Poulette Rendue À La Vie Passive!
Revenant à la realité, après ce retour 6 ans en arrière, le
Sergent Malouda voulait savoir si j'habitait toujours à proximité
de la caserne de ma petite bourgade. Je lui repondait par
l'affirmative, mon appartement se trouvant dans la même rue : <
Parfait, j'ai pas très envie de dormir à la caserne, t'as bien un
petit coin pour moi chez toi ?>, < euh oui, mais c'est que je ne
suis pas seul>, < un petit copain ?>,
de problème pour moi surtout si elle est mignonne, j'arriverai
Lundi vers 18h30, j'ai l'adresse, a lundi alors, salut> et sans
que j'ai pu en discuter, il avait racroché.
A ce moment, je ne savais pas si c'etait une bonne idée de le
revoir, même si au fond, j'avais appréçié nos moments d'intimités
sous ses ordres.
J'ai donc signalé à ma copine, qu'il s'agissait d'un ancien
copain de régiment et que je l'avais invité à loger à la maison
pendant son stage.
Ok, pas de problème me repondit-elle, je vais préparer la chambre
d'amis.
Le Lundi, en fin d'après-midi, Malouda arriva chez nous, son sac
en bandoulière et un gros bouquet de fleurs à la main, ma copine
plutôt du genre reservée lui tendit la main, mais le sergent se
pencha pour lui faire la bise en lui disant " j'ai l'habitude
d'embrasser les dames, surtout si elle sont jolies ! vous
permettez..." et ma copine se laissa faire, dèja ravie par le
compliment. Il m'attrapa ensuite par le cou, m'étranglant à
moitier " alors mon petit Paul, on a oublié de ma dire qu'on
avait une jolie petite blonde à la maison, mais comment t'a fait
pour rencontrer une beautée comme ça..toi?, allez j'deconne ".
C'est vrai que Severine est très mignonne, blonde, cheveux court,
1,65m pour 53kg, sans être maigre elle à un joli corp, avec des
petites fesses et des seins arrogants, biens fermes, même s'ils
tiennent dans mes petites mains.
Nous avons tranquillement pris l'apero, parlant de choses et
d'autres, puis nous sommes passés à table, Severine nous
apportant les plats entre deux discussions, l'ambiance avec les
alcools etait très detendue, le Sergent ayant mille aventures à
nous raconter sur ses missions en outre-mer. Severine se leva à
nouveau pour debarrasser, Malouda lui pris la main et la fit
rassoir : "tu as déja tout apportée, le repas etait excellent,
merci.. Paul va débarrasser maintenant, il suffit de lui demander
avec la bonne manière, je vais te monter, à l'armée j'etais son
chef, voyons si ça marche toujours : - Poulette, garde à vous !.
Un peu gêné par son ordre devant ma copine, j'hesitait, puis
finalement je me dis que c'etait pour rigoler, je me mis donc au
garde à vous un grand sourire aux lévres, il me fit venir à côté
de lui, me bloqua la tête m'etranglant à moitié tout en me
frictionnant le cuir chevelu : - c'est quoi ce sourire, t'a
oublié les bonnes manières que je t'avais aprises, allez
débarrasse moi cette table, et que la vaisselle soit faite, allez
exécution...-.
Rouge et un sourire figé aux lévres je repondis " a vos ordres
Sergent " et je commençais à rassembler la vaisselle. Severine ne
sachant si c'etait du lard ou du cochon, ne savait plus quoi
dire. - Alors tu as compris la methode Severine, dit-il d'un ton
rieur, faut juste lui montrer qui est le chef, voila maintenant
on va pouvoir faire connaissance. Pendant que je débarrassait la
table ils se sont installés sur le canapé, et l'ambiance était à
la rigolade car Severine, pas habituée à l'alcool avait l'air de
bien s'amusée. J'etais en train d'essuyer la table, quand elle
m'invectiva "Poulette deux cafés..", je fit une petite courbette
en disant "a vos ordres madame Severine", et je reparti vers la
cuisine, tout en entendant Severine dire "eh, t'as raison Simon
ça marche".
Severine à demandé à Malouda "tu veux un sucre ?" ben,oui " eh
alors reste pas planté là comme une nouille, va chercher le
sucrier, mais qu'est-ce-que c'est cette bonniche mal dressée"
m'envoyant une claque sur les fesses. Ayant eu leur sucre, je me
suis installé à leurs côtés. Malouda lui souffla "tu crois qu'il
à fait la vaisselle ?", Severine se tournant vers moi me dit
"Poulette chèrie, est-ce que la vaisselle est propre et rangée
?", commençant à trouver son attitude un peu énervante je luis
repondit que non et qu'elle attendrai bien jusqu'à demain, au
besoin elle n'avait qu'à la faire elle même. Les deux se sont
regardés et Simon lui à dit "on dirait que notre petite bonniche
de ce soir se rebiffe, va faloir mater cette rebelion au plus
vite, alors comment fait-on pour apprendre l'obeissance au petit
personnel, chère maitresse de maison?".
Severine après quelques secondes de reflexion, repondit, une
lueur de malice dans les yeux " la bonne vieille methode : une
petite fessée cul nu..".
J'ai a peine eu le temps d'ouvrir la bouche pour protester que
Malouda ma attrapé, et à l'aide d'une clef au bras m'a couché sur
les cuisses de Severine, qui jubilait et m'a baissé rapidement
pantalon et slip.
" Oh, oh les voilas les petites fesses de ma soubrette efrontée,
on va les rougires un peu pour lui apprendre l'obeissance " et
les claques ont commençées à pleuvoires et croyez moi, mais même
si ma femme est menue, elle n'a pas retenue ses coups, et au bout
d'une vingtaine de volées, le cul en feu, j'ai demandé grâce.
M'ayant relaché, les larmes aux yeux et pas fière j'ai remonté
mon pantalon et je me suis dirigé vers la cuisine.
"Hop,hop mais ou elle va, et les excuses pour sa maitresse !".
Furieux j'ai repondu un j'mexcuse qui n'a pas eté du gout de mes
boureaux, et le Sergent m'a ratrapé et malgré mes protestations
m'a replacer sur les cuisses de Severine " mais elle a pas encore
compris qui est le chef içi, petite vilaine" et vlan, j'ai à
nouveau pris une bonne fessée, qui malgré mes supplications n'a
pris fin que quand j'ai pleuré comme un gamin.
Je me suis mis devant Severine à genoux le regard baissé, et je
lui est dit "je m'excuse maitresse Severine ". Toute ravie, elle
a ajoutée, mais tu as oublié ton maître !. Je me suis alors
tourné vers Simon, et je lui ai egalement demander de m'excuser.
Il m'a attrapé par les cheveux et m'a demandé si j'avais pris de
bonnes résolutions, marquant un temps d'arrêt, j'ai annoncé la
gorge serrée, que je serais dorènavant "votre soubrette devouées
et obeissante".
"Eh bien voilà c'est mieux, tache de ne pas oublier ces bonnes
résolutions, sinon ton petit cul s'en souviendra".
Severine du bout de sa chaussure m'a tapotté le sexe "eh mais
regarde, ca l'excite de jouer à la soubrette, sa bite est toute
dure" et Simon de rectifier "on peut pas parler de bite, disons
plûtot un petit zizi tout blanc" remarque qui a déclenché chez
eux l'hilarité generale, m'humiliant encore un peu plus, mais
paradoxalement n'a fait que renforcer ma petite erection.
Simon a proposé à Severine de me trouver une tenue pour ma
nouvelle fonction, qui trouvant l'idée excellente m'a demandée de
me mettre à poil, puis est parti chercher son petit tablier - La
fée du logis- ainsi qu'une de ses paires de mûles.
Ainsi accoutré, elle m'a envoyée à la cuisine, avec une claque
sur mes fesses, "allez au boulot et defense de toucher à ta
zezete sinon gâre à toi".
Pendant que je faisai la vaisselle, Malouda s'est mis en devoir
d'apprendre à ma femme les danses antillaises, qui sont assez
chaudes, et chaque fois que je venais au salon débarrasser, je
pouvais constater qu'il ne se génait pas pour la tripoter au
passage. Elle qui avait toujours eté de nature plûtot timide se
laissait faire avec plaisirs, cela me mettait mal à l'aise, mais
que pouvais-je faire, Simon etait trop fort pour moi, et je
sentai encore mes fesses me cuire.
Je suis donc retourné à mon ouvrage, et une fois la vaisselle
lavée et rangée, je suis retourné leur annonçé la fin de ma
corvée.
"C'est bon va te coucher, m'a dit ma femme, je verifierai si tout
est nickel, j'espére pour toi!. Allez laisse nous maintenant".
Je suis parti me coucher, mais n'est pas reussi à dormir car
s'ils avaient eteints la musique, ils semblaient bien s'amuser
car Severine rigolait tout le temps, sans doute l'alcool.
Une bonne demi-heure plus tard, ma femme est venue se coucher.
Elle s'est deshabillée puis a tirée le drap, et ma attrapé les
testicules, finissant ainsi de me reveiller: "Alors tu avait
oublier de me parler de tes petites aventures dans les douches,
je ne savais pas que t'aimais la bite, petite salope, dit moi un
peu comment elle est celle de Simon". Me broyant les couilles
d'une main, j'ai du lui donner tous les details qu'elle voulait
entendre...grosse, longue, la taille des couilles, et pendant que
je lui décrivait la belle queue du Sergent, elle se touchait le
clito comme une folle, et rapidement s'est mise à jouir
intensement. Cette evocation m'aillant excité et fait bander,
j'ai voulu la prendre, mais la seule chose que j'ai pris, c'est
une gifle: "mais qu'est-ce que tu veux faire avec ton petit zizi,
me chatouiller, si t'est excité, t'as qu'a te branler petite
bite, et en silence, je suis fatiguée." Et elle s'est retournée.
Penaud, la bite à l'air, je me suis resigné et aprés quelques
mouvements j'ai joui sur les draps.
"Soubrette! demain t
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