Mon Dépucelage

Depuis le temps que je me promène sur ce site d’histoires érotiques, l’envie de vous raconter mes aventures sexuelles me pousse à franchir les pas.
Je me prénomme Rachelle et je suis une travestie de 36a. Quand je fais le calcul, cela fait maintenant plus de 22ans que de me sentir femme est devenu une nécessité. En effet, mes premiers émois de travestie, je me les procurais en fouillant dans les tiroirs et la garde robe de ma mère et ce dès mon adolescence. Je me souviens enfiler ses plus belles lingeries (guepierres, porte jarretelles, string, boxer, sg etc….) ses plus beaux vêtements (robes, jupes, tailleur) j’avais même la chance de pouvoir enfiler une paire de mules noires vernis de toute beauté. Et là, je prenais des poses les plus sexy possibles, je me mettais dans la peaux d’une femme très classe, bourgeoise qui avait envie d’être avec des hommes. J’avais donc déjà des envies de sexes d’hommes et en les imaginant, ils devaient être matures. Encore maintenant mes recherches s’orientent vers ces hommes. Certains me reconnaîtront certainement car je chasse énormemment sur Internet sous le pseudo de «rachelle-bcbg».
J’ai donc envie de vous raconter une série d’aventures sexuelles qui m’ont marquées tellement elles ont été chaudes.
Je venais d’avoir mon bac et j’allais me faire dépuceler. C’est sur qu’en me rendant chez ma tante pour les vacances je ne savais pas que j’allais y passer. Et oui j’allais connaître mon 1er homme. En me rendant chez elle à bourges, je savais que j’allais me retrouver seul car elle travaillait toute la journée. Par conséquent, je savais que j’allais pourvoir m’éclater avec ses vêtements. Me travestir en toute tranquillité.
Un matin, je décidais de passer une jolie guepierre tout en dentelles noir et rouge. Une merveille. De jolis bas à couture noirs avec la couture rouge et un string assorti rouge et noir. Je me sentais déjà très sexy. Je passais des chaussons à talons avec, je me souviens un pompon dessus.

Je déambulais ainsi dans son appartement sans gène .A ce moment le téléphone se mit à sonner. C’était ma tante qui m’avertissait qu’un de ses collègues allait passer pour prendre un dossier important. J’avais à peine raccroché que la sonnette de l’interphone se mit à sonner. Imaginez la panique à ce moment. Je réponds en lui ouvrant la porte d’entrée , Il me restait à peine une minute pour me changer , impossible. Je jette les chaussons, j’enfile un bas de survêtement et un tshirt, et je lui ouvre. Ouf c’était limite
J’ai devant moi un homme d’environs 50a en costard cravate, très classe, brun assez typé.

- bonjour c’est Bernard le collègue de Séverine.
- Entrez, elle m’a prévenu à l’instant de votre venue.

Incroyable, je suis très excité en présence de cet homme et surtout sachant que dessous mes vêtements je suis en sous-vêtements de coquine
Et là, la confusion :

-dis moi tu es bien son neveu ?
-oui pourquoi ?
-Ben j’ai l’impression que sous tes vêtements tu as envie d’être sa nièce

En me disant ça, il me met la main aux fesses et tire sur les jarretelles.

- C’est quoi ça ?
- Svp, ne dite rien à ma tante, elle m’engueulerait et le dirait à ma mère.
- D’accord ma chérie mais montre moi alors ce que tu me caches.
- Je reviens d'accord ?

J’entre dans la chambre de ma tante, retire mes vêtements pour me retrouver en dessous. Que faire ?? Je suis tellement excité de me montrer et en même temps très peureux de sa réaction. Tant pis, je me lance. Je remets les chaussons pour avoir une démarche chaloupée, réajuste ma panoplie de femelle et rejoint bernard. J’entre dans le salon.
En sifflant il me lance :

- La p’tite coquine comme elle est adorable…Viens approche que je te vois encore mieux.

Et là du haut de mes talons je m’avance vers lui en remuant du cul comme c’est pas possible. Je me retourne et cambre mes reins devant lui à quelques centimetres. Je prends des poses de plus en plus chaudes et lui se régale des yeux tout en me complimentant sur mes petits trésors.
Je sens ses mains se poser sur mes fesses, me les malaxer, me les écarter et sa bouche venir me les croquer. Quel régal , Il me faisait craquer par ses caresses et j’avais de plus en plus l’impression d’être une fille .Il me mit à 4 pattes sur le canapé et tout en écartant mon string il vint poser sa langue sur ma rosette. Tout s’enchaîna.

-Ma ptite salope je vais bien m’occuper de toi.
- Vous savez je suis encore pucelle.
- t’inquiète pas tu vas aimer, je vais bien m’occuper de ton éducation. Mais d’abord tu vas venir me pomper la bite.

J’allais avoir la 1ere bite d’une très longue série. Elle était assez longue, mais surtout très épaisse. Pleine de veines et complètement raide.

-suce moi ma chérie tu vas l’adorer.

Je m’appliquais à prendre en bouche cette queue de rêve. Je le suçais sur toute sa longueur, je le léchais et le branlais en même temps , J’allais devenir accros à la bite. Une dingue de la pipe.
Il m’arrêta pour m’allonger sur le dos et pour me lécher de partout. Il s’attarda sur ma rondelle et faisait venir sa langue dessus et dedans. J’avais les cuisses écartées au maximum, les jambes en l’air tenues par ses mains

- Ma chérie je vais venir te dépuceler. J’ai envie de ta ptite chatte. Te pénétrer et te faire hurler de plaisir.
- Viens mon amour , baise moi. Je te veux.
Il vint placer sa queue à l’entre de ma rondelle, et en poussant doucement pour s’enfoncer il vint me branler le clito et m’embrasser les seins. Il me les mordillait tout en me pénétrant de plus en plus. J’avais mal mais ses caresses me faisaient tellement de bien.

- Viens, Baise moi à fond. Dépucelle moi la chatte.
Et là, j’avais mes jambes autour des ses hanches et mon amant qui tendrement faisait des va et viens dans mon cul. Très rapidement je jouissais du cul et lui se déchaîna.
Il me retourna pour me prendre en levrette. Je jouissais encore et encore. Il se retira pour venir jouir sur mes fesses. J’avais la raie qui coulait. J’étais heureuse et comblée.
Il m’a prise dans ses bras m’embrassa et me donna son telephone pour que l’on se revoit.
Et il dû partir pour aller bosser. J’étais heureuse , comblée. J’avais enfin connu mon 1er amant. Inutile de vous dire que je l’appelais plus tard pour une nouvelle aventure. Mais ça se sera peut être pour un autre récit.
Sachez juste que lors de notre 2ème rencontre, il me reçu à l’hôtel et je dû me travestir complètement et me maquiller.