Soirée Étudiante

Je suis une jeune étudiante de 21 ans, assez sérieuse, timide et parfois BCBG. Ce qui se passa cette soirée là me donna encore plus le goût du sexe. Tout le monde me voyais comme je me décris moi-même.
Un soir, j'ai décidé d'aller à une soirée organisée par ma fac. Tout le monde buvait, et au fur et à mesure, tout le monde était de plus en plus ivre. Moi plus que les autres n'étant pas du tout habituée à boire. Un garcon se mit à danser avec moi, je sentais que ça devenait de plus en plus chaud. Il se serrait contre moi et je sentais que son sexe gonflait. J'étais vraiment excitée. Il me prit par la main et m'emmena à l'étage. Nous étions seuls dans le couloir, on entendait le vacarme d'en bas, il m'embrassa, souleva ma jupe et glissa sa main dans ma culotte:
"tu mouilles comme une salope dis donc!"
Je le repoussais légèrement avec mes mains mais je voulais qu'il me serre plus fort contre lui et qu'il me prenne. Il me carressa la chatte, enfonça un doigt puis deux dans mon sexe, je gémissais. Il s'arrêta net, me retourna. J'entendais le bruit de sa braguette s'ouvrir, puis je sentis son sexe dur se glisser dans la raie de mes fesses. Il ne me pénètrait pas, il frottait sa bite contre mon cul, puis contre ma chatte et mon clito. Il se maturbait sur moi et cela m'excitait énormément. Mon clitoris était énorme et je m'enfonçais moi même contre sa bite. Il la rentra d'un coup sec en moi, et me pénètra en faisant des va et vient très rapides et très profonds. Je ne le voyais pas mais je sentais ses couilles taper contre mon clito et mes fesses devaient remuer dans tous les sens. Après avoir éjaculé sur mes fesses il enfonça son sexe dans mon cul, je n'en pouvais plus de plaisir.

Quelqu'un montait l'ecalier, je voulais me retirer mais celui qui me pénètrait me tenait fermement par la taille. Ils parlèrent ensemble, et l'autre enfonça sa bite dans bouche. Quelle jouissance, j'avais honte, mais je savais éperdument que j'aimais ça.

Ils me prirent tous les deux dans tous les sens pendant toute la soirée. A la fin j'étais pleine de sperme. Je ne les revis jamais, ils n'étaient pas de la fac.

A l'université tout le monde me prend pour une coincée.