Olga, Elodie Et Philippe 4 - Cunnilingus
AVERTISSEMENT
Ce texte, toujours écrit à quatre mains par ElodieParis et OlgaT, est la suite de ceux parus les 14, 22 octobre et 6 novembre sur HDS.
Ce récit érotique est fictif, mais sinspire du vécu des protagonistes. Voici un nouvel épisode de ce travail en commun. Dautres suivront.
Merci à nos lecteurs et lectrices pour leurs nombreux commentaires et leurs encouragements.
RESUME DES EPISODES PRECEDENTS
Une jeune doctorante de 25 ans, Elodie, est invitée à venir sentraîner à présenter son mémoire par Philippe, haut-fonctionnaire qui est un des spécialistes du sujet de la thèse. Une fois sur place, Olga, la maîtresse de maison, hypersexuelle en manque, prend la jeune étudiante en charge, sous les yeux de son mari candauliste expérimenté.
Olga réussit de main de maître à faire surmonter à Elodie ses peurs et ses complexes. Le couple découvre son éjaculation féminine, mais aussi sa connaissance surprenante des choses du sexe. Létudiante timide qui se laissait faire comme une jeune inexpérimentée, prend linitiative de fister Olga, dévoilant ainsi son vrai visage de petite salope.
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Philippe rejoignit les filles dans la chambre après quelques minutes.
- Tout a été livré, le repas de ce soir est prêt, mais prenons tout notre temps, rien ne presse.
Les pans de sa robe de chambre ouverts lui permettaient dexhiber son sexe, de nouveau dressé. Le tout avec une classe naturelle, une discrétion et une élégance inimitable. Il retourna sur son fauteuil, ravi de voir ses femmes lovées lune contre lautre, en train de se caresser et de sembrasser.
Philippe se régalait dadmirer ce tableau réel et naturel avec la même curiosité que quand il sextasiait devant une sublime peinture ou une statue dans les expositions ou les musées.
Olga ne lui avait pas caché son hypersexualité, ni quelle espérait, à ses côtés, construire un couple et parvenir à maîtriser sa libido incontrôlable. De son côté, Philippe lui avait parlé de son candaulisme et lui avait avoué quil rêvait de la voir dans les bras dautres, hommes et femmes. Pendant longtemps, Olga avait refusé de céder, sachant que, si elle laissait libre cours à son hypersexualité, elle risquait de ne pas connaître de limites. Et cétait dailleurs ce qui sétait passé quand elle avait fini par se laisser aller, devenant alors la proie dun jeune prédateur, Rachid. Leur couple avait failli se briser dans ces années de tempête, où Olga avait laissé libre cours à son hypersexualité, sans fixer de limites.
Il y eut beaucoup dépreuves et damants, il y eut même un divorce, avant que Philippe ne reconquière Olga et quils se marient à nouveau. Ce qui les avait sauvés était la force de leur amour. Ils ne pouvaient se passer lun de lautre. Ils décidèrent alors de poursuivre la combinaison unique de lhypersexualité dOlga et du candaulisme de Philippe, en fixant des règles strictes, supposées éviter tout dérapage. Cela nallait pas toujours sans difficultés, la première étant pour Philippe de trouver des partenaires qui sauraient faire jouir sa belle, sans mettre en danger leur couple.
Pour Philippe, le candaulisme nétait pas un vice, mais la démonstration de son amour sans limites pour Olga.
Ce week-end là, il avait échoué à trouver un partenaire digne de sa chérie. Et puis il y avait eu cette arrivée inespérée dElodie, décidée au dernier moment. Elle avait demandé à voir Philippe, alors quil était en congés. Sa soutenance de thèse était lundi, et elle cherchait à préparer cette épreuve qui la faisait tant stresser. Cest Olga qui avait dit: Fais-la venir à la maison Et cest ainsi que le hasard avait provoqué cette rencontre dont il navait pas imaginé les suites. Olga, par instinct, avait très vite mesuré le potentiel dElodie.
Philippe bandait en se remémorant la scène dont il venait dêtre le témoin, ce fist fucking inattendu, pratiqué sur Olga par cette étudiante bien surprenante. Limage de son épouse, la bouche pleine de son sperme, embrassant goulument la blondinette, nétait pas étrangère à son érection. Il y avait de lélectricité dans lair et Philippe sentait les filles toujours terriblement excitées.
Olga regarda fièrement ce cou quelle avait marqué de deux suçons et de ses morsures, pour descendre vers les seins de son amante, puis de son ventre blond. Elodie comprit les intentions dOlga et se sentit gênée. Elle saventurait sur un terrain particulièrement sensible pour la jeune fille, un de ses plus grands complexes et qui lui faisait particulièrement honte.
- Non sil vous plait, je suis trempée, chuchota Elodie, qui essayait de cacher ses propos à Philippe.
Olga ne se gêna pas pour lui répondre à voix haute
- Je men doute que ta chatte doit être inondée! Non seulement ça ne me dérange pas, mais cela me fait très plaisir.
Reine de la fellation, Olga était aussi une experte en cunnilingus. Elle sapprocha de la chatte de la petite blonde.
- Oui lâche tout Bébé, laisse toi faire
Olga, poursuivait inlassablement son cunni, soccupant du clito de la jeune fille et pénétrant, le plus loin quelle pouvait avec sa langue, le vagin de létudiante. Elodie était au paradis, emportée par ce rêve éveillé. Elle avait croisé le chemin dun couple rare, qui lui permettait de surmonter ses inhibitions, de lever un à un ses complexes qui lui pesaient tant. Elle était impressionnée par la véritable science du plaisir dOlga et la manière quelle avait de gérer leur relation.
- Je vais te bouffer ta jolie petite chatte trempée,
Elodie caressait avec tendresse les cheveux de sa partenaire et poussait sa tête vers son intimité. Elle savait que son amante navait pas lintention de lâcher prise. Elle aurait seulement voulu quelle puisse la fouiller encore bien plus loin avec sa langue merveilleuse. Elodie aurait voulu que ça dure longtemps, mais elle savait que sa résistance faiblissait. Olga, quant à elle, nignorait pas quElodie était une femme fontaine et donc à quoi elle sexposait.
- Je vais te boire, Bébé!
Olga ne lui laissait pas un instant de répit, sa langue était partout. Et ses mains ne restaient pas inactives. Elles caressaient les seins de la jeune fille, pinçaient les tétons. Soudain, Olga passa une main sous les fesses dElodie et lui entra un doigt dans son petit anus tout serré. Cette fois, cen était trop pour Elodie. Tous ses barrages étaient en train de céder, lorgasme était inévitable et il serait dévastateur.
Olga sinterrompit un instant:
- Viens mon chéri, approche. Elle va tout inonder cette petite. Regarde moi cette salope!
Philippe avança avec la lenteur de sa superbe prestance. Il accrocha le regard brouillé dElodie. Elle posa sa main contre son corps, ouvrant sa paume vers lui comme une supplication pour linviter à sapprocher. Les pans de sa robe de chambre grands ouverts, il ressentit une grande fierté à sa puissante érection. Sans atteindre la taille des étalons quaffectionnait tant Olga, la verge de Philippe, en pleine érection, ne laissait pas Elodie indifférente.
Elodie serra la main de Philippe, lui écrasant les doigts, avec une force incontrôlée. Philippe était habitué à tenir la main dOlga dans ces moments précieux. Cétait un rite entre eux, quand celle-ci sapprêtait à jouir sous le joug dun amant. Sans le savoir, Elodie avait fait ce même geste, réclamé cette même complicité, comme un appel au secours, un énorme besoin dêtre rassurée.
La jeune étudiante attira ensuite la main de Philippe vers son cou. Cette petite avait besoin de lui, de le sentir posséder cette partie précise de son corps, comme son épouse lavait fait plus tôt. Elodie soffrait totalement à ce couple avec qui elle se sentait en confiance.
Philippe, pourtant habitué aux séances torrides avec son épouse, assistait à un orgasme à venir dune force rare. Cétait tout simplement beau de voir les deux femmes se faire jouir avec une telle intensité. Sil sétait écouté, Philippe aurait mis sa queue dans la bouche de la jeune fille. Il savait quelle en avait envie elle aussi. Mais il connaissait suffisamment Olga pour savoir quil ne fallait pas précipiter le mouvement, au risque de rompre le charme. Il se contenta de caresser le cou blond hyper sensible dElodie.
Ce que chacun attendait était en train de se produire. Olga poursuivait son cunni diabolique, parfaitement consciente quun tsunami allait sortir de lintimité dElodie. Celle-ci serrait sa chatte contre la tête dOlga, avec une force terrible, presquà l.
- Oh Mon Dieu! Ohhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh.
Ce nétaient plus des gémissements, pas même des cris, cétait violent, le cur dElodie battait très fort. La jeune fille était consciente que ce quelle vivait était exceptionnel, tant par son intensité que par sa durée. Cest ce qu'elle exprimait par ses plaintes, par ses cris, ses tortillements du bassin et ses tétons en érection. Les coups de langue dOlga étaient magiques. Elodie avait résisté bien plus quelle ne laurait pensé. Elle avait retardé le plus possible son plaisir. Cétait trop de bonheur et tellement fort que sa respiration était coupée, lair venait à lui manquer. Les mains de Philippe caressant son cou finirent par lachever. La délivrance arriva, tout son corps se tendit et elle cria, à plein poumon, son plaisir infini:
- Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii Oh mon Dieu!!!!!
Philippe ressentit une grande fierté vis à vis de ses voisins qui ne purent ignorer ce message-là qui pourtant ne leur était pas destiné. Les voisins qui les croisaient regardaient dailleurs de plus en plus souvent Philippe et Olga avec des airs bizarres, sinon réprobateurs.
Philippe et Olga avaient déménagé il y a six ans, à cause de leurs frasques antérieures, et en particulier de ce qui sétait passé avec Rachid, ce jeune de la cité qui fut leur première expérience candauliste. Au départ, Philippe et Olga sétaient promis de ne plus se laisser aller à leur domicile, mais ils n'avaient pas tenus. La rumeur avait dû se répandre dans toute la copropriété car même les voisins de lentrée B se comportaient de la même manière. Il est vrai que les orgasmes dOlga étaient bruyants et, en été, les fenêtres ouvertes, ses cris devaient résonner dans la cour.
En même temps que sa jouissance, et encore plus que dhabitude pour elle qui était fontaine, lorgasme dElodie fut accompagné dune véritable et puissante éjaculation. Olga ne se déroba pas, bien au contraire, les jets partirent dans sa bouche et éclaboussèrent son beau visage. Olga était toute barbouillée des sécrétions de son amante. Une première pour Philippe qui pourtant en avait vu pas mal. Il lâcha
- Laisse tout sortir, ma Douce
Olga émergea enfin des cuisses dElodie. Elle avait lair dune bacchante longuement abreuvée. Philippe invita son épouse à le rejoindre. Il regarda son visage trempé et son maquillage défait, ses yeux brillants de fierté. Il repoussa tendrement des mèches de cheveux dOlga sur ses oreilles et la prit dans ses bras.
Elodie trouva cela trop beau et adorable. Elle se mit à pleurer tandis que son corps était encore parcouru de sursauts électriques et de spasmes. Voir ce couple sembrasser sous ses yeux les rendait si beaux, dun amour qui débordait de partout. Philippe posait de petits baisers sur tout le visage dOlga comme pour sécher une à une les sécrétions qui avaient explosé sur elle. Dieu que cet homme aimait son épouse, quelle classe de sa part. Son élégance, son charisme et son charme fou rayonnaient. Elodie espérait juste que chaque fois que ses lèvres se posaient sur ses sécrétions, cela enivrait Philippe de son liquide magique, comme une potion qui le rendrait addict à elle. Un malaise envahit létudiante qui se sentait devenir jalouse dOlga. Elle aussi avait besoin de tendresse et dun moment daccalmie, de douceur et daffection dun père de substitution. Le parfum Bleu de Chanel revint à ses narines.
Philippe prit Olga par la main et se déplaça vers Elodie. Puis il laissa son expérience parler et alla tapoter le clito encore tout sensible de létudiante. Enfin une attention intime de Philippe à son égard quElodie espérait tant. Il fit cela dun geste sûr et régulier, comme une petite fessée clitorienne tendre. Le cognement de ce doigt ferme contre cette vulve humide résonnait dans toute la pièce. Le feu et leau. Trois paires dyeux étaient posés sur l'entrecuisse de létudiante. La blondinette savait ce qui allait arriver, ses muscles se contractaient à nouveau. Ce geste doux et régulier créait une vague qui allait à la longue lemporter à nouveau.
Olga ne put sempêcher de laisser sa nature intervenir et de reprendre les choses en mains. Elle sauta sur le lit, écarta les doigts se son mari et caressa frénétique la vulve de la petite blonde, comme une folle. Elodie, lâcha de nouveau des petits cris apeurés. Olga nen revint pas de voir de nouveau des jets sortir du sexe dElodie, cette petite nen finissait pas de jouir.
- Regarde moi cette petite salope qui jouit à nouveau. Elle est pire que moi!
- Cest bien Elodie cest bien, lâcha Philippe. Tu es très belle avec tes orgasmes généreux.
Il recueillit le liquide abondant, caressant avec ses sécrétions le corps dElodie, comme si cétait de lhuile de massage. Il létala sur les cuisses de létudiante, son ventre, remontant vers ses seins et enfin son cou. Elodie était sur un petit nuage. Quand elle était seule, elle adorait elle aussi enduire son corps de ses sécrétions maudites et se masser avec, surtout le cou. Philippe le faisait pour elle et était le premier homme à lui prodiguer ce geste là. Philippe respectait qui elle était, y compris ses défauts les plus inavouables.
- Lécartement entre tes cuisses permet de bien te caresser. Cest sublime! Ton sexe est comme toi, tout petit et adorable.
Entre rire et larmes, entre honte et contentement, Elodie se dit que Philippe était un homme qui sublimait tous ses complexes et la rassurait terriblement. Elodie avait peur du désir quelle éprouvait pour Philippe, ayant compris quOlga nétait a priori pas très partageuse.
Alors que le fist fucking quelle avait subi tout à l'heure lui avait provoqué un orgasme violent, Olga était de nouveau excitée. Décidément sa libido, son hypersexualité étaient bien difficiles à maîtriser. Le week-end ne faisait que commencer, Olga avait encore envie de tant de choses avec Elodie.
Olga lisait à lintérieur de létudiante comme dans un livre. Elle comprenait ses désirs et ses sentiments. Cette petite avait envie de Philippe, cétait évident quelle cherchait un père de substitution..
Olga passa un doigt sur le menton dElodie, puis sur ses lèvres:
- Je vois bien que tu as envie de Philippe ma petite. Je suis la mieux placée pour te comprendre. Et, en ce qui le concerne, je le connais, mon petit cochon, il a envie denculer la petite salope que tu es. La seule chose et je ne le répéterai pas: cest moi qui décide!
Elodie frissonna et Philippe intervint pour la protéger de son épouse, la connaissant fort bien.
- Ma chérie, évidemment que c'est comme ça que je voyais les choses et Elodie aussi. Elle comme moi sommes là pour ton plaisir et je sais que depuis le trio avec ton amie Agun tu vois les choses différemment. Juste une chose: cette petite nest pas une salope, cest une petite Princesse, un diamant brut, que nous sommes en train de découvrir, de polir.
Elodie découvrait à cette occasion une certaine Agun et la présence dun trio dans le couple. Compte tenu de lhypersexualité dOlga, cela ne létonna pas.
- Quelle soit en train de se révéler est exact et je pense quelle est encore plus salope que je ne le suis. Il suffit de lire dans ses yeux qui puent le sexe, comme je lai dit tout à lheure.
Cette affirmation était une évidence et tout le monde en convenait. Elodie se gardait bien dintervenir. Elle ne voulait à aucun prix briser la formidable complicité quelle avait, de façon si imprévue, nouée avec ce couple.
Ayant remis les choses au point, Olga reprenait comme de bien entendu la direction des opérations. Dans lordonnancement des plaisirs, comme dans la vie quotidienne, elle était ainsi, ne se soumettant aux mâles que lorsquelle se faisait baiser.
- En attendant, nous avons besoin, Elodie et moi, dune bonne douche, surtout moi, je suis couverte de sécrétions, je ressemble à une putain, même si cela nest pas désagréable ni pour me déplaire. Et puis, il y a les draps à changer car on les a bien arrangés! Et enfin, le plaisir ouvre lappétit. Il y a ce dîner que tu nous a commandés. Quand nous sortirons de la douche, tu nous serviras une coupe de cette bouteille de veuve Cliquot. La champagne et l'alcool exacerbent encore ma libido, ma belle, donc prépare toi, je suis loin den avoir fini avec toi!
Ainsi, en quelques phrases, Olga avait commandé à son mari de changer le lit et de dresser la table.
Elodie nosa pas dire quelle nétait pas habituée à l'alcool. Décidément, cétait le soir de toutes les expériences pour elle. Cette femme était un phénomène, qui la fascinait tout en lui faisant un peu peur. Le regard dOlga exprimait son désir pour Elodie et il était promesse de nouveaux plaisirs pour le couple.
Olga déposa un baiser sur les lèvres dElodie et lui prit la main pour la lever du lit.
- Tu viens chérie, nous avons une très grande douche à l'italienne. Je prends évidemment ma douche avec toi. Laisse-moi moccuper de toi, bébé!
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