Un 14 Juillet
Lété après le bac, nous sommes allés en famille à Arcachon. Le 14 juillet il y avait un feu dartifice sur le bassin. La nuit, la chaleur, la foule, tout le monde la tête en lair, je me suis retrouvé seul au milieu dun mélange de vacanciers de tous âges et de tous sexes. Bien sûr il y avait de beaux mecs, même des surfers au teint hâlé et aux cheveux décolorés par le sel et le soleil. Je me suis retrouvé plusieurs fois en contact avec des corps qui me frôlaient. Jai fini par trouver une borne ou un plot en béton pour me hausser au dessus de la foule. Au moment où je monte dessus un autre mec fait pareil et nous nous heurtons. Pour éviter de retomber et perdre notre conquête, nous nous agrippons lun à lautre. C se met à rire. « Il y a de la place pour deux ! » Il faut quand même se serrer, se toucher
Pour éviter dêtre évincés par la foule, nous sommes vraiment obligés de nous tenir par les épaules ou par la taille. Nous faisons connaissance. Il a 19 ans, moi 18. Il est belge, blond, un peu plus grand que moi, mince, mais finement musclé sous un tshirt multicolore plutôt ample et un short rouge moulant. Ses petits mollets bien ronds sortent dépaisses chaussettes blanches et de basket blanches et rouges impeccables.
Je suis habillé à peu près pareil, mais en bleu.
Après le feu dartifice, jai un bout de chemin à faire pour retrouver mes parents. Il maccompagne dans les rues un peu sombres. Il me montre un raccourci, en fait une allée entre deux villas qui mène à des garages à bateaux. Je le suis et comme nous nous enfonçons dans lobscurité en nous éloignant de la rue, sa main qui me tenait par lépaule comme de vieux potes descend le long de mon dos. Je ne dis plus rien. Il marrête en posant son autre main sur mon ventre. Je ne men rends pas compte mais je me mets à bander dur. Sa cuisse presque imberbe me frotte la mienne. Puis je sens son paquet volumineux contre ma hanche. Ses mains se glissent sous mon tshirt et le relèvent tout en caressant mon torse.
Puis il tend sa main entre mes cuisses, la remonte pour sarrêter sous mes couilles. Se mettant à genoux il pose ses lèvres sur ma hanche. Sa main joue avec mes boules, ses doigts effleurent ma queue qui gonfle un peu plus. Puis ses mains enserrent mes fesses, les malaxes et saisissent mon slip pour le tirer vers le bas. Ma queue est libérée dun coup. Elle se redresse de ses 19 cm, frappe mes abdo et retombe sur le visage de C qui me sourit.
Je ne me rappelle plus très bien ce qui sest passé. Pour une première fois, ses mains sur mes reins, entre mes fesses, sur mes cuisses, mes couilles, sa langue chaude et mouillée le long de ma bite, à la base de mon gland, ses lèvres aspirantes et serrées sur ma queue, sa bouche brûlante sur mon gland, avalant ma queue raide
Je dois mappuyer sur ses épaules pour me soutenir, je gémis comme un lionceau, mon corps se raidit, je crie quand mes couilles explosent et projettent mon foutre vague après vague branlant ma queue de lintérieur, giclant loin par dessus C qui regarde ma bite se convulser tout en se branlant fébrilement à mes pieds.
Nous nous sommes revus pendant ces vacances, il ma appris à lui rendre ce plaisir quil me donnais chaque fois, et comme je suis un peu perfectionniste
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