Fantasme Et Réalité

Il y avait bien longtemps que nous n’étions pas sortis et ce samedi là, nous décidions d’aller au restaurant. Pour me faire plaisir ma femme avait mis une jupe courte mais convenable, juste au-dessus des genoux, un pull moulant laissant apparaître une généreuse poitrine. Arrivés sur place, pour être plus prêt nous nous sommes assis côte à côte. En attendant le premier plat, elle commença à croiser et décroiser ses jambes ce qui faisait glisser légèrement sa robe dévoilant le milieu de ces cuisses. Plus le temps passait, plus la jupe montait et plus mon désir grandissait, j’avais envie quelle écarte ses jambes, quelle montre toute son intimité. Au bout d’un moment elle prit ma main et la posa sur ses cuisses me faisant ainsi profiter de la douceur de sa peau Tout doucement je la glissais lentement dans son entre jambe jusqu’à toucher le tissus de sa culotte. Mon plaisir ne cessait de grandir et je commençais à caresser cet endroit tout chaud. De temps à autre je m’égarais vers son nombril ce qui me permettait en redescendant de passer sous l’élastique, de sentir son pubis et de pénétrer à l’intérieur de son nid douillet. La fraîcheur se faisant sentir, je partis chercher un gilet dans la voiture, quand je revins le dessert était servi. Après s’être délectés de ces sucreries et en attendant le café, elle me reprit la main et la posa de nouveau sur ces cuisses entrouvertes, j’en profiter pour faire remonter sa jupe découvrant progressivement le haut de ces jambes, tout en cherchant avec mes doigts à toucher son entre jambe. Quelle ne fut pas ma surprise quand je sentis au lieu d’un tissu le doux duvet de son intimité. Elle m’avoua que pendant mon absence elle avait été aux toilettes pour enlever sa culotte. Je caressais doucement son clitoris m’aventurant de temps à autre dans son intérieur qui était de plus en plus humide Le serveur arriva et je repris une position normale afin de déguster le café. Mes doigts avaient l’odeur du désir, du plaisir, cette odeur qui donne envie, qui excite, je lui demandais de garder ces cuisses entrouvertes dans l’espoir que quelques regards indiscrets puissent apercevoir le fruit défendu.

Je n’avais pas remarqué mais entre temps deux jeunes hommes s’étaient assis à la table d’en face et jetaient des regards de plus en plus insistants, ce qui m’émoustillait d’avantage et je commençais à me sentir de plus en plus à l’étroit dans mon pantalon. Je me levais feignant de prendre quelque chose dans ma veste posée sur une chaise de l’autre côté de la table et profitais moi aussi de cette situation. Le point de vue était suffisant pour deviner la nudité de son vagin quelle découvrit encore plus pour notre plaisir. Je me rassis, la jupe était haute, les cuisses judicieusement écartées, de ma place j’apercevais distinctement tous les détails de son endroit magique, j’avais peine à en détacher mes yeux quand subitement, venu de je ne sais où, le museau d’un chien loup vint explorer les lieux. Elle, surprise par cette présence inattendue, eu son souffle qui devint de plus en plus rapide, de plus en plus fort et je sentais que tout en étant gênée, quelque part cette situation ne lui déplaisait pas. Rapidement rappelée la bête repartie non sans passer quelques grands coups de langue entre les deux lèvres moites, elle encore sous le choc ne put s’empêcher de laisser échapper un petit sursaut suivi d’un gémissement. Ensuite nous nous sommes levés afin de payer l’addition, le regard des garçons restait encore accroché et nous partîmes après avoir payé l’addition. Dans la voiture elle se mit à remonter sa robe et ouvrir grand ces jambes, exposant ainsi son intimité à tous les regards, heureusement il faisait sombre, mais les conducteurs de monos passe et autres véhicules surélevés pouvaient profiter de ce point de vue et comme pour les provoquer, elle n’hésitait pas à ce caresser de temps à autre son sexe ouvert et ces seins qui pointaient. Tout excités, plein de désirs, nous rentrions chez nous et faisions l’amour dans un bonheur immense. J’espère que cette expérience se renouvellera car se fut vraiment des moments très forts de plaisir et d’excitation.