Jeu De Piste
Jétais chef de réception dans un hôtel sur la périphérie de Paris. Cétait un samedi du mois de juillet et le téléphone sonnait sans cesse pour réserver. Pour la énième fois je répondis. Une voix féminine que je noublierais jamais au bout du fil. Belle, sensuelle, excitante. Malgré ma conscience professionnelle, je nai pu men empêcher :
- Vous avez la plus belle voix que je nai jamais entendue
Silence
« Merci ». Petite discussion, échange des numéros de portables. Elle me rappela à 22h00. Nous avons passé 4 heures au téléphone, elle sappelle Amina, brune, cheveux longs, 1m75, 65kg et un 95B de TP, une poitrine dont elle était très fière. Nous avons fais connaissance. Elle me fit part de sa longue solitude suite à une déception amoureuse. Elle voulait réserver une chambre pour une ultime tentative de réconciliation. Le courant passait très bien et nous en sommes vite venus aux confidences. Protégée par lanonymat, elle sest laissée aller à me raconter ses envies, ses fantasmes, ses frustrations. Et cest une question des plus banales qui a tout déclenché :
Moi - Tu travailles où ?
Elle Je suis vendeuse dans un magasin de prêt-à-porter vers les champs Elysée.
M Vous vendez quoi exactement ?
E Oh il y a 3 étages, un chaussures, un pour les hommes et un autre pour les femmes.
M Et où se trouve ce magasin exactement ?
E a hah ??? Espiègle
M Et si je trouve ?
E Tu ne trouveras pas
M OK , Alors si je trouves, tu tengages à te soumettre corps et âme à tous mes désirs pendant une journée.
E- Chiche ! Mais tu ne trouveras pas.
Cétait décidé , jallais trouvé !
Jai passé la journée du lendemain à chercher sur Internet et à téléphoner aux magasins, sans succès, personne ne connaît de Amina. Je décidais donc de me rendre sur place et de chercher « le magasin aux 3 étages ».
Jai pris soin avant de partir de préparer une grande enveloppe à lintention de Amina.
Jai arpenté les Champs Elysées et toutes les avenues de la place de lEtoile plus de 4 fois. Sans succès. 3 heures plus tard, je décidai de rejoindre mon véhicule avenue de Wagram. Je me mets au volant, dépité. Je tourne la tête et lis une enseigne « Côte à Côte ». Je me suis garé devant , au sous-sol, rayon chaussures, au Rdc Homme et au 1er femmes ! Jai demandé Amina
« Elle ne travaille pas aujourdhui ».
« Je suis un ami, jhabite la Belgique, pourriez vous lui remettre cette enveloppe de ma part car je dois déjà repartir? »
« Bien sûr Monsieur ! »
BINGO!
Le soir même elle me téléphona :
E Alors ?
M Voyons Amina, si javais trouvé le magasin, tu maurais vu !
E Mais non je ne travaillais pas aujourdhui
.
Je ne lui ai rien dit.
Le lendemain 9h00, mon téléphone sonne :
E Salaud !
M Bonjour ma chérie, tu mappelles du magasin ?
E- Oui, on vient de me remettre lenveloppe, je suis passé aux toilettes pour la lire tranquillement.
M Ca tas fait quoi de la lire ?
E Je tavoue que je nai jamais été aussi excitée de toute ma vie
M- Passes ta main sous ta jupe, Caresses toi !
E Quoi ?
M Fais le ! Tout de suite !
E Oui.
Pour la première fois, je lai entendue jouir.
M Je tappelle ce soir, je te donnerais le programme de la journée. Jai raccroché sans attendre sa réponse.
Je lappelais le soir :
E Bonsoir
M Demain après midi 14h, devant le Métro porte de Saint Ouen.
E Comment ferai je pour te reconnaître ?
M Ford Escort Blanche immatriculée
92. Je serais au volant, tu ouvres la porte, tu montes, tu ne parles pas. Tu devras être habillée en jupe courte noire, Bas, chemisier Blanc, string, soutien gorge assorti.
E OK
M Attention, si tu ne respecte pas ne serait ce que lun de ses engagements, je te punirais !
E - Oui
Le lendemain 13h55, je me gare en double file devant la station de métro, jattends.
Je suis Brun, yx noirs, type méditerranéen, 1m80 pour 70 kg. Jai opté pour le costume et chemise noires, couleur dominante
La portière souvre, je ne lai pas vue venir. Je vois des bottes noires se poser sur le tapis passager, puis des hanches admirablement galbées dans une jupe
mauve, qui descend sous le genou. Elle est enfin dans la voiture. Elle me regarde, je plonge dans ses yeux noirs. Mon Dieu ce quelle est belle. Un visage dange, des lèvres pulpeuses, une poitrine fièrement dressée. Elle tourne la tête et attache sa ceinture. Je démarre en direction de mon quartier non loin de là. Je marrête devant une brasserie du centre ville et nous nous installons en terrasse.
M tu es très belle
E tu es superbe aussi
M Ta jupe est pas mal aussi
E Merci
M (lai sévère) Mais ce nest pas ce que je tai demandé
E Je suis désolée, tu sais je ne met jamais de jupes courtes, je nen ai pas
M Dans ce cas, il ne fallais pas dire oui
Silence, je la sens troublée, Cest le moment détablir mon emprise.
M Quas-tu fais ce matin ?
E - Je me suis levé à 9h00, jai pris mon petit déjeuner
M Ce nest pas ce que je te demande ! Tu as pensé à moi ?
Oui je ne pense quà toi depuis hier.
M A quoi as-tu pensé exactement.
E - A cet après midi, à ce que tu allais me faire.
M Et ?
Elle rougit délicieusement. Excitée.
M Tu tes caressée ?
Oui
M Combien de fois.
E - Plusieurs fois, je ne sais plus.
M Tu mouilles ?
E - Oui
M Vas aux toilettes, enlèves ton string.
E - Mais !? Elle a vu dans mon regard quil était vain de protester. Elle se lève et disparaît dans le bar.
5 minutes plus tard elle est de retour :
M Cest fait ?
E - Oui
M Donne le moi
Elle sort discrètement le morceau de tissu de son minuscule sac à main et me le tend le poing serré. Je le prends, le porte à mon nez et le range dans ma poche.
« Tu sens très bon ! » Jai dit cette phrase suffisamment fort pour que les personnes installées aux tables voisines nous entendent.
Je lai sentie frémir.
Sur la route de mon domicile, elle ne parla pas. Je lui tendit son string
M - Remets le.
E Ici ?
M Ici et maintenant
Elle sexécuta le rouge aux joues.
Jhabitais un vieil immeuble, 5ème étage, sans ascenseur.
Jactionnais le digicode et laissait passer Sonia devant moi.
Elle se dirigea demblée vers lescalier.
« Arrête toi ! » Elle se figea.
« Soulève ta jupe, montre moi tes bas ». Elle souleva sa jupe, tout doucement jusquà la lisière de ses bas. Elle respirait très fort, preuve de son excitation.
Je mapprocha delle jusquà me coller à ses fesses. Je posai mes mains sur ses hanches à même la peau, japprochai ma bouche de son oreille :
« Je te préviens, si tu montes ces marches, tu nas même pas idée de ce que je vais te faire subir (pression sur ses hanches), elle bascula sa tête en arrière et murmura « fais de moi ce que tu veux ».
« Ne relâche pas ta jupe, montes les escaliers, je veux te voir rouler du cul comme la cochonne que tu es ».
Elle sengagea dans lescalier en respectant mes consignes à la lettre. Je la suivais de près, le regard braqué sur ses superbes fesses. Jai dégusté chacun de ses pas. Mon excitation est arrivée à son paroxysme.
Arrivés au dernier étage, je me suis promis une chose :
Je vais honorer ce cul !
Elle était debout face à la porte. Jouvre la porte de lappartement et linvite à entrer. Cétait un petit 2 pièces légèrement meublé. Javais pris soin de laisser une chaise bien au milieu du salon.
M - Je ten prie assieds toi. Tu veux boire quelque chose ?
Elle choisit bien sûr de sasseoir sur le canapé. Sur sa demande je luis sers un whisky sec et sans glace quelle avale dun trait. Je la regarde amusé. Elle sexcuse, elle sourit, elle est belle :
« Excuses moi, javais vraiment besoin dun remontant ». Je rempli son verre à nouveau, elle me regarde, et le renverse à nouveau. « Ok, je suis toute à toi ».
« Donne moi le bandeau ». Elle fouille dans son sac et me le tend, tremblante dexcitation. Lèves toi et ouvres les rideaux. Elle sexécute.
« Cette chaise tes destinée, assieds toi ». Elle sest retrouvée assise face à la fenêtre. Limmeuble en face était à 20 mètres tout au plus. Je lui ai bandé les yeux et lai observée ainsi offerte pendant une bonne minute. Je massis en silence sur le rebord de la fenêtre. « Montres moi ce que tu caches sous ta jupe, écarte tes cuisses». Pas de réaction, puis tout doucement elle écarta les jambes laissant apparaître son magnifique string blanc.
« Tu es belle. Tu mexcites. » Je mapproche, mempare de ses chevilles que jattache aux pieds de la chaise, lui faisant adopter une position obscène, les jambes largement écartées. Je passe derrière elle, je pose mes mains sur ces épaules et les descends doucement pour attr ces seins à pleine main. Elle gémit. Je lui ouvre complètement le chemisier et le sors de la jupe. Je sors ses seins du soutien gorge. Ils sont magnifiques, bien ronds et bronzés. Je retourne me positionner sur le bord de la fenêtre et la regarde. Elle se trémoussait sur la chaise et me supplie.
« Viens, viens, jen peux plus, me laisse pas comme ça ».
Je regardais cette fille que je ne connaissais pas une heure auparavant, jupe relevée, cuisses écartées, les seins à lair.
« Sais tu à quoi tu ressembles comme ça ? »
« Oui viens »
« Dis le, a quoi tu ressembles »
Elle ouvre la bouche mais aucun son ne sort.
« Je ne bougerais pas dici tant que tu ne las pas dit »
« Je ressembles à
.une salope »
« Plus fort ! »
Elle crie
« Une salope, je suis une salope ! Je ten prie viens prends moi ! »
Je me jette littéralement entre ses jambes, jatt son string et larrache violemment, et je fourre ma tête entre ses cuisses pour lécher sa petite chatte. Elle poussa un cri. Elle venait de jouir instantanément. Je lui soulevais les cuisses, elle se retrouve avec les genoux au niveau de la tête, et je continue à lui brouter le minou, je descends ma langue sur son petit trou et lhumecte avant dy introduire la langue. Elle sest raidit. Je pense quelle a compris ce qui lattend.
Je me lève, lenjambe, puis, face à elle, lui demande de sortir mon sexe trop à létroit. Elle ouvre tremblante mon pantalon. Dès quelle a baissé mon boxer, mon sexe jaillit et vient frapper contre son visage. « Ouvres ta jolie bouche ». Je passe ma main dans ses cheveux et lui amène la tête jusquà ma queue. Je pénètre doucement ces lèvres pulpeuses puis je menhardis et lui baises littéralement la bouche. Je sentais que je ne pourrais tenir longtemps à ce rythme et jai fourré ma queue profond dans sa gorge avant de lâcher ma semence.
« Avales tout salope ». Cette petite séance lui a visiblement plu car elle sest appliquée à nettoyer mon sexe encore longtemps après mon éjaculation. Ces caresses ont eu pour effet de garder mon érection intacte. Je la détacha et lentraîna dans la chambre. Je lui demandai de se positionner face à la commode.
« Penches toi en avant, je veux voir tes fesses ! ».
Elle prit position, cambrant ses reins au maximum ce qui eu pour effet de ressortir ses fesses. En face delle, le miroir de la commode, à sa droite le miroir de larmoire. Je la voyais donc sous 3 angles différents, et Dieu sait si ça mexcitait.
« Bien ma chérie, venons en aux choses sérieuses. Je pense tavoir demandé hier soir au téléphone de porter une jupe courte noire. » Jatt le bas de sa jupe et la remonte doucement. « Ta jupe est très sexy mais elle nest ni courte, ni noire ». Ma main arrive sur sa croupe, je passe dune fesse à lautre et les caresses sans ménagement. Elle commence à onduler son joli cul sans souffler mot.
« Je vais maintenant te punir Amina comme je te lai promis » et sans crier garde, je lève ma main pour labattre sur sa fesse droite. Elle poussa un petit cri aigu et se redressa. Jattendais de voir sa réaction. Après quelques secondes qui me semblèrent une éternité, elle se pencha de nouveau sur la commode et reprit sa position. Cerise sur le gâteau, elle retroussa elle-même sa jupe sur ses hanches. Je comprit à ce moment que Amina était décidée à vivre cette expérience jusquau bout. Je pouvais donc me lâcher.
Je détachai doucement son bandeau.
Regardes ma salope, regarde toi. Elle tourna la tête vers le miroir et se vit offerte, jupe relevée, seins à lair et string déchirée. Elle ouvrit la bouche et poussa un long gémissement.
« Baises moi je ten supplie »
Ma main sabattit sur chacune de ses fesses à tour de rôle encore 10 bonnes minutes, je ne savais pas si ses râles étaient de douleurs ou de plaisirs
..Ou des deux. Je plongeai donc ma main entre ses cuisses. Sa petite chatte était inondée. Je sors mon sexe et lapproche doucement de sa grotte. Jintroduis le gland et commence une série rapide de vas et viens sans jamais lenfoncer jusquà la garde.
« Ta punition nest pas finie ma chérie. » Je sors mon sexe trempé et lapplique sur son illet.
« Je ne vais pas tenculer. Cest toi qui vas le faire. Allez viens, viens ma chérie, je ne bouges pas viens mets ma bite dans ton cul »
Elle recula ses hanches par à coups sur ma queue, doucement au début puis elle senhardit. Quand le gland traversa ses fesses, son corps entier fut prit de tremblements et elle cria sa jouissance. Je nen pouvais plus, jattrapa ses hanches et enfonça mon sexe jusquà la garde dans ce cul denfer. Je me déchaîna et lui bourra les fesses violemment encore longtemps. Ma jouissance fut aussi violente que la sienne.
Aujourdhui nous nous sommes perdus de vue. Sait on jamais, si tu me lis, écris moi, jai une surprise pour toi
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