J'Ai Cuillie Une Rose
Montréal, Québec, Canada
Bonjour à tous, voici je vous réécris une histoire après une longue absence. ( la vie étant ce quelle est, je navais pas le temps de vous écrire)
Parfois la patience est gage de réussite
Depuis un bon moment je la courtisais. En fait, cela faisait plus de deux mois que je rêvais de lui faire lamour. Chaque fois quelle passait devant moi, je menivrais de son parfum. Dieu quelle est sexy ! Une poitrine volumineuse et bien ferme quelle met en valeur par des décolletés profonds. Ses haches forment cette courbe parfaite avec sa taille. Vous devriez voir ce joli cul sur une piste danse. Mais en plus de ces attributs physiques qui font bander la moitié des gars, son visage est radieux et dégage une joie de vivre. Elle est vraiment désirable. Elle occupait mes fantasmes jour et nuit.
Je voulais entendre ses soupirs, la voir frémir et jouir.
À la moindre tentative de sa part, je me serais donné à elle sans hésitation. Javais succombé à son charme, cétait donc à moi de la séduire.
Sur le grand échiquier de la séduction, je jouais mes pions un par un. Jour après jour, je mettais en place des situations propices pour la courtiser. Je massoyais toujours à ses côtés, je linvitais à sortir dans les clubs, nous faisions de plus en plus dactivité en commun.
Pas à pas, je me rapprochais delle. Puis les contacts tactiles ont commencé. Innocemment (du moins en apparence), je la touchais de plus en plus. Lorsque je lui parlais, je glissais ma main dans son dos. Je mappuyais contre elle. Lorsque je lui donnais un objet (des clés, un verre, un crayon, nimporte de quoi) je gardais sa main une ou deux seconde de plus quil nen fallait. Puis naturellement, lorsquelle sest plainte de raideurs au cou je lai massée.
Tout ce temps, elle ne mopposait aucune résistance. Même dans certains moments je crois quelle mencourageait.
Soutenu par des regards enflammés, sous la table, je lui faisais du genou discrètement. Je me servais souvent de la musique comme excuse, feintant de battre la mesure, je frottais ma jambe contre la sienne. Parfois elle répondait à cet appel silencieux et laissait onduler sa jambe à son tour. (Mais peut-être quelle suivait le rythme pour vrai?). Allant la conduire chez elle, jai rêvé quelle me donne sa bouche avant de quitter. Mais non, ça sera pour une prochaine fois
Je commençais à être sur de mon coup, jétais en train de réussir à lenvoûter. Un soir chez elle, elle sest couchée sur le dos, à même le sol, et est venue poser sa tête entre mes jambes. Jétais assis sur le plancher les jambes en forme de triangle, donc elle ne me touchait pas dans la position que nous étions. Ainsi placés, elle me demandait de lui masser le cou. Il faut croire que le premier massage lui avait plus.
Je commençais à la masser le plus professionnellement que je le pouvais. Mais dans cette position javais une vue imprenable sur ses seins. Jessayais de détourner les yeux, mais mon regard restait accroché à cette poitrine merveilleuse qui se soulevait au rythme de sa respiration. Je pouvais distinguer une fine dentelle sur une mamelle rose foncé. Elle fermait les yeux et sabandonnait à mes mains. Il maurait été si facile de les glisser sur sa gorge jusquà ses seins qui se découvraient à chaque respiration. Je commençais à fantasmer sur la suite des événements, je sentais le désir prendre forme.
Mais, refoulant mon instinct, je me concentrais de plus belle pour chasser ses idées. Bien que je rêvais delle, je devais attendre. Je ne voulais gâcher tous les efforts que jai mis pour arriver à ce niveau dintimité, je devais attendre. Attendre quelle se donne, on ne cueille pas une rose qui nest pas prête à ouvrir.
Je ne sais combien de temps je lai massé combattant un désir ardent de me pencher pour lembrasser.
Ses mains sont chaudes sur mon cou. Elle me masse lentement en appuyant profondément entre mes muscles. Elle me dit :
« Ferme les yeux, tu va voir sest mieux. » je ris, et je réponds :
« Comment veux-tu que je vois si je ferme les yeux ? »
« Tes con, quelle me rétorque, aller ferme les yeux ». Sa voix était douce et faible presque un murmure. Lorsquelle a parlé la dernière fois il y avait un léger tremblement de nervosité dans sa voix, ça sonnait comme une demande ou une prière.
Les yeux fermés, je profitais du massage. Je sentais ses mains danser dans mon cou. Une est passée sous ma tête et la soulevé, lautre labourait mes vertèbres de la base du crâne à lépaule, à droite puis à gauche. Puis elle ma reposé, mais pas contre le sol. Ma tête reposait maintenant sur sa cuisse. Ses mains faisaient des cercles dans mes cheveux, massant chaque pouce carré de mon crâne. Puis ses doigts ont commencé à venir tournoyer sur mon front. À descendre sur mes joues. Elle me massait le visage.
Elle laissait glisser ses doigts beaucoup plus délicatement sur mon visage que sur mon crâne. Alors quelle massait énergiquement mon cuir chevelu, ses doigts flottaient le long de mes traits. Comme une aveugle découvrant mon visage avec ses mains, elle longeait los de ma mâchoire, larrête de mon nez, la bosse de mes pommettes. Puis délicatement, elle a fait le tour de mes lèvres avec un seul doigt. Toujours avec ce doigt solitaire, elle suivait mon menton, descend sur ma gorge. Elle caresse maintenant mes clavicules et frôle la pointe que forme mon col de chemise.
Je gardais les yeux fermés pour être certain quil ne sagissait pas dun fantasme un peu trop réel.
Comme un coussin de satin, ses lèvres sont venues se poser sur le ma bouche. Je nai pas réagi immédiatement, la laissant dans le doute de son geste quelques instants. Ses cheveux relativement cours couvraient nos visages. Nous sommes restés deux ou trois secondes, comme ca, elle penchée au-dessus de ma tête, nos lèvres se frôlant à peine. Ses lèvres étaient pleines et chaudes. Elle les collait avec plus dinsistance contre mes lèvres. Jai alors entrouvert la bouche pour lembrasser. Ma langue est allée à la rencontre de la sienne. Ce fut lun de ces baisers qui appellent la passion. Instantanément, tout le désir refoulé remontait à la surface en une grande bouffée de chaleur.
Me redressant, je massoie face à elle et, continue à lembrasser. Dune main, jai plongé dans son décolleté et me suis saisi dun de ses seins merveilleux. Elle finissait de déboutonner ma chemise, en même temps nous nous sommes relevés. Debout, nos corps collés, nous nous sommes découverts. Mes mains sintroduisaient sous sa blouse et remontaient le long de son corps. Je pétrissais ses seins au travers de la dentelle que javais remarqué au paravent. Blottie conter moi, ses mains aussi parcourraient mon torse et mon dos. Passant par-dessus sa tête, je lui ai retiré sa blouse. Dieu Quelle était belle. Jai pris quelque pas de recul pour ladmirer. La tenant dune main, je la faisais tournoyer pour la contempler sur tous les angles. Un soutien gorge noir en dentelle remontait ses seins fermes dont les mamelons pointaient. Ses jeans taille basse mettaient en valeur cette courbe qui me faisait craquer depuis long temps. Lorsquelle me fit dos, je pu reluquer son joli petit cul à ma guise. Je lai tiré vers moi et lui ai donné une petite tape sur ce joli cul.
Mon torse contre son dos, jai passé mes bras autour delle. Puis jai pris ses deux seins, un dans chaque main. Je posais des baiser dans son cou et sur ses épaules dénudées. Avec les dents, jai fais glisser les bretelles de son soutient gorge. Sans le détacher, je lai fais tomber sur son ventre. Je pétrissais sa poitrine avec désir. Elle mattirait vers sa chambre. Je ly suivais sans aucune hésitation. Toujours enlacés, nous nous sommes laissés tomber sur le lit.
La tirant contre moi, je caressais la chute de ses reins. La chaleur de son corps me couvrait. Chauds comme des braises, ses seins sécrasaient sur mon torse. Nos langues tournaient lune sur lautre nous laissant à peine le temps de respirer. Le désir montait en moi comme une fièvre. Je me suis défais dun même mouvement de son jeans et de ses sous-vêtements. Il ne lui restait que sa brassière qui flottait sur ses hanche comme une ceinture de dentelle. Cet accessoire improvisé mettait une fois de plus sa taille en valeur. Je la trouvais si belle. Beccotant son cou, jai savouré son odeur légèrement sucrée qui depuis le début me hantait sans relâche. Jai continué à poser des baiser sur son corps. Partant du cou, je me suis dirigé vers ses seins. Je me suis longuement attarder à la découvrir avec ma bouche. Tantôt avec les lèvres, tantôt avec la langue, tantôt en bouche.
Je voyais des frissons de plaisir la parcourir. Quittant sa poitrine, ma langue se dirigeait maintenat sur son ventre. Passant le nombril, je découvrais une fine toison en forme de triangle. Jai posé un baiser sur ce sexe lisse et doux. Son goût était âcre, légèrement sucré. Jai commencé à la manger avec gourmandise. De rapides coups de langue sengouffraient en elle. Je suçais son clito avec plaisir. Pour mon plus grand ravissement elle ruisselait dexcitation. je la mangeais donc de plus belle et jy ajouter un ou deux doigt. Je me suis allongé sur le lit pour mieux la caresser. Je tournais mon pouce sur son clito tandis que mes doigts et ma langue entraient et sortaient en elle. Je la sentais onduler de plaisir. Rapidement elle a jouie une première fois. Ses cuisses se sont refermées sur ma main comme un étau. Cessant de bouger complètement, je nai que maintenu une pression constante contre son point G la poussant vers le septième ciel. Lorsque ses entrailles mont relâché, jai retiré ma main, et jai positionné mon sexe à lentrée du sien.
Je ne lai pas pénétré immédiatement. Ça faisait longtemps que jattendais ce moment que je voulais en profiter. En position du missionnaire, la plus classique possible, je lai contemplée. Jai ramené ses mains derrière sa tête. Le dos cabré, les mains clouées derrière la nuque, les jambes écartées, elle mappartenait. Donnant de tout petit coups de rein, je faisais glisser mon gland contre son clito gorgé de désir. Je savourais les premiers soupirs quelle poussait doucement. Son sexe humide souvrait pour me laisser entrer. Je continuais à lagacer du bout du gland, sans vraiment la prendre, je parcourais louverture de son sexe. son souffle rauque me dit quelle nen pouvait plus dattendre, moi non plus dailleurs.
Un cou sec, jétais en elle. Ma verge enfoncée jusquà la garde je lemplissais. Je crois quelle a eu un orgasme instantané : elle a libéré ses mains, cabré le dos violemment et ses jambes se sont enroulées sur mes reins pour me maintenir en elle. Puis tout son corps cest mi à onduler. Je la prenais avec le rythme quelle voulait. Le tout était très sensuel, sans me brusqué, je donnais de longs et puissants coups de reins. Nos corps tremblaient de plaisir À chaque passage, je me rapprochais de lextase.
Elle a soulevé son bassin et accéléré le rythme. Ni elle ni moi étaient alors capable de respirer. Jai exploser en elle dans un spasme de plaisir incontrôlable. Au même moment, jai ressenti létau une nouvelle. Savourant cette déflagration de chaleur qui nous traversait, nous sommes restés accrochés lun à autre, reprenant péniblement notre souffle.
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