Initiation Sur Le Tas ... De Foin
INITIATION SUR LE TAS ... DE FOIN (1)
Lhistoire que vous allez lire est réelle. Pour des raisons évidentes de discrétion, les prénoms et les noms ont été changés ou sont purement imaginaires. Elle se passe fin juillet 1958. A cette époque on ne pensait pas ni ne parlait de sexe tant à lécole quen famille.. Cétait « un péché », cétait sale, cétait immoral, bref cétait le grand silence, le huis clos. Nous habitions à la campagne ce qui avait, pour nous s, lavantage de savoir et voir comment les animaux se reproduisaient.
Pendant les vacances scolaires jallais dans une ferme voisine pour garder les vaches et autres animaux.
Nicole, nièce de la fermière, fille de commerçants à Beaucoin la Forêt, village distant de 4 km environ, venait chez sa tante pendant les mêmes vacances. Fréquentant la même école communale, nous nous connaissions depuis des années. Les adultes nous laissaient travailler et jouer ensemble en toute confiance.
Donc, en cette fin de mois, depuis quelques jours il faisait très chaud et lourd. Lorage montait doucement depuis le milieu de la journée. Les bovins étaient nerveux et inquiets. La volaille cherchait à se mettre à labri. Vers seize heure, je commence à faire rentrer les vaches dans létable, Nicole maide. Nous avons à peine terminé que les premières gouttes de pluie commencent à tomber, les éclairs sont de plus en plus rapprochés, les coups de tonnerre de plus en plus forts. Létable étant à quelques dizaines de mètres de la maison, il était convenu avec la fermière que nous restons à labri prés du bétail pour le rassurer. Le tonnerre gronde de plus en plus fort. Nous navions pas peur de lorage
Cest en voulant sasseoir sur une botte de foin que Nicole glisse, se retrouve les fesses par terre, les jambes en lair. Sa légère robe est remontée assez haut pour me permettre de voir ses cuisses et constater quelle navait pas de sous-vêtement. Je laide à retrouver une position plus stable et plus « convenable » mais ma curiosité est éveillée.
-« Tu na pas de culotte, lui dis-je
- Cest normal, il fait tellement chaud
Je nai pas de soutien-gorge non plus
.Tu as un slip toi ?
- Non
Tu crois que toutes les filles nont pas de dessous quand il fait chaud ?
- Sans doute
Je sais que ma mère et ma tante son nues sous leurs vêtements, les robes sont assez longues et larges pour laisser circuler lair, nous rafraîchir et cacher nos cuisses et nos fesses, je mhabille comme elles.
- Cest sur que tu dois être plus à laise par ce temps
(Après un court silence) Je nai jamais vu comment vous êtes faites, les filles, entre les jambes
- Moi non plus je nai jamais vu un garçon
- Nous sommes tranquilles, tu veux bien quon se regarde ?
- Pourquoi pas
»
Lorage est au-dessus de nos têtes
Joignant le geste à la parole, nous avons vite fait de quitter nos vêtements. Nous restons debout, Nicole, naturellement blonde, a de jolis petits seins bien formés dont les tétons pointent fièrement. Des courbes splendides, une toison dorée bien fournie qui cache un sexe encore mystérieux pour moi. Elle regarde mon zizi (on disais aussi bitte, queue ou zob), mes testicules (on disait « couilles ») mon entre jambe couvertes de poils châtains presque bruns. Pour une raison que jignore, très vite mon zizi devient raide et se dresse vers mon ventre. Ça métait déjà arrivé mais Nicole sinquiète de cette transformation
-« Quest ce qui tarrives, tu nas pas mal ?
Non, ça me le fait de temps en temps et surtout la nuit. Je nai pas mal mais si je touche cest sensible et ça me fait une drôle de sensation, comme des petites décharges électriques.
Moi aussi, quand je passe le gant sur ma fente, pour faire ma toilette, je ressens des choses bizarres.
- Tu permets que je regarde de plus prés ? Avec tes poils, je ne vois rien
- Si tu veux
»
Je mets un genou à terre, jécarte ses lèvres intimes et je découvre pour la première fois une « fente » (on disait aussi choune, cramouille).
« Quest ce que tu veux faire ?
- Je veux sentir comme font les chiens et les taureaux
et je joint le geste à la parole
- Alors ça sent quoi ?
- Je ne sais pas mais cest particulier et pas désagréable
- Tu as vu que les mâles sentent et aussi ils lèchent
Tu devrais essayer pour savoir quel goût çà a
»
Je mapproche davantage et passe ma langue à lintérieur de bas en haut. Je récupère un liquide un peu épais, dun goût légèrement âcre, légèrement salé. Jallai dire mes impressions à Nicole quand je vois ses jambes qui se mettent à trembler. Javale ce que jai sur la langue et je lui demande ce qui lui arrive tout en laidant à sasseoir.
« Je ne sais pas
Quand tu as passé ta langue dedans jai senti une drôle de sensation très agréable qui descendait de tout mon corps et remontait aussi par mes jambes
Quand cest arrivé la jai pas pu tenir debout
En tout cas ça fait du bien
Tu devrais recommencer sil te plaît
»
Elle sallonge sur la botte de foin, je maccroupis entre ses cuisses écartées, entrouvre son sexe, passe et repasse ma langue à lintérieur. Plus je léchais, plus il y avait de liquide et plus elle gémissait. Je commence à avoir la bouche pleine, jarrête et lui demande si je lui fais mal parce que ses gémissements étaient devenus des petits râles voire des petits cris.
« Ho Non !
Au contraire, tu me fais du bien
Cest tellement bon, je ne peux pas mempêcher de gémir ou de crier
- Jen ai plein la bouche, tu veux goûter toi aussi ?
- Oui et après tu recommenceras à me lécher ? »
Nous avons réuni nos lèvres, bouches ouvertes. Nos langues se sont emmêlées. Nous avons partagé ce liquide mystérieux et jai recommencé mes léchages.
«Que cest bon ! ! ! Hoooo
ouiiiiiiii ! ! !» crie-t-elle en appuyant encore plus fort sur ma tête. » Je mactive plus vite.
Soudain un coup de tonnerre plus fort que les autres, le hurlement de Nicole, la pluie qui martèle les tuiles, ma bitte qui est raide et gonflée prête à éclater, tout cela fait que je ne sais plus ou je suis. Dune main jatt mon zob et le caresse un peu pour faire baisser sa tension. Il est brûlant
Je passe ma main sur le bout arrondi qui se trouvait découvert, et je descends vers mon ventre. Je recommence ce mouvement une dizaine de fois. Ça me fait du bien et, tout dun coup, je sens des lancements dans mon bas ventre jusquau bout de ma bitte. Je regarde et vois comme de la crème qui sort par saccades du petit trou qui sert à faire pipi. Je ne sais pas ce qui marrive mais moi aussi jai failli crier tellement la sensation était agréable.
Étant à genou et Nicole allongée, elle na rien vu de ce qui métait arrivé. Javais un peu honte car je croyais avoir échappé quelque chose de sale comme de lurine. Nous avons arrêté nos caresses. Mon sexe a perdu un peu de sa vigueur. Nicole a retrouvé son calme. Nous sommes assis et échangeons nos impressions :
- « Cétait merveilleux, javais limpression de flotter dans lair me dit-elle,
- Moi aussi jai ressenti un plaisir que je navais jamais eu avant
Tu crois que cest ça lamour ?
- Je ne sais pas
mais si cest ça cest très bon
Cest pour ça que les adultes se marient et restent ensemble.
- Tu crois que pour faire des bébés il faut que le garçon mettre son zizi dans la fente de la fille ?
- Peut-être
je ne sais pas
- Tu ne veux pas quon essaie ?
juste pour voir comment ça fait
- Je veux bien mais fais attention parce que la vache pour avoir un veau le taureau lui monte dessus et avec son zizi il lui met un espèce de liquide blanc dedans
je le sais parce que il en coule un peu quand ils ont fini de se monter.
- Je te promets que je veux juste essayer si je peux rentrer dans ta fente. Je me sortirais si je sens que quelque chose veut couler. »
Sur ces paroles, Nicole se met à quatre pattes, les épaules basses, les fesses relevées. Je me mets derrière elle et je frotte ma bitte entre les lèvres de sa fente. (Nous navions que lexemple des animaux saccouplant) Très vite le liquide mystérieux sest remis à couler de la fente, ma queue est redevenue toute raide. Je poussais doucement pour rentrer. Nicole avait recommencé à gémir. Elle me faisait savoir quelle ressentait encore du plaisir monter en elle. Javais aussi des choses agréables qui descendaient jusquau bout de mon zob devenu très dur et sensible. Ça résiste et mempêche de rentrer.
Je prends Nicole par les hanches et lattire vers moi. Je lui demande elle va bien. « Oui ! dit-elle, jai un peu mal mais ça fait du bien. Cest bon, continue
Je force un peu plus et, soudain, le passage souvre. Je me retrouve enfoncé contre les fesses de Nicole qui pousse un petit cri de douleur. Je minquiète de savoir ce qui lui arrive. Elle me rassure en me disant que ce nétait rien et que ça commençait à lui passer. Alors, comme font les chiens, je me mets à faire des vas et viens avec ma queue dans le ventre de Nicole Ça glisse tout seul
Elle recommence à gémir puis à râler, à pousser ses petits cris de bonheur « Ho ouiiiiiiiii ! ! ! Cest bon ! ! !.Narrête pas ! ! ! Encore ! ! ! Ouiiiiiiiii ! ! ! » Heureusement que lorage gronde toujours et que la pluie narrête pas de tomber car nous pouvons être surpris par quelquun.
Je sens ma queue qui gonfle de plus en plus. Je me retire, prend ma queue en main, fais quelques allers et retours. Par saccades, ma crème gicle. Jen ai plein les doigts. Nicole qui sétait retournée me dit : « Tu vois que les garçons aussi mettent quelque chose dans le ventre des filles pour faire des bébés
Heureusement que tu es sorti
- Tu ne veux pas sentir et goûter comme je tai fait tout à lheure ?
- Je veux bien un peu. »
Elle me lèche les doigts, le bout de ma bitte et dun baiser sur la bouche, me fait partager. Nous trouvons que ce nest pas désagréable sans être vraiment bon.
Lorage passe, il ne pleut plus
Nous nous rhabillons
Jai un jeu de 7 familles à la poche, nous entamons la troisième partie quand la tante et loncle de Nicole viennent voir si tout allait bien
Rassurés, ils repartent pendant que nous faisons sortir le bétail.
Trois jours après Nicole me dit : « Depuis ce matin ça saigne à ma fente mais je nai pas mal
Je lai dit à ma tante
Elle ma dit que cétait normal, cest parce que jai grandi et que je vais devenir « jeune fille ». Ça doit arriver tous les mois
Ma mère doit mexpliquer dimanche quand elle viendra
Elle ma fait mettre un linge spécial pour pomper le sang quil faut laisser couler, ça doit durer trois jours. Jai eu très peur car je croyais que cétait ton zizi qui mavait blessée. »
Le dimanche suivant, Nicole a eu une longue conversation avec sa mère. Elle a reçu en cadeau un livre déducation sexuelle. Bien quelle ait promis de ne pas le faire voir et de nen parler à personne, Nicole me la prêté dés quelle la lu. Jy appris beaucoup de choses et un vocabulaire nouveau : Une bitte devenait une verge, une fente devenait une vulve, ma crème blanche devenait du sperme, lintense plaisir devenait orgasme, etc., etc. Lhistoire de la cigogne déposant des garçons dans les choux et des filles dans les roses nest quune légende
Après cette lecture et avant la fin des vacances nous avons mis en pratique
Cétait encore meilleur
(À suivre)
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