Le Départ De Notre Jeune Voisin

Le départ de notre jeune voisin

C’est le début de l’été, pour fêter les vacances nous invitons notre voisin de palier. C’est un étudiant qui a fini ses examens et retourne vivre chez ses parents et à cette occasion nous organisons un apéritif. Nous voilà réunis autour de la table basse, lui et moi dans le canapé, ma femme dans un fauteuil en face. Je lui sers un Ricard bien tassé, avec mon épouse nous prenons un vin cuit. La soirée se déroule et tout en mangeant des amuse-gueule nous basculons quelques verres. Chaque fois que ma femme se penche pour prendre des petits gâteaux, son chemisier entrouvert laisse apparaître son soutien-gorge blanc à balconnet avec le haut de ses seins rebondissant, la vue est superbe et je vois bien que mon voisin n’y est pas insensible. Quand elle se rassoit sa jupe courte vole légèrement montrant le haut de ses jambes. L’alcool aidant j’ai envie qu’elle en montre plus, aussi je vais dans la cuisine et l’appelle pour lui expliquer la situation et lui demander d’être plus allumeuse. A cet effet nous mettons un code de signes au point. Nous voilà revenus chacun à notre place, moi bien en face d’elle. Au début elle entrouvre légèrement ses jambes mais on ne voit pas grand chose, je lui fais comprendre d’écarter d’avantage, on aperçoit le début de ses cuisses, au fur et à mesure son entre jambe devient de plus en plus visible, je laisse faire car j’ai envie qu’elle en montre le maximum. Je prends mon verre et maladroitement le renverse sur elle, mouillant ses vêtements, du coup elle se lève et part se changer. Je reverse un Ricard à notre hôte qui commence à parler avec difficultés, ma femme revient vêtue d’un nouveau chemisier, elle reprend sa place, sa position et l’exposition recommence. Au bout d’un moment elle se penche pour prendre son verre, elle a enlevé son soutien-gorge et j’aperçois ses seins libres. Ils sont là tout bronzés, ballottant sous nos yeux avides avec les pointes toutes droites, puis elle vient s’asseoir entre nous deux.

Je la sens un peu chaude et mon voisin lui dans les vapeurs d’alcool. Tout en posant sa tête sur mon épaule, elle commence à appuyer innocemment ses jambes contre celles du voisin. Le contact des deux peaux ne tarde pas à faire une petite bosse sous son short, elle se frotte d’avantage, l’aspérité augmente, la situation devient excitante. Il pose alors sa main sur les cuisses à demi - nues de ma femme qui n’a aucune réaction, je comprends alors qu’elle est d’accord. Elle entrouvre les jambes laissant le champ libre pour une manœuvre plus audacieuse qui ne se fait pas attendre. Il est presque en haut de l’entre jambe, elle laisse faire et écarte suffisamment pour qu’il atteigne sa culotte. Elle me surprend car ce n’est pas dans ses habitudes de s’offrir, dans le meilleur des cas elle se limite à dévoiler ses charmes, je suppose que l’alcool doit y être pour quelque chose. Il commence à la caresser, appuie ses doigts dans la fente, fait quelques mouvements de va et vient, elle ne dit toujours rien. Par l’échancrure de son chemisier, j’entrevois ses seins lourds, je la déboutonne pour les prendre dans ma main, je sens ce galbe contre ma peau, je titille les pointes. Maintenant l’étudiant s’est insinué sur le coté de la culotte, glisse entre les lèvres, remonte jusqu’au clitoris, redescend, enfonce un, deux, trois doigts dans la grotte du désir, revient sur le petit bouton, accompagné par les clapotis des sécrétions. Elle se pince les lèvres, avale sa salive, je sens son excitation monter, je serre plus hardiment ses pointes, les tire, elle commence à gémir ce qui rend la situation encore plus torride. Les soubresauts de la jouissance extrême ne se font plus attendre, elle serre très fort ses cuisses, appuie la main de l’étudiant sur son intimité en feu et reste là un moment sans bouger pour savourer tout le plaisir de cet instant si fort. Il est tard, nous nous levons, je raccompagne mon voisin titubant chez lui. A mon retour je m’empresse de venir toucher le sexe de mon épouse, il est tout mouillé, le haut de ces cuisses humide, les pointes de ces seins dures, alors je la déshabille, la couche sur le canapé et je lui fais l’amour comme un fou, provoquant un deuxième orgasme.

Parfois nous reparlons de ce moment et cela nous excite.

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