« Le Bar Aux Délices Interdits »(Partie 1)

Partie 1 : un vendredi soir pas comme les autres

Ce soir-là, Sophie va comme à son habitude travailler. Elle ne s’imagine pas que ce vendredi soir ne sera pas comme les autres. La soirée commence avec l’entrée en scène de 5 personnes, désignées par leur numéro apparaissant sur leur billet d’entrée.
Le premier jeu commence : 2 hommes s’installent à une table. La femme se trouve qqs mètres devant eux, accoudée sur un rebord en pierre. Vêtue d’une mini-jupe volante et d’un corsage à bouton, penchée en avant les jambes légèrement écartées, sa position laisse deviner aux hommes qu’elle ne porte pas de culotte. A la vue de ce sexe offert, les deux hommes se lèvent et viennent entourer la femme. Intrigué par le spectacle qu’il a vu, celui de droite se penche vers les jambes de sa nouvelle partenaire pour les lui caresser. Voyant que celle-ci se laisse faire, il monte petit à petit ses mains vers son sexe tout en lui écartant les jambes. A la respiration qui s’accélère et le l’odeur du désir qui monte, le second décide d’installer leur partenaire d’un soir à terre, lui bandent les yeux et lui attachent les mains. Alors que le premier continue son exploration guidant ses gestes vers le fruit de son désir, le second dégrafe le corsage de la femme, laissant apparaître une poitrine abondante dont les tétons durs et pointus appellent au désir. Il décide alors de profiter de ce spectacle excitant pour réaliser un de ses fantasmes, communément appelé « la branlette espagnole ». Il baisse son pantalon et s’assoit à califourchon sur sa partenaire. Avec ses mains chaudes il vient prendre ces seins respirant le désir pour serrer son pénis et goûter au va et vient délicieux, tantôt chaud et humide d’une bouche offerte et tantôt serré et doux d’une poitrine féminine. De son côté, voyant l’effet excitant de cette prise en main sur le sexe féminin, l’autre ne peut résister à aller chatouiller de sa langue les lèvres humides qui s’offrent devant lui.

Au gémissement grandissant de leur partenaire, les hommes poursuivent leur action ... jusqu’au gémissement suprême de leur compagne d’un soir qui leur procure un plaisir fou jusqu’au délice suprême de l’éjaculation.
Sophie excitée et intriguée par la situation s’était en silence pris au jeu de la situation en s’imaginant être à la place de cette femme qui venait de jouïr avec deux hommes. Cachée derrière le bar, elle s’était donnée du plaisir en regardant la scène, caressant doucement son entrejambes. Persuadée que personne ne l’avait vue. Tout à coup, Jules apparut sous le bar où il avait trouvé une cachette dans l’espoir de découvrir Sophie de plus près. Quel fut son enchantement en observant, non seulement le sexe de Sophie pour la première fois … mais surtout que celle qu’il croyait chaste se donnait de plaisir comme si de rien n’était.
Interdite, Sophie ne savait plus où se mettre, suppliant Jules de ne rien dire à son patron sinon elle perdrait son travail. Jules sautant sur l’occasion proposa un marché à Sophie :
« - d’accord, je ne dirai rien à une condition.
Et Sophie de répondre sans réfléchir : - tout ce que tu désires Jules !
- Ok alors ce soir, après ton service tu m’attendras dans ta loge. Tu porteras ces collants étonnants que je ne soupçonnais te voir porter, et les accessoires de chienne docile que ton patron propose à certaines actrices.
- Mais Jules … je … tu ne peux pas me demander ça … je …
- C’est ça, ou j’avertis ton …
- Non, non … Jules, j’ai besoin de ce travail. D’accord, je ferai ce que tu me demandes, mais surtout ne dis rien à personne, ni à Clément, Arnaud et Kevin.
- Ah là ma puce, tu m’en demandes un peu trop. Laisse-toi faire et écoute ce que je te dirai et ça ira tout seul. Rendez-vous dans 2heures.

La soirée se termine et Sophie n’a pas oublié sa mésaventure. Vexée de s’être fait prendre, elle se dirige vers sa loge, pour se changer et obéir aux désirs de Jules.

(à suivre ...)