Comment J'Ai Découvert Que Ma Femme Etait Une Salope

Il y a quelques jours en début d’après-midi l’interphone sonne je réponds :
« C’est Sylvie, Julie est là ?
(Julie c’est ma femme et Sylvie c’est une de ses amies)
-non elle n’est pas là
-tant pis je repasserais
-elle ne devrait pas tarder, d’ici un quart d’heure elle devrait être rentrée, tu veux monter ?
-ok je monte
En fait bien sûr, ma femme étant sortie pour faire les soldes, elle ne devait rentrer que le soir.
-salut tu vas bien ?
-Oui est toi? Assis toi je te fait un petit café ?
-oui s’il te plait
En faisant son café je ne peux m’empêcher de penser qu’elle est vraiment bien foutue.
Brune, 35ans, cheveux en dessous des épaules style italienne yeux noisette clair environ 1.70 dans les 50/55 kl tour de poitrine 90C à vue de nez.
Toujours bien habillée elle porte des bottillons à talons noirs à mi-mollet, des bas ou collant (je ne le sais pas encore) noir décoré, une jupe noir arrivant juste au dessus du genoux fendue sur le coté à mi-cuisse, un tee-shirt moulant clair qui laisse apparaître qu’elle ne porte pas de soutien-gorge et par-dessus une veste noire à mi-fesses
Nous nous asseyons dans le canapé je sais que je n’ai qu’une vingtaine de minutes avant qu’elle ne découvre ma supercherie.
-je regardais un film ça ne te dérange pas si je le remet ?
-non non vas-y
Evidement le film que je mâtais était un film x.
-tu es vraiment un sacre cochon toi
-tu peux pas savoir à quel point. (Tout en disant cela ma main s’égara sur sa cuisse)
-pas de ça entre nous s-il te plait.
-allez Julie m’a toujours dit que tu ne refusais jamais une partie de jambes en l’air.
-c’est vrai mais pas avec le mec de mon amie
-c’est pas moi qui lui dirait
-non allez arrête
-mais regarde dans quel état je suis (sur ce je me levais et baissais mon survet à mi-cuisse laissant apparaître mon sexe gonflé.
-range ça je ne veux pas
-mais la question ne se pose même plus
Je me jetai sur elle l’embrassant.

Ma main remontant entre ses cuisses (elle portait des bas heureusement) ça y est je bute sur sa petite culotte que je ne met pas longtemps à écarter. Elle est rasée de frais. Mes doigts commencent leur travail de sape titillant son clito.
Je la sens moins nerveuse contre moi. Puis ses lèvres s’écartent à peine ma langue en profite pour s’y infiltrer. Puis sa langue commence timidement à répondre à la mienne, ses cuisses s’écartent lentement, je sents sa main attr mon sexe et commencer à le caresser.
Ma main dégrafe sa jupe qui glisse le long de ses jambes puis c’est au tour de sa culotte que je prends soins de laisser sur une cheville. Allongé sur le canapé je me penche vers sa vulve et je glisse mon visage entre ses magnifiques jambes maintenant complètement écartées. Ma langue plonge entre ses lèvres elle dégouline de plaisir. Je sents sa bouche aspirer mon gland. Avec une dextérité certaine elle entreprend une pipe magistrale.
Elle mouille tellement que je ne peux tout avaler, je me serts de cela pour lui titiller l’anus avec mon doigt. Elle s’excite encore plus sur mon chibre, plus mon doigt pénètre son anneau plus elle me pompe.
-Julie n’avait pas menti t’es une sacrée baiseuse.
-elle t’as dit ça ?
-Oui entre autre.
-la salope elle ne peut rien garder pour elle.
Elle était maintenant à poil à genoux sur le canapé je la pénétrais en levrette.
-elle dit que tu ne peux pas résister à une belle bite.
-et elle tu crois qu’elle résiste ?
- à chaque fois que nous sortons ensemble elle aussi se fait sauter.
-la putain je m’en doutai un peu
Puis je commençais à mater son cul avec envie
Je frottais maintenant mon sexe entre ses fesses au passage de son anus je la sentais forcer sur mon sexe.
-vas-y prend le il n’attend que ça
-moi aussi
Je commençais a limer son cul avec vigueur. Elle gémissait de plus en plus fort .
-tu l’encules comme ça Julie?
-heu….
-car à chaque sortie elle se fait défoncer le cul ta petite femme et crois moi elle aime ça.

-je vais bientôt jouir viens avec moi
-ho oui c‘est bon
-hooo ooouuuiii
Ensemble nous jouissions dans un grand râle.
Puis nous discutons de ma femme
-tu ne lui en parlera pas j’espère
-si ! je suis obligé c’est ma femme si elle se comporte comme une traînée elle vas avoir besoin d’être corrigée.
-elle va savoir que ça viens de moi
-obligatoirement, écoute ne t’inquiète pas viens ce soir on avisera
-ok mais sois cool
-pas de problème en tout cas t’es vraiment une superbe baiseuse.
-allez r’habille toi et file et n’oublie pas ce soir vers 21h30 22h.

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