Dans La Voiture De Frederique
Lorsque nous allions en reunion qu'elle menait en leader, le plus souvent elle me recuperait pres de chez moi et je montais dans son vehicule, une Ford je crois.
Depuis quelques temps je ne pensais qu'a une chose: lui faire l'amour au retour, la nuit tombée ca ne devait poser aucun probleme.
J'avais répété et répété mentalement comment agir , pour qu'enfin je puisse découvrir les formes de cette jolie femme de 45 ans aux tout petits seins.
A l'époque j'avais une trentaine d'années.
Je n'aurais jamais esperé que mes désirs furent un jour exaucés.
Nous nous trouvâmes comme à l'accoutumée sur le chemin du retour aux alentours de minuit trente sur la route bordée d'arbres.c'est elle qui conduisait.
Comme d'habitude nous parlions de chose et d'autres....
Ce soir là, plus que d'habitude, l'envie etait plus forte.
Elle portait un chemisier beige et une petite jupe fendue sur le coté, ce qui la rendait craquante même à son age.
Tout en discutant, je posais alors ma main sur sa cuisse.
Elle ne la repoussa pas, bien qu'elle eut été mariée, cela m'etonna quand meme, mais me rassura.
J'imprimais alors un mouvement de caresse tout en approchant tres doucement de son entre-jambe.
Elle ne faisait rien contre, elle se sentait meme très à l'aise et commencait je pense à trouver cela agréable.
Sans me dire quoique ce soit de particulier quant à mon attitude, elle mit son clignotant et gara le véhicule dans un petit chemin.
Ma main etait toujours sur sa cuisse.
A ce stade je compris qu'elle en avait envie aussi.
Je pris soin d'appuyer sur la centralisation des portes pour nous enfermer. Elle me souria.
Je lui fit comprendre que je voulais prendre les choses en main.
Nous nous embrassâmes longuement, nos haleines respectives se mélangerent dans un divin parfum, surtout le sien pendant qu'une de mes mains caressait cette petite poitrine tant désirée.
Tout en déboutonnant son chemisier, je l'embrassait encore sur les levres et dans le cou et lui disant qu'elle était tres desirable, tres jolie, les mots habituels en somme.
Le chemisier ouvert m'offrit un spectacle grandiose: sous les bonnets d'un petit soutien gorge bleu que je lui demandais d'enlever bien vite, je trouvais enfin ses deux adorables tétons aux areoles roses.C'était splendide.
Je l'embrassais encore.
Je lui pris la main et la posais sur mon sexe qu'elle avait su deja si bien mettre en érection.
Frederique ne tarda pas a retirer la boucle de ma ceinture et de liberer un à un les boutons qui cachait encore ce qu'elle aussi avait tant besoin.
Quand ce fut fait, elle prit mon sexe et se pencha pour le gober à pleine bouche.
Je n'aurais pas imaginé qu'un petit bout de femme comme elle,allait enfin me desirer et me sucer vraiment bien.
Un mouvement de va et vient régulier de ses lèvres me donnait progressivement un plaisir intense.
Je le lui fitpart de ce qu'elle me procurait, Et tout en continuant à sucer avec plaisir, fit un signe d'approbation et tendit un pouce en l'air pour dire : ok!
Lorsque je sentis venir la jouissance et que j'allais éjaculer, je le lui dit mais elle ne s'arrêta pas pour autant.
Tout en pronancant son prénom: Frederique!!! merci!! elle avala mon sperme avec volupté.
elle en garda cependant un peu et en m'embrassant, elle me le fit partager. J'ai adoré.
Je ne sais pas si c'est le fait qu'il venait de sa bouche avec la chaleur et le gout de son haleine, mais c'etait super.
Je repris alors l'exploration de son corps et fit descendre la petite jupe à ses pieds.
Il y avait là une petite culotte du même bleu que le soutien gorge, c'etait très excitant.
Je glissais doucement mes doigts l'un apres l'autre entre la peau et le tissu.
Quand j'arrivais enfin à l'entrée de sa fente déja toute mouillée, je tentais de retirer ma main qu'elle remit aussitot en me disant de ne pas arreter: Vas y, j'ai envie que tu me touches encore!!!
Je ne me fit pas prier plus longtemps et je continuai mon exploration.
Elle haletait doucement, sa respiration se faisait entendre et j'aimais ça.
Frederique tu es belle, je vais te faire jouir tu sais !!! lui dis je.
Elle me disait de pas arreter de lui caresser son sexe humide et de mettre plusieurs doigts à l'interieur.
Elle en voulait !!! Je ne saurais jamais depuis quand elle eut cette envie, avant ou apres moi?? ou alors ensemble??
Aucune idée.
Toujours est il qu'elle était là, enfin, si pres de moi, presque nue, sous les caresses.
Sa respiration etait de plus en plus cadencée et forte, ce qui accentuait davantage mon envie.
Quand cette envie fut trop pressante pour nous deux, elle m'offrit sa bouche et me demanda de la prendre.
Elle écarta les cuisses le plus grand qu'elle put a cause l'espace réduit de l'habitacle et je la penetrait alors doucement.
Au bout d'un moment, elle ferma les yeux et ouvrit la bouche et gemit de plaisir. Elle jouissait.
J'étais tellement heureux de faire jouir Ma Frederique, que la voyant ainsi prendre vraiment son pied, cela m'exitait de plus en plus et je la penetrais encore plus profond.
Frederique était aux anges, tout en jouissant, elle souriait et me demandait de lui donner encore de mon sexe entre ses cuisses.
Oui, Oh oui oh oui encore encore c'est bon !!! qu'elle disait.
C'etait merveilleux!!
C'était tout aussi merveilleux de toucher ses seins nus en même temps.
Elle n'avait pas retiré completement son chemisier ce qui laissait encore une part de mystere et la main sous le tissu, qui caressait tendrement les délicieuses petites boules grosses comme des oranges était très agréable.
Elle n'avait pas beaucoup de poitrine, mais ca me plaisait beaucoup.
Guère plus qu'un petit 80B, je ne lui ai meme pas demandé, mais peu importe, les seins de Frederique je les avais révés et je les avais pour moi seul et son corps aussi.
Qu'est que c'etait bon, elle mouillait beaucoup, ca facilitait le va et vient.
Frederique atteint l'orgasme et elle me serra très fort les bras quand elle se sentit vraiment partir dans une jouissance extrême.
Elle etait tres belle pendant la jouissance.
Je sentais même son coeur battre très vite lorsque ma main s'arretait sous son sein gauche.
Encore, encore me demandait elle, mon coeur bat tres vite disait elle, il va lacher... Encore chéri encore.
Je ne voulais pas la faire mourir evidemment, mais je savais qu'on n'arriverais pas jusque là.
J'etais de plus en plus excité moi aussi en la regardant gemir la bouche tantot ouverte, tantot fermée, purement génial!!!.
Toutes les choses ont malheureusement une fin, je sentis monter ma semence qu'elle me demanda de faire couler sur ses seins et le reste dans sa bouche quand cela arrivera.
Une ou deux minutes après, j'executais ses désirs.
Mon sperme chaud gicla d'abord pres de son cou et un paquet plus cremeux descendit lentement entre ses seins, je me dépechait alors de mettre le reste dans sa bouche grande ouverte.
Embrasse moi !!! qu'elle me demanda pour la deuxieme fois avec une partie de mon sperme, je ne repoussais pas cette avance.
C'était encore plus délicieux que la première fois.
Le sperme, nos salives, nos langues, nos lèvres, un savant mélange sublime qui dura quelques minutes tout en nous caressant encore, moi les seins et le bas ventre, elle mon sexe.
Elle me remercia de lui avoir donné tant de plaisir, que parait il elle n'avait jamais connu comme ça.
Je lui caressait encore ses delicieux petits seins comme par obcession , par besoin en lui disant que l'on pourrait encore faire l'amour si elle voulait.
Elle me repondit que ce n'etait pas un problème.
Elle m'embrassa à son tour et se r'habilla, je fis de même.
Et on repris la route, elle le volant et moi comme au debut la main sur sa cuisse.
Merci Frederique, Je n'oublierais jamais ce moment.
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