Ma Prof D'Espagnol

Chers lecteurs,

L’histoire que je vais vous raconter fut sans doute pour moi l’élément déclencheurs de ma passion pour les minijupes. Je dois avant toute chose préciser que j’étais à l’époque un garçon assez timide mais que mes hormones étaient en pleine effervescence, si vous voyez ce que je veux dire…

J’étais scolarisé dans un lycée catholique d’une petite ville de province. L’ambiance générale était donc relativement stricte et studieuse. L’attitude des profs était très conventionnelle, sauf celle de la prof d’espagnol, qui faisait couler beaucoup d’encre et de salive, tant parmi les élèves que parmi les autres profs et parents d’élèves. Il faut dire qu’elle faisait tout pour se faire remarquer. C’était une charmante jeune femme d’une trentaine d’années, de type méditerranéen, maquillée à outrance et dont les tenues vestimentaires ne pouvaient passer inaperçues. La jeune femme semblait en fait détester les pantalons, puisqu’elle venait quasi quotidiennement au lycée vêtue d’une minijupe « ras les fesses », le plus souvent sans collants. De plus, elle complétait très souvent sa tenue par un court manteau et une paire de bottes en cuir. Je dois avouer que ce genre de tenue m’excite particulièrement…

Compte tenu de l’ambiance qui régnait au lycée, cette jeune enseignante m’avait vraiment pas plus froid aux yeux qu’aux cuisses, si je puis dire... Victime de l’hostilité de ses collègues et surtout de l’équipe de direction, elle a failli se faire licencier à plusieurs reprises pour attitude aguicheuse et provocante, tenue indécente, voire même exhibitionnisme, mais, étant la seule prof d’espagnol de l’établissement et en l’absence de remplaçante potentielle, elle est toujours parvenue à garder son poste.
Heureusement pour elle que l’équipe de direction n’a jamais eu connaissance de son attitude en classe…

Dès le début du cours, la jeune femme s’installait toujours selon le même « protocole ».

Elle approchait une chaise de son bureau, s’asseyait sur son bureau et reposait ses pieds sur la chaise. Ainsi confortablement installée, elle pouvait « dominer » toute la classe et surtout s’adonner aux exhibs les plus osés. Elle n’hésitait pas à ouvrir généreusement les cuisses en s’asseyant (la coquine ne pouvait guère faire autrement, compte tenu de la hauteur de son bureau…) et, une fois assise, elle ne croisait bien évidemment jamais les jambes. Vous imaginez le spectacle pour nous, élèves, tous assis en face d’elle…

Nous pouvions tous admirer ses cuisses et sa petite culotte blanche pendant l’heure de cours. Les réactions provoquées par son attitude étaient diverses : Nous, les garçons, étions tous terriblement excités et n’en pouvions plus de regarder entre ses cuisses, tandis que les filles étaient particulièrement scandalisées, constatant pour certaines que leur petit copain n’hésitait pas à se rincer l’œil. La coquine parvint ainsi, d’ailleurs, à briser quelques couples. Quant à moi, n’ayant pas de copine, je ne risquais rien et je pouvais donc m’adonner pleinement aux plaisirs du voyeurisme…

La jeune enseignante, visiblement exhibitionniste, ne paraissait jamais gênée par les réactions qu’elle provoquait. Elle feignait l’innocence, mais nous savions pertinemment qu’il n’en était rien. Nos réactions semblaient au contraire l’exciter plutôt. En effet, j’ai pu constater que lorsqu’un élève la regardait avec insistance, elle s’arrangeait pour ouvrir un peu plus les cuisses, afin de le faire rougir ou baisser les yeux. Par ailleurs, ses jupes se raccourcissaient encore lorsque nous avions un examen, afin de nous offrir un meilleur spectacle alors que nous planchions sur nos copies…Vicieux, n’est-ce pas ?

L’ambiance des cours d’espagnols est ainsi rapidement devenue très particulière et bien entendu très peu studieuse. Pour ce qui est des examens, les garçons ne parvenaient de plus en plus difficilement à se concentrer sur leur copie.
Certains, n’en pouvant plus, ressortaient de la salle de classe en maugréant des propos très distingués du style :
- Putain, j’ai pas réussi à bosser. Elle a encore écarté les cuisses, cette salope !
- Quelle pute, cette prof ! Elle cherche à se faire baiser, ou quoi ?

Mais je me rappelle surtout de trois anecdotes bien précises, à tout jamais gravées dans mon esprit.

La première :

La jeune enseignante entra dans la salle de classe, vêtue bien sûr d’une minijupe et de bottes en cuir. Avant de commencer son cours, elle entreprit de remettre en place une tringle à rideau qui était tombée. Elle devait pour cela monter sur une table du premier rang, derrière laquelle, je crois bon de le préciser, étaient assis deux élèves de sexe masculin…

Sa jupe, bien que très courte, ne paraissait pourtant pas la décourager dans son entreprise : Elle tenait absolument à la remettre en place elle-même, cette fameuse tringle…

Elle écarta donc les jambes pour poser un premier pied sur la table, afin de tenter de monter sur celle-ci. Elle paraissait toutefois éprouver des difficultés à se hisser sur la table, et resta donc pendant quelques secondes dans cette position : Jambes écartées, minijupe retroussée, et bien évidemment petite culotte largement dévoilée. Les murmures commençaient à grandir dans la classe. Ces murmures paraissaient exciter la jeune femme au plus haut point. Elle dit alors, d’une voix qui ne pouvait cacher son trouble, quelque chose du style :
- Oui, je sais, je vous fais voir ma culotte ! Excusez-moi, mais ce n’est vraiment pas facile en petite jupe, et ce n’est quand même pas de ma faute si ma jupe se retrousse…

Ses propos laissèrent les élèves sans voix. Les garçons étaient presque dans un état second. L’un d’entre eux, plus hardi que les autres, se leva et alla aider la jeune femme à monter sur la table. Le petit malin eut ainsi le privilège de frôler ses cuisses. La jeune femme put ainsi remettre en place la tringle.
Je vous laisse imaginer le spectacle offert aux deux élèves du premier rang pendant l’opération, et l’ambiance régnant dans la classe pendant le reste du cours…

La deuxième :

La sonnerie annonça la fin du cours. La jeune enseignante entreprit alors, comme à chaque fin de cours, de se lever de son bureau. Ce dernier étant, comme je le précisais précédemment, relativement haut, ceci était généralement pour nous un grand spectacle. Mais cette fois, le spectacle fut encore plus grand :

La jeune enseignante ôta comme d’habitude un pied de la chaise pour le rapprocher du sol, mais au lieu d’en faire rapidement de même pour le deuxième pied (ce qui l’obligeait tout de même à ouvrir totalement les cuisses pendant un court instant), elle garda le deuxième pied sur la chaise afin de rester assise et de nous donner, avant que nous partions, quelques informations complémentaires sur le prochain examen. Elle resta ainsi cuisses largement écartées pendant plusieurs minutes, un pied sur la chaise et l’autre dans le vide. Une fois de plus, un murmure grandit dans la classe et l’après cours fut plutôt riche en commentaires…

La troisième, et de loin la plus excitante, du moins en ce qui me concerne :

La jeune enseignante, qui était aussi maligne que perverse, avait dû remarquer que, bien que bon élève, j’étais un garçon assez émotif. Ce jour là, elle décida donc de tester mes réactions.

En plein milieu du cours, elle quitta son bureau et vint s’installer sur la table en face de la mienne (j’étais au premier rang). La vue qu’elle ne tarda pas à m’offrir sur ses cuisses et sa culotte me provoqua une décharge d’adrénaline particulièrement intense. Je devint aussitôt écarlate et je me mis à transpirer à grosses gouttes. J’étais au bord de craquer mon slip, tant mon érection était forte. Constatant mon émoi, la jeune femme entreprit de m’interroger. J’étais dans un tel état que j’étais bien évidemment incapable de lui répondre.
La jeune femme fit alors semblant de vouloir ramasser un stylo tombé par terre et écarta franchement les jambes, à quelques centimètres de moi !!! Je n’avais plus que son entrecuisse et sa culotte dans mon champ de vision, culotte qui était en fait un string très fin, en dentelle, particulièrement échancré… J’étais si proche d’elle que je pouvais clairement voir sa touffe dépassant de son string, et même apercevoir sa chatte, car la jeune femme mouillait énormément et son string était devenu quasi-transparent. Mon excitation était tellement forte que mon cœur se mit à battre à toute vitesse, à tel point que j’ai cru que j’allais tomber dans les pommes. J’ai également cru que j’allais éjaculer sans même porter la main à mon sexe. N’en pouvant plus, j’ai demandé en bafouillant à l’enseignante de quitter la salle de classe et je suis allé me soulager aux toilettes…

J’espère que vous apprécierez cette enseignante autant que je l’ai moi-même appréciée. Je dois avouer qu’aujourd’hui encore, il m’arrive de me masturber en repensant à ces moments… Eh oui, je reste un homme, que voulez-vous !

Nicolas

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