Cocu Par Amour
Tu étais rentrée plus tôt du bureau. Je macharnai sur mon ordinateur à résoudre un problème de formule. Nerveux, je navais été guère tendre avec toi quand tu mavais demandé pour la deuxième fois si j'en avais encore pour longtemps avec les reproches usuels comme quoi jaurais pu te prévenir plus tôt
. Bref tu étais partie fâchée avec comme seul mot « si j'étais toi, je rentrerai plus tôt
».
Sur le moment je navais pas prêté attention à tes paroles. Plus lheure avançait, plus la vérité sannonçait que je ne réussirais pas à finir ce soir. En pliant bagage, je ressassais ta dernière phrase. Que voulais tu dire ?
Je me hâtais vers la maison.
En arrivant, je ne vis pas ta voiture. Une sourde inquiétude me nouait lestomac. Fébrilement, jengageais la clé dans la serrure. La main tremblante, j'entrais en tappelant. Seule la chatte me répondit. La lumière de notre chambre était allumée. J'entrais quasiment en courrant. Jeu le souffle coupé en franchissant le seuil. Une grande enveloppe blanche était posée en évidence sur le lit. Je déchirais le papier avec une vitesse inouïe et commença la lecture.
« Mon Amour,
Comme tu ne sais pas toccuper de moi, jai décidé quun autre se chargerait de me donner du plaisir ce soir. Ne mattends donc pas pour manger. Le frigo est suffisamment plein pour que tu puisses te nourrir.
Ce soir jentends me donner pleinement
.je te raconterai à mon retour et je suis sûre que cela te fera bander plus que dans nos histoires
En attendant mon retour, je veux que tu ailles dans le bureau. Tu y trouveras plein de tes jouets. Je veux que tu les mettes tous. Je les ai choisi pour toi. Ne me déçois pas. Tu verras jai mis plein de plugs dont un très gros. Utilise-les tous à tour de rôle et fais comme tu veux mais quand je rentrerai je te veux avec le plus gros dans les fesses.
Je suis sûre que tu réussiras à t'attacher seul. Je te veux à quatre pattes les fesses en lair, sur le pouf rouge, les fesses tournées vers les escaliers.
Mets un Dvd porno à la télé. Le son te donnera bien des idées et tu pourras mimaginer jouissant
Pense bien à ta petite chérie qui reviendra te faire lécher le sperme qui dégoulinera de tous ses orifices.
Je taime
Mes yeux sétaient embués durant la lecture. Je pleurais comme un . Je repris la lecture une nouvelle fois.
Jétais rassuré sur un point. Tu maimais et nétais pas partie pour un autre. Plus je me repassais la lettre plus jétais partagé entre la jalousie, la haine et lamour. En descendant au bureau, je vis tout le matériel exposé bien en ordre.
Je me dépêchais de nourrir la chatte. Tout mon esprit était tourné vers toi. Mon imagination te projetait dans des mouvements de corps enlacés, de baisers passionnés. Jimaginais ton corps se tordre de plaisir, ton abandon aux caresses, ta jouissance.
En me déshabillant, je te devinais dans des étreintes torrides
et je bandais. Curieux mélange denvie et de jalousie. Te savoir désirée relançait la compétition, lenvie de te garder
.
Cest donc nerveusement, le sexe en érection, que je m'harnachais avec ce vêtement en cuir. Je pris soin de bien mattacher le sexe, de passer le collier de cuir, les bracelets aux chevilles et aux poignets. Les couilles reçurent les poids demandés avec le cock ring. Javais pris soin de bien les séparer avec une cordelette. Je me mis le bâillon boule dans la bouche
Cest avec la corde et les plugs que je partis minstaller. Apres avoir bien lubrifié mon orifice, je commençais à mintroduire le premier plug. Il est en plastic. Je me suis amusé à le faire entrer et sortir en moi comme un sexe en imaginant que tu subissais le même traitement. Puis je pris le deuxième en acier. Lintroduction fut plus longue
je ne débandais pas. Quand je pris le god bleu, je sus qu il fallait bien me détendre. Jai poussé tant que jai pu, écarté mes fesses aux maximum
.
Cest ainsi que, dans la position demandée, jai entendu la clé dans la serrure et la porte souvrir.
Tu minterpellas aussitôt.
« Mais je vois que mon petit chéri a fait tout ce que jai demandé
. ».
Tu t'es approchée de moi et tout en me caressant les fesses, tu mas attaché la dernière main valide, et resserré les autres liens.
« Cest mieux ainsi, mon petit esclave » me dis tu. Et dun ton méprisant tu rajoutas. « Tu ne trouves pas que cest un beau PD, qui aime se faire sodomiser. Regardes, je bouge le plug et il va aimer »
En un instant, je compris que tu nétais pas seule. La panique menvahit. Mais immédiatement tu as commencé à faire bouger le plug en moi en me disant. « Quand Jean va te sodomiser, tu vas aimer petit coquin. Il est très doué pour faire lamour. Dailleurs sens moi ma chatte. Elle sent encore le sperme. » Tu tes approché de mon visage. Des odeurs de cyprine et de sperme mélangé venaient flatter mes narines. Me tirant la tête en arrière, tu me dis « Cest bon, petite pute, cela me donne envie
..eh ! Mais tu bandes
cochon
Attends tu nas rien entendu encore
.Jean prends moi vite pendant que je mappuie sur cette pute »
Jai deviné à tes mouvements qu il sintroduisait en toi. Jean devait être excité car aussitôt il te laboura avec vigueur.
Jai entendu ta jouissance comme jamais, puis senti le poids de ton corps qui se détend. Jean repris avec plus de vigueur. Il était sur le point de jouir quand tu lui as demandé déjaculer sur mon visage. Cest ainsi que je reçus le sperme chaud de ton amant.
Des bruits de succions me firent penser que vous vous embrassiez et que tu lui offrais tes lèvres. La jalousie remonta vite et je râlais dans mon bâillon.
«Tu as raison petite salope, tu veux que lon soccupe de toi » me dis tu. Tu enlevas mon bâillon mais aussitôt tu le remplaças par le sexe de Jean. Une main dans mes cheveux, Jean mimprima le rythme.
Pendant ce temps, tu retiras le plug. Cest comme si un grand vide avait lieu en moi. Mon anus semblait réclamer son dû. Je devais avoir la rondelle béante. Ce que tu confirmas aussitôt.
«Jean, je veux te voir le pénétrer, viens vite » ordonnas tu. Jean sexécuta avec empressement. Mon anus était si dilaté que lintromission se fit sans difficulté. Je subis avec plaisir ces coups de reins. Jean cherchait à heurter ma prostate le plus loin possible. Il prenait son temps, sûr de sa victoire. Pendant ce temps, tu me donnas le privilège de sucer ton sexe. Jaimais titiller, laper ton clitoris. Aux contractions de Jean, je compris quil allait se déverser en moi. Mon anus accueillit un flot de sperme
..
Quand Jean fut parti et moi défait de tout mon accoutrement, nous fîmes lamour lentement et doucement. La délicatesse remplaçait la sauvagerie sexuelle. Tu mavouas avoir rencontré Jean sur Internet avec comme seul but de pimenter notre vie.
Jean tavait fait lamour en sortant du restaurant
..
Je mendormis dans tes bras reconnaissant damour.
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