Collection Black. La Tyrolienne (2/2)

Fabienne, mes parents mon donné un tel prénom ni beau ni laid.
Lieutenant de gendarmerie, chargé de la brigade de la ville, ou je viens d’être nommée responsable.
Je suis de repos lorsque mon adjoint le sergent Fred me contact.
Un coup de fil anonyme d’un homme leur a signalé la noyade d’une jeune femme au niveau de la tyrolienne.
Cette dernière a été mise en place par les services de la mairie afin que les s profitent de ce petit bras de la rivière sans courant pour qu’ils s’amusent à sauter dans l’eau.

Je m’y rends pour constater et me rendre compte de la situation, s’il y a , je veux résoudre celui-ci le plus rapidement possible avant qu’on nous envoie des spécialistes.
Le matin, rien de spécial, le corps est remonté et flotte sur le ventre le visage nous étant caché.
Quel instinct me fait revenir cette après-midi près de cette tyrolienne, je l’ignore, mais je suis là accroupie, j’aime être ras du sol pour chercher des indices.
J’ai l’impression de voir bouger un peu pus bas près d’un petit pont que je connais bien, venant moi-même faire mon jogging dans ce coin de paradis.
Je m’y rends le plus rapidement possible, la tyrolienne fonctionnant que du chemin de halage vers la route longeant le petit bras menant à la rivière.
Je découvre la présence d’un jeune black vivant sous ce pont et qui semble avoir tout vu.
Comment mon équipe a pu passer aussi près d’un élément capital susceptible de faire avancer mon enquête ?
« Elle s’est noyée ! »
Ce sont les mots que prononce ce garçon avant même que je lui pose la moindre question.
Je lui en pose et il m’explique comment, pour lui les choses s’étaient passées.

- Quand je lui ai prodigué mes soins, Gladys a posé son pied sur mes jambes.
Asseyez-vous, je vais vous montrer.

Je m’assieds sur la couverture, il me prend les pieds et les pose comme il m’a dit l’avoir fait pour la défunte.



- Je comprends, ses pieds ont touché votre intimité.
- C’est ça, je l’ai sentie troublée, mais je vous jure, je suis resté stoïque, j’avais vu qu’elle avait une alliance, malgré qu’elle soit fort jolie.
Elle est répartie en me remerciant et j’ai été surprise de la voir arriver en courant le lendemain matin à la même heure matinal.
Je savais que mon intervention lui permettait de recourir, mais lorsqu’elle est venue directement sur la couverture, j’ai compris qu’elle voulait voir ce qu’elle avait senti.
J’ai baissé mon pantalon de survêtement et elle m’a pris directement dans sa bouche.
Mais ce sont des explications plutôt grivoises pour une jeune femme comme vous, même si vous êtes aussi agréable à regarder que Gladys.
- Non, je sais ce qu’est une fellation et ensuite vous avez baisé, excusez, fait l’amour.
- Oui, après ce jour, tous les jours elle était à moi, elle me disait que son mari était très peu porté sur le sexe alors qu’elle avait envie d’être baisée comme une chienne.
Elle m’a même dit ce matin que j’étais une bête de sexe avant de s’apercevoir qu’ayant recommencé à nous donner du plaisir elle se trouvait en retard pour être à l’heure à l’école.
J’ai oublié de vous dire qu’elle était institutrice à l’école de la ville.
- Et c’est là que le drame est survenu, elle a voulu gagner du temps en passant par la tyrolienne, mais elle est tombée dans l’eau.
- C’est exactement ça.
- Un point cloche, vous avez vu qu’elle allait prendre la tyrolienne, lorsqu’elle a lâché, vous auriez dû plonger pour la sauver !
- Je l’ai bien vu lâcher les poignées comme si elle avait voulu se baigner, sans que je puisse faire quoi que ce soit.
- Expliquez, l’avez-vous regardé se noyer ?
Non-assistance à personne en danger, ça peut vous couter cher !
- Il faut que vous sachiez que petit mes parents géraient la propriété de riche Français qui avait une piscine près de Dakar.
J’avais interdiction dans m’en approcher.

Bien sûr, ce qui est interdit attire, un jour je suis tombé dedans.
On m’a retrouvé sur la margelle sans savoir qui m’avait sorti ou comment je m’en étais sorti.
Mon cerveau a effacé le moment où j’ai failli me noyer.
Depuis j’ai une phobie de l’eau et comme elle a coulé sans remonter, je suis resté sur la berge plusieurs minutes espérant qu’elle remonte.
Voyant qu’elle restait invisible, j’ai téléphoné à la police pour leur signaler l’accident.

Là je pense qu’il dit vrai, Fred m’a dit qu’un coup de téléphone anonyme les avait prévenus.

- Un téléphone, ici, sans courant pour le recharger, à qui, allez-vous faire croire cela ?
Là encore, vous êtes incohérent !
- J’ai de l’argent, même une carte bancaire.
Tous les jours je vais au café vers 11 heures, je prends un café et je recharge mon portable avant de descendre dans les toilettes me faire une brève toilette.

Mon portable sonne à son tour, je me lève et je m’éloigne.

- Oui, je suis le lieutenant Fabienne, vous êtes Serge, le médecin légiste, je vous écoute.
Noyade naturelle, pas le moindre coup.
Vous dite bien, la victime venait de faire l’amour, vous avez retrouvé du sperme dans son vagin.
C’est sûr, aucune trace de violence !
Quoi, ça c’est énorme, elle était enceinte de plus de 6 semaines.
Merci, envoyé moi votre rapport, je fais le nécessaire avec la famille.

Je retourne vers le jeune noir.

- Comment vous appelez-vous, j’ai de bonnes nouvelles, mais vous allez devoir venir au commissariat pour que mon adjoint prenne votre déposition ?
C’était le médecin légiste qui m’appelait, votre amie est bien morte naturellement, elle avait de l’eau dans ses poumons.
Il m’a confirmé que la jeune femme avait fait l’amour peu avant.

Je tais la présence de sperme et la grossesse de la jeune femme.
Inutile d’en rajouter dans la détresse de cet homme, ayant vu sa maîtresse se noyer sous ses yeux sans pouvoir intervenir.


Nous nous retrouvons à la gendarmerie.
Un homme est là, discutant avec Fred.

- Monsieur Alain, le mari de la victime.
- Bonjour, lieutenant Fabienne, cheffe de cette brigade.
Entrez dans mon bureau et assayez-vous, j’ai un petit point à éclaircir avec vous !
Quels étaient vos rapports avec votre femme ces dernières semaines ?
- Je vais être franc, nous avons tout fait pour avoir un , mais tous les mois nous étions déçus.
Il y a deux mois environ, elle a voulu que je fasse une recherche sur l’efficacité de mes spermatozoïdes.
Pour moi mettre en doute ma virilité m’était insupportable et je dois reconnaitre qu’à partir de ce moment s’était beaucoup tendu à la maison.
- Avez-vous évoqué l’éventualité d’une rupture ?
- C’est venu dans la discussion son gynécologue lui disant que de son côté tout était parfait pour qu’elle puisse er.

Problème de couple, un beau garçon se présente à elle.
C’est elle qui vient s’offrir à son amant.
C’est elle qui lui fait une fellation pour commencer son adultère.
Nul doute que la rupture était proche, surtout si c’est volontairement qu’elle s’est fait mettre enceinte.
Le mélange d’un homme noir et d’une femme blanche allait donner un joli métis difficile à cacher au mari comme étant le sien.
Dois je lui dire que Gladys était enceinte et ainsi lui apporter un tourment supplémentaire.
Je décide de faire mon rapport aidé de Fred qui me suit sans le rapporter auprès du mari.
Le mari nous quitte et je fais venir Amadou.

- Fred, avez-vous transmis une demande sur l’autorisation de séjour de monsieur Amadou ?
- Oui, il est bien en règle sur le territoire français.

À partir de là pourquoi s’embêter.

« Noyade en se servant d’une tyrolienne. »

Pourquoi chercher plus loin, Gladys est enterrée, nous sommes là, je vois Amadou derrière une tombe participant indirectement à l’enterrement de sa maîtresse ?
Bon point pour lui, sans prendre de risque, il fait voir l’amour qu’il portait à la jeune femme.


Avec l’aide du maire, j’arrive à trouver un logement à Amadou dans la commune, lui faisant quitter son dessous de pont.
Ça fait un mois qu’il s’est installé, ce soir je devrais aller faire la chasse à une queue, ma chatte me démangeant.

- Bonjour Fabienne, c’est pour cela que tu es venue !
Je me demandais quand j’aurais ta visite.

Est-ce le même survêtement qu’il descend libérant une queue, une Big queue, une énorme queue que je mets dans ma bouche avant d’en profiter un max.
La différence avec Gladys, c’est que je suis protégée, pilule et capote.
Comme je l’ai dit, j’aime le sexe.
J’aime être comblée et avec Amadou, je sens que je vais l’être plus que de raison, mais je tiens énormément à mon indépendance, même avec un étalon comme ce magnifique black.
Je m’excuse, je dois prendre soin de mon amant, je vous quitte pour cette fois.

À oui, soyons complet, le maire a fait démonter la tyrolienne qu’il a fait remplacer par un plongeoir comme dans les piscines au ras de l’eau.

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