Etudiante En Sexe (Leçons 6 À 10)

suite de : "Comment j'ai passé mon bac S en 10 leçons (leçons 1 à 5)"


Sixième leçon :

Pour se faire pardonner d’avoir jouis trop vite, et comme nous avons été bien sages toutes les deux, il nous a acheté des sucettes.
Elles sont toutes roses et avec une belle forme phallique. Assises ensemble au premier rang comme d'habitude, nous les dégustons avec gourmandise et une attitude suggestive. Nous faisons rouler nos langues à l'extrémité de la sucrerie, puis nous en léchons le flan, avant de les prendre à pleine bouche goulûment. Toujours sous le regard vicieux de notre prof qui continue, tant bien que mal à réciter son cours de géométrie, je commence à glisser ma sucette sous la jupe de Julie et à la frotter à son clito bien dur avant de la tremper carrément dans sa chatte ! Puis je la déguste avec d’autant plus de gourmandise qu’elle a maintenant un délicieux goût musqué ! Je me penche en avant en faisant mine d’écrire sur ma copie, ce qui présente le double intérêt de faire voir ma poitrine au prof et de permettre à Julie, soulevant ma jupe, de me glisser sa sucette dans le cul ! C’est bon ! Mais voilà que le prof, qui n’a rien perdu de notre manège, m’appelle au tableau pour un exercice. J’ai juste le temps de m’enfoncer la sucette à fond dans l’anus pour que le bâton ne déforme pas trop ma jupe et j’ai du mal a réprimer un cris de douleur et plaisir mêlés. Au tableau, le prof trace un cercle, qui me fait sérieusement penser à mon anus dilaté, avec son rayon dont il baptise « Q » la longueur.
« Mademoiselle Carole, pouvez vous me donner la formule pour en calculer le diamètre ? »
Je réponds machinalement : « je crois que c’est 2 Q pines ! »
Hilarité générale de la classe et regards lubriques de certains de mes camarades masculins !
« Vous voulez dire 2Q pi, je suppose ? » Répond le prof ? Vous resterez après le cours pour réviser !

La cloche sonne, tous le monde sort sauf Julie ! Le prof soulève alors ma jupe et arrache la sucette de mon cul, ce qui produit un bruit obscène, et la tends à Julie.

« Je crois que c’est à vous Mademoiselle ! Régalez vous pendant que je donne à votre camarade ce qu’elle réclame depuis longtemps ! »

Il me fait poser les mains sur son bureau, relève ma jupe et m’encule profondément pendant que Julie déguste les 2 sucettes (parfum chatte et parfum cul) en mimant une double fellation.

Après avoir jouis comme une chienne et pendant que le prof s’occupe à son tour du cul de Julie, je lui fait remarquer que j’avais donné la bonne réponse :
« Monsieur, c’est bien avec votre pine que vous mesurez le diamètre de nos 2 culs ! »


Septième leçon :

Après une période de vacances, j’ai hâte de reprendre ma formation avec mon prof si particulier. Mon amie Julie est d’ailleurs toute aussi impatiente que moi, cette petite pute était tellement excitée pendant les vacances à la perspective de reprendre les cours que j’ai du me mettre en quatre pour la satisfaire. On s’est godée, bouffé la chatte, bref nous n’avons pas oublié nos devoirs de vacances.

La première journée de cours nous a un peu frustrée, pas de cours de Math ! C’est prévu pour le lendemain mais moi je n’en peux plus. J’ai donc décidé d’effec une petite visite surprise

20H, les cours sont terminés et j’ai remarqué que notre prof de math s’est attardé dans la salle des profs. Je frappe à la porte et rentre , habillée encore une fois d'une façon très sexy ( mini jupe noire, bas blancs , escarpins noirs à talons, chemise blanche ouverte laissant voir la naissance des mes seins ).

Je m’approche , me frotte à lui en guise de salutation, m'agenouille pour faire sortir sa queue qui commençait a dans son caleçon et la suce tendrement ( qu'est ce qu'elle était longue cette période de vacances ) et je prends un rythme de plus en plus rapide et il finit par éjaculer en plein sur mon visage

Je m’essuie et je m'en vais et le laissant la queue en l'air lui disant:
>
« Je suis heureuse de vous revoir ! A demain pour la suite cher professeur ! »


Huitième leçon :



BIBLIOTHEQUE

Ce matin je me rends à la bibliothèque de l’université. Je repère mon prof en bas en train de consulter des livres. Je monte sur la galerie au dessus de sa tête. La galerie a un plancher en forme de grille de fer, si bien que l’on peut voir au travers. Evidemment je suis en mini jupe et bas comme hier mais sans culotte dessous. Je me place au dessus de lui, et prend un livre en pensant fortement à la queue qui se trouve en dessous de moi, ce qui a pour effet de faire monter l’humidité dans ma chatte. Lui ne m’a pas encore vue, absorbé par la lecture de son bouquin quand, tout à coup, il reçoit dessus une goutte de liquide. Instinctivement il le touche du doigt et le porte à sa bouche et reconnaît immédiatement un goût familier. C’est alors qu’il lève la tête et a une vue imprenable : mes jambes écartées, ma chatte dénudée et brillante de mouille que je fais remuer de façon obscène tout en gardant l’air sérieux, concentrée sur mon bouquin, et mon cul à l’anus déjà dilaté par les nombreux coups de bite que j’y a reçus. C’est a ce moment là que Julie me rejoint sur la galerie. Elle non plus ne porte rien sous sa jupe. Elle se met a coté de moi comme pour lire le livre mais en fait, nous nous passons mutuellement, discrètement la main sous la jupe et commençons à nous branler. D’en dessous, notre professeur ne perd rien du spectacle d‘autant plus que Julie m’écarte la moule de ses doigt pour qu’il puisse mieux voir pendant que je lui fourre mon doigt dans le cul. Après un certain temps de ce manège, je glisse un papier dans le livre que je remets en place puis nous quittons brutalement la galerie. Il veut nous rejoindre mais quand il arrive en haut nous sommes déjà parties. Le livre que je lisais dépasse légèrement, il s’en saisi pour voir le papier, d’un coté il s’agit d’une photo en gros plan de mon anus dilaté, de l’autre il y a un texte : « Réserve Cote 41,5 – 0 - 1 , Cote 41,5 – 0 - 2 ». Il s’agit d’une référence de rangement d’un livre dans la réserve : le premier chiffre désigne le numéro de l’armoire, le second celui de l’étagère et le troisième le rang dans l’étagère. 0 – 1 et 0 – 2 signifie que les livres occupent la première et la deuxième place dans l’étagère tout en bas, en revanche, en principe les numéros des armoires sont des nombres entiers, que signifie donc 41,5 ?. Il décide donc d’aller voir dans la réserve. Quant il y rentre, il n’y a personne. Il remonte le long des armoires jusqu’à apercevoir, dépassant entre les armoires 41 et 42, deux paires de jambes gainées de bas et prolongées de talons. Quand il arrive à notre hauteur il nous vois, à quatre pattes, l’une à coté de l’autre entre les deux armoires, la jupe relevée, lui présentant nos culs comme des bouquins sur une étagère. « Bonjour Professeur, dis je, je crois que vous avez là deux ouvrages fort intéressants à consulter en profondeur ». Il sorts sa bite puis nous encule et nous baise successivement et magistralement pendant que nous nous roulons un patin baveux. Il finis par éjaculer abondamment sur le cul blanc de Julie. A ce moment, je sors une petite cuillère de ma poche et ramasse soigneusement tout le foutre. Julie et moi nous partageons ensuite sa crème avec délice, un vrai dessert de salopes !

« A bientôt cher professeur »


Neuvième leçon :

Dortoir des grandes

Pour être plus proche de Julie et de notre prof préféré, j’ai choisi cette année d’être interne, et je partage ma chambre avec Julie bien sur !

Encore tout émerveillé par la torride journée de la veille, en rentrant dans son bureau, notre cher professeur a l'agréable surprise de voir un numéro marqué sur un bout de papier : celle de notre chambre. N'ayant pas de cours, il décide d'y aller.

Il nous surprend, Julie et moi sur notre lit, en pleine partie de 69, chacune en train de se lustrer la chatte et mettant un doigt dans l'anus de l’autre.
Il dégaine sa bite et je commence à la pomper soigneusement pendant que Julie me titille le clitoris avec plus de rapidité

J’ai fait des progrès en fellation, dommage que cela ne compte pas pour le bac ! Il ne tarde pas à éjaculer dans ma bouche et c’est Julie qui me mène à l’orgasme.
les chambres de pensionnat ne sont plus aussi sages qu'avant


Dixième leçon :


EXAMEN ORAL

Tout cela ne m’a malheureusement pas aidé à réussir l’écrit du Bac. Toutefois, une très bonne appréciation en math en contrôle continu m’a permis d’accéder à l’oral de rattrapage. Je dois le passer avec un collègue de mon prof, je ne sais pas ce qu’il lui a dit sur moi.
J’attends derrière la porte du bureau, angoissée. J’entre, le prof est assis derrière !
Je n’ai évidemment pas révisé. Je l’avoue un peu penaude à l’examinateur.

« Vous vous trompez, répondit-il, on croit toujours ça et après on tombe sur une partie du programme qu’on a justement révisée, et puis ce n’est qu’un examen oral » . Ce disant, il recule sa chaise et je découvre sa bite qui se dresse hors de sa braguette »
« Je comprends, répondis je , quand vous dites « oral » je crois que vous voulez dire « buccal » !
« oui, si vous voulez, dit il, les anglo-saxon ne parlent-il pas « d’oral sex » ?. Allez y ! Montrez vous ce que vous savez et n’oubliez pas de bien faire le tour du sujet »

Je me mets alors à l’ouvrage, lui taillant une pipe magistrale comme j’en ai le secret. Il semble satisfait, mais comme il m’a dit de faire le « tour du sujet » … Avec la bouche on peut faire d’autre choses : Je déguste donc délicatement ses roustons, faisant rouler ses couilles sous ma langue. Puis je fait courir ma langue du bas de la bite jusqu’à son anus ou je la pointe comme un dard avant de le sucer avec gourmandise et un bruit obscène.

Comme « l’oral sex » est à double sens, je me mets à genoux, devant lui sur son bureau et je soulève ma jupe pour qu’il me mange le cul. Et enfin, les dix minutes d’examen touchant à leur fin, je recule en posant mes jambes gainées de soie et prolongée de talons sur ses épaules et je penche la tête en avant pour reprendre sa bite dans ma bouche, pendant qu’il me bouffe la chatte. Un 69 oblique sur chaise ! Pile à la fin du temps imparti nous jouissons tous les deux. Il m’accorde quelque secondes supplémentaires pour que je finisse d’avaler son foutre. Puis me dit : « C’est bien mademoiselle ! vous voyez, les oraux, ce n’est pas la mort ! Voulez vous appeler la personne suivante s’il vous plait ? »

Je sorts de la pièce et je tombe sur Julie qui attend angoissée son tour.
« Alors, ça c’est passé comment ? » me demande-t-elle craintivement.
« Ne t’en fais pas, lui répondis je pour la rassurer, il nous interroge sur une partie du programme que nous avons bien révisé, bonne chance »


Et c’est ainsi que j’ai eu mon bac S.

S comme « sexe », ou comme « salope » je ne sais pas !

A bientôt

Carole