Le Basculement De Mme Girardin - 1- La Rencontre

Mme Girardin avait maintenant 42 ans, elle avait gardé la blondeur de sa jeunesse ainsi qu’une forme quasi parfaite grâce à sa gym quotidienne, son mari était plus âgé, il en avait 55. Cela faisait maintenant 6 mois, qu’ils étaient installés à Dakar, au Sénégal. Mme Girardin avait du mal à s’habi à ce pays. Le bruit, la circulation et les petits commerçants la fatiguaient et la rendait nerveuse. Son mari, Albert, travaillait toute la journée, ne rentrant pas tout les soirs pour cause de voyage.

Ainsi Mme Girardin se sentait seule, la chaleur lui donnait souvent des envies. Elle se refusait à se toucher, son éducation chrétienne le lui interdisait. Mais la sueur coulant sur sa poitrine, ses seins frottant au tissus de sa robe de nuit lorsqu’elle était couchée la rendait nerveuse. Son mari ne la touchait plus que rarement.
Elle allait de temps en temps se baigner dans la piscine d’un hôtel. L’eau calmait ses ardeurs et la détendait, elle nageait de longues heures, puis se dorait au soleil. Elle voyait parfois des femmes à la poitrine dénudée, se faire bronzer, elle trouvait cela inconvenant. Elle avait toujours eu un complexe avec sa poitrine qu’elle trouvait trop grosse, jamais elle n’aurait songé à la dénuder devant d’autres personnes que son mari.
Un matin, après avoir nager dans la piscine pendant 1 heure, elle s’étendit sur un transat après l’avoir recouvert de sa serviette. Elle se mit à lire un roman à l’eau de rose qu’elle avait trouvé chez le boutiquier du coin. Elle en était arrivée à une scène où l’héroïne embrassait amoureusement son partenaire, commençant à la dénuder. Cette scène fit frémir Mme Girardin. Cela faisait maintenant un mois que son mari ne l’avait pas touché et elle ressentait, au creux de son ventre un manque. Elle sentait la pointe de ses seins se dresser, son sexe s’humidifier.
« …Marc venait de prendre dans sa bouche le sein de Mathilde, la jeune fille se pâmait… »,. Le soleil lui caressait la peau, lui chauffait l’entrecuisse, la laissant dans une moiteur bienfaisante.



Tout d’un coup, elle reçu un ballon gonflable sur son ventre, elle s’apprêtait à gronder les s qui l’avaient déranger dans sa lecture quant une jeune fille apparut. La première chose que Mme Girardin remarqua se fût ses yeux, d’un bleu intense, étincelant qui la fixait. Elle était blonde, pas très grande et la peau d’une teinte dorée. Elle devait avoir 18-20 ans, portait un deux pièces assez restreint cachant mal un corps épanoui, des seins pointus et un derrière rebondie.
« Puis je avoir mon ballon » demanda cette jeune fille à Mme Girardin, la regardant droit dans les yeux. Mme Girardin perdait ses moyens devant cette fille arrogante, au sourire mutin. Elle tendit le ballon d’une main tremblante, sans pouvoir sortir un mot.
Consciente de son effet, cette jeune fille se présenta :
« Bonjour, moi c’est Amandine, cela fait longtemps que vous venez ici ? »
Mme Girardin se trouva d’abord choquée que l’on puisse lui adressé la parole d’une façon si peu courtoise. Mais elle resta subjuguée par l’aplomb et le regard bleu acier de cette fille.
« Je viens ici de temps en temps me rafraîchir un peu, lorsque la piscine de notre villa ne me suffit pas » dit-elle d’un ton hautain.
Amandine s’installa sans gène dans le transat voisin et commença à discuter et à raconter sa vie. Mme Girardin ne pouvait s’empêcher de lorgner sur la poitrine d’adolescente d’Amandine, de descendre sur ses jambes aux cuisses pleines qui la faisaient ressembler par certain côté à une petite fille. A cette vue, Mme Girardin senti la pointe de ses seins durcir sous le fin tissus de son maillot de bain et son vagin s’humidifier. Jamais elle n’avait ressenti cela pour une fille, sûrement son manque insatisfait la rendant plus vulnérable aux pensées « interdites » pensa t-elle. Amandine s’en aperçue et s’amusa de son effet. Tout en parlant, elle regarda les seins de Mme Girardin en souriant, et écarta légèrement les jambes. Mme Girardin put voir le sexe de la jeune fille se dessiner sous son maillot.
Amandine écarta plus largement ses cuisses. Sa fente se dessina nettement. Mme Girardin transpirait et déglutissait avec peine. Elle se rendait bien compte que la jeune fille avait deviné son état, mais rien ne pouvait détourner son regard de ce sexe juvénile. Au prix d’un incroyable effort sur sa volonté propre, Mme Girardin, prétextant un rendez-vous, se prépara à partir pour arrêter la torpeur malsaine dans laquelle elle était tombée.
Elle sursauta et frémit lorsque Amandine lui touche le bras :
« Ca me ferait tellement plaisir de voire votre piscine, j’adore me baigner, quand est ce que je pourrais venir vous voir. » dit-elle d’un ton qui ne laissait pas de place à une réponse négative.
Mme Girardin resta coi. Amandine la troublait.
« Vous pouvez venir Dimanche après-midi si vous voulez » s’entendit-elle répondre avec surprise. Mme Girardin ne pouvait s’empêcher de désirer revoir Amandine.

Elle repartit de la piscine, quelques instants plus tard, énervé contre elle-même. Le sexe trempé, et la poitrine gonflée à lui faire mal. Arrivée chez elle, elle se changea, et s’allongea sur le lit pour se calmer. Les images de la jeune fille écartant les jambes restaient gravées. Mme Girardin toucha sa poitrine machinalement à travers le tissu de son chemisier et effleura un mamelon. Elle soupira et ne pu s’empêcher de pincer le bout de ses seins. Les triturant avec force comme pour se punir d’avoir ses pensées malsaines. Elle haletait en fermant les yeux. L’image du sexe de la jeune fille apparaissait. Elle dégrafa son chemisier puis son soutien gorge et se frotta les mamelons, se les pinça fortement, les tourna. La douleur insidieuse sur la pointe de ses seins la fit jouir intensément. Elle se cabra sur le lit.

Quelques jours passèrent, Mme Girardin avait tout fait pour oublié cette ‘incident’, se disant qu’elle renverrai la jeune fille vertement dimanche sous n’importe qu’elle prétexte si jamais celle-ci venait.
Le dimanche arriva, Mme Girardin se leva tôt, se sentant nerveuse.
Elle tourna dans la villa, ne sachant quoi faire, préparant ses phrases pour la venue d’Amandine. A 14h00, la jeune fille n’était toujours pas là. Mme Girardin semblait s’impatienter, s’interdisant pourtant de penser à Amandine. Elle avait une robe blanche unie avec des brettelles, des escarpins qui faisait ressortir sa poitrine et ses fesses. Elle ne portait pas de soutien-gorge comme souvent lorsqu’elle restait chez elle seule. Elle s’allongea dans le fauteuil de la terrasse, regardant l’heure à chaque instant.
A 18h00, le carillon sonna, Mme Girardin se précipita sur le portillon, prête à sortir sa phrase : « vous pouvez repartir chez vous, j’attends des invités »
Mais lorsqu’elle vit Amandine sa voix se coupa. La jeune fille était habillée d’une robe à fleur, ses seins apparaissait par transparence et ballottait doucement : elle ne portait pas de soutien-gorge. La robe lui arrivait bien au dessus du genou et lorsque Amandine se tourna, après être entré, pour refermer le portillon, Mme Girardin put remarqué l’absence de marque qu’aurait pu causé une culotte. Electrifié par cette indécence, elle laissa Amandine rentrer et s’asseoir sur un fauteuil au bord de la piscine.
« Tu ne m’offre pas à boire ?, je vais prendre un coca avec une paille »
« Mme Girardin couru dans sa villa, pour se calmer… Au bout de quelques minutes, ayant repris ses esprits, elle ramena le coca et la paille. Amandine bu lentement en suçant la paille doucement en regardant Mme Girardin d’un air perverse.
«Je suis tombée tout à l‘heure de mon vélo. J’ai une douleur au niveau du mollet, pouvez vous regarder si j’ai un bleu ou quelque chose. »
Mme Girardin resta un instant perplexe, incapable de réagir tant la demande lui semblait irréelle.
Amandine lui sourit, la regardant d’un air suppliant de petite fille :
« S’il vous plait !? »
Mme Girardin ne pu résister à la demande et comme un automate se pencha en tremblant de tout son corps et attrapa la cheville d’Amandine.
Celle-ci écarta les jambes sournoisement et Mme Girardin vit apparaître le sexe couvert de quelques poils blond de la jeune de la jeune fille. De voir cette femme bourgeoise à ses pieds, soumise à ses moindres gestes, Amandine sentait l’excitation la gagner
« Je crois que c’est un peu plus haut, peut être au niveau de la cuisse » et Amandine retroussa légèrement sa robe en écartant plus largement ses suisses. Mme Girardin senti la pointes de ses seins durcir sous l’émotion. Elle toucha la cuisse de la jeune fille et plongea son regard dans son intimité.. Le vagin d’Amandine était humide. Mme Girardin caressait maintenant le haut de la cuisse et arrivait à l’aine. Amandine soupira. Mme Girardin frôla les bords du sexe. Ses doits tremblaient. Elle toucha finalement le con d’Amandine et remonta de son doigt la fente qui coulait. Elle pinça le clitoris tendrement. Mme Girardin ne s’appartenait plus, son sexe était bouillant, ses seins lui faisaient mal. Amandine soupirait de façon saccadée. Cette vieille bourgeoise sait y faire pensa t-elle. Mme Girardin osa un doigt à l’intérieur du vagin de la jeune fille, celui-ci était trempé et ouvert. Elle commença des aller et venus qui faisaient soupirer et gémir Amandine. Puis de son autre main, cette femme d’air si respectable, titilla le clitoris de la jeune fille. Amandine jouit d’une façon extraordinaire : jamais ses copines, pourtant si vicieuses parfois, ne l’avaient masturbé de cette façon.

Tout d’un coup, Amandine se leva d’un bond.
« Mais que me fais tu, sale gouine !!! »
Mme Girardin était toute rouge.
« Je….je… »
« Tu sais que ça peut te coûter chère de tripoter une jeune fille sans défense…. »
Amandine regardait la bourgeoise droit dans les yeux :
« Tu as intérêt à filer droit si tu veux que je ne dise rien à ton mari ! »

La jeune fille partit en claquant le portail laissant Mme Girardin sans voie et désemparée…

(A suivre…)

Melifer.

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