Marie-Thérèse

Elle s’appelle Marie-Thérèse, à 64 ans, veuve depuis 3 ans, toujours très élégante, c’est ma voisine autant d’appartement que de garage. Moi la soixantaine, marié mais souvent en manque de câlins. Voici pour si les personnages de cette histoire vraie.

Il y a 2 jours en cette fin décembre, je rentrais du travail vers 17h30, mon épouse elle était à un cours et ne devait rentrer que vers 20h. Je fermais mon garage lorsque ma voisine m’a interpellé ( c’est rare qu’elle me parle) pour me demander de lui tenir un escabeau dans son garage afin qu’elle cherche quelque chose tout en haut sur une étagère dans une valise. Toujours prêt à rendre service j’ai accepté. Elle m’a fait passer des sous-vêtements de couleur rouge, tout y était, soutien gorge, string, petite combinaison très courte, bas… Devant mon étonnement, elle m’a dit que « ces choses », elle les mettaient toujours en fin d’année du temps de son mari, c’est une tradition italienne, et qu’elle avait décidé de les ressortir pour cette fin d’année car trois ans de veuvage cela faisait assez. Tenant toujours les sous-vêtements dans ma main, l’autre tenant l’escabeau, j’ai commencé à bander. Il faut dire que pratiquement à hauteur de mes yeux se trouvait son fessier ma fois agréable à voir. Pendant qu’elle fermait sa valise et commençait à descendre, j’ai posé ma main libre au creux de ses reins, provoquant chez elle un léger sursaut.

Une fois descendue, me regardant droit dans les yeux, elle a posé sa main sur mon pantalon et m’a demandé… tu veux… J’ai eu du mal à avaler ma salive avant de répondre que j’aimerais beaucoup. Nous sommes repartis ensemble vers nos appartements respectifs, moi désirant prendre une douche avant d’aller la rejoindre chez elle. Un quart d’heure plus tard, j’ai sonné à sa porte et elle m’a ouvert vêtue de ses sous-vêtements rouge que j’avais tenu dans mes mains peu avant. Pour 64 ans elle m’a surpris par la beauté de son corps, doux et ferme à la fois, jamais en la voyant je n’avais imaginé que cette femme pratiquement nue devant moi était si appétissante.

Tout de suite, elle m’a emmené dans sa chambre éclairée seulement par une bougie. Elle a commencé à me déshabiller tout en me disant que trois ans sans se faire baiser cela suffisait, je veux tout de toi, j’accepte tout ce que tu veux, mais fait moi mouiller d’abord.

Pendant qu’elle sortais mon sexe pour l’emboucher, je me suis penché pour dégrafer le soutien gorge, je tenais sa tête entre mes mains et ai rythmé ses aller-retour. Je l’ai fait se lever, sa main s’est posée sur mon sexe durci par le désir, ma bouche chercha la pointe de ses seins, elle avait l’air d’aimer beaucoup, elle était tendue de plaisir lorsque ma bouche se mis à descendre vers sa vulve, je décidai de me mettre à genoux pour m’occuper complètement de sa chatte. Je fit de longs mouvements de va et vient sur ses lèvres intimes et elle commença à gémir. Je n’avais plus du tout envie de me dégager et ma langue pénétra plusieurs fois dans cette chatte humide puis je décidait de m’occuper uniquement de son clitoris avec ma langue pendant que 1 puis 2 doigts pénétrait dans sa vulve. Trempée, son clitoris gonflé, elle me demanda de la prendre en levrette. Ce qui fut fait, pendant que mon sexe lui remplissait la chatte j’ai joui très rapidement, elle aussi, nous avons stoppé nos allants avant de faire un 69 pour se nettoyer nos sexes respectifs et nous sommes calmés.

Nous avons profité de cet instant pour parler enfin, elle m’a dit que depuis 3 ans, mis à par quelques pénétrations avec
"du plastique", elle n’avait pas eu d’homme dans son lit et combien elle avait apprécié un sexe "vivant et dur" dans sa bouche et sa chatte. Tout en parlant nous avons continué à se caresser mutuellement, elle m’a de nouveau embouché afin de me faire reprendre vigueur. Une fois mon érection à peu près normale, elle est venue s’empaler sur ma queue très lentement tout en se caressant le clitoris, elle qui m’avait dit que je devais la faire mouiller, et bien c’était pratiquement un torrent de cyprine qui sortait de sa vulve.
Je l’ai laissé faire me contentant de tenir ses fesses entre mes mains. Me redressant, un de mes doigts est venu lui titiller sa rosette, elle m’a de suite interrompu, me demandant de garder cela pour un autre jour. J’ai accepté et nous avons décidé de prendre rendez-vous la semaine prochaine pour attaquer son fessier.

Notre partie de jambes en l’air ma fois extrêmement agréable s’est de nouveau conclue en un 69 couchés sur le côté, nous avons fait durer le plaisir longuement et lorsque elle a senti que je ne pouvait plus me retenir, elle a accepté de tout recevoir dans sa bouche. Une première pour elle m’a-t-elle dit… Merci voisine, je vais bientôt revenir et là, ce sont tes fesses qui vont prendre, elle était toujours d’accord lorsque je l’ai quitté pour rentrer chez moi.

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