Antoine
Javais 18 ans, plutôt bogosse à lépoque (et toujours aujourdhui). jétais en classe de seconde dans un lycée catho et je commençais à mapercevoir que je kiffais grave les mecs. Il yen avait un particulièrement. Le seul fait de porter les yeux sur lui me donnait une gaule pas possible. Il sappelait Antoine. Il devait faire 1m80, 70 kg, brun ténébreux aux yeux noirs. Cétait un footeux, je le matais à fond dans les vestiaires quand on allait au sport, et jattendais quon reste les derniers.
Un jour, en automne, on se rendait au stade, et sur le chemin jétais déjà excité comme un fou. Je le regardais devant moi dans son short ample qui lui rentrait un peu dans la raie des fesses. Avec ses épaules larges et sa gueule dange.
Il ny avait pas grand monde aujourdhui, pour cause de pluie. On était une dizaine de mecs dans les vestiaire dont moi et Antoine.
Tout le monde a finit de se changer et se casse du vestiaire, je reste seul avec Antoine. Je le matte à fond. Il est torse nuit. Sa peau est blanche. Il a un caleçon large. Je me mets en caleçon moi aussi, un boxer qui plaque bien ma bite. Je contracte les abdos, je le regarde. Je mets mon short et un T-shirt, et avant daller sur le stade, je vais boire un peu au robinet des toilettes à lécart du vestiaire. Au moment ou je rentre dans la salle deau, je lui jette un regard. Il est pétrifié.
Je me penche sur le robinet pour boire, leau coule à flot, jen ai partout sur le visage. Je sens quelquun derrière moi. Il me plaque son bassin contre mes fesses et je sens quelque chose de dur ! très dur !
Cest lui ! putain ! enfin ! depuis le temps !
Je me jette sur son visage et lui roule une pelle baveuse. Il me plaque encore plus contre lui.
Il me dit « on a pas beaucoup de temps », viens !
Il mentraîne dans les chiottes et ferme la porte à clef. Il baisse son froc et sort une bite énorme, bien blanche, qui contraste avec ses poils noirs.
Sa bite, ce nest pas assez, jai envie quil soit tout à moi. Je lui dit de se retourner, je baisse complètement son caleçon, et je commence à lui lécher le trou. On ne lui avait jamais fait. A moi non plus dailleurs, cétait ma première fois.
Cest délicieux, et ma langue se fraie un chemin entre ses poils. Son anus est gonflé, il est humide, je lui mets un doigt, que je mempresse de retirer et de porter à ma bouche. Ca sent bon. Je lui releche le trou, jai envie que ma langue rentre à lintérieur. Je lui remet lindex, puis celui de mon autre main, et jécarte. JE veux voir à lintérieur. Il supporte bien. Cest beau. Jy mets mon nez pour sentir. Je suis plus excité que jamais, lui aussi. Mes deux doigts écartent son trou et je me libère un espace pour y mettre ma langue qui rentre complètement. Waou ! Que cest bon ! je reste comme ça bien 2 minutes. Puis je me relève, comme épuisé. Et là, Antoine me prend la tête dans ses grandes mains et me roule une pèle incroyable, alors que jai encore le goût se ses fesses dans la bouche.
Il me dit doucement : « jai envie de tes fesses ».
Je me retourne, baisse mon froc. Mon trou est humide car il fait très cho dans ces petits toilettes.
Je sens sa bite qui pousse sur mon anus. Et qui commence à rentrer. Elle est énorme, ça me fait terriblement mal, mais je la ferme. Elle rentre en entier, waou ! cest trop fort ! Antoine me malaxe les abdos en même temps, comme pour detourner mon attention. Jai mal. Et il me laboure le cul. Il la rentre et il la sort une dizaine de fois. Puis il me demande de le sucer. Je me retourne et jenfourne sa pine dans ma gorge. Il crache dans sa main et métale sa salive sur le visage. Puis il se baisse et me roule une pelle.
On est épuisé. Mais je ne veux pas que ça sarrête. Il sassoie sur la cuvette des chiottes, la queue droite, et je viens masseoir sur lui.
Je suis crevé, mais 20 tours de stade nous attendent.
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