France Et Doriane
France et Doriane
Ce lundi soir, il faisait extrêmement chaud dans le dojo de karaté.
Cétait fin juin et la chaleur était étouffante.
France et Doriane sentraînaient ensemble ce soir-là.
Elles étaient trempes de sueur.
Après quelques enchaînements de lexercice quelles mettaient en application,
Doriane questionna France pour savoir où se trouvait le sokuto sur le pied.
France sagenouilla devant son amie et lui demanda un de ses pieds pour lui montrer la fameuse zone et aussi, par la même occasion, pour casser le rythme infernal du cours.
Doriane lui offrit donc son pied droit en se faisant prier !
France prit délicatement le précieux dans ses mains et lui caressa le sokuto avec lindex de sa main gauche.
« Cest ça le sokuto : le bord du pied. » Lui dit-elle, en la regardant droit dans les yeux dun air coquin.
Elle laguichait avec un petit sourire charmeur au coin des lèvres on peut dire quelle prenait son pied ! Doriane était un peu stupéfaite par cette situation.
Elle nen revenait pas de se faire peloter le pied par un docteur en droit !
France était quelquun de très classe : trente-cinq ans, un mètre cinquante-cinq, belle brune aux yeux bleus, le teint clair, un joli nez mutin, de beaux cheveux mi-longs et une bouche sensuelle
un vrai petit canon.
Doriane avait vingt-sept ans, cétait une superbe métisse qui devait mesurer environ un mètre soixante-dix, avec un magnifique corps svelte et musclé
bref, une splendide créature !
Cétait vraiment quelque chose de magique, de magnifique, dinespéré de voir une telle scène !
Doriane, gênée, enleva son pied de la main de France.
Cette dernière se releva et elles continuèrent lexercice.
Après le cours, elles se retrouvèrent dans le vestiaire.
Doriane se déshabilla pour prendre sa douche France, elle, ne se lavait pas ici.
Elle regardait la belle métisse se dénuder, elle la trouvait vraiment belle.
Quelque chose en elle lexcitait terriblement : cétait ses pieds !
Elle en avait envie.
France regarda les « pinceaux » de Doriane et soudain, une idée lui vint à lesprit :
pourquoi ne pas lui proposer de les lui lécher un de ces soirs ?
Acceptera-t-elle ?
La seule façon de le savoir, cétait de le lui demander tout de suite.
Tu as de très jolis pieds, Doriane. Jaimerais bien te les lécher. Ça te dit ?
Pourquoi veux-tu me faire ça ?
Je ne sais pas, je trouve que tu as de jolis petons tout mignons
ils mattirent.
Tu veux vraiment me manger les pieds ?
Oui, vraiment, jen meurs denvie.
Bon
pourquoi pas. En fait, je nosais pas te le demander France, mais il y a longtemps que jai envie de técraser ta jolie petite gueule. Quand es-tu libre ?
Demain soir, ça te va ?
Ça me va. Mais le problème, cest mon petit copain. Jai pas envie quil sache que je me fais lécher les pieds par une fille
Il ne le saura pas. On sera très discrète.
Alors demain à 17h00 chez moi, mais je te préviens France : tu viens chez moi, tu me lèches les pieds et tu te casses vite. On naura pas toute la vie devant nous, juste une petite demi-heure, tout au plus, avant que mon copain narrive. Je ne veux pas quil te trouve là.
Ne tinquiète pas, il ny aura aucun problème, je lècherai vite et je partirai sans demander mon reste !
Alors cest daccord. Tu sais où jhabite ?
Non, donne-moi ladresse sil te plaît.
Doriane nota ladresse sur une petite carte de visite et la tendit à France qui la mit dans la poche de sa veste.
Alors demain à 17h00 chez moi
Ah, autre chose
Quoi donc ?
Je naurais pas le temps de me laver les pieds. Jarriverais directement du boulot. Ils sentiront un peu, les pieds de la journée quoi
ça te gêne France ?
Non, pas du tout, ça ne me dérange pas.
Et elles éclatèrent de rire ensemble.
A ce moment-là, dautres filles rentrèrent dans le vestiaire et les deux pipelettes se turent, comme si de rien nétait.
France avait le rouge aux joues car elle avait un peu honte de sêtre engagée là-dedans.
Les dès étaient jetés , maintenant, elle ne pouvait plus faire machine arrière.
Le lendemain, France eut un peu de mal à trouver ladresse et arriva avec dix minutes de retard.
Elle se gara tant bien que mal devant la résidence elle naimait pas faire les créneaux avec sa vieille super cinq bleu marine.
Elle sonna à linterphone et se précipita corps et âme vers lappartement.
Elle frappa à la porte et Doriane vint lui ouvrir presque tout de suite, elle venait darriver.
Doriane était en tenue sportswear et elle était chaussée de baskets All Stars rouges.
Ah, cest pas trop tôt, tu es à la bourre !
Oui, pardonne-moi Doriane, jai eu un peu de mal à trouver, je ne suis pas trop douée pour ça.
Cest pas grave, tant que tu es douée pour autre chose ! Allez viens, suis-moi.
Doriane entraîna sa victime dans la chambre. Elle avait tout préparé à lavance. Par terre, un tapis de sol était déroulé, un coussin posé à une extrémité et à lautre, une chaise.
Allonge-toi par terre et met ce coussin sous ta tête. Moi je vais masseoir sur la chaise au niveau de ton ventre, je vais te poser mes deux pieds sur le visage et tu vas lécher, ça te va ?
Mais cest génial !
France, excitée, sallongea sur le dos et posa sa tête sur le coussin. Doriane mit la chaise au-dessus de la petite brune, au niveau de son ventre et sassit, les jambes de chaque côté du corps allongé. Doriane enleva ses baskets, puis ôta ses socquettes et posa ses deux pieds nus moites et collants de transpiration sur le visage de France.
Tu aimes ça, France ? Tu aimes sentir lodeur de mes pieds ?
Oui, cest bon
Lèche esclave ! Passe bien ta langue entre mes orteils.
Et France obéissait.
Elle léchait les orteils comme si sa vie en dépendait.
Doriane lui écrasait littéralement la tête sur le coussin.
France ne pouvait séchapper.
A certains instants, elle était étouffée par les deux pieds.
Les orteils obstruaient ses narines et les plantes des pieds bloquaient sa bouche.
Au fond delle, France était très surprise par les manières de Doriane.
Elle ne sattendait pas à ça.
En fait, Doriane mourait denvie de lhumilier depuis des années.
Et France, aujourdhui, sétait jetée dans la gueule du loup.
Maintenant, elle était dans de beaux draps !
Doriane nallait pas la lâcher de sitôt.
Cest trop bon de tavoir à mes pieds, France. Tu es belle, sexy, intelligente, docteur en droit, tu te la pètes tout le temps, mais en ce moment, tu me bouffes les panards ! Tu nas pas honte, petite gouine ?
Si, un peu
Ferme-la et lèche !
Et France continuait à nettoyer les deux pieds de sa dominatrice avec sa langue.
Elle léchait, léchait, léchait
Elle était réduite en esclavage.
Elle était devenue le pantin de Doriane.
Cette dernière jouait avec France, elle faisait ce quelle en voulait, on peut dire quelle lui marchait littéralement sur la tête !
Vas-y, piétine-moi Doriane
Tu devrais avoir honte, espèce de nulle !
Jai honte maîtresse
Oh oui, cest bon, excite-moi petite garce ! Je técrase la face
Je téclate la tronche
Doriane prenait un malin plaisir à frotter la plante de ses pieds sur les joues en feu de France.
Elle frottait, frottait, frottait
France était écarlate.
Bouffe mes pieds, merdeuse !
France nen pouvait plus, il lui manquait de la salive tellement elle léchait les pieds de sa maîtresse.
Puis Doriane regarda sa montre et lui lâcha :
Arrête-toi ! Tu dois te casser. Ça suffit pour aujourdhui. Arrête de me salir les pieds avec ta langue.
France se releva timidement, tout étourdi par le massage du visage quelle venait de subir mais en même temps, elle lavait bien cherché.
Elle était humiliée mais heureuse davoir eu la chance de sniffer et de lécher les pieds de cette magnifique métisse.
Tout le monde navait pas cette veine !
Demain on a entraînement, donc on ne pourra rien faire. Reviens ici jeudi à la même heure, je vais te mater moi, petite cochonne.
Je ne sais pas si je pourrais ce jeudi
Tu te fous de moi ou quoi ? Tu as fini ta thèse, non ? Alors maintenant que tu as commencé, tu ne vas pas me lâcher en si bon chemin, sinon, je balance tout au club : je dis que tu es devenue mon paillasson !
Non, pitié Doriane, ne fais pas ça, je ten supplie
Alors à jeudi. Je vais te faire jouir, moi ! Encore une chose France, approche-toi.
La petite brune larvée savança et Doriane lui cracha violemment au visage en lui criant :
Casse-toi France ! Tu nes quune lécheuse de pieds !
France faillit éclater en sanglots mais les ravala de justesse , elle tourna ses talons et sen alla la tête basse, résignée.
Elle était humiliée et déshonorée.
Mais elle aimait être traînée dans la boue.
France était devenue lesclave de Doriane et il lui faudrait lécher ses pieds jusquà la fin des temps.
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