Au Football
Jai décidé de vous raconter une petite histoire qui mest arrivée il ny a pas si longtemps. Cétait un samedi ensoleillé, une belle après-midi de printemps. Comme tous les samedis, jétais sur le terrain de foot de ma petite équipe de village. Perturbé par la gardien de léquipe adverse (cétait une fille), je nai pas très bien joué. Cest pour cette raison que lentraîneur ma fait sortir. Un dernier petit regard vers le dernier rempart de lautre équipe et je suis rentré au vestiaire. Jétais seul et jallais pouvoir prendre ma douche tranquillement. Je me suis donc déshabillé : les godasses, le maillot, le short, les chaussettes
jétais en caleçon. Lesprit toujours rempli par limage du plus belle adversaire que je nai jamais connu, je sentais bien la petite bosse qui déformait mon sous-vêtement. Ca métait déjà arrivé une fois auparavant dans le vestiaire. Mais entouré par mes coéquipiers, un peu honteux, javais attendu que ça se calme pour me mettre nu. Mais là, jétais seul dans le vestiaire. Je décidai donc le laisser tomber le caleçon, essayant de penser à autre chose pour éviter une plus grande érection. Je pénétrai dans les douches et en allumai une. Le jet, puissant et uni tombait sur mon cou, me procurant beaucoup de plaisir. Je commençai à me laver. Pendant que je me mettais du gel douche sur le torse, je sentais que mon érection se faisait de plus en plus forte. Je baissai alors les yeux et observai, un peu perturbé, la lente montée de mon sexe. Lorsquil toucha mon nombril, je maperçu quil serait difficile de perdre cette érection. Après tout, à quoi bon senlever un plaisir : jétais seul. Je me retournai afin de placer ma verge sous le jet de la douche. Je caressai alors lentement mes bourses. La douche était bien chaude et cette chaleur mexcitait terriblement. Je montai mes doigts et après la bonne quinzaine de centimètres de plaisir, jatteignis mon gland. Il était dur, persécuté par leau qui tombait droit dessus.
Jentrepris alors une chose qui métonna : je satisferais bien cette érection. Une petite masturbation rapide maurait fait le plus grand bien. Etant donnée la situation, le lieu, la chaleur environnant, je crois que jaurais pu régler très vite laffaire. Je ne suis pas éjaculateur précoce mais quand je suis excité comme cela, je peux aller très vite. En plus, une chose très importante mapportait encore plus de stimulation : jentendais les gens crier à deux mètres de moi, le mur assurant la séparation. Ce sentiment de ne pas être seul est extraordinaire lors de la masturbation. La dernière fois que jai eu ce sentiment, cétait dans un centre aquatique : voir autant de jolies filles en maillots me faisait beaucoup deffet. Heureusement, javais prévu le coup et javais mis deux maillots. Mais quand jétais entré dans la cabine pour me changer, je navais pu résister et je métais lancé dans un raid solitaire. Ou plutôt : un raide solitaire. Jentendais les gens qui parlaient dans le couloir, à à peine dix centimètres de moi. Javais vécu un formidable moment et javais éjaculé timidement pour ne pas repeindre les parois de la cabine. Mais revenons dans le vestiaire. Mes souvenirs furent interrompus par le grincement de la porte qui souvrait : cétait un de mes coéquipiers, également remplacé. Je plaçai immédiatement ma main et mon gant devant mon sexe. Il ne vit heureusement pas la dureté de celui-ci. A son tour, il se déshabilla. Lorsquil enleva son caleçon, le contraste me frappa : entre la grandeur de mon sexe au garde-à-vous et la petitesse de son sexe a peine formé. Il avait 18 ans, comme moi, mais son pénis mesurait maximum 5 centimètres. Bien que je ne me sentais pas homosexuel, jétais souvent attiré par les sexes des garçons qui se douchaient avec moi et je préférais les petits. Il entra à son tour dans la douche et alluma celle en face de la mienne. Il me dit quelques mots dont je ne me rappelle plus. Lorsque je laissai tomber ma bouteille de shampoing, je mabaissai pour la ramasser et senti mon gland effleurer mon ventre : une sensation très agréable.
Tellement agréable que joubliai de remettre ma main pour cacher mon appendice préféré. Mon ami me regarda, gêné et ne sachant que dire. Il prononça juste ces deux mots : « belle bête !!!». Moi, honteux, je me contentai de détourner le regard. Cest à ce moment quil versa une goutte de shampoing dans ces cheveux et quil se les lava. Ses yeux fermés, il métait plus simple dobserver son sexe. Et cest alors que je le vis sallonger et sélever lentement. Il était certainement excité par la vue de mon sexe en érection. Toujours est-il quil ne sen rendit pas tout de suite compte. Cest seulement ses yeux dégagés et ouverts quil saperçut de la chose. « Ex æquo », lui dis-je en plaisanterie. Pour profiter de cette occasion, il me proposa une petite gâterie. Poliment, je refusai mais pour ne pas loffusquer, jacceptai que nous nous masturbions, chacun de notre côté. Une des plus belles masturbation de ma vie
mais je vous la raconterai une prochaine fois
patience
admin
Jan. 31, 2023
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