Sous La Pluie
Montréal, Québec, Canada
Il me fait plaisir de vous retrouver pour une autre aventure
Javais un fantasme depuis plusieurs années. Je rêvais dêtre surpris par la pluie en agréable compagnie et au lieu de courir vers un abri, nous nous couchons dans lherbe et nous faisons lamour.
Croyez-moi, ce ne fut pas facile à réaliser. La difficulté venait du fait quil y avait beaucoup de hasard dans le succès de cette mise en scène érotique. Première difficulté : dans mon fantasme la pluie est chaude et douce, je ne parle ni dun orage ni des pluies froides de lautomne. Cela ne laisse que trois mois dans lannée pour passer à laction. Deuxième difficulté : le lieu, impensable à réaliser dans la métropole, les endroits propices sont très rares. De plus je rêvais dun moment magique où le temps sarrête, non dune baise à la va vite pour ne pas être surpris. Dernière difficulté la compagne de jeu, cest bien beau une pluie à la campagne dans un lieu désert, mais seul ça ne me serre à rein. Bref, il fallait être avec la bonne personne au bon endroit et au bon moment.
Plus dune fois, lorsque la pluie était belle, mais que jétais en ville ou sans personne pour maccompagner dans les champs, jai eu des érections inassouvies.
Juillet 2005, pleine canicule, la chaleur est torride. Je pars avec une coupe de mes chums, hommes et femmes, dans le nord passer une fin de semaine au chalet. Nous sommes partis presque une dizaine, à lhoraire : lac, bière, BBQ et feu de camp. Et on recommence pendant quatre jour, le rêve pour ce se libérer de la chaleur suffoquante du béton.
Après une première soirée tranquille assis autour du feu, Francis changea le cours de la deuxième. Prenant tout le monde par surprise, il se lève, pose sa bière avant de crier :
« Tout le monde tout-nu pour un Bain de minuit!!! » Il se met à courir vers le lac en lassant son chandail, ses gougounes (sandales de plastique) et ses shorts.
Après cette baignade qui avait mit mes sens en alerte, certains sont allés se, dautres sont allés se faire un lunch, Martin et Julie se sont éclipsés dès quils sont sortis de leau
(ils sont un couple on se demande bien ce quils font ?). Par pur hasard, Je me suis donc retrouvé seul avec Rosalie. Nous parlons de nos cours en communs et des profs chiants. Sans arrière pensée, (du moins de mon côté) Nous sommes partis faire une marche, la lune sans être pleine éclairait suffisamment pour que nous napportions pas de lampe. Un peu éméché par lalcool qui coulait dans nos veines, nous nous couchons en plein milieu du champ. Laissant filer notre imagination, nous regardons le ciel, les nuages et les étoiles forment un paysage en constant changement. Tantôt un géant, tantôt un cheval ou une femme avec un , nous regardons les nuages se former et se transformer. Écrasés par la chaleur, Rosalie et moi, sommes rester couchés entre les herbes hautes du champ sans bougés à regarder le ciel.
Peu à peu, sans que nous nous en apercevions, le ciel sest couvert. La lune est disparue derrière les nuages, les étoiles aussi.
Les premières gouttes furent un soulagement et un rafraîchissement attendu depuis longtemps. La tête renversée en arrière je savoure la fraîcheur qui tombe sur nous avec douceur.
Étourdi à force de tournoyer sur moi-même, je me laisse tombé sur le sol. Rosalie continue à virevolter et danser sous la pluie. Mouillé, son t-shirt devient transparent. Comme elle ne porte pas de brassière, ses seins apparaissent à peine voilés par le tissu. Ils sont beaux, jaimerais les caresser, les prendre dans ma bouche, sentir le ses mamelons grossir entre mes lèvres. Je ne peux décrocher mes yeux de sa poitrine qui bouge devant moi. Sous la caresse de la pluie, ses mamelons durcissent et pointent sous son t-shirt. Je ne vois que sa silhouette éclairée par la faible lune qui traverse les nuage. Dieu elle est belle. La situation était parfaite ! Lorsque je me suis rendu compte que tous les éléments de mon fantasme étaient réunis, un désir fiévreux ma envahi. Mes sens se sont réveillés. Je suis aller danser avec elle, sans aucune musique, nous ne faisons que tourner en rond. Guidé par un instinct primaire, à chacun de mes pas, je me rapprochais de Rosalie.
Nous dansions maintenant un beau grand slow collé. Sa tête posée contre mon épaule, elle me laisse guider la danse. Je la fais onduler au rythme dune musique silencieuse. Notre danse est de plus en plus lente, presque immobile. Dans laccalmie, je pose un baiser dans son cou. Au début elle rit, disant que ça la chatouille, mais elle a comprit ma réelle intention lorsque mes mains ont quitté son dos, pour ses fesses. Ne riant plus, elle relève la tête et moffre ses lèvres. Je nai pas hésité une seconde avant de goûter cette bouche qui soffrait. Nos langues se sont croisées, nos corps se sont serrés fortement lun contre lautre. Ses seins sont venus sécraser contre mon torse, je sentais la pointe des mamelons sur ma peau. Je la tirais à moi. Dune main, je pétrissais ses fesses, de lautre ses cheveux.
Je me suis remonté sur mes genoux à côté delle pour être capable douvrir ses shorts. Je suis donc accroupie au-dessus delle et je défais les nuds du cordon. Se tournant légèrement vers moi, elle passe ses deux mains sous mon short et commence à malaxer mon sexe. Elle réussit à sortir mon sexe de mes shorts avant que je ne me débarrasse des cordons qui retiennent son short. Ainsi le sexe dressé, je me bas avec les petits nuds, elle savance vers moi, et me prend en bouche. Enfin les nuds sont défais. Je glisse son short vers ses chevilles, sans arrêter de me pomper, elle soulève son bassin pour maider. Enfin débarrasser de son short, je remonte vers son sexe. Je laisse glisser mes mains lentement sur son string. Appuyant sur son clitoris, je la caresse au travers du tissu trempé. Les cuisses écartées, elle attend que je trouve lentrée de son plaisir.
Lorsque mes doigts sont passés sous son string pour la caresser, sa bouche sest faite gourmande. Plus je la caressais, plus elle me suçait avec insistance. Dune main elle me tirait vers elle, avalant mon membre jusquà la base de lautre, elle glissait mes short vers le sol. À regrets, je quitte sa bouche, et viens me placé entre ses cuisses. Je retire son string, mon sexe pointe à lentrée de son sexe, mais sans la pénétrer. Je reste un moment à la contempler. Rosalie est couchée sur le dos, les jambes repliées. Sous la pluie, son t-shirt est complètement transparent me laissant apprécier la beauté de ses seins.
La maintenant dans une attente insupportable, je fais glisser mon gland contre son sexe. Entrant à peine en elle je ressors immédiatement et continue à lexister , je ne fais queffleurer son clitoris du bout de mon pénis. Elle soulève son bassin, accroche ses cuisses à mes hanches, tire mes mains derrière sa tête. Bref, son corps appelait un contact plus soutenu. Me collant contre elle, je la prends dun seul coup. Sous ce premier coup de rein, Rosalie cabre le dos et ferme les yeux. Elle entre dans la danse avec moi, nos corps vibrent à la même cadence. Sa respiration est saccadée. Butant contre ses cuisses, je la prends avec de plus de force. Le bruit de la pluie, ne couvre pas son cri lorsquelle explose dans un orgasme. Moi je suis resté planté au fond de ses entrailles la sentant vibrée pendant quelle jouissait. Arès cette petite pose, je recommence mes va et viens. Jai remonté ses jambes contre mon torse, ses mollets sur mes épaules, je la possédais à vive allure. En même temps que mon sexe entrait et sortait en elle, je caressais son clito de la main, lui donnant un second orgasme.
Rosalie pousse son bassin vers moi, et remonte son dos. Nous passons du missionnaire à une position assise. Elle passe ses bras autour de mon coup, et ses jambes autour de mes hanches. Je passe son t-shirt au-dessus de sa tête. Jembrasse, enfin, ses seins. Ses mamelons sont durs. Alors que lèche et mange sa poitrine, ma bouche se remplie de pluie. La pluie apporte avec elle le goût de la peau de Rosalie. Rosalie, fait bondir son cul sur mes cuisses. Serrant la chute de ses reins contre moi, je suis le rythme quelle impose maintenant. Leau coule sur nous et ruisselle sur nos corps. Mon sexe est gonflé à bloc. Les mouvements de son bassin sont très rapides. Je suis sur le bord de lextase, elle aussi. Nos corps se collent entièrement, et nous jouissons ensemble. Est-ce mon orgasme qui déclencha le sien ou linverse ? Cest sans importance... parcourus pas la une chaleur interne, nous avons continuer à faire lamour, prolongeant lorgasme pour un délicieux moment. Avant de briser le moment magique, Rosalie ma embrassé à pleine bouche. Dans un long et profond baiser, nous avons mi fin à nos étreintes rincées par une pluie dété. Tous deux savions que cétait une histoire très spéciale que nous venions de vivre.
En silence, nous nous sommes rhabillé avant de retourné vers le chalet. Nous sommes allés nous coucher, au sec cette fois. Vautrés lun contre lautre, nous nous sommes endormis.
Noubliez pas de menvoyer vos commentaires. Si vous aussi vous avez réalisé des fantasme impossibles envoyez vos histoires
Polichinel
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