Ma Vie , Mes Amours, Mon Cul
MA VIE, MES AMOURS, MON CUL
Jhabite Paris depuis le début de mes études dhistoire il y a deux ans. Jai découvert le quartier latin, les plaisirs et les emmerdements de la vie Parisienne et je nai quune envie cest de retourner chez moi à Lyon pour retrouver mes amis et surtout mes amies que je ne rencontre plus que trop rarement..
Quand jhabitais chez mes parents adorables mais plutôt coincés, jai eu le bonheur de faire une rencontre qui a changer ma vie en profondeur.
Jétais assise au soleil sur les bords de la Saone avec un bouquin quand une femme dans les 45 ans, cheveux châtain clair, lallure très énergique qui ma fait tout de suite leffet dune personne qui ne triche pas avec les autres, mas aborder pour me proposer de poser pour elle car elle voulait faire une série de tableaux dont le thème central était linnocence.
Pendant quelle me parlait je me suis sentie dabord vexée ce quelle a du percevoir car elle ma rassuré en mexpliquant que ce qui lintéressait cétait le grain de ma peau et mes traits fins et harmonieux qui correspondaient à lidée quelle se faisait de linnocence et de la pureté.
Apres un discours aussi élogieux il ma été difficile de refuser, et puis quoi, je suis belle, et cette expérience men a fait prendre conscience encore plus justement et lidée de passer à la postérité sous le regard dune artiste qui fera sûrement partie des catalogues des musées était franchement exaltant. Le temps de raconter tout ça à mes copines, javais trouvé le moyen de me sortir un moment de ma thèse sur la population du gresivaudan au moyen age.
Je me rends donc vers huit heure du matin chez ma peintre qui me met en confiance avec beaucoup de tact, mannonce le tarif syndical majoré généreusement, et minstalle sur une chaise pour trois heures difficiles de pose, quelques photos, plusieurs croquis et une sanguine.. pas trop difficile en fin de compte. Nous avons pris plusieurs Rdv pour les séances à venir.
Rapidement elle ma demander si je voulait poser nue. Nous avons commencé par le buste et ma pudeur, relative, cest envolée. rapidement, je me suis promenée nue dans latelier sans aucune gêne et avec le plus grande décontraction habillée de son seul regard scrutateur. Elle me connaît mieux que moi-même et sous tout les angles. Moi jai découvert mon corps par son regard, par ses dessins et ses tableaux. Jai rencontré lémotion, la sensualité qui mest naturelle, que je dispersais en toute ignorance dans ce qui restait de ma candeur ine.
Ce fut une véritable thérapie de ce point de vue là : jai acquis une présence que je navais pas avant et ma timidité sest envolée comme mes fringues patate-fashion.
Aujourdhui même jai de la prestance et il est difficile de men imposer.
Comme elle terminait la série sur le thème de linnocence elle ma demandé si jacceptais daller un peu plus loin dans le style de mes poses. Un peu stupide, je lui ai demandé ce que lon pouvait faire de plus
Elle me fit part de son désir de faire une série sur des baisers de femmes. Jétais nue face à elle et soudain javais eu une sorte de pulsion vers elle, une envie de me blottir dans ses bras, elle qui mavait si souvent effleurée de la pointe de ces pinceaux pour me coucher sur des toiles immenses. Nous ne parlions jamais de ce que nous ressentions dans latelier. Lambiance était si nature, si pure, si respectueuse de ce que jétais que je ne voyais pas les transformations qui se passaient en moi et les révisions du CAPES ne me laissaient pas le temps de réfléchir à ma condition spirituelle du moment.
Je me suis retrouvée face à une réalité que javais éludée jusque-là. Jai bafouillé une réponse positive en même temps que je sentais mon corps trembler démotion en sentant cette vérité qui surgissait du plus profond de moi, « jai envie dune femme, jai envie dune femme, je suis une femme et jai envie dune femme ! » Je lai prise dans mes bras et jai essayé de lembrasser sur la bouche.
Cest une très belle brune, grande avec des cheveux très longs jusquaux hanches, le teint diaphane presque bleu quant les petites veines affleurent sous la peau des seins, une allure racée comme une biche ou une jument pur-sang.
En me couchant ce soir là je me suis masturbée, ce qui nest pas coutume, pendant un très long moment avant de mendormir, envahie dimages sensuelles et cochonnes, entre désir et honte. Jai faillit appeler une copine a la rescousse pour me délivrer de mon désir de femme, de sexe de femme, de seins de femme, de bouche de femme, dorgasme de femme belles dans la jouissance. Le godemiché de ma table de nuit mas apaisé ainsi que le fond de rhum datant la dernière fête quand Gilou mavait sodomiser dans la baignoire alors que jétait saoule. Jai rien senti, il a une toute petite bite ridicule le pauvre et en plus il est franchement précoce, mais on a bien rigolé quand même avec lolisbo quand on as joué à « chacun son tour ».
Donc le samedi matin je traverse le marche pour me rendre sous limmense verrière qui couvre latelier de ma peintre. Le chauffage est a fond comme dhabitude et je me déshabille avec soin mais franchement je nen mène pas large. Ma binôme arrive ensuite vêtue dun trench qui laisse la beauté de son visage illuminer la pièce. Moi je navais que la trouille de me mettre à mouiller devant elle. Apres les présentations rapides elle sest déshabillée devant nous et jai mouillée. Le feu envahissait mon bas ventre.
Ma peintre ne perdait pas une seconde de mes émois, de nos émois devrais je dire, mais ça je ne lais su quaprès. Elle sétait faite discrète, cachée derrière lécran de son chevalet, et ses seules consignes ont résonné comme un onzième commandement du genre « embrassées vous » dans la pièce il ny aura désormais que le bruit du fusain sur le papier et les feuilles détachées les unes après les autres.
Jai tendu la main vers son visage pour dégager ses cheveux. Ses yeux marrons pailletées dor mont examines sans expression marquée. Dans le silence elle maa rendu mon geste en me caressant le cou puis lépaule. Nous étions debout, nues, face a face dans la lumière blanche dautomne. je détaillais son visage parfait, sentais son parfum naturelle de femme mélangé a lodeur de son eau de toilette. Mon cur avait du mal a suivre. Elle mas caresser un sein en leffleurant du bout des doigts puis à approché ses lèvres des miennes sans les toucher. Le souffle de ses narines parcourait le fin duvet de mes lèvres, de mes joues. Je sentais la chaleur de son visage rayonné sur le mien. Elle parcouru ainsi tout mon visage avec ses lèvres entrouverte sans jamais le toucher. Le désir montât en moi encore plus fort et je lui picorait quelques baiser sur le front, les joues, le cou, les yeux et ny pouvant plus sur ses lèvres offertes. Un long baisé dune sensualité toujours désirée et jamais rencontrée jusque-là sensuivie. Jétais captive de sa bouche, accrochée à elle comme un fruit encore vert à sa branche, comme une poire bien juteuse au soleil. Ses mains parcouraient mon corps et je sentais ses doigts investiguants mes recoins secrets. Ses seins écrasaient les miens. Nous relâchâmes notre étreinte et dun mouvement leste elle se glissât derrière moi moffrant ainsi au regard serein de la peintre qui ne cessait ses coups de fusains rythmés sur le papier.
Ma brune, dune main, me caressait les tétons déjà durcis depuis longtemps et de lautre me fouillait la chatte hardiment.
Il est arrivé comme une vague, une déferlante du plus profond de moi-même, en explosant entre mon sexe et mes seins tendus
Nous nous écroulâmes sur le tapis pour nous enlacer dans un véritable soixante neuf Lyonnais. Une spécialité quon ne trouve pas dans les bouchons
Découvrant un sexe de femme. Pour la première fois je plongeais ma bouche dans ses entrailles la tête entre ses cuisses ouvertes découvrant une divine pâtisserie au goût divin. Sa langue me rendant coups pour coups, elle triomphât de moi avec une feuille de rose puis lintromission de un puis deux doigts dans mon anus. A nouveau jagonisait pendant quelle redoublait ses caresses et quelle lâchait dans ma bouche le fruit de son bonheur.
Nous avons fait lamour ainsi pendant une éternité puis fourbues nous nous sommes endormies. Jétais amoureuse dune femme que je ne connaissais pas et ne pouvait quitter son étreintes même en dormant.
En nous réveillant nous avons constater que la peintre était nue et se masturbais tout en dessinant. Le sol était joncher de feuilles et de dessins extraordinaires. Nous nous reconnaissions dans le plus profond de nous même, au propre comme au figurer.
Lilo et moi nous avons retrouver sur les desseins ce que nous avions ressentie sur le tapis.
Pleines de compassions pour une si grande artiste nous lui avons fait lamour comme a une princesse, à une reine de sabbat.
Elle nous confiât que pour elle aussi cétait une première fois. Quelle avait imaginer ce stratagème pour découvrir à sa manière son homosexualité tellement longtemps contenue.
Nous avons fait dautres séances, plus professionnelles ces fois là, afin que Mathilde puisse terminer son uvre qu elle à exposer à New-York puis Paris. Chaque séance sest terminée en trio amoureux. Comme les trois Graces nous avons inspiré lartiste qui a son tour nous à initier au dessin et à la peinture.
Voilà. Aujourdhui je suis prof dhistoire en lycée, peintre et homosexuelle épanouie
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