Consultation À Domicile. Episode 2 : Buccothérapie

La porte s'ouvre sur notre patient, plutôt surpris de voir que je suis accompagnée. Mais il ne fut pas le seul surpris puisque Martine resta scotchée sur son caleçon. Manifestement le jeans serrait un peu trop notre malade et il avait décidé de se mettre à l'aise dans un caleçon assez souple. Avec ce type de caleçon, sa gène ne passait pas inaperçu , le piquet de tente était bien mis, la toile était belle et bien tendue et les boutons de bonne qualité. Manifestement ce spectacle fascinait ma jeune stagiaire.
"Bonjour Dr Carole, dit il, je vous attendais, rentrez donc. Vous êtes venue accompagnée ?"
- Oui, c'est une stagiaire et je lui ai proposé de m'accompagner pour cette visite.
Martine n'avait toujours pas repris ses esprits et eu de mal à lui répondre lorsqu'il demanda:
"Mme ? Mme ?"
- Non Mlle Martine.
"Et si nous commencions a vous examiner ! " rétorquais je!
Je demande alors à notre patient de s'allonger sur son canapé.
Martine et moi nous approchons de son corps. Je m'aperçois qu'il contemple mes jambes avec avidité au fur et à mesure de mon approche puis son expression change, je devine qu'il a découvert ma toison. Un peu perturbé , il change d'angle de vue et contemple l 'approche de Martine. A son petit sourire, on voit qu'il vient d'apercevoir une deuxième toison en vue.
Il prend un air entendu, comme s'il comprenait soudain que ce n'était pas un hasard que deux ravissantes femmes viennent ausculter sa bite en offrant leur chatte à ses yeux. Martine et moi n'étions plus qu'à 20 cm de lui et son regard faisait des aller retour entre nos deux minoux, il devait faire des comparaisons. J'avais pu remarquer dans la voiture que Martine et moi avions la même coupe de chatte: assez modes , style ticket de métro. Je ne sais pas si Martine mouillait autant que moi mais, si elle m'avait dit vrai, ma fente devrait être plus éclatée que la sienne, les grandes lèvres plus voyantes.

« Ce n'est pas bien d'exciter ainsi les hommes, Mesdames.

» dit il!
Et là, je fus surprise de la réponse de Martine:
"Mais Monsieur ce n'est pas nos petites chattes qui vous ont mis dans cet état, regardez donc!".

Martine tira un grand coup sur son caleçon, la bite entraînée par l'élastique revint se cogner sur le bas ventre du mec. Martine n'avait plus froid aux yeux et avait repris largement confiance. En tant que docteur , je commençai mon travail . Je sorti de ma sacoche un de mes outils de travail, le tétoscope. Je demandai alors à Martine de lui tenir la bite pour que je puisse écouter un peu de plus prés, et je rendis alors mon diagnostic :
« elle est plutôt en forme cette « petite » mais un peu trop calme, à mon goût Depuis que vous êtes comme ceci l'avez vous utilisé un peu?"
- Pas vraiment , Mme Carole , je devais … mais voilà..
- Bon je crois que j'ai un remède à ceci, il va falloir mettre cet engin a rude épreuve
- C'est à dire quoi exactement? Je dois me branler intensément?
- Oui, ça pourrait être ça , mais ne croyez vous pas que l'on pourrait pas faire autre chose avec ce joli monstre?
- Ah je vois, vous êtes coquines vous deux
" Eh ,Nous allons te baiser chacun notre tour!" décréta Martine "jusqu'à temps que la situation redevienne normale!"



"bon! Dis je à ma jeune stagiaire, nous allons commencer par un peu de buccothérapie! Je vais te montrer. Regarde! Tu commence à caresser doucement les couilles, comme ça. Vas y n'aie pas peur!"
Je prends une de ses boules en main et Martine place ses jolis doigts aux ongles fins et vernis sur l'autre. Après une brève hésitation elle se met à la caresser doucement.
"c'est doux! "Dit-elle!
"tu n'as jamais touché de couilles ?" demande t-il étonné!
"non, répond-t-elle, ce sont mes premières, mais il y a longtemps que j'en rêve!"
"alors, profite-en!" répondit-il.

Je reprends ma leçon:

"Maintenant, tu les prends doucement dans la bouche et tu les fait rouler sous ta langue, comme ça!"
Je joins le geste à la parole, bientôt imité par Martine et nous voilà toutes les deux à déguster ensemble ses roustons.

"ensuite Martine, il faut bien explorer les environs, on peut soigner l'organe malade en traitant les zones voisines."
Je descends alors ma langue entre ses fesses, jusqu'à l'entrée de son anus dans lequel je tourne ma langue doucement. Je cède la place à Martine qui, passant d'une fois de plus d'une certaine réserve à une audace incroyable se précipite pour lui laper la raie et lui sucer le cul avec une gourmandise qui m'estomaque. Pendant ce temps, je commence à donner quelques petits coups de langue sur le gland.
Il est temps de revenir au cœur du sujet. Je montre à Martine comment faire courir la langue de haut en bas et de bas en haut sur la verge de notre malade. Nous la léchons, chacune d'un coté, jusqu'à ce que nos langues viennent courir sur son gland que nous nous partageons comme une glace à la fraise. Puis, au hasard de notre dégustation, nos langues se touchent et Martine, subitement, abandonne la bite pour coller ses lèvres aux miennes. Nous nous embrassons longuement. Sa bouche est déjà pleine de l'odeur de la queue et de du cul de notre patient qui finit par protester :
« dites donc les filles, vous n'avez pas finis votre boulot ! Vous pourrez vous amuser après ! »

Il a raison ! Nous ne pouvons pas commettre une « non-assistance à bite en danger », mais il faut que je montre d'abord à Martine comment sucer.

« Tu vois, petite Martine, une bite c'est très délicat ! Tu dois la sucer avec fermeté mais aussi beaucoup de douceur, sinon ça peut faire mal. Masque bien tes dents avec tes lèvres, ta bouche doit être un nid aussi douillet que ta chatte pour ce petit oiseau ! »

Je montre ainsi à Martine comment le sucer, longuement, doucement, profondément. J'aspire sa queue et joue de ma langue dessus. Puis je cède la place à Martine qui se débrouille plutôt bien pour sa première fois vu l'expression satisfaite du patient.

« Docteur Carole ! Me dit elle, c'est si bon une bite ! Mais ça m'a mis la chatte en feu ! »

Je lui dis alors de se mettre dans une position de travail plus ergonomique.
Elle s'allonge donc à quatre pattes au dessus du mec, enfermant son visage sous sa jupe pour qu'il puisse lui bouffer le minou et reprend sa fellation en faisant de réels progrès dont témoignent les râles sonores de notre ami. Elle ne s'interromps que pour pousser à son tour des petits cris aigus de plaisir, toute heureuse des caresses de la langue masculine sur sa moule encore vierge. De mon coté j'appuie son travail en m'occupant à nouveau de l'anus, des couilles et des rares morceaux de bite qu'elle veut bien laisser à ma portée.

Tout à coup, une véritable fontaine de sperme jaillit de la queue. Martine a un mouvement de recul mais je lui dis : « mais non ma chérie, goûte ! C'est très bon et excellent pour la santé ! Ce serait dommage de gâcher tout ce bon foutre bien chaud ! »
Martine avale, d'abord timidement quelque goûtes de la jute : « mmm !! C'est salé ! Mais c'est bon ! », puis elle se mets à laper goulûment la bite si vite que je dois me rabattre sur les quelques goûtes qui on giclé sur mon visage pour avoir ma part de dessert.

Mais ce n'est pas grave, car il va manifestement y avoir du Rab. Malgré cette superbe éjaculation, sa queue est restée, droite comme un I et tout aussi dure qu'avant.

a suivre

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