Un Jeu À Bayonne

Camille, ma compagne depuis quelques années, et moi, Willy, avons décidés de passer quelques jours au Pays Basque cet été. Après les contraintes du confinement, nous avions besoin de soleil, et d’un peu d’insouciance.
Cette histoire (réelle, bien sur…) se passera en 2 épisodes. N’hésitez pas a commenter, et me dire si vous voulez lire la suite…
Camille est une femme de 47 ans, blonde, avec un corps bien entretenu. 1,65 m 56 kg, des seins en forme de poire qui se tiennent toujours parfaitement, eu un petit cul bien ferme, comme je les aime. Pour ma part, j’essaie de faire en sorte que mes 50 ans ne paraissent pas trop. 1,72 m, 68 kg, beaucoup de sport pour entretenir mon ventre plat, mes cuisses et mes fesses assez musclées. Seuls mes cheveux grisonnants témoignent de mon age…
Nous nous sommes rencontrés il y a 2 ans, et, débarrassés des contraintes familiales tous les 2, nous vivons notre relation de façon sereine, en faisant en sorte que le plaisir soit le maître mot de notre histoire.
Parmi ces plaisirs, il y a un jeu auquel nous jouons régulièrement. Durant un laps de temps donné, l’un de nous doit se soumettre aux envies de l’autre, quelques soit le moment ou l’endroit.
Ce soir la, nous avion réservés dans un petit restaurant de Bayonne. Peu de monde dans les rues, les fêtes de Bayonne étant annulées, la soirée allait s’annoncer tranquille. C’était sans compter, pour Camille, sur mon envie de jouer.
J’étais le maître du jeu ce soir, et elle devrait se plier à mes différentes exigences. Nous étions en terrasse, notre table jouxtant la petite barricade extérieure, le long de la rue piétonne. Elle portait une jupe très légère, mi cuisse, assez évasée, et un chemisier presque transparent.  Elle n'avait pas de SG, ses petits seins tenant très bien tout seul. En nous asseyant,  je lui ai dit qu'elle aurait 5 gages à effec lors de la soirée. Elle m’a regardé avec un sourire mi inquiet, mi coquin, un peu surprise, nos jeux se déroulant rarement à l’extérieur
Le 1et arriva rapidement.

  Alors que la serveuse arrivait pour nous donner la carte, je lui ai ordonné de défaire 3 boutons de son chemisier, et de se redresser le plus possible, en mettant ses mains derrière sa chaise, de sorte que le tissus soit bien tendu. Ses tétons, qui rapidement se mirent à pointer, se tenaient au bord de l'ouverture de son chemisier, largement échancré. Son absence de SG ne faisait aucun doute, on voyait nettement le sillon entre ses 2 seins. En arrivant, la serveuse l’a regardé à 2 fois, avant de plonger ses yeux bleus et brillants sur les tétons de Camille. Celle ci essayait de rester le plus naturelle possible, tout en mettant en avant sa magnifique poitrine. La commande prise, et après un dernier regard malicieux de notre serveuse, celle ci retourna vers la cuisine. Camille m’avoua, en reprenant une pose plus naturelle, que le regard de la petite serveuse l’avait plutôt émoustillé. Je lui fit un grand sourire, en lui confirmant, si j’en jugeais par l’état des ses tétons….
Très vite, le 2eme gage arriva. Je voulais vérifier le niveau de son excitation. Elle du retirer son string, tout en restant sur place. Mais avant, je voulais que celui ci soit trempé. Une seule solution s’offrit a elle. Camille passa une main sous sa jupe, et ses doigts commencèrent a caresser sa chatte totalement lisse par dessus sa culotte, en insistant sur son clito. Ses doigts enfoncèrent le string entre ses lèvres, afin que celui ci s’imprègne du jus de sa chatte qui commençait a sortir abondamment.
Elle avait les yeux mi clos, et ses légers soupirs ne laissaient aucun doute sur le plaisir qu’elle prenait à se caresser en extérieur. Je ne lui laissa pas le temps d’aller au bout, le jeu étant de la laisser dans un état d’excitation permanent. Sans répit. Je voulais qu’a la fin du jeu, elle n’en puisse plus, je voulais lui donner une envie folle de sexe, d’une bonne queue en elle, de jouir, quelque soit le moyen. Je voulais que ses cuisses soient trempées, qu’elle sente le sexe. Au bout de quelques minutes, je lui ordonnait de le retirer. Elle passa discrètement ses mains sous sa jupe, et me tendit son string par dessous la table. Je le pris en main, il était particulièrement trempé, ce qui me confirma ce que je pensais. Camille adore ce jeu, et son coté exhibitionniste, que nous n’avions pas encore vraiment exploré, allait pouvoir s’assouvir ce soir. Je portait discrètement a mes narines le petit bout de tissus (j’adore le goût de sa chatte, son odeur, légèrement acre, un peu sucré...)avant de le déposer sur la table, à peine couvert par ma serviette.
La serveuse, de retour avec nos plats, ne manqua pas de le regarder, toujours avec des yeux gourmands. Je crois même qu’elle avait elle aussi déboutonner un peu son chemisier, et ne manqua pas de se pencher un peu exagérément en posant l’assiette devant ma chérie. Pas de doute, elle lui avant tapé dans l’œil, et on allait peut être s’amuser encore plus que prévu…..
Camille devait, après chaque gage, me dire son état, comment elle avait vécu le moment.

-J’ai adoré, ma chatte, déjà bien humide, s’est liquéfiée quand j’ai entendu ton gage, et passer mes doigts dessus n’ont rien arrangé. J’ai les cuisses trempé. J’ai l’impression que mon jus sort de mon sexe sans discontinuer. Mon clito est gonflé comme jamais. Ma chaise va être toute tachée. Et puis la serveuse n’a fait qu’accen mon excitation…. Mais je me demande ce que tu vas me demander, maintenant…

- Avant le 3 ème gage, je veux simplement que tu profites du moment. Évidemment, interdiction de croiser tes jambes. Tu dois au minimum les tenir écartées de 20 cm.

Mon idée étant de pouvoir passer mon pied entre ses cuisses…

Le 3ème gage fût de remonter sa jupe, de sorte que son petit cul soit directement posé sur sa chaise. La terrasse, un peu surmonté par rapport à la rue, et protégée par une barrière en bois, laissait quand même deviner ses fesses nues, pour ceux qui auraient eu la curiosité de regarder au bon endroit.
Devant, la longueur de sa jupe lui laissait lui couvrait a peine la haut des cuisses, et, si un vent fripon était venu jouer avec sa jupe, aucun doute que son petit abricot se serait retrouvé a la vue de tous. Heureusement, ou malheureusement, la météo avait été très calme ce soir là, et le vent inexistant.
Par contre, il semblerait qu’un voyeur ait vu juste. Ça fait la 3eme fois que cet homme d’une quarantaine d’années passe devant notre table, en appuyant le regard a travers les interstices de la palissade, juste la ou il peut admirer les cuisses fermes de ma Camille.

- Fais lui plaisir, lui dis-je, lors de son prochains passage, écarte un peu plis les jambes.

Comme elle semblait un peu réticente, c’est moi, qui avec mon pied, lui ecarta les genoux afin que sa chatte soit visible par notre homme. Peine perdu, on ne le revit plus. Mais il est probable que d’autres ont profiter de la vue.
J’ai fait malencontreusement tomber ma serviette. Ce qui a eu une double action. D’abord, j’ai pu vérifier que Camille était effectivement toujours excitée. Ses lèvres gonflées, son bouton d’amour sorti, le tout luisant de mouille ne laissait aucun doute dur son état. Et puis, sa culotte, toujours sur la table, était maintenant visible de tous…
Elle rougi un peu…. Et j’adore la voir ainsi…

A suivre...