooore çaaaa vas-yyyyy défonce
mon trou de saloooopeeee ! » lencouragea-t-elle.
Je le regardai, ébahie, se déchainer dans sa rosette, mouillant de plus belle, tandis
que la vision combinée de cette scène tirée du plus hard des films X, des vibrations
montant de mes deux trous distendus, usés et abusés, et de ma position
dasservissement sexuel total faisait naître le plus gros des orgasmes.
Ma soumission fut totale lorsque, toujours en train de la bourrer, il la fit sétendre
au dessus de moi.
« Allez petite cochonne, bouffe lui les seins, fais lui plaisir, fais la jouir, son plaisir
est ton plaisir, tu as compris ? »
« Ngggg ouiiiii ooooh ouiiii ohhh Daaaamienn» parvins-je à articuler entre mes
propres spasmes orgasmiques.
Elle était au-dessus de moi, secouée par derrière, beuglant sa jouissance à se faire
enculer si violemment par son mari je savais dexpérience quil était
particulièrement doué dans cette position car sa queue était comme dessinée pour
parvenir à vous enculer profondément tout en dominant sa petite et jeune rivale
qui aurait pu lui voler complètement sa place mais qui là était sans force, obligée de
lui donner de plaisir supplémentaire.
Dans un coin de mon esprit embué et noyé par le désir sexuel et les orgasmes, je
me dis que mes petites conditions dégalité semblaient bien nulles et non avenues.
Dans un autre coin de mon esprit, tandis que ma bouche attrappai un téton couleur
chocolat et dur comme du bois, je réalisai que je nen avais rien à faire, finalement...
et que seuls comptaient ces moments de pure débauche sexuelle... au diable les
principes ! Et avec cette pensée bien en tête, javalai lautre nichon, savourant les
vibrations qui me traversaient.
finis
(merci de votre feedback!)
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