Soumise Je M'Executais Dans Mon Role De Trou A Bites.

Ma nouvelle vie continuais plutôt pas mal, j'avais une maitresse qui avais promit de m'enseigner l'art d'être une femme à qui on ne refuse rien.
Elle me compta un peu son histoire.
"tu sais avant d'avoir ma boutique j'ai souvent gagné ma vie allongée les cuisses ecartées.
Un soir elle me dit que nous allions sortir, elle s'arreta dans une pharmacie puis revient quelques minutes plus tard avec un sachet.
-Ce soir tu vas faire l'experience de devoir dominer ton corps
-ok on fait quoi?
-tu verras bien.
Nous arrivions vers 20 heures sur un grand chantier de la banlieue parisienne.
-qu'es-ce-qu'on fout là??
-attends moi 1 minute tu verras bien
Elle disparue entre plusieurs préfabriqués.
Quelques minutes plus tard elle vient me chercher. Nous nous dirigeames vers une petite baraque. Une fois à l'interieur elle me dit
"déshabille-toi et allonge toi sur le lit.
Je ne la fit pas attendre et m'executais rapidement, elle se dirigea vers la porte et l'ouvrit, un homme rentra, elle lui tendit un préservatif puisé dans son sachet.
"met ça et elle est à toi.
l'homme me baisa avec une certaine vigeur mais assez rapidement,
mais quand il sortit un autre entra et le même senario se répéta. Tantôt ma bouche était sollicitée tantôt mon sexe.
-je commence à avoir mal à la chatte.
-attend j'arrive
Enfin mon calvaire tirait à sa fin, il faut dire qu'environ une bonne quinzaine de bites m'avaient déjà pénétrée, certaines m'avaient fait jouir de plaisir. Elle sortit de son sachet une pomade qu'elle m'apliqua avec soins sur le sexe. Quel soulagement cela était.
-tu n'a qu'à écarter un peu les fesses pour changer, dit elle en ouvrant de nouveau la porte
Je n'en crue pas mes oreilles, d'ailleurs le suivant commença par prendre ma bouche avant de pénétrer mon cul.
-tu vois vero tu dois être maléable devant comme derrière et toi seule doit choisir quand tu vas jouir ou non, allez ne me déçois pas.


Soumise, je m'executais dans mon rôle de trou à bites.
Pendant encore plusieurs heures je servis de vidoir à foutre pour tout ces ouvriers qui ne rentrent pas chaques jours chez eux.
Je pense qu'entre 30 et 40 mecs m'ont baisé cette nuit, peut-etre 50. Certains m'ont fait gueuler de plaisir, d'autres de douleur.
Je n'etais plus une femme mais juste un trou accueillant. Avec le temps, je me dit que je manque de dignité, mais en fait cette nuit fit de moi la salope que je suis devenue par la suite.

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