Une Soirée En Club Très Spéciale (I)
Tirant la porte du club, je mengouffrai dans le vestibule sombre, drapé de velours
noir et pourpre. Une faible lumière indirecte mettait en valeur quelques objets de
décoration tandis quune musique forte et rythmée envahissait déjà cette
antichambre. Je me tournai vers le vestiaire et tendis mon long manteau à la jeune
femme extrêmement peu vêtue et bien trop maquillée à mon goût qui se tenait
derrière.
Ce faisant, je dévoilai une robe noire arrivant mi-cuisse mais suffisament fendue
des deux côtés pour quon aperçoive le haut dentelé de mes bas noirs. Le haut était
un bustier relativement sobre mais qui poussait férocement ma poitrine vers le
haut, la faisant pigeonner. Des bottes à talons aiguilles montant jusquaux genoux
venaient affiner ma silouette déjà mise en valeur par la robe. Un pendentif simple
venait finir entre mes seins, accordé à mes boucles discrètes.
Passant devant la glace du vestiaire, je vérifiai létat de mon maquillage que javais
voulu discret, hormis un rouge à lèvres couleur sang qui mettait en exergue la
pâleur de mon teint. Mes cheveux étaient brushés et pour une fois, ne tombaient
pas comme des piquets raides.
Je me tournai vers le maître dhôtel un magnifique Black de plus de deux mètres
qui ne cachait pas le fait quil me reluquait de la tête aux pieds.
« Je suis attendue, à la table de M. T***. » lui dis-je posément, sans minauder.
« Par ici, » me répondit-il en me montrant le chemin.
Il tira une porte et me fit passer devant lui, me pelotant les fesses au passage. Je fis
mine de navoir rien remarqué. La musique devint presque assourdissante et devant
moi apparut une très grande salle de club, composée de plusieurs niveaux, où la
piste de danse prenait la plus grande part de la place. Des petits salons plus intimes
lentouraient et on my conduisit.
dhôtel se tourna vers moi et se pencha à mon oreille.
« Quand vous en aurez marre de ces vieilles peaux, venez me voir, je vous montrerai
ce quune queue jeune et endurante peut faire... »
Je lui souris largement, nhésitant pas à poser sa main sur son entre-jambe,
constatant quil était déjà impressionnant. Je lui répondis à loreille, sans lâcher ses
couilles.
« ça serait avec plaisir, mais ils ont tous les deux une sale tendance à la jalousie
possessive... je naimerais pas que de tels bijoux finissent accrochés au mur au-
dessus du lit conjugal... »
Et après une brève caresse, je méloignais de lui pour mapprocher de la table.
Comme toujours, je réagis de manière très contrastée à leur vue.
Lui, tout dabord. Mon amant, mon maître, lobjet de mes pulsions. Quand je le
voyais, bien entendu tout mon corps ne devenait quun objet sexuel désireux de se
faire user et r par ses soins, quelle que soit la manière, le lieu et le moment. Il
nétait vraiment plus jeune, ni vraiment beau, mais le pouvoir, le charisme,
lintelligence et la puissance sexuelle quil dégageait et quil possédait ! me
transformaient en bête de rut. En même temps, cétait aussi le pouvoir et lemprise
quil avait sur moi qui me gênaient un peu... ou plutôt ce qui me gênait cétait mon
incapacité et mon absence de volonté dy résister.
Elle, ensuite. Mon contraste, mon opposé. Ma rivale, mon amante, ma maîtresse,
lobjet de ma haine et de mes désirs les plus bas. Elle était petite, elle nétait plus
très jeune, elle avait certes beaucoup de classe mais nétait pas très belle de visage.
Son corps, toutefois, était parfaitement bien entretenu et malgré moi, mon propre
corps réagissait désormais au quart de tour face au sien. Ses caresses, sa bouche,
son odeur et sa peau me rendaient folle.
se damner.
Il me souriait de façon prédatrice, à pleines dents, ses yeux courant sur chaque
centimètre de mon corps, sarrêtant sur mes seins et mon ventre. Sans me quitter
du regard, il se pencha à loreille de sa femme qui me dévisageait, elle aussi, sa
faim tout aussi visible, mais plus froide. Il lui murmura quelques mots qui la firent
sourire comme une louve. Je nétais de loin plus innocente mais face à ces deux, je
me faisais tout de même leffet dun agneau donné en proie à des prédateurs
affamés. Cela mexcitait énormément bien sûr.
« Bonsoir, Damien, Lucie, je suis... très heureuse de vous voir, » fis-je dune voix
posée mais chaude.
Il se leva et me prit par la taille, mattirant contre lui, et me montrant ainsi le degré
de son... plaisir à me voir. Il fit glisser une main sous ma jupe, dépassa mes bas, et
fit courir son majeur sur ma raie nue, car bien sûr je ne portais pas de sous-
vêtements. Il y avait pire comme manière de saluer, me dis-je en écartant
ostensiblement mes cuisses pour lui laisser plus daccès et en me cabrant contre lui.
« Bonsoir Mylène, » me répondit-il dune voix basse, des promesses sulfureuses
dans la voix. « Le plaisir est pour nous... nous tavons préparé un petit programme
qui saura certainement te convenir... Et je constate avec plaisir que tu as suivi nos
instructions à la lettre... »
Son doigt était maintenant profondément enfoui dans ma chatte affamée et je
fermai les yeux brièvement de plaisir. La situation était osée, mais me faire doigter
ainsi, presque en public, sous le nez de sa femme, me faisait vraiment mouiller. Si
javais su ce que le reste de la soirée me réservait, jaurais alors ricané.
« Bien sûr, » répondis-je dans un murmure, « Je naurais pas voulu y déroger. »
Jinspirai brusquement quand son index alla rejoindre son majeur au fond de ma
grotte humide.
« Jespère bien, » dit-il tranquillement, tournant mon visage vers le sien et me
forçant à le regarder droit dans les yeux tandis quil me ramonait intensément.
Un peut butée, je ne laissai transparaître mon excitation que par mon degré
dhumidité et par ma respiration un peu plus courte, refusant de céder tout le
terrain déjà à ce stade. Il sourit froidement et membrassa assez durement, avant de
me lâcher brusquement, laissant ma chatte vide, sans mavoir fait jouir. Cétait là
ma punition pour mêtre montrée... rebelle.
« Vas tasseoir près de Lucie... elle a envie que tu toccupes un peu delle. »
Jobtempérai et massis à côté de ma rivale.
« Bonsoir, » me fit-elle, avant de poser sa main à lintérieur de ma cuisse et de me
rouler une pelle autoritaire. « Jai envie que tu me manges un peu la chatte pendant
quon finit notre champagne. Si tu me fais jouir suffisamment bien, tu auras droit à
une coupe... et peut-être à un peu de queue ce soir, et pas seulement à un ou deux
doigts. »
Je souris de plaisir en imaginant la queue de mon amant me ramoner les
fondements sans aucune retenue. Peut-être qualors ce serait elle qui devrait me
lécher et que ce serait moi qui aurait le dessus... Cela faisait partie de nos règles
implicites quand on se voyait les trois. Cétait celle de nous deux quil choisissait de
bourrer qui avait la main haute.
Je magenouillai sous la table pendant quelle écartait les jambes et remontait sa
jupe en cuir rouge, dévoilant sa chatte parfaitement rasée mais qui sentait déjà fort.
Je me mis à saliver danticipation car, à mon grand désespoir, javais réalisé que
jadorais la fouiller de ma langue et de mes doigts , son nectar était succulent et je
prenais toujours un réel plaisir à la rendre gémissante et dépendante de mes
caresses devenues expertes depuis le début de notre trio.
Sans hésiter, je plongeai mon visage entre ces lèvres turgescentes et me mis à la
lapper avec gourmandise. Je fis entrer deux doigts puis jouai des dents avec son
bouton. Du coin de loeil, je vis quil sétait assis et quil était penché sur elle,
certainement en train de lembrasser et de la peloter. Il sortit sa queue imposante et
se mit à se branler près de mon visage, toujours sous la table. Sans arrêter mon
manège, je plaçai ma main sur sa verge, pour le remplacer, et il me laissa faire.
Au bout de quelques instants, je ne pus plus résister. Enfonçant trois doigts dans la
chatte de ma maîtresse et mon auriculaire dans son anus préalablement humidifié
ce qui la fit se tendre et audiblement gémir malgré le fond sonore je me penchai
sur lui et lavalai tout en continuant de le branler.
Rapidement, je me mis à faire passer ma bouche et ma langue de lun à lautre,
suçant ici et tiraillant là, léchant ici et mordillant là, prise dans un tourbillon de
sens. Enfin, tandis que je gobai son clitoris, elle se cabra, son ventre tressaillit et sa
cyprine minonda le visage et les doigts. Je mattardai donc sur lui et ce que
jattendais avec impatience arriva enfin : sa main me plaquant contre lui, il baisa
encore rapidement ma bouche puis se tendit et déchargea plusieurs jets épais et
salés dans ma gorge. Le surplus coula sur mon menton et entre mes seins.
La bouche remplie de leurs goûts, le visage trempe de leurs jus respectifs, le col
blanchit par son foutre, je sortis de dessous la table. Ils étaient les deux assis, le
regard encore dans le vague du fait de lorgasme puissant que je leur avais donné et
ils me firent sasseoir entre eux. Cétait dans ces instants que je reprenais un peu de
pouvoir sur eux. Comme une affamée, elle se précipita sur moi et se mit à lécher
toute trace de foutre de ma peau, descendant entre mes seins, glissant ses doigts
dans mon décolleté pour aller attr mes tétons durcis.
La tête renversée, je me laissais faire, le regardant en train de fixer sa femme qui
me léchait avec un désir et un plaisir visibles. Il me regarda ensuite, un grand
sourire sur les lèvres, avant de membrasser à pleine bouche, dans un baiser
passionné, avide, et rempli de désir. Sa main descendit à nouveau dans mon
entrejambe et jécartai les cuisses avec empressement. Je gémis dans sa bouche
quand je ne sentis pas quune mais deux mains commencer à me fouiller. Elle suçait
toujours mes seins mais lavait rejoint dans ma chatte.
Je ne savais plus qui me faisait quoi mais cétait délicieux de sentir dix doigts rouler
mon petit bouton, me pistonner, et me ramoner lanus. Sans plus me soucier une
seconde dun quelconque public, je levai les jambes pour les poser sur la table et
offrir ainsi un accès parfait à mes orifices. Ils me rendaient ainsi la pareille en me
besognant de plus en plus rapidement et en dévorant lune mes seins, lautre ma
bouche. Les vagues de plaisir étaient de plus en plus rapprochées et de plus en plus
intenses, à un point tel que je dus interrompre le baiser. Je maccrochai à son col de
chemise, enfouissant mon visage dans son cou, gémissant, soupirant de plus en
plus fort.
« Allez chérie, lâche toi, hurle, laisse toi aller, ma petite salope, ma petite chienne,
ma petite pute adorée, tu aimes, tu aimes ça hein ?... » me sussura-t-il à loreille.
Soudain, je me cabrai, la bouche en O, les yeux écarquillés, car il venait denfoncer
toute sa main dans ma chatte, allant heurter mon point G.
Je laissai échapper un premier cri, vite suivi de plusieurs autres quand sa main à elle
senfonça complètement dans mon cul. La sensation était indescriptible, je brûlais,
cétait très douloureux mais en même temps absolument délicieux car jétais
totalement à leur merci. Ces deux salauds me fistaient en même temps, moffrant
une double pénétration énorme.
Je pouvais remercier le ciel de mêtre préparée plus tôt dans la soirée en
menfonçant de gros godes dans les orifices car sinon ils ny seraient pas arrivés ou
en tout cas jaurais terriblement souffert. Je perdis tout contact avec la réalité, et
cétait dans un bruit de techno assourdissante que je hurlais longuement ma
jouissance.
« Aaaaah ouiiiiiiiiiii ooooooohhhh cest booooooon !! alleeeez yyyyy aaaaahhh
nggggggg ooooohhhh !! »
Je fus prise de spasmes et un voile noir sabattit sur mes yeux quand mon corps se
relâcha enfin. Je les sentis confusément se retirer de mes trous totalement dilatés et
certainement béants. Me prenant dans ses bras, il me caressa le visage doucement,
avec une tendresse que je ne lui avais plus connue depuis le début de cette histoire
à trois.
Durant ces deux derniers mois, en effet, je lavais vu prendre ses distances, même
lorsque à quelques rares reprises nous nous étions retrouvés juste lui et moi, la
dernière fois il y avait de cela un mois. Cela mavait brisé le coeur et javais songé à
plusieurs reprises à claquer la porte et mettre fin à cette mascarade. Mais à chaque
fois, les plaisirs physiques et sensuels extrêmes que je retirais de cette relation
quon pouvait facilement qualifier de masochiste avaient retenu mon geste.
De plus, je sentais bien que ma dépendance affective à son égard qui avait
quelque chose de lordre du pathologique renforçait ce besoin de continuer, à
nimporte quel prix, cette histoire. Et donc, jétais là, ouverte, dilatée, offerte,
transpirante, couverte de nos sécretions, dans ce club , mais très open, le
coeur battant la chamade car il démontrait pour une fois plus quune faim animale à
mon égard.
Jouvris les yeux et me perdai dans les siens, un peu troubles. Sans dire un mot, il
porta à ma bouche la main quil avait enfouie en moi, humide. Il présenta ses doigts
encore luisant de ma mouille à mes lèvres. Lentement, doucement, je les avalai lun
après lautre, les léchant, les têtant, les nettoyant consciencieusement, rajoutant
ainsi à leurs goûts le mien dans ma bouche, sans détourner mon regard, à laffut de
toutes les émotions qui pourraient sexprimer sur son visage. Pendant quelques
instants, nous aurions pu être seuls, sur une île déserte, le seul son à nos oreilles,
celui de nos respirations qui se mêlaient.
Quand jeus finis de nettoyer sa main je navais oublié ni sa paume, ni son dos, ni
son poignet il se pencha dans mon cou, mais au lieu de membrasser, il me
murmura :
« Chérie, tu es tellement belle quand tu te laisses aller, quand tu jouis si fortement,
si violemment. Je suis fou de toi, tu me rends dingue quand tu te donnes comme ça
et que tu te soumets à tous mes caprices... jamais je ne pourrai me passer de toi. »
Je tressaillis et je dus me mordre les lèvres pour ne pas pleurer. Visiblement, il ne
voulait pas que sa femme entende cette confession. Faisant semblant de
lembrasser à mon tour dans le cou, je lui répondis dans un souffle.
« Tu sais que je ferais nimporte quoi pour toi et que cest dans tes bras que je suis
vraiment libre... »
Nous échangeâmes encore un regard lourd de confessions, puis il sécarta et je vis
le masque brièvement tombé se remettre en place.
« Bon, allez bois un ou deux verres et ensuite, en piste ! Tu vas nous montrer
comment ton petit corps sagite en rythme. »
Je lui souris, me levai et attrapai une coupe au passage, le laissant aller la retrouver.
Javais le ventre en feu du fait de cette petite séance de fisting inédite à ce jour mais
avec quelques verres, il nen paraitrait plus.
Après avoir descendu trois coupes presque cul sec, face à la piste, regardant toutes
ces plantes hommes et femmes se déhancher et sagiter, ma tête se mit à
tourner et je pus sentir les délicieux effets de lalcool se libérer en moi. Si cétait
possible, je me sentais encore plus lascive et prête à toutes les folies. Vraiment, ces
trois types, là-bas, quels beaux étalons... la taille de leurs queues devait être plus
quhonorable et je pouvais très bien mimaginer les prendre les trois en même
temps, sous le nez de mon couple de dominateurs. Limage qui me sauta à lesprit
était si intense que je me sentis mouiller à nouveau.
Je me retournai vers mon amant et ma rivale cétait toujours difficile de lappeler
autrement qui se roulaient des pelles passionnées. Elle était dépoitraillée et le
massait avec vigueur et il avait glissé sa main sous sa jupe. Le tableau était
complètement excitant. Montant sur la table, je madossai à la barre en métal qui la
traversait et qui était là pour précisément ce que jallais faire.
La tête enivrée par le champagne, les hormones sexuelles, mes violents orgasmes et
la vision torride de la scène de sexe qui nallait pas manquer de se dérouler sous
mes yeux, je commençai à me déhancher et à jouer avec la barre, montant et
descendant tout le long. Je vis quils sétaient interrompus et me regardaient, ravis,
et visiblement bien excités. Elle sassit sur lui, la jupe relevée, lui tournant le dos.
Nos regards se tinrent tandis quelle coulissait lentement sur sa verge à nouveau
raide, senculant avec délectation sur la queue de son mari. Je la comprenais,
jaurais fait de même. Cétait dans ce trou quil était le meilleur.
Elle soupirait, se mordant les lèvres, elle gémissait, bougeant les hanches, tandis
quil sétait emparé de ses seins, les pétrissant et les tirant brusquement. Les
piercings quelle sétait fait mettre il y avait quelques semaines brillaient et
indiquaient le degré dagitation de sa poitrine lourde. Ce fut elle qui imprima la
cadence et elle commença un va et vient rapide et intense, utilisant sa queue
comme un gode, sans me lâcher du regard. Elle se mit à crier de plaisir, tandis que
je continuais à danser, maccroupissant et ouvrant mes cuisses face à eux, puis leur
tournant le dos et leur offrant ma croupe tout en les dévisageant à travers mes
jambes.
Il grognait de plus en plus fort et déchargea dans son cul, la poussant à lorgasme.
Elle se retourna vers lui pour lembrasser tandis quil déculait, puis se leva et monta
sur la table avec moi, le sperme de notre homme coulant de sa rosette et glissant le
long de ses cuisses. Je magenouillai devant elle et léchai toute cette semence
comme elle lavait fait tantôt, insistant sur la zone de sa raie et de sa rosette. Avant
de relever, je le regardai lui, au travers de ses jambes. Il avait allumé un cigare et
me dévorait des yeux. Je me léchai les lèvres et passai la main sur ma bouche, avec
gourmandise. Le sourire quil me décocha fut carnassier.
Elle me releva et me caressa le visage.
« Hmmm ma jolie nymphe, petite chaudasse, viens, allons lexciter ensemble,» me
dit-elle à loreille.
Nous commençames une danse à deux, collées lune à lautre, soit par devant, soit
par derrière, nos mains courant lune sur lautre, nos bouches se cherchant,
trouvant ici un sein, là une fesse. Nous terminâmes à quatre pattes, face à lui, nos
croupes relevées, offertes à tout passant, en train de nous embrasser goulument. Il
nous indiqua dun geste quil souhaitait un petit 69 de notre part et cest avec
plaisir que nous nous exécutâmes. Je retrouvai sa chatte trempe et odorante, tandis
quelle fouillait la mienne avec ardeur. Nous gémissions, geignions de plaisir. Il ne
manquait que des queues pour parfaire le moment mais nous savions quil était
trop tôt pour quil soit à nouveau réactif.
Quelle ne fut pas notre surprise quand soudain des mains musclées et inconnues
semparèrent de nous. Relevant la tête du minou de ma rivale, le visage humide, je
fis face aux trois étalons que javais remarqués plus tôt, ou plutôt à leurs queues
raides et bien grosses. Levant un sourcil agréablement surpris, je décochai un
regard amusé à mon amant qui sétait levé pour sapprocher des nouveaux venus.
« Hé bien, Messieurs, quattendez-vous ? vous avez champ libre avec ces deux
belles délurées ! »
Je croisai le regard affamé de ma rivale et pendant un instant, nous fûmes
complices. La suite de la soirée s'annonçait... intéressante.
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